Chapitre 17
Point de vue d'Adèle.
Du noir. Que du noir. Et le bip des machines qui m'indique que je suis toujours vivante et que je n'ai pas rejoint ma mère. Ma génitrice, c’elle qui m'a donner la vie mais également peut être un jour la mort à cause d'un gène.
Elle que j'ai tant aimer et que j'ai vu disparaître à petit feu. J'ai vu la douleur que mon père a ressenti et je me suis promis de ne jamais faire vivre ça à qui que ce soit.
Mon mal de tête ma remmène à la réalité et à Théo qui doit être mort d'inquiétude mais qui a sûrement du obliger Émilie à lui expliquer ce qui m'arrive. Je ne lui en veux pas si elle la fait. J'aurais dû le lui dire plus tôt. Mais je me suis promis de ne pas m'attacher et de ne pas le laisser s'attacher. J'ai finalement échoué en beauté. Je l'aime. Je dois me battre pour lui. Pour l'homme que j'aime je me doit de me réveiller et lui demander son pardon. J'essaie une première fois de me réveiller mais mon corps en a décider autrement puisque je me rendors quasi instantanément. Foutu cœur.
Plusieurs heure plus tard je recommence et réussi enfin à me réveiller. J'ouvre difficilement les yeux mais la lumière aveuglante des néons au-dessus de mon lit, m'oblige à les refermer. Je test chacun de mes membres. Les jambes c'est bon tout va bien. Les bras et les main c'est bon aussi. En sentant le lit affaissé à ma gauche je tourne ma tête de ce côté et découvre Théo la tête allongé sur mon lit. Je pose ma main sur sa tête et bouge mes doigts dans ses cheveux ce qui a le don de le réveiller immédiatement. Il me regarde les yeux grand ouvert. Je lui souris faiblement.
- Adèle ... Souffle-t-il. Tu es réveillé. Merci mon dieu ! Dit-il en prenant ma main et en l'embrassant.
- Sa... Salut. Eau.
- Tu veux de l'eau ?
Je hoche la tête ce qui ravive mon mal de tête. Je dois faire une grimace parce que Théo sens rend compte et part chercher, en vitesse, une infirmière. Ils reviennent tous les deux avec des médicaments et de l’eau.
- La belle aux bois dormant est réveillé à ce que je vois. S'exclame l'infirmière. Aller avale ça m'a belle ça va t'aider à te remette sur pied et à t'enlever ce mal de tête je présume.
Je hoche la tête. Elle m'aide à prendre mes médicaments et me donne ensuite de l'eau.
- Bon je vous laisse tout le deux. Je repasserais plus tard.
Théo la remercie et reviens s'assoit près de moi en le tenant la main.
- Hey salut toi. Tu m'a fait peur tu sais.
- Salut. Ecoute je suis Désolé de ne pas t'en avoir parler avant...
- Émilie ma expliqué je sais que tu es malade et que tu le faisais pour de bonne raisons à la base mais s'il t'étais arrivée malheur je ne me le serais jamais pardonné. Il faut que tu sache que tu peux tout me dire sans que tu es peur que je ne m'enfuis ou que je te laisse tombé. Tu peux avoir confiance en moi Adèle.
- Je sais je suis vraiment désolé. Dis-je en sentant les larmes arriver.
- Non ne pleure pas mon amour. Ce n'est pas de ta faute si tu as cette foutu maladie mais maintenant je ne veux plus aucuns mensonges et non - dits entre nous. C'est clair ? Si tu ne te sent pas bien ou que tu penses qu'il est mieux pour toi qu'on aille à l'hôpital je veux que tu puisse me le dire en toute sécurité sans penser que je vais te lâcher. D'accord ?
- Merci Théo. Je suis encore tellement désolé.
- Ce n'est rien on oublie maintenant. Mais il faut que tu sache quelques chose.
- Quoi ?
- Adèle, ma belle endormis il faut absolument que tu sache que je t'aime. Je t'aime tellement que ça me fait mal. Quand j'ai cru te perdre j'ai cru mourir avec toi. Tu me fait ressentir des choses que jamais personne auparavant ne m'a fait ressentir. Alors oui je t’aime Adèle Maria Perez.
La je pleure toute les larmes de mon corps. En même temps ce trop-plein d'émotion me submerge.
- Moi aussi je t'aime Théo ! Je t'aime de tout mon cœur. Et je suis désolé de t'avoir fait peur et de ne pas avoir eu assez confiance en toi pour te dire que je suis malade mais oui moi aussi je t'aime Théo. Tellement.
Il penche la tête vers moi et je finis le reste du chemin pour pouvoir enfin poser mes lèvres sur les siennes et scellé notre amour.
J'ai chaud. Très chaud et j'ai d'un coup plus envie de lui. Approfondit notre baiser et passe ma main sur sa nuque pour ensuite l'égarer dans ses cheveux. Il grogne doucement preuve qu'il aime que je fasse ça. Je continue tout en essayant de me redresser pour être plus à l'aise mais je suis stoppé.
- Non non non tu restes allonger. Tu as besoin de repos, ordre des médecins.
- Mais ...
- Il n'y a pas de " mais " qui tienne. J'ai déjà failli te perdre une fois alors crois moi que je vais tout faire pour éviter que ça ne recommencer et tout ça démarre en écoutant les conseils des médecins donc tu t’alonge et tu restes tranquille.
Je boude. Je suis une gamine me direz-vous ? Et bien... Oui !
Théo me pince la joue comme une mère le fais à son enfant et me dit :
- Allée ma belle. De toute façon, commence-t-il en basant le ton, les médecins nous ont interdit tout sport de chambre donc...
Je rougis instantanément et lui tape l'épaule. Lui est mort de rire.
- Je rigole ! Mais il nous ont conseillés d'éviter les sports trop intense, mais ça reviens au même puisqu'avec moi tout est intense.
Il me fait un clin d'œil.
- Non mais c'est pas vrai ! Ton ego ne passe plus les portes dit moi. Plus modeste tu meure.
- Ne fais pas l'innocente tu as déjà goûter à la bête.
- La bête ? Attend tu as surnommer ton ... truc "la bête ", je rêve ! Dis-je en rigolant
- Ba quoi ça fait viril non ? Grr Grr !
Il se met à imiter le bruit de ... en fait je ne sais pas trop ce que c'est, tout en remuant les hanches de manière obscène.
Je rigole tellement que j'en ai les larmes aux yeux quand un médecin frappe à la porte et entre. Il paraît d'abord confus mais se reprend rapidement et se présente.
- Bonjour Adèle, je vois que vous allez mieux et que vous avez retrouvé votre sourire. C'est une bonne chose. Je me présente je suis votre cardiologue. C'est moi qui vais suivre votre cas pendant ces 2 jours de convalescence que vous allez passer avec nous. Je suis le docteur Lebrain. Alors je peux déjà vous dire que vous sortirez plus tôt d'ici 2 jours comme je l'ai dit et non 3 puisque votre état c'est nettement améliorer depuis votre arriver. Vos résultats son bon. Nous craignions que vous ne refaisiez une rechute mais vous avez l'air d'être une battante et votre cœur n'est pas près de vous lâcher.
- Tu entends ça Adèle ? Tu es une battante ! Ça je le savais mais c'est géniale pour toi et ton cœur.
- Mais je ne risque pas de faire une rechute d'ici peu ?
- Non vois avez très peu de chance d'en refaire une.
Je suis soulager. Moi qui pensais que ça n'irais pas mieux même après être sortit, ce médecin vient de me redonner confiance et envie de me battre encore plus. Théo qui est à côté de moi sourit comme un enfant à qui on viendrait de donner une sucette.
- Je vais vous laisser et je repasserais plus tard.
- Merci docteur !
- Oui merci beaucoup docteur lança Théo.
- Alors…
- Alors tu te souviens du pari que l’on avait fait ?
- Oui… et tu as gagné.
Je me souviens très bien de ca pari que l’on avaient fait au début de notre relation. Il avait parié que si je tombais amoureuse de lui en 2 mois il pouvait faire une chose que je serais obligé d’accepter. Mon dieu je stresse déjà et me demande ce qu’il ma faire.
- Et tu te souviens de ce qu’il y avait en jeu ?
- Hum… vas-y dit moi ce que tu veux.
- Je veux qu’on habite ensemble. Rien que tous les deux.
- Quoi ?
- Oui je sais ce que tu te dit. Je sais qu’on est jeune et que c’est peut être un peu tôt dans notre relation d’habiter ensemble mais je t’aime et …
- Oui !
- Je... Attend quoi ?
- Oui je veux habiter avec toi !
- C’est vrai ?
- Oui !
- Oh merci Adèle ! Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux !
Il me prend dans ses bras et m’embrasse.
- Je vais commencer des aujourd’hui à regarder les apparts à vendre !
Je rigole et l’embrasse encore
- D’accord si tu veux.
Il me sourit et nous passons le reste de la journée allongé l’un contre l’autre à parler de tout et de rien. Théo repart dans la soirée à contre cœur mais je lui est ordonner d’aller dormir dans un bon lit, de se doucher et de bien manger parce que la nourriture a l’hôpital n’en parlons pas ! Bref, il ma jurer qu’il reviendrais le lendemain à la première heure et c’est ce qui a fait. Nous avons passé toute la journée à nous balader dehors, moi dans un fauteuil roulant et lui à me pousser. Il avait amené un pique-nique et un jeu de cartes. A l’heure du déjeuner nous avons donc manger dans l’herbe sous un arbre, ce qui étais vraiment sympas. Après ca nous avons fait un nombre incalculable de partie de jeu de cartes et bien sur vous vous en douter c’est lui qui a gagner.
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Coucou mes petits lecteurs !
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