Michael Clifford.

« Bordel, Mike ! Va te faire foutre ! » Gémit comme un enfant Ashton.

Je venais une nouvelle fois encore de tuer son soldat.

J'éclatais de rire, à deux doigts de lâcher ma manette au sol, quand je l'imaginai taper bruyamment sa main contre son matelas. Le connaissant, je savais qu'il venait de postillonner de colère contre l'écran de son téléviseur, ces doigts empoignant fermement ces cheveux, prêt à les arracher à tous moment.

Instinctivement, je venais porter ma main à mon ventre, ricanant à - presque - m'uriner dessus, lorsqu'il énuméra toutes les insultes possibles et inimaginables à mon égard à travers le casque. Certes, il était littéralement en train de péter les plombs, ajoutant à cela, le fait qu'il me briser les tympans, mais ce n'était pas grave.

Sa réaction était sans prix.

« Hé, c'est toi qui voulais jouer à Call of duty je te signale ! » Lui rappelai-je immédiatement quand nous recommençons un nouveau jeu.

« Peut-être, mais c'est toi qui voulais que nos deux joueurs s'unissent. » Rétorqua-t-il au tac-au-tac.

« Nope, c'est toi. » Ashton grogna à travers l'appareil quand il réalisa la 'triste' vérité.

« Enfoiré. » Bredouilla-t-il, amplifiant ainsi mon rire.

Je secouai de gauche à droite mon visage, souriant au coin.

D'humeur taquine, aujourd'hui, j'avais décidé de l'embêter 'un peu' - bon d'accord, beaucoup - en tuant le soldat d'Ashton à chaque fois que j'en avais l'occasion. Il y a trente minutes de cela, je l'avais fait avec un bazooka, prétextant désamorcer une bombe, ce qui je l'admets était une excuse bidon. Puis, avec une mitrailleuse, un pistolet, à main nue, pour finir par l'assassiner au loin avec un sniper.

Et tout cela en prétextant toujours tous et n'importe quoi.

Quel génie, je peux être.

« Ah, masterHoodleloverdecesdames vient de se connecter ! » S'écrions-nous en choeur dans un éclat de rire.

« Est-ce que je le.. » Je ne le laissai même pas le temps de finir que je venais de lui planter un couteau en pleine tempe avant de viser le coeur. « AHHHH, MAIS PUTAIN MICHAEL ! » Se plaignit-il pour la énième fois, provoquant instantanément mon fou rire.

« Subtilité, frangin ! Tu ne sais pas ce que tu... AHHH, PUTAIN ! »

Un côté de mon casque fut immédiatement coulissé à mon cou.

Je grognai de mécontentement, passant doucement mes doigts à mon crâne, que je massai, de sorte à faire passer la douleur. Après quelques laps de secondes, je décidai de faire face à mon interlocuteur, qui n'était autre que mon père. Ce dernier avait fermement croisé ces bras contre son torse, le regard sévère, en fait, plutôt blasé, que je ne lui porte attention seulement maintenant et pas plus tôt.

« Bordel, ça fait mal papa ! » Il roula des yeux.

« Ta de la visite, citrouille ratée. » Lâcha-t-il exaspéré en faisant allusion à la couleur de ma chevelure qui avait dévié à l'orange.

Je jetai un coup d'oeil à l'arrière de ces épaules, apercevant une masse capillaire blonde tressée en épis de blé, qui dégageait ainsi entièrement son visage de toute mèche rebelle. C'est lorsque mon père se décida à disparaître de ma chambre, que j'entrepris de l'examiner d'un peu plus près et bien entendu sans gêne, dans un sourire narquois.

Celle-ci avait vêtu une robe d'hiver de couleur vert sapin, qui lui faisait non seulement une taille de guêpe, mais en plus de ça mettait en valeur sa voluptueuse poitrine, dont j'admets, trouvait la taille assez attractive. Elle portait des bottines à talon à ces pieds, de je ne sais de combien centimètres. Mais ce que je savais, c'était qu'ils mettaient parfaitement en valeur ces longues et indéterminables jambes.

Maintenant que je l'ai assez examiné.

Et si je m'attardais sur ces se...

« Mes yeux, c'est plus haut, sale porc ! » Je poussai un petit rire, prévenant Ashton que je reviendrai plus tard à travers le micro et retirai mon casque.

« Bonsoir à toi aussi, Ruby ! » M'écriai-je faussement de joie en portant mon regard dans ces yeux bleus. « D'après ce que je vois, tu n'as pas besoin que je te demande comment tu te por.. »

« La ferme. »

Elle roula des yeux et je pouvais clairement voir l'expression de dégoût s'inscrire sur ces traits faciaux, quand elle jeta un rapide coup d'oeil dans ma chambre. Sur mon bureau, se trouvaient encore les cinq cartons de pizza aux peperonis et aux fromages entassaient les uns sur les autres. Près des cartons, plusieurs tasses de café, des bols de céréale et de glace. Juste en dessous, ma poubelle regorgeait de papiers, d'emballages de chips, de chocolats, de bonbons et..

Oh, bah tiens !

Ça je ne l'avais pas vu, je vous assure.

De préservatif aussi et de 'quelques' bouteilles de bière. Une pile de jeu était étalé en éventail sur le tapis. Mon linge sale était éparpillé à travers ma chambre - dieu ne sait où - et mon linge propre se trouvait - certainement - dans mon armoire. Armoire, où je gardai mes précieuses guitares en sécurité à l'intérieur. Et en ce qui concerne, mes bouquins de cours, ils se trouvaient au pied de ma chaîne stéréo, encore dans leur emballage.

Oui, effectivement.

Vu sous cet angle, je suis un porc.

Ruby finit par emboîtait un petit pas hésitant à l'intérieur, puis un second, refermant 'soigneusement' la porte derrière elle à l'aide de son coude, comme si je pouvais contenir tous les microbes de la terre.

« Qu'est-ce que tu veux ? » Repris-je mon sérieux en étirant mon cou, avant de craquer chacun de mes phalanges.

« Mon argent. » Je haussai un sourcil, interrogateur. « J'ai fait ce que tu.. Enfin, vous... » Se corrigea-t-elle rapidement. « M'avez demandée. Je ne vous ai posé aucune question, sur quel que soit l'activité glauque que vous maintenez avec ce pauvre garçon. Je l'ai abordé, je l'ai séd.. »

« Ta rien séduit du tout, princesse. » Elle leva les yeux au ciel.

« Je lui ai fait un putain de suçon, c'est pareil ! » S'exclama-t-elle en jetant dramatiquement ces mains en l'air.

« Rappelle-moi les termes du 'contrat' ? » Elle semblait surprise par ma question, mais n'en démordra pas.

« Le but était que je mette tout en oeuvre pour qu'il me demande d'être sa copine. » Je hochai la tête, approuvant ces dires.

« Et donc ? »

J'effectuai un signe de la main, l'encourageant ainsi à poursuivre.

Elle grogna de mécontentement, sachant qu'elle était clairement en train de profondément s'enfoncer.

« Il n'a rien fait de tel, si ce n'est que m'envoyer sur les roses. » Je claquai fièrement des doigts, un sourire arrogant ne tardant pas à s'inscrire au coin de ma bouche.

« Et bien ?! » M'écriai-je faussement surpris. « Voilà, tu as ta réponse ! » Je me levai de mon lit, me dirigeant jusqu'à la porte de ma chambre que j'ouvre. « Maintenant ? Tu sais ce qui te reste à faire pour 'gagner' ton argent. » Je la gratifiai malicieusement d'un clin d'oeil, puis lui fit signe de prendre immédiatement la porte. « Du balai, allez ! »

Quel conne !

Noël, c'est le 25 décembre !

Elle pensait vraiment qu'on allait lui lâcher cinq cent balles comme ça ?!

**

Luke Hemmings.

C'est les mains moites et la respiration légèrement saccadée, que me tenais sur le porche de Tara, hésitant pour la quinzième fois d'appuyer sur la sonnerie. Je pris pour la énième fois une profonde inspiration, que j'expirai, émit un petit pas à reculons et tournai en rond tel un petit chiot, qui essayait d'attraper sa queue, tout en sachant que cela est impossible.

Le stresse était en train de me ronger.

Je passai brièvement mes doigts contre ma nuque, me remémorant aussitôt les mots exacts qu'Ashton, Calum et Michael m'avaient confié quelques heures plus tôt, sur la façon de gérer son stresse. Pour eux ? C'était simple. Leur anti-stresse était d'imaginer une classe entière de femme en sous-vêtement, chose qui, d'après Calum, je devrais éviter de penser, étant donné la 'fragilité' de mes parties génitales.

D'après lui, tant que je n'ai pas encore franchi le cap, j'aurais énormément de mal à me contrôler.

N'importe qu..

« Hey ! » J'eus un hoquet de surprise au son de la voix de ma blonde vénitienne, manquant de cogner la poutre qui maintenait le toit du porche.

« J-je.. » Je m'agrippai immédiatement à ce dernier, pivotant sur moi-même pour lui faire face. « Hey ! » M'exclamai-je à mon tour, en la saluant timidement d'un geste de la main.

« Je viens tout juste de t'apercevoir à travers la fenêtre de mon salon et comme je ne t'ai pas vu sonner, je me suis dit qu'elle doit être sûrement en panne. » Elle poussa un petit rire cristallin, awn. « Moi qui pensais que tu m'avais posé un lapin ! » Je m'empourpre, secouant négativement la tête.

« Oh non, jamais ! » Jetai-je brusquement, la surprenant. « Enfin, j-je.. Oh, e-euh.. » Je passai nerveusement mes doigts dans mes cheveux et me mis alors à sonner à plusieurs reprises. « Ah bah non, ça marche très bien ! » Je continuai encore à sonner comme un fou, ne me rendant pas compte à quel point je pouvais être ridicule. « T-tu vois ? » Riais-je bêtement, gagnant un sourire chaleureux de sa part. « Ça ma.. »

« C'est qui ce con qui n'arrête pas de sonner ? » Je me congédie sur place quand j'entendis la voix éraillée de son père résonner à travers sa maison. « Tara va lui ouvrir et invite-le à l'intérieur que je lui apprends le respect à ce petit voyou ! »

Ah, Lucas !

Dans quel pétrin tu t'es encore mis ?

Mes joues s'enflamment quand je sentis la petite main chaude de Tara se poser au-dessus de la mienne, m'aidant ainsi à baisser minutieusement mon bras, qu'est resté tendu suite au dernier commentaire de son père. Je déglutis quand elle enlaça nos doigts, m'incitant à entrer dans sa demeure, chose que je ne voulais pas.

Mais, paralysé je n'eus pas d'autres choix que de la suivre.

« C'est rien papa, la sonnerie s'est juste coincée. Tu te souviens de Luke ? » Le vieil homme se tourna pour me faire face, arquant un sourcil.

« Oh, ouais ! » S'exclama-t-il après quelques secondes. « L'urinoir humain ! »

Est-ce que c'était censé être un surnom 'ça' ?

Je rougis fiévreusement de honte.

« Papa ! » La réprimanda immédiatement sa fille et il leva innocemment ces mains en l'air. « Ne fais pas attention à lui. » Me susurra-t-elle timidement, gênée par le comportement de son père. « Tu peux patienter une minute ? Je vais chercher ma veste. » J'acquiesçai d'un simple mouvement de la tête.

« J-je.. » Je tournai des talons, me dirigeant jusqu'à la sortie. « Je vais t'attendre deh.. »

« Pas si vite ! » Mes paupières s'entrouvrent en deux grosses soucoupes en voyant le père de Tara me faire signe du doigt de m'approcher jusqu'à lui. « Viens ici. »

Je déglutis la bille qui venait de se coinçait à ma gorge, essayant de supprimer les mille horribles scénarios que je venais de me faire à l'esprit. C'est paresseusement que j'emboitai le pas, me résignant malgré moi à lui obéir. J'émis un sursaut de surprise quand il entreprit d'entourer son bras autour de mon cou pour me coller à lui, un sourire colgate trônait fièrement le coin de ces lèvres.

Ce sourire présager rien de bon.

Sans le questionner, je le laissai m'entraîner dans une pièce situait près du salon, tremblotant à la vue de ces nombreux tableaux de chasse animaliers qui parsemaient fièrement les murs.

oh, doux Jésus !

J'avais oublié que la chasse était son passe-temps favori !

Un petit coin au fond de la pièce était réservé à ces souvenirs militaires. On pouvait voir ces médailles près des tableaux de chasse, sa tenue militaire fièrement exposée sur un mannequin, une armoire où étaient soigneusement rangés ces fusils et près de celle-ci un coffre dont on ne pouvait pas voir le contenu celle-ci étant fermé.

« Bienvenue dans mon monde, mon cher.. » Je grimaçai quand je sentis ces doigts se serraient autour de mon cou. « Urinoir huma.. Lu-Luke. » Se corrigea-t-il rapidement. « Tous ces animaux.. » Dit-il en les désignant fièrement de son index, en particulier un sanglier qui m'envoyait des frissons d'horreur. « Sont mes trophées. Et je ne te cache pas que si jamais tu fais du mal à mon bébé.. » Nous nous dirigeâmes jusqu'au coffre, qu'il ouvrit pour me dévoiler un bazooka, des grenades et un sabre digne d'un film de Kung fu. « Tu seras la prochaine tête qui servira de décor à ce.. » Il me désigna un espace vide sur le mur. « Mur, compris ? »

« Co-compris ! » Bégayai-je en agitant vivement mon visage de haut en bas.

« Papa, Luke ? Où vous êtes ?! » S'écria Tara à travers la maison.

« Dans ma salle de trophée, mon coeur ! »

Sa salle de trophée...

Awn, ce gars me foutait une peur bleue !

Il planta sévèrement son regard droit dans les miennes, traçant à l'aide de son index une ligne horizontale au niveau de sa gorge, afin de bien me faire comprendre qu'il ne plaisantait pas. Je déglutis difficilement, tandis qu'il esquissa un sourire angélique, quand sa fille nous rejoint dans sa salle de trophée, toujours aussi rayonnante et envoûtante.

Pourquoi ne pouvait-elle pas avoir un père 'normal' ?

**

Ashton, Michael et Calum, je vous DÉTESTE !

Je claquai bruyamment des dents, m'enfonçant aussi profondément que je le pouvais dans mon siège. Mes paupières se ferment automatiquement à chaque fois qu'une scène d'horreur se dérouler à mes yeux, priant pour que ce film dont j'ai oublié le nom, mais qu'Ashton m'a fortement conseillée d'aller voir avec Tara s'achève.

Un cri perçant s'extirpa d'entre mes lèvres en même temps que ma voisine, face à une nouvelle séquence d'horreur, où le personnage principal assista à une scène de meurtre commis par un fou furieux. Le fou furieux avait minutieusement pris soin d'attacher la meilleure amie de l'héroïne sur une table basse, de sorte à fermement la maintenir, pour ensuite découper un par un chacune de ces membres à la tronçonneuse.

« AH.. AHHHHHHHH ! »

Cette fois, toute la salle nous accompagna dans nos cris de cinglé.

J'ai bien cru faire une attaque lorsque Tara se jeta brutalement contre mon torse, afin de couvrir son visage des prochaines scènes de meurtres. Instinctivement, j'entourai mes bras autour de son cou, relevant sa longue chevelure blonde vénitienne en l'air, dont je me sers de 'bouclier' contre ces images d'horreurs.

Lorsque les scènes trash commencèrent à se calmer, je réalisai soudainement que depuis tous ce temps, Tara se trouver toujours dans mes bras.

Encore mieux !

Elle avait trouvé un certain confort contre mon torse et ne semblait plus vouloir se séparer de moi.

La respiration haletante, j'observai son minois s'abaisser, puis doucement se relever suite à mon rythme cardiaque. Je pinçai férocement ma lèvre, supprimant un sourire d'imbécile heureux et surtout un cri de joie qui menaçait de sortir à tous moment de ma poitrine. Voyant qu'elle ne bougeait toujours pas, j'entrepris de plonger timidement mes doigts dans ces doux et soyeux cheveux, que je caresse, jouant avec quelques mèches.

« Lu-Luke ? » M'interpella-t-elle dans une toute petite voix timidement.

« Mh ? » Elle leva son visage de mon torse pour me faire face.

« Tu pourras me dire quand les scènes d'horreurs se finissent ? »

Je ne pus m'empêcher de saisir la mèche rebelle qui s'était perdue en plein milieu de son visage entre mes doigts. C'est dans un sourire confiant et rassurant que je hochai simplement la tête à sa demande, replaçant correctement sa mèche à l'arrière de son oreille. Je retenais un nouveau cri de joie quand elle revint nicher son visage contre mon torse, expirant l'air inspiré quelques secondes plus tôt doucement et de la manière la plus détendue possible.

Oh. mon. dieu.

Je posai le bout de mon menton au sommet de son crâne, prenant le risque qu'une partie de mon nez se plonge dans sa chevelure, mais ça m'est égal. Elle sentait si bon la lavande. Instinctivement, je me remis à jouer nerveusement avec ces cheveux, laissant ainsi l'odeur de son shampoing agréablement m'asphyxier mes poumons.

J'aurais tant voulu que le temps s'arrête.

« Oh, et Luke ? » Murmura-t-elle faiblement de sorte à ce que moi seul entende.

« Mh ? » J'avais fait en sorte d'incliner mon visage en avant de sorte à ce que mon oreille se trouve face à sa bouche.

« Tu sembles être de moins en moins mal à l'aise à mes côtés. » Me fit-elle remarquer. « J'espère que ce n'est pas à cause de mon père ? Tu n'as pas à t'inquiéter, il ne te fera rien. Même s'il a une carrure imposante et qu'il a des manières très 'spéciales' de saluer mes amis, il n'est pas méchant, tu sais ? Il faut le comprendre, je suis tous qui lui re.. »

« C'e-C'est pas de sa faute, c'est juste que.. »

« Tu n'es pas à l'aise avec l'autrui, c'est ça ? » Je hochai doucement la tête et elle redressa son minois pour de nouveau me faire face, le regard interrogateur. « C'est pourtant pas l'image que tu, enfin toi et tes acolytes d'amis donnent en tout.. » Et il fallait absolument que je me sorte de cette impasse et vite.

« Tara tu peux de nouveau regarder l'écran ! » M'écriai-je spontanément en pointant l'écran du doigt.

En toute confiance, elle pivota sa tête pour se remettre dans le bain du film et ma seule erreur était d'en avoir fais de même à cet instant. Nous nous retrouvâmes donc avec la vue d'une scène d'un tueur en série, qui prenait un malin plaisir à rassembler tel des puzzles plusieurs corps, têtes et membres de personnes différentes dans une cave, après avoir pris un malin plaisir à torturer ces victimes.

Nos cris de peur s'accordent à l'unisson pour n'en faire plus qu'un.

« AHHHHH ! Je te déteste ! » Pleurnicha-t-elle en me tapant gentiment le torse, mais termina par éclater de rire. « Oh. bon. sang ! » S'exclama-t-elle entre deux rires. « J'ai bien cru que tu avais toi aussi eu peur ! » Elle secoua avec amusement sa tête. « Décidément, tu m'as bien eu ! » Elle plongea ces yeux verts droits dans les miennes. « Quel bel acteur tu fais ! » Je forçais un éclat de rire, jetant innocemment un regard sur le côté.

Ah bah oui, quel bel 'acteur' tu fais !

Se moqua malicieusement ma conscience en hésitant pas à me faire re-mémorer mentalement chaque scène, où je poussai des hurlements de fillette.

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Oui, Michael est un porc, mais quel homme (excepté Luke) ne l'est pas dans cette histoire ? D'ailleurs, vous en savez un peu plus des 'trafics' que les garçons mènent derrière Luke juste pour gagner un pari, oui.... 

En parlant de Luke.. Vous savez quoi ? Plus j'avance dans cette histoire, plus je pleurniche des patates en voyant son changement ! Pour toute les fans de la relation Tara/Luke (sorry pour celle qui les shippers déjà et qui n'ont pas eu de vento pour supporter la dernière scène) n'hésitez pas à proposer des noms de ship !

J'attends avec impatience vos réactions, so à vos claviers (ou sinon ça sera... AHA, je suis sûre que vous le savez déjà *sourire angélique*) :D
Des bisous ♥