[Lesson 20] Tu veux bien sortir avec moi ?
Calum Hood.
« Très beau travail, les gars. » Je pivotai la tête pour voir Ethan nous applaudir. « Jamais je n'aurais cru qu'Hemmings aurait un tant soit peu de sex-appeal. » Ajouta-t-il dans un petit rire en prenant place sur la table de pique-nique à mes côtés.
« Oh non, ne me dis pas que tu doutais de nous ? » Le questionna Michael faussement outré, en levant un sourcil.
« Mais pas du tout ! » S'écria-t-il en levant ces mains en l'air. « C'était plutôt de lui que je doutais, en fait. J'avais 'peur' qu'il devienne une sorte de monstre à la Quasimodo ou quelque chose du genre.. » Je roulai des yeux, pouffant.
« Crois-moi, si tu continues sur cette voie-là, c'est toi qui va devenir Quasimodo. »
Michael leva sa main en l'air dans un éclat de rire, m'invitant à la taper, chose que je ne tardais pas à faire dans la seconde qui suit. Mes rires se mêlèrent aux siens, alors qu'on gagna tous les deux de la part de Nez éclaté, son majeur.
« Il manque plus qu'une jolie poulette à ces crochets et le pari est gagnée. » Me vantai-je fièrement, en fronçant le bout de mon nez.
« Il est moins maladroit, bégaye moins, brise moins les cacahuètes des gens.. » Énuméra brièvement Michael. « Ça devrait faire l'affaire ! D'ici quelques semaines, il en baisera une même ! » Pouffa-t-il.
« Encore faut-il la trou.. » Ethan s'arrêta en milieu de phrase, pointant du doigt dieu ne sait qui. « Qu'est-ce que.. ? » Je déglutis, priant intérieurement qu'il ne s'agissait pas là de Hemmo et pivota lentement ma tête vers l'individu x.
Mon regard se posa sur une asperge à lunette et à la chevelure roux bouclée, qui devait mesurer une tête de plus que moi. Il portait une chemise à papillon blanc et vert, rentré dans son pantalon à costard auburn, qu'il avait pris soin de remontrer jusqu'au dessus de son nombril, avec des.. Des tongs mauves ?
Pas de doute c'était bien un pote à Hemmo celui-là !
Oh doux Jésus, qu'est-ce que c'est que cet accoutrement ?
Bon, au moins ce n'était pas Hemmo !
Je lâchai un soupir de soulagement en voyant que ce n'était que l'un des trois amis de Hem..
Attendez une minute !
QUE l'un des amis de Hem ?
« Qu'est-ce que tu veux ? » L'agressa Ethan en arquant un sourcil.
« J-je.. » Il tripota nerveusement ces doigts. « Je che-cherchais Lu-Luke et j-je pen-pensais qu-qu'il se-serait av-avec vo-vous... » Il marqua une courte pause, marchant lentement à reculons. « Ma-mais j-je vo-vous ai en-entendu et j-je va-vais to-tout lui.. »
« Tous sur lui ! » M'écriai-je en prenant même pas le temps de l'écouter.
Michael, Ethan et moi bondissons de la table de pique-nique et commencèrent une course-poursuite à travers l'établissement. Nous avons pris trois directions différentes pour avoir plus de chance de le rattraper et heureusement pour nous, ce n'était pas du tout un sportif. Ces pas s'étaient rapidement ralentis après cinq minutes.
Au final, on s'était tous les trois rejoins dans les couloirs du lycée, tombant nez à nez face à un rouquin épuisé, adossé contre la porte des toilettes des hommes. Étant le plus près des trois, je marchai à pas de loup jusqu'à lui, le prenant par le col et le souleva du sol.
« Comment on se retrouve ! » M'écriai-je faussement enjoué.
Il poussa un cri de fillette, agitant ces bras et ces jambes dans tous les sens, mais je l'ignorai complètement. Je cognai violemment son dos contre la porte pour l'ouvrir, lui faisant au passage perdre sa paire de tong. Ethan fit le guet, pendant que Mike et moi l'entraînons dans la cabine la plus sale des toilettes.
En réalité, ils l'étaient tous, mais il y en avait toujours forcément un plus sale que l'autre.
« J-je.. Je comprends maintenant pourquoi il a autant changé, c'est de votre fau.. » Je forçai le rouquin à s'agenouiller sur le carrelage, la tête face à la cuvette.
« Et bla, bla, bla. » Soupirai-je en plongeant sa tête la première à l'intérieur, Michael se chargea de tirer sur la chasse d'eau. « Sortez les mouchoirs, il va me faire pleurer. T'es encore plus ennuyant que ton pote. » Je sortis sa tête des cuvettes.
« Et dieu merci, il commence à changer ! » Pouffa Mike en tirant sur la chaîne métallique.
« Écoute-moi et bien. » Je plaçai mon visage à son niveau, le regard droit dans les yeux. « Tu ne vas rien dire à Hemmo, premièrement.. » Je lui montrai mon pouce. « Je ferais en sorte de faire de ta vie un enfer et crois-moi, je ne mâche pas mes mots comme dans ces films ou série à l'eau de rose quand je dis ça. Deuxièmement.. » Je lui montrai mon index. « Si tu ne veux pas que tes amis, ta famille ou pire encore ! L'Académie sait que depuis toujours tu triches à chaque examen et donc qu'en réalité t'es encore plus bête qu'Ethan.. »
« Hé ! » Protesta aussitôt ce dernier, faisant pouffer Michael et moi.
« Cal a raison, ta rien à foutre en cours ! » Me défendit Michael en secouant la tête.
Le rouquin déglutit à mes mots et plusieurs flots de larmes avaient déjà commencé à rouler le long de ces joues. Je roulai des yeux à cette horrible vision, plongeant sa tête derechef dans les cuvettes, où Michael n'hésita pas à tirer une fois encore la chasse.
« Et troisièmement.. » Je sortis sa tête des cuvettes, soupirant. « Désormais, à chaque fois que tu croiseras le chemin de Hemmo, tu l'éviteras. Toi et tes amis l'éviteras. En échange, je te garantis la paix jusqu'à la fin de ta misérable vie de tricheur au lycée. » Précisai-je en le relâchant pour me redresser sur mes jambes. « Oh et bien sûr, tous qui se passe dans ces toilettes, dont cette conversation, restera dans ces toilettes. » Je le poussai à l'aide de mon pied pendant qu'il halète fortement pour reprendre sa respiration. « Me suis-je bien fait comprendre ? »
« O-oui.. » Marmonna-t-il faiblement et je le poussai de nouveau.
« Je répète : me suis-je bien fait comprendre ? »
« Ou.. Oui, monsieur Hood, Clifford et Nelson ! » Dit-il tremblotant.
« Et bien, voilà ! » Je poussai un petit rire. « Tirons-nous, maintenant. »
Nous étions presque arrivé à nos fins.
Et ce crétin n'allait certainement pas tous gâcher.
**
Luke Hemmings.
« ... N'oubliez pas que pour calculer le chiffre d'affaires, il faut toujours garder en tête que.. »
« Pssst, blondie ! »
J'attendis que mon professeur nous tourne le dos pour faire face au tableau pour me tourner. Mes orbes azurés tombèrent sur une paire de yeux noisette, encadrée par une paire de lunettes. Une chevelure de couleur auburn à la coupe carrée, un maquillage simple, avec un trait de crayon qui mettait distinctement ces iris en valeur et aux lèvres teintaient d'un rouge à lèvre couleur mandarine.
Je grimaçai, lorsqu'elle sourit de toutes ces dents, démontrant un appareil dentaire, où il était encore possible de percevoir son déjeuner de ce matin coincé entre. Un frisson désagréable avait même traversé mon échine, m'incitant à éviter le plus possible contact avec son visage.
Décidément, je détestais la saleté.
« C'est pour toi. » Je saisis la petite feuille de papier qu'elle m'avait tendu, puis me positionna correctement sur mon bureau.
Je calais mon dos contre le dossier de ma chaise, glissant mes mains sous mon bureau. Je dépliai aussi discrètement que possible la feuille de papier, reconnaissant sans même lire le contenu qu'il s'agissait là de l'écriture de Lewis. Pour être honnête, j'étais soulagé qu'il m'ait envoyé un petit mot. Je pensais qu'après l'épisode de ce matin, les garçons ne voulaient plus avoir à faire avec moi.
'Il faut qu'on parle... - Lewis.'
On m'a toujours que les trois petits points de suspension c'étaient mauvais signe. Peut-être que je me trompais ? Et que je me faisais des idées ? On m'a toujours que les trois petits points de suspension, c'étaient mauvais signe. Une fois que mes yeux bleus le repérèrent, le regard de Lewis ne tarda pas à croiser le mien, attendant une quelconque réaction de ma part.
Je hochai mon visage de haut en bas pour confirmer son 'invitation' et c'est en langage des signes, que Lewis m'indiqua de le rejoindre à l'heure du déjeuner à la bibliothèque.
- à l'écoute - Beast - Drive
L'heure du déjeuner.
En grand fanatique des musiques coréennes, je n'ai pas hésité à écouter le nouveau titre des Beast, à la vue d'une nouvelle notification qui s'était affiché sur l'écran de mon cellulaire. C'est donc dans le rythme de 'Drive' que j'emboîtai joyeusement le pas jusqu'à la bibliothèque. Je ne fus pas étonné lorsque je la trouvais déserte, m'installant à notre table habituelle où Lewis, George, Ken et moi, avons l'habitude de faire nos exposés, des recherches documentaires ou tout simplement nos devoirs.
Cinq minutes passèrent, puis quinze.
Je commençai clairement à m'inquiéter.
Ces garçons n'avaient pas l'habitude d'être en retard.
Ils avaient toujours l'habitude de prévenir lorsqu'ils avaient un imprévu.
Peut-être ils t'ont oublié ?
Me souffla diaboliquement ma conscience.
Je secouai mon visage de gauche à droite, passant vivement mes mains sur mon visage, refusant de lui donner raison. George, Ken et Lewis n'étaient pas comme ça, non. Je refusai d'y croire. Je pris une profonde inspiration, jetant un bref coup d'oeil sur l'écran de mon téléphone qui m'indiqua qu'il était désormais midi quarante-cinq. J'expirai lentement, calant mon cou au bord du dossier de ma chaise, fixant le plafond.
Driiiiiiiing !
Je déglutis difficilement lorsque la sonnerie qui annonçait la reprise des cours venait de retentir, réalisant que j'avais passé toute mon heure de déjeuner dans cette bibliothèque vide, sans manger de peur de les louper, à attendre trois personnes que je considérai comme des frères. Je luttai bec et ongle contre la montée de larmes qui menaçait de couler à tout moment, mordant aussi violemment que possible ma lèvre.
C'est paresseusement que j'entrepris de me levai, puis de me dirigeai jusqu'à la sortie, ignorant les grognements de mon ventre. Mes pas se stoppèrent brusquement, quand je croisai au loin dans les couloirs, trois paires de yeux de mes soit disant 'frères' qui me mena clairement à la conclusion que..
Oui, effectivement ils m'avaient oublié.
Peut-être qu'il était temps pour moi que j'en fasse également de même ?
**
Ding, ding, dong !
Ding, ding, dong !
« T'es.. T'es sûr de vouloir faire ça ? » Demandai-je d'une voix tremblante à Ashton, qui n'hésita pas à secouer négativement la tête.
« Nope, pas du tout. » Je me congédie instantanément à ces mots, les yeux grands ouverts.
« Q-QUOI ? » Hurlai-je horrifié. « C'est une blague, j'espère ?! »
La 'brillante' idée d'Ashton d'aborder Tara était simple.
Lui vendre une de nos tablettes de chocolat.
Par chance, il nous restait encore dix tablettes à vendre.
Avec le charme d'Ashton, nos cartons ce sont vendus comme des petits pains au centre commercial. Il est vrai qu'on devait faire du porte-à-porte, mais Ashton étant 'fatigué' de se déplacer de maison en maison. L'idée du centre commerciale lui ai venu, lorsque je ai fait sarcastiquement la remarque qu'un potentiel client ne viendra jamais vers lui comme par magie. Ce qui était le cas là-bas, étant donner qu'on avait juste à ouvrir un stand vers l'endroit le plus fréquenter et aborder les passants.
C'est donc après les cours, que nous nous sommes rendus chez Tara, avec le faible espoir que son père ne sera pas présent.
Ding, ding, dong !
Ding, ding, dong !
« Arrête ! » Le réprimandai-je en saisissant son poignet pour l'éloigner de la sonnerie. « Tu vas finir par énerver son père ! »
« Ho, ho.. » Se moqua Ashton en pivotant sa tête. « Ta peur qu'il te flingue, hein ? » Je roulai des yeux, relâchant son poignet. « De toute manière, il le fera un jour ou l'autre.. » Il haussa innocemment ces épaules, sifflotant. « Après tout ? C'est toi qui vas courtiser sa fille, pas moi. »
Il profita de mon manque d'attention pour s'acharner à dix reprises sur la sonnerie, avant de bondir dans un des buissons pour se cacher.
Je me rendis compte bien trop tard, des mouvements de pas se diriger tout droit jusqu'à la porte d'entrée. C'est en maudissant au plus profond de mon être Ashton, que je me retrouvai tel un sombre idiot en plein milieu du patio, avec mon carton à chocolat dans les mains, la tête pivotant de tous les côtés tel un hélicoptère, cherchant à mon tour une cachette.
Je ne pus m'empêcher de marmonner un juron quand la porte finit par s'entrouvrir, déglutissant.
« C'est pour quoi ? » Je me figeai à l'entente d'un timbre de voix rauque que je connaissais parfaitement bien.
« Z'es.. Z'est une ve-vente de za-zablette de zo-zoocolat... » Et voilà que je me mets à zozoter maintenant.
« Hein ? Pourriez-vous vous retourner et vous mettre face à moi ? Vous savez, jeune homme ? C'est impoli de rester dos à son interlocuteur lors d'une discussion. »
J'ignorai le pourquoi du comment, mais je ne pus m'empêcher de me jouer mentalement le refrain de 'Happy ending' de Mika....
'This is the way you left me,
I'm not pretending.
No hope, no love, no glory.
No Happy Ending.'
Je me tournai lentement, tremblant comme jamais, pour faire face au grand gaillard, qui maintenait entre ces doigts une hache. Je poussai malgré moi un hoquet de surprise, lorsque je pris soin de regarder un peu plus attentivement sur son instrument, où la lame était noyée dans un bain de sang. Je relevai la tête pour faire correctement face à mon interlocuteur, qui fronça les sourcils, avant de me pointer du doigt.
« Ne me dis pas que.. » Son regard tomba sur sa hache et il éclata de rire. « Ah, tu veux être le prochain sur ma liste, c'est ça ? » Mes yeux s'entrouvrent et ma tête s'agite de tous les côtés pour lui faire comprendre que je voulais rester en vie. « Ne t'en fais pas, il suffit que je te coupe.. » Il se mit à agiter sa hache dans les airs. « Dans les bons endroits, là où il faut et tu peux être sûr que.. »
« PAPA ! » Lui gronda sévèrement sa fille en se plaçant à ces côtés. « Arrête de faire peur à tous mes amis qui se présentent à la porte ! » Elle roula des yeux et le poussa dans la maison pour qu'il 'disparaisse'.
« Aw, mais on ne peut même plus s'amuser ! » Il fit la moue. « Et celui qu'est derrière le buisson c'est ton ami aussi ? » S'enquit-il désespérément en pointant sa hache vers les buissons.
« Aussi, oui. »
Ils ne nous a même pas reconnus.
Je mordais l'intérieur de ma joue pour ne pas éclater de rire, lorsqu'Ashton sortit de sa cachette pour se placer à mes côtés. C'est lorsque la petite famille qui se trouver face à nous, ne nous prêtaient plus vraiment attention, qu'il me gratifia de son majeur.
Lui qui pensait échapper au vieux fou, c'est mort !
Mon regard se porta sur ma belle blonde vénitienne, qui susurra quelques mots contre l'oreille de son père pour le chasser une bonne fois pour toute à l'intérieur. Une fois partie, Tara vint se placer à l'encadrement de la porte, les bras fermement croisés contre sa poitrine. Ces yeux verts plongèrent le temps de quelques instants dans ceux d'Ashton, avant de dévier sur moi. Celle-ci n'hésita pas à m'examiner de la tête au pied, je pouvais clairement percevoir un froncement de curiosité animer ces sublimes traits faciaux.
« Tu.. » Tara marqua une courte pause, plongeant ces pupilles émeraude dans mes profondes prunelles océan. « Quelque chose a changé en toi, mais.. » Elle replaça correctement une mèche rebelle à l'arrière de son oreille. « Quoi ? Je n'arrive pas à mettre la main dessus. » Je ris légèrement, passant distraitement mes doigts contre ma nuque.
« J-je.. J'espère que c'est en bien ? »
« Oui.. » Elle acquiesça d'un mouvement de la tête. « C'est en bien. »
Silence.
J'étais complètement pétrifié qu'on pourrait me confondre avec une statue.
Aucun de nous ne disait rien, on se contenta de nous regarder dans le blanc des yeux. Si les deux raclements de gorges d'Ashton - auquel j'avais involontairement complètement oublié l'existence - ne nous avaient pas expulsés de nos songes, je crois bien qu'on serait resté là, sans un mot, à attendre patiemment que l'un de nous deux brises la glace.
« Navré d'interrompre ce silence solennel, mais... » Ashton me saisit par le col et me poussa face à Tara. « J'ai d'autres choses à faire que vous observer vous regarder dans le blanc des yeux, MOI. » Il m'encourage d'une grande tape au dos, me faisant par la même occasion sursauter de surprise. « Si tu lui demande pas, je vais te foutre la plus grosse gifle de ta vie. » Me promit-il dans un murmure au creux de l'oreille.
« J-je.. J-je.. J-je.... » Je jouai nerveusement avec mes doigts. « S-sortir. Man-manger. Cannelle. Pissenlit.. Tr-très jo-jolie dans ton ja-jardin. V-voir. Ci-cinéma.. » Tara battis doucement des cils, essayant de déchiffrer ma 'langue'. « Tortue Nin.. Laitue. E-euh.. J-je v-veux di-dire Ninja. Week.. Week-end ? » Je camouflai un cri de douleur en mordant l'intérieur de ma joue, quand Ashton n'hésita pas à exécuter sa promesse, en m'adressant - effectivement - la plus grosse gifle de ma vie. « Tu veux bien sortir avec moi ? » Jetai-je brusquement sous la pression de ce dernier.
Oh. doux. seigneur. intergalactique.
J'y suis arrivé, ça y est !
Mais..
Et si jamais elle refusait ou pire se met à me rire au nez ?
________________
*pleurniche en voyant son bébé Hemmo grandir* :') Comment trouvez-vous son évolution ?
Que pensez-vous de ces 'anciens' amis ?
Que pensez-vous surtout de Calum ? :p
D'ailleurs : *petit clin d'oeil au fan de Kpop* n'hésitez pas à écouter le groupe dans le média pour celle qui ne connaissent pas !
Tara sur le côté =>
Passez une bonne semaine et - ahem - no comment pour ceux qui font le pont demain, ok ?
MOI, je suis une guerrière, je vais en cours dema... Ok, ma gueule. J'y suis obligé parce que cette école de cjasoxkapxkpaxlpaxlap le font pas, voilà, voilà. *pleure*
Des bisous ♥
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