Chapitre 14: A Choice. (Un choix)
Pendant ce temps-là, Valérian était avec ces amis et ne se préoccupait pas des autres étudiants. Il s'amusait et regardait, de temps en temps, l'extérieur comme à Anastasia. Il sourit en repensant à la jeune fille, elle sentait bon, il adorait son odeur de fraise qui se dégageait de son corps corporel, un parfum naturel, l adorait l'observer et prendre soin d'elle bien qu'il ne la connût que depuis cette année. Pour lui, on peut vite s'accrocher à une personne en particulière, sans la connaitre vraiment et comme dirait un philosophe, pour détester une personne, il faut d'abord la connaître. On ne peut se fier à l'apparence et à la première impression.
Anastasia l'avait changé à sa manière. Il n'était plus vraiment le Valérian qu'il était auparavant : égoïste, irresponsable et insociable. La preuve, il était en répétition avec ses amis, il était plus ouvert aux discussions et restait plus souvent avec eux. Il avait même oublié et accepté ses événements passés qu'il avait eu dû mal en s'en racheter.
Ils travaillaient tous sur une nouvelle chanson et sur un nouvel album pour leurs 10 ans d'anniversaire. Les fans allaient adorer! Il soupira et frissonna en sentant l'air frais s'assombrir et entrer froidement dans la salle de répétition où il pouvait entendre la guitare de Damien et de Adrien jouer encore le meilleur moment de leur chanson « Call Me By My Name ». Il pensa à Anastasia, sourit tandis qu'il entendait le piano jouer et où il devait commencer à chanter après quelques minutes de silence, sa voix ne sortait pas. Il ne chantait pas comme il devait le faire, les autres jouaient tous ensemble leurs instruments dans un charme émouvant et magique tout en regardant impatiemment que Valérian sortait sa voix, en vain. Ils s'arrêtèrent tous en même temps lorsqu'ils n'entendirent pas la voix de Valérian s'intensifier comme il en avait l'habitude pour combler le vide qui manquait dans la magie des instruments : «
— Valérian ? Appela Fabian, inquiet.
— ...
— Valérian ? Rappela Fabian.
— Je...je reviens. Bégaya Valérian. »
Il laissa tomber son micro dans un bruit assourdissant et les autres bouchèrent leurs oreilles afin de ne pas entendre le cri strident du micro qui rencontra le sol. C'est Adrien qui le prit afin de le déposer sur son socle comme pour arrêter le bruit assourdissant qui leur brisait les tympans et les autres se débouchèrent les oreilles en soupirant de soulagement : «
— Quelqu'un sait ce qu'il se passe avec Valérian ? Il est étrange ces derniers temps. Fit remarquer, Shawn.
— Je pense que... je pense qu'il est amoureux. Déclara Adrien, intrigué.
— Amoureux ? Lui ? Il ne sait même pas ce que ça veut dire tellement qu'il est idiot et irresponsable !! S'exclama Fabian en riant.
— Fabian. Le repris Damien.
— Désolé... S'excusa ce dernier. »
Damien soupira : «
— Il a peut-être oublier quelque chose. Dit Damien.
— Tu crois ? Il n'oublie rien, sauf peut-être les répétitions. Notre fashionista est en manque d'affection, j'imagine. Dit Fabian.
— Fabian, arrête de dire n'importe quoi. Le réprimanda Damien.
— Oh ça va, si on n'a pas droit à l'humour ici, je ne vois pas pourquoi on s'inquiéterait de lui alors ! Déclara Fabian.
— Fabian. Le réprimanda, à nouveau, Damien. »
Fabian souffla d'exaspération, fatigué d'être repris par son aîné, il déposa sa basse et se dirigea vers la porte de la salle de musique : «
— Tu vas où ? Demanda Damien. On n'a pas fini ! Renchérit-il.
— Je ne vois pas pourquoi je resterais ici et continuer si Valérian n'est pas là ! De plus, j'en ai marre que tu me reprennes pour ce que je dis, tu ne le faisais pas avec Valérian et puis, je vais juste à la salle de bain, à moins que tu ne veuilles m'accompagner et voir comment ça se passe ?! Répond Fabian, outré et vexé.
— FABIAN !!! S'écria Damien rouge aux joues, en colère et gênée par ces propos.
— À plus tard ! Dit Fabian en rigolant avec les autres, sauf le concerné.
— Il n'y a personne qui me respecte ici ou quoi ? Je suis le leader ! S'exclama Damien, furieux. »
Un silence lui répondit tandis que la porte de la pièce résonna après qu'elle fut fermé à la suite de Fabian. Damien serra les poings et essaya d'évacuer sa colère. Tout le monde faisait tout et n'importe quoi ici, rien était sérieux : «
— Oh calme-toi Damien, il rigolait ! Et puis, j'ai l'impression que tu prends ton rôle de leader trop au sérieux. Dit Adrien.
— ...Je... je le sais, c'est juste que je suis inquiet. Dit Damien.
— Hum...Tu as peur c'est ça ? Demanda Shawn, tout aussi inquiet.
— Hum... la prophétie... on a déjà échoué la première fois, je ne veux pas que ça recommence. Dit Damien.
— Ne t'inquiète pas. On était débutant, on ne pouvait pas savoir. Personne nous l'avait dit. On ne pouvait rien faire. On a perdu un membre, mais on est toujours là, nous. Il faut se reprendre et mieux faire, cette fois. Dit Adrien.
— Je le sais et je vous en remercie... Je ne sais pas ce que je serais devenu sans vous les gars. Dit sincèrement Damien. »
Damien fit un rictus et se décoiffa les cheveux face à ses souvenirs tristes qui renaissaient dans son esprit : «
— Tu ne serais pas ici, ça c'est sûr. Tu serais perdu dans un trou médiocre et malfamé. Dit Adrien sur un ton amusé.
— Hey, je ne t'autorise pas à dire ça, je ne contrôlait rien. Se défendit Damien.
— Je plaisantais. Dit Adrien.
— Mais... mais c'est sûrement ce qui serait arrivé, si vous ne m'aviez pas sauvé. Dit Damien.
— ... »
Shawn soupira et regarda l'extérieur, le cœur tambourinant dans sa cache thoracique. Il sentit une larme couler le long de ses joues tout en déglutissant et il sentit des bras l'encercler : «
— Ne pleure pas, Shawn. C'est du passé maintenant. Dit Damien.
— Oui... mais j'aurais pu le sauver plutôt. Si je... si je n'étais pas coincé dans ces débris et que je pouvais contrôler mon pouvoir comme je le pouvais, j'aurais pu le sauver et il serait avec nous. J'aurais pu être plus fort. Dit Shawn en sanglotant et son corps parcourut de soubresaut.
— ... Shawn... ne te blâme pas pour ça. Tu n'y es pour rien, ce n'est pas ta faute et on est tous pour quelque chose... On aurait dû le savoir et arriver plus tôt. Dit Adrien.
— ... »
Damien et Adrien essayèrent de calmer leur petit protéger avec peine. Tous repensaient à ce jour triste et tragique. Ce jour où ils avaient tous perdus une part d'amitié. Ce jour où ils avaient perdu un être cher. Ce jour où ils avaient perdu une âme sur laquelle ils pouvaient tous compter. Ce jour où le mal dominait la lumière plus que tout.
Flash -back :
Par une nuit les plus sombres, la pluie s'abattait sur la capitale de la Corée du Sud, les lumières s'éteignaient une après les autres comme si une panne de courant avait pris en charge la ville. Il faisait tard, très sombre, le ciel était bleuté sans étoile, c'était inhabituel qu'on peut le dédier grâce aux nombreuses nuits que les habitants n'avaient pas pu observer leurs astres puisque le ciel s'était éteint ces derniers temps. Un ciel qui les éclairait depuis de nombreuses années.
Des bruits de pas tombant sur les flaques d'eau dans la ruelle s'entendait à travers les hurlements de loup, la lune était haut dans le ciel exposant un croissant de lune et les nuages cachaient énormément le tapis de noirceur au côté de la lune hélas n'éclairant plus cette nuit-là. La respiration du jeune homme à la chevelure noire s'accélérait, son sang dans son corps lui tapait les tempes, il transpirait, ses yeux marrons clignotaient d'épuisement.
Sa chevelure noire était trempée par la pluie et par sa sueur. Il avait une lèvre en sang, un œil au beurre noir, un bras cassé, des côtes cassées, une respiration hachée, un cœur qui battait à cent kilomètre à l'heure. Ses chaussures étaient mouillées, trempant ses chaussettes blanches trouées par l'usure, mouillant le pan de son pantalon marron également troué et il avait une main qui se tenait le ventre.
Une mare de sang y reposait. Sa main droite en était remplie. Ses bras en était aussi recouvert. Son front laissait une traîné de sang recouvrir son visage pâle comme la neige. On dirait même qu'on pouvait l'apercevoir comme s'il était passé sous une machine à torture des temps anciens tellement qu'il était blessé à la mort. Il avait du mal à respirer et il pouvait tomber à tout moment puisqu'il chancelait : «
— BASTIAN !!! Cria une voix. »
Il s'arrêta net et il se retourna de tous les côtés, essayant de chercher le point d'origine de la voix : «
— BASTIAN !!! Cria la même voix plus fort. »
On l'appelait. On le cherchait. Il voulut crier, dire aux autres où il était, dire à ses amis qu'il allait bien, bien que ce fût faux puisqu'il était blessé mais sa gorge ne voulait rien savoir. Sa gorge lui faisait mal. Son gosier était en feu. Sa gorge serrait sa poitrine. Il avait mal. Terriblement mal. Il secoua la tête et sentit un vertige le prendre. Damien... Damien pouvait le sauver. Il le pouvait.
« Bon sang, où es-tu Damien !!! » Pensa-t-il.
Il avait terriblement besoin de lui, enfin surtout de son pouvoir de guérisseur ! Il était égoïste de penser qu'à ça de son ami, mais c'était la vérité. Pour qu'il reste en vie, il n'avait pas le choix de penser comme ça. C'était son instinct de survie qui agissait. Son sang se glaça lorsqu'il entendit un cri perçant la nuit, il frissonna à cause du froid et de ses graves blessures. Il regarda devant lui et écarquilla les yeux. Devant lui, il se tenait là. Le sourire aux lèvres. Malveillant. Sombre. La forme noire était là. Pour lui.
Bastian le regarda, il recula et se remit à courir. Il n'arrivait plus à utiliser ses pouvoirs. Bastian était trop faible. Trop faible. Il avait trop mal. Il grimaça et se cacha dans la meilleure cachette qu'il pouvait trouver dans ses conditions insidieuses, tandis que la pluie s'abattait toujours sur soi. Il se cacha dans un coin d'une industrie de papeterie abandonné et Bastian s'accota contre le mur froid de l'usine. Bastian essaya de reprendre une respiration plus claire et plus régulière. En vain. Le jeune homme grimaça. Bastian détacha sa main sur son ventre et ferma les yeux d'horreur. Il saignait encore plus. Bastian allait mourir. Sans pouvoir dire au revoir à ses amis. Il allait mourir. Seul, froid et dans un endroit abandonné. C'était la belle mort qu'il pouvait avoir ! Bastian ria amer. Le jeune homme se surprit à entendre son rire âcre.
Il tremblota encore. Bastian essaya de se relever, mais il retomba sur ses fesses. Il n'aurait pas dû s'asseoir, car il ne pouvait plus se lever. Et s'il allait arriver ? Il le tuerait si facilement. Il souffla, il était coincé. Non, il ne devait pas penser à ça. Les autres allaient arriver à temps. C'était évident ! Ils étaient toujours arrivés à temps dans leurs missions, alors pourquoi pas ce soir ? Il n'aurait pas dû aller à cette invitation! Il savait très bien que c'était un piège mais bien comme à l'accoutume, personne ne l'avait cru et il s'était tut par la suite, ne vouant gâcher l'humeur cuisant de chacun de ses amis suites à la lecture de cette maudite lettre. Tous étaient penché vers leur fashionista (Valérian). Bastian souffla. Il se tendit lorsqu'il entendit des bruits de pas. Il releva la tête lentement. Il était là. Devant lui, encore. Sa main tendue vers lui. Il souffla. Il regarda autour de lui. Ils n'étaient pas là : «
— C'était toi que je voulais. C'est pour toi que je suis venu. Toi... toi...seulement, toi. Déclara la voix de la forme noire.
— ...grhpf... grogna de douleur Bastian. »
Il souffla. Il ne pouvait pas se lever. Le goût du sang rempli sa bouche d'une odeur amère. Ses blessures graves lui faisaient un mal de chien. Il n'arrivait plus à bouger d'un pouce : «
— Je suis venu pour toi. Répéta la voix. »
Il essayait de se replacer contre le mur avec difficulté. Bastian ne comprenait pas. Non, il ne voulait pas comprendre. Qu'avait-il fait de si mal pour mériter ce châtiment? Il ne savait pas. Il avait à chaque fois suivi les ordres du conseil. Pourquoi cela changerait ? Pourquoi il était venu ? Devant lui, ce trouvait l'ange déchu, corrompu par ses projets sombres qui ressemblaient à ceux d'Hadès et il avait été banni de son territoire par Zeus : «
— BASTIAN !!! Cria une voix bien jeune et qui n'avait pas, encore, mûrit par la puberté. »
Il écarquilla les yeux. Non... L'ange déchu se tourna vers le plus jeune du groupe.
« Shawn ». Pensa Bastian.
— LAISSEZ-LE TRANQUILLE ! Cria Shawn.
Shawn était arrivée à temps. Shawn allait sauver Bastian. Il se l'était promis. Il n'avait pas écouté son plus vieux, mais à partir de maintenant s'ils s'en sortaient tous, il allait l'écouter. Il allait être plus sage, plus mature à l'avenir. Shawn regarda autour de lui. Étant encore apte à utiliser ses pouvoirs. Oui. Il allait le faire. Il sourit en voyant l'objet de sa convoitise et tendit ses mains vers cette source d'énergie. Il se concentra rapidement, faisant le vide avec rapidité dans son esprit et Shawn fit léviter l'objet en béton pour le faire fracasser contre la forme noire. Un bruit sourd s'éleva dans l'usine. Shawn se mit un genou à terre : «
— J'ai réussi? Se demanda-t-il en souriant, bien que de partiels doutes s'incrustaient dans son esprit. »
Il regarda Bastian, accoté contre le mur et mal en point. Il se releva, après avoir repris une respiration plus calme et se dirigea lentement vers Bastian. Cependant, il écarquilla les yeux tandis qu'il pouvait entendre à peine la voix de Bastian l'appeler avant que son corps se fracassait contre un des murs épais et froid de l'usine abandonné. Il cria et s'écroula sous les débris qui tombèrent sur son corps : «
— SALE MONSTRE !! Cria une autre voix qui venait d'arriver.
— Shawn! Cria une troisième voix en même temps. »
C'était Fabian et Adrien. Fabian accourra vers Shawn qui était sous les débris, mal en point, Adrien faisait face à l'ange noir : «
— Qui es-tu ? Qu'est-ce que vous voulez de nous, hein ?! Laissez-nous tranquille! On n'a jamais rien fait de mal! S'exclama Adrien sous la peur.
— Shawn. Shawn. Shawn. Appela Fabian en sanglotant et en enlevant les débris qui recouvrait le corps inerte du plus jeune. »
Bastian regardait la scène avec tristesse et colère. Il voyait bien qu'Adrien avait du mal à maintenir ses pouvoirs. L'air changeait. Il devenait plus violent. Le vent devenait fort, violent et haché. Bastian grimaçait. Le vent qu'Adrien pouvait dégager lui faisait mal, il touchait ses blessures. Pendant qu'Adrien invoquait sa magie, il pouvait voir Fabian s'allonger sur le corps inerte de Shawn. Il le voyait pleurer, il l'entendit crier, un cri qui déchirait les entrailles, un hurlement qui faisait mal à entendre.
Il l'entendit appeler Shawn qui ne bougeait toujours pas. Était-il mort ? Pourquoi il ne bougeait plus ? Adrien se posait toute sorte de question et ne vit pas la forme noire lui envoyer un sortilège. Il cria lorsqu'il reçut cet enchantement, sa magie s'arrêta d'un coup, il mit un genou à terre, Adrien entendit des pas venir vers eux et tout d'un coup : il cria. Sa magie s'évapora de son corps, broyant l'air, des jets lumineux s'émanaient de son corps et éloignait quiconque osait s'approcher de lui. Il se créa une barrière. Il releva la tête, le vent lui faisait virevolter ses cheveux bruns et ses yeux normalement plein de vive, était devenu blanc. Plus aucune pupille y était, plus aucun sentiment y était inscrit et Adrien ne voyait plus rien. Juste du blanc : «
— ADRIEN ! Cria Damien en arrivant. »
Adrien avait perdu tout contrôle de ses pouvoirs. Il ne gérait plus rien. La seule chose qu'il pouvait bien faire, c'était d'hurler. Son pouvoir qu'il ne contrôlait pas encore tout à fait jusqu'à son paroxysme.
« Enfin... qu'as-tu fais pendant tout ce temps, Damien? » Pensa Bastian qui mourrait à petit feu.
Bastian pouvait voir Damien s'approcher d'Adrien et l'encercler de ses bras. Il l'entendait parler pour calmer Adrien. Il le voyait utiliser sa magie pour le guérir. Le vent s'arrêta. Tout s'arrêta. Il voyait Damien une dernière fois qui le regardait, il choisissait entre lui et Shawn. Bastian lui sourit et hocha la tête une dernière fois, laissant un fin sourire triste naître sur son visage pâle. Damien alla soigner Shawn avec tristesse.
Fin du Flash-Back.
Bastian était mort. Par sa faute, Bastian était mort alors qu'il aurait pu le sauver cette fois-là. Damien était assis contre un muret de l'université Yonsei après avoir quitté la salle de musique puisque la répétition s'était fini plus tôt que d'habitude. Il regardait le ciel qui se transformait pour laisser place à la noirceur. Il souffla. La nuit commençait à s'installer. Comment allait-il annoncer aux autres que s'était lui, le responsable de la mort de Bastian ? Qu'il se culpabilisait jusqu'à détester son pouvoir ?! Comment allait-il dire ça à Shawn alors que ce dernier se blâmait la mort de Bastian sur ses épaules quand c'était lui le responsable ?! Comment allait-t-il faire ça ? Comment ? Damien soupira. Il détestait son pouvoir. Oui, il le détestait. S'il ne l'avait pas eu, il n'aurait pas eu à choisir entre Shawn et Damien. Il détestait ça. Choisir. Grâce à son pouvoir de guérison, tout le groupe comptait sur lui si une situation grave survenait et ils croiraient tous en lui, ils pensaient tous qu'il pourrait guérir tout le monde, mais voilà, ils avaient tous tort. Il ne pouvait guérir personne. Il ne l'avait même pas fait pour Bastian. Il n'avait pas su guérir Bastian sous les supplices de Shawn, une fois réveillé, et de Fabian. Il était un monstre.
***
Gosier : Vient du mot latin «geusiase». C'est une partie intérieure du cou, là où siège de la voix, prolongement du pharynx communicant avec le larynx.
Âcre : Quelque chose de très douloureux. Synonyme d'amer.
Paroxysme : Atteindre le plus haut degré d'une sensation.
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