Je pénétrais au centre d'un immense hall éclairé où quelques personnes s'activait. Toutes s'arrêtèrent à mon arrivait et une jeune femme brune et élancée s'approcha de moi.
- Tu es Samira ? Demanda-t-elle.
- Oui, souffle-ai-je.
- Enchanté, je suis Céline. Viens, je vais te montrer là où tu vas dormir.
Je l'a suivi laissant à regret Ethan derrière moi.
Elle monta de larges escalier en bois qui menait à un étage silencieux. Des dizaines de porte étais disposé les unes à côté des autres. En passant devant elles j'aperçus qu'il s'agissait de pleins de petites chambre.
- D'autres personnes loge ici ? Demande-ai-je.
- Oui, dit elle. En réalité tu auras 12 colocataires.
- Et qui sont ils ?
- Des enfants entre 10 et 18 ans. La plus jeune en a 11. Ce sont tous des enfants...Spéciaux.
- Spéciaux comment ? Demandé-ai-je avec inquiétude.
- Ils ont reçu une éducation spéciale depuis l'enfance. Ce sont des enfants agent secret, si tu veux.
- Ah ...
- Mais ne t'en fais pas ! Si le contact ne se fait pas tout de suite, cela viendras. Tout le monde sait...Que tu ne connais pas bien tout ça ... Il feront des efforts.
Elle n'en semblait pas convaincu elle même.

Elle s'arrêta devant une porte blanche avec un nom gravé dessus, le mien.
- Et voici ta chambre !
La porte s'ouvrît sur une pièce rectangulaire de couleur pêche où un grand lit deux places trônait en son centre. Un bureau blanc sur lequel étais posé un ordinateur faisait face à la fenêtre.
- C'est jolie...Dis-je sans conviction.
- Nous avons fait de notre mieux ... C'est vrai qu'elle n'est pas très décoré...Mais tu pourras plus la mettre à ton goût si tu le souhaites !
Je pénétrai dans la chambre. Elle étais spacieuse. Mais je ne m'y sentais pas très à mon aise.
- Le dîner et à 19h30. Fit Céline, sans doute pour rompre le silence. Il te suffit de descendre les escaliers, et de retour dans le hall c'est une porte avec marqué « Restauration ».
- D'accord, merci.
Céline parti, me laissant seul dans la chambre.
Je marchais lentement vers le lit et arrivais à sa hauteur m'écroulais dessus.
Je me sentais tellement dépassé.
Ma vie avait basculé en l'espace de quelques jours.
Comme quoi même quand on croit que tout et stable et acquit, en réalité ce n'est qu'une façade. Tout peu s'écrouler à tout instant.

Lorsque arriva 19h30 je descendit les escaliers et aperçut la porte dites par Céline.
En l'ouvrant je pénétrais dans une grande pièce possédant une dizaine de grandes tables et étant éclairé par des néons. Il n'y avait pas âme qui vive. Une assiette étais déposé sur une table et j'en déduit qu'elle mettais destiné. Je mangeais donc lentement puis une fois fini je me relevais et marchait comme une automate vers ma chambre.
Une fois à l'intérieur je refermais la porte et me dirigeait vers une petite salle de bain attenante en quête d'une douche. Une fois propre je m'enfonçait dans les draps et me laissa aller aux larmes.