Chapitre 6: Retour au bercail

Les quatre policiers se regardèrent, ne sachant pas quoi faire.
Fort heureusement, le détective Vartan arriva avec le carton.

-Stop ! Cria Howard. Posez le carton par terre et partez.

Vartan suivit l'ordre d'Howard et posa le carton à terre avant de partir. Mais il ne parti pas bien loin, sous l'ordre de Russel, il resta près de la scène.

-Vous avez le carton, maintenant, relâchez les. On a tenu parole, à vous maintenant. Dit Ecklie
-Oui, mais je ne vais pas les relâcher tout les deux. Pour récupérer la deuxième personne, il faudra attendre mes indications. Je vais être gentil, je vous laisse choisir celui que vous aller récupérer.

Les deux hommes se regardent. Ce choix était un choix sadique. Quoi qu'il se passe, ils allaient mettre un collègue en danger.
Alors que Greg hésitait, Conrad avait déjà fait son choix. Il ne voulait pas revivre l'enfer de l'enquête de "La divine comédie". Et, de plus, ce choix allait être l'occasion de tester Greg.

-Tu connais notre réponse Howard, tu pense nous mettre dans l'embarras mais le choix a été fait depuis longtemps. On aurait préférer ramener les deux, c'est impossible.
-Alors, qui as-tu choisi ? Demanda Howard

Sans lui répondre, Greg s'avança vers la blonde.

-Je la choisi et la choisirais toujours.
-D'accord, tel est ton choix.

Les deux gardes attrapèrent Nick avant de le tirer vers le van.
Les trois policiers regardèrent l'action se produire sans pouvoir agir. Le shérif parti chercher David, laissant les deux amoureux seuls.

-Crois-moi, tu m'as manquer ! Dit Greg

Il avait les larmes aux yeux. Ce moment, il en avait rêver pendant des semaines, et voilà, enfin, il pouvait être soulagé.

-Je sais, je sais. Et j'en ai jamais douter. Dit Morgan. Je veux pas que tu croie que j'ai pu douter une seule fois.

Sans réfléchir, il l'embrassa. Il y mettait toute sa passion.

-J'ai fait le con. Le jour de l'attaque de l'hôpital. Si j'avais su, je serais rester et rien de ça ne se serait passer. Tu vas me dire que j'y pouvais rien, mais je sais que si j'avais réussi à me contrôler devant Walcourt, si j'avais compris plus vite qu'ils avaient comme plan d'attaquer l'hôpital, ça aurait tout changer.

Le silence tomba quand Conrad arriva avec David.

-On dirait que tout va bien. Dit ce dernier. D'ici je peux préconiser un remède à base de repos, de calme et de proches.
-On y va, il fait froid.

Les quatre quittèrent la scène de crime avant de monter dans la voiture d'Ecklie.

-On te dépose où David ? Demanda Greg, qui ne voulais pas tarder 
-Au labo.

Greg roula vers le labo et, pour là première fois, il avait le sourire au lèvres. Car il avait un poids en moins sur le cœur.

-Bye. Dit David en sortant de la voiture

L'assistant du légiste entra dans le bâtiment, dans lequel le reste de l'équipe attendait.

-Alors ? Demanda Russel
-Tout va bien. Mais il serait mieux qu'ils aient un congé. Répondit David
-J'allais le faire.

Le superviseur sorti de la salle et appela Greg.

-Allô ?
-Greg, c'est Russel. Vous êtes en congé, prévenez Ecklie.
-Merci Russel.

Le scientifique raccrocha avant de se tourner.

-On est en congé. Dit Greg

Ils sourirent, content d'être en congé. Si seulement il ne fallait pas un malheur pour être en congé.
En arrivant devant la grande maison, Greg gara la voiture et, avant qu'ils ne puissent faire quelque chose, Conrad parla.

-Je vais vous laisser, à demain.

Et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il sorti de la voiture.
Quand le shérif adjoint fut rentré, la voiture repartie.

-Bon voilà, c'est chez moi. Dit Greg

Il ouvrit la porte avant d'entrer.

-C'est joli chez toi. Un peu de bordel mais joli.
-J'ai plus fait de rangement depuis le début de l'affaire. J'ai passé toute l'affaire au labo, à tenter de faire parler Howard.
-Parait même que t'as péter un câble.

Il tire un sourire avant d'hocher la tête. Il s'en rappelait comme si c'était hier.

-Pour ma défense, il l'avait chercher. Fallait pas me mettre en rogne.
-Comme quand il y a eu le détournement d'hélico. Le mur s'en souvient encore.

Le détournement, que c'était parti en cacahuette ce jour là. Il avait tellement eu les nerfs qu'il avait envoyer voler une chaise dans le mur de la salle d'interrogatoire.

-La aussi fallait pas me chercher. Mais j'étais pas le seul à m'énerver.

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