Chapitre 2:La colère du shérif adjoint
Ils avaient du se mettre à deux pour l'empêcher d'entrer. Ils avaient tout fait pour que Howard n'aie pas à affronter la légendaire colère du shérif adjoint Conrad Ecklie, mais ces précautions étaient inutiles en ce moment.
-Laisser moi passer ! Hurla Conrad
Dans sa tête, c'était le gang-bang depuis qu'il avait reçu l'appel de James. Comment ils avaient fait ? Alors qu'il avait lui même veiller au fait que la chambre soit surveillée h24 !
-Monsieur le shérif adjoint ! Calmez-vous !
L'équipe des enquêteurs arriva devant le groupe.
-Il se passe quoi ici ? Demanda Russel
Ecklie regarda par dessus l'épaule du scientifique. Il vu les membres de l'équipe qui enquêtent sur Howard et sa clique.
-Ils sont où Hodges et Sanders ? Demanda le shérif
-Dans leurs labos, j'avais pas envie qu'ils nous refassent le coup de tantôt.
Le shérif pris la direction du lieu indiqué par le superviseur. Si il restait près de la salle d'interrogatoire, il allait faire un meurtre.
-Shérif Ecklie ? Il y a un problème ? Demande Hodges
-Non. Je persiste à croire qu'on aurait pas du garder Walcourt dans le commissariat.
-On est tout les trois d'accords, hein Greg ?
Le chatain leva la tête de l'écran de son téléphone. Il avait les yeux aussi rouge que des tomates et les contours bouffis. Personne n'en doutait, il ne parvenait pas à se remettre de la découverte de l'hôpital.
-Je comprends même pas pourquoi il a pas été dégagé il y a deux mois. Répondit Greg
-On doit le faire partir en taule. Dit Hodges
-Le faire partir tout court, si on l'avait pas garder ici, rien ne ce serait passer. Rien. Contrecarra Ecklie, la voix pleine de trémolos.
Hodges regarda les deux hommes, tout les deux avec les larmes aux yeux, tout les deux inquiets pour la même personne, tout les deux rêvant de tuer la même personne, Howard Walcourt.
-Tout va bien se passer. On a déjà du se battre pour un membre de notre équipe et c'est pas demain la veille qu'un scientifique va mourir en service ! Dit David
-C'est pas n'importe quel membre de l'équipe Hodges. Dit Greg. Je t'interdis de dire ça.
David regarda le jeune homme. Comment pouvais-il penser qu'il disait ça ? Jamais David n'allait dire ça.
-Je sais que ce n'est pas n'importe quel membre de l'équipe. Jamais je ne dirais une chose dans ce genre. Écoute, on doit résoudre cette affaire comme toute autre. Que ce soit des membres de l'équipe ou pas.
-Je peux pas. J'y arriverais pas Hodges.
Sentant qu'il était de trop dans cette discussion, le shérif adjoint quitta la pièce.
-Tu dois y arriver Greg. Tu voudrais pas devoir te récuser de l'enquête ?
-Jamais. Le jour où je vais arrêter c'est quand la bande de salop qui détruisent ma vie seront en taule.
-On va les arrêter.
Dans le bureau de Russel sont rassemblés Finn, Archie, Henry, Al et David Phillips, le second d'Al, et Brass.
Après le mois passé, Russel avait refait une de ses fameuses "réunion de famille" comme il les appelait, pour faire le point sur la situation.
-Dites moi que vous avez quelque chose !
-La balle extraite du corps de la victime de l'hôpital n'a rien donner dans l'IRIS. Dit Henry
-Des choses importante sur le corps ? Demande Russel
Personne ne lui réponds, l'énervant au plus au point.
-Personne n'a trouver autre chose ? Demanda Al
-On va pas se voiler la face, on a rien du tout. Dit Archie
-Je sais où on a pas encore été chercher. Dans la chambre d'hôpital. Dit Finn
-Envoie Greg et Hodges dans la chambre. Quand ils reviendront, tout le monde sur cette enquête !
Tout le monde sort du bureau avant de retourner dans les labos.
Julie marcha vers le laboratoire de Greg, dans lequel sont ce dernier et Hodges.
-Les gars, Russel vous charge d'aller fouiller la chambre. Dit la blonde en entrant dans la pièce.
-On y va. Dit Hodges sans laisser le temps à Greg de refuser
Avec leurs mallettes, ils marchèrent en direction du Nevada Hospital.
Dans l'hôpital, la chambre avait été interdite d'accès par les gardes de l'hôpital.
-C'est partit. Soupira Greg
Il entrèrent dans la chambre avant de déposer les mallettes.
Hodges observa la porte, appareille photo en main, alors que Greg était au bord des lits.
-Quelques minutes. Dit le scientifique
-Quoi ? Demanda David
-Tout c'est jouer à quelques minutes. Si seulement on était rester à l'hôpital on aurait pu empêcher tout d'arriver.
-Écoute Greg, ce qui est fait est fait. Maintenant on a pu qu'une chose à faire, les retrouver !
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