3ème chapitre

Lewis continue sa lecture de l'article. Il ne comprend pas pour quelles raisons celui-ci a été repartagé dans la story du compte privé de son directeur d'écurie. C'est extrêmement rare qu'il en fasse et souvent c'est sur des choses privées. Des photos de vacances avec Susie. Des résultats de l'équipe ou des photos et vidéos de leurs célébrations. Alors cet article sur une simple skieuse l'interpelle fortement parce qu'il tranche avec tout le reste de ce qu'il partage que ce soit en post ou non.

— Qu'est-ce que tu lis de beau pour ne même pas m'accueillir dignement ?

Il sursaute alors qu'une voix avec un fort accent allemand résonne juste à côté de lui. Le rire de Sebastian résonne alors qu'il murmure un Putain, tu m'as fait peur. Il finit par se lever pour aller serrer son ami dans ses bras. Il se laisse ensuite retomber dans son canapé, alors que le second pilote fait le même mouvement.

— Une interview d'une skieuse qui a arrêté sa carrière l'an dernier de façon précipitée.

Les prunelles bleutées de celui lui faisant face pétillent pendant une brève seconde avant que l'allemand pique dans la table où sont disposés des gâteaux apéro. Le britannique roule des yeux mais ne fait pas la moindre remarque. Cela fait bien trop d'années qu'il se bat pour qu'il arrête de le faire à chaque soirée pour qu'il continue. Il s'est avoué vaincu sur ce sujet depuis bien longtemps. Une cacahuète voltige avant de tomber directement dans la bouche ouverte du blond qui sourit fièrement après avoir réussi ce qu'il doit considérer comme une prouesse. Quelques secondes plus tard, il se redresse et se réintéresse à lui.

— Et du coup, elle raconte quoi Hinterseer ?

Les pupilles s'élargissent alors que l'étonnement prend possession de lui. Sebastian la connaissait ? Pourquoi la connaissait-il ?

— Tu la connais ?

— La vraie question c'est : comment est-ce que toi tu peux ne pas connaître la meilleure skieuse de tous les temps ? Elle a battu tous les records, elle est multiple championne olympique et du monde. Y a pas beaucoup de plus grands qu'elle dans le monde du sport.

Les doigts piochent à nouveau dans les petits bols alors qu'il tente d'appréhender les mots prononcés. Parce qu'il n'y avait rien dans l'interview qui laissait à penser qu'elle était ça. Oui elle disait être fière de sa carrière, mais cela ne permettait pas de deviner qu'elle était aussi impressionnante.

— T'imagines même pas comment j'étais dégoûtée le jour de son annonce, je m'étais levé exprès pour regarder l'épreuve, pendant des vacances, t'imagines ? Et là, boom retraite. Bref, c'est comme ça, mais j'étais vraiment triste, j'avais jamais pu la voir en compet, à chaque fois que j'ai été en voir, elle était blessée. En tout cas, ça me met une piqure de rappel qu'il va vraiment falloir que je refasse toute ta culture sportive, mais tu es une véritable cause perdue !

Il rit de la remarque avant de se figer. Seb vient de grommeler la suite et immédiatement son cœur s'est figé.

— Ah la la, si seulement tu pouvais t'intéresser un peu plus à ça qu'à tes mannequins.

Ses pensées dérivent immédiatement sur celle dont il a appris le décès quelques mois plus tôt. Sur celle qui avait bouleversé son existence le jour où elle avait subitement disparu. Le pilote Mercedes a les pupilles qui se perdent dans le vide, qui se fixe sur un tableau suspendu de l'autre côté de son salon. Il repense aux soirées avant que ne débutent leur courte relation. Celles qui faisaient suite à des fashion-shows où il trainait toujours. Il n'arrive toujours pas à savoir si c'est pour l'amour de la mode ou de celles qui la portaient.

— Ça va Lewis ? C'était qu'une blague hein, tu t'intéresses à ce que tu veux. Même si c'est dommage de passer à côté du second meilleur sport au monde !

Le sourire est malicieux avant qu'un léger rire s'échappe des lèvres. Sur le visage du premier arrivé à la soirée, les traits montrent pourtant des traces d'une légère inquiétude.

— Oui ça va, enfin, je sais pas trop en fait.

Immédiatement, l'air taquin disparait pour faire place à de l'intérêt. S'il n'osait pas en parler avec son directeur d'écurie, le multiple champion du monde se disait que peut-être que le second pilote lui comprendrait. Peut-être que lui aussi avait vécu la même chose. Après tout, il avait rencontré la situation qui était la sienne.

— Est-ce que ça t'es déjà arrivé que...

— Salut la compagnie !

Sa phrase est interrompue par l'arrivée d'un australien tout sourire et vêtu d'un sweat multicolore trop large pour lui. Il se retrouve bien rapidement enfoui dans les bras de son ancien coéquipier.

— Oh, je vois que vous n'être que vous deux donc je peux dire salut les vieux !

Il se fait repousser alors que ses éclats de rire résonne dans la pièce, changeant radicalement l'atmosphère sérieuse et à l'écoute qui y régnait quelques secondes plus tôt. Et s'il est gêné à l'idée de ne pas avoir pu se confier, il est également heureux de cette future soirée. Parce que lorsqu'il mangeait en leur compagnie, ses soucis restaient toujours enfermés au fin fond d'un placard dans son esprit, oubliés le temps de quelques heures. Et il savait que Sebastian reviendrait à la charge, parce qu'il semblait toujours avoir du temps pour les autres, qu'ils aillent bien, ou pas bien. Quand bien des gens disparaissaient dans les moments difficiles, lui faisait irruption avec ses prunelles bleutées qui plongeaient dans les siennes et son visage avenant lui rappelant qu'il pouvait se confier à n'importe quel moment de l'année.

— Vieux, mais qui savent cuisiner apparemment. Ça sent super bon Lewis !

Un franc sourire nait sur son visage à cette remarque. La règle pour leurs soirées était que chacun devait à tour de rôle cuisiner. Vraiment cuisiner. Et après de bien trop nombreuses soirées pâtes, chacun faisait désormais de son mieux. Savoir que cela avait l'air bon alors qu'il doutait toujours énormément rassurait donc le plus âgé.

— J'espère que ça le sera aussi.

— Je ne suis personnellement toujours pas remis de ta tarte aux maroilles. Dinguerie ! T'avais bien fait d'emmerder Esteban jusqu'à ce qu'il t'en cède la recette.

Ses lippes s'étirent encore plus alors que ses prunelles se mettent à pétiller. Il se laisse lourdement tomber sur le canapé avant d'étendre ses jambes devant lui et d'à son tour piquer dans les gâteaux déjà disposés. Un grognement échappe au britannique à cette vue.

— Ça va les faire venir qu'on commence sans eux !

Les deux chouchous de Red-Bull commencent alors à raconter une anecdote où il est question de retard, de nourriture et de maladie de tous ceux qui avaient commencé plus tôt.

— Et là, on a compris. Le seul truc qui était avarié, tous ceux qui étaient là trop tôt et avaient pas attendu malgré que Christian nous interdise d'en manger et passe son temps à râler quand on l'a évidemment pas écouté, on était tous malades. Les autres : rien ! Parce qu'on avait tout bouffé avant qu'ils arrivent. On était malades comme des chiens pendant le grand prix, moi encore plus que Daniel. En même temps qu'est-ce que j'en avais mangé, c'était trop trop bon. On avait pris une de ces soufflantes, j'ai cru que les murs allaient tomber tellement on s'était fait engueuler. Faut dire qu'ils étaient en plus pas solides parce que c'était ce week-end là que Pat était passé au travers de l'un d'eux juste en s'appuyant dessus.

— Mais ouiiii, je me souvenais plus que c'était ce week-end-là. Après il était toujours là avec son bras plâtré et il répondait « accident de mur » à chaque fois que quelqu'un lui demandait ce qu'il avait fait.

Des larmes de rire s'écoulent sur les joues de Lewis alors que les éclats résonnent à chaque détail rajouté par l'un ou l'autre des pilotes Red Bull à l'époque.

— Après, j'ai rarement vu un tel poissard, que des blessures cons. Y a eu le coup du banc.

— Du banc ?

— Oui il avait voulu monter dessus parce qu'un espèce de chien minable le poursuivait et qu'il est paniqué dès qu'il en croise un. Il était bancale, il s'était écroulé sous son poids, il s'était fait une entorse.

— Ah oui, je m'en souviens maintenant. J'imagine tellement la scène. Le grand gaillard en panique face au chihuahua et qui grimpe sur un banc. Y avait aussi eu la chute en trottinette.

— Oh oui, comment il s'était arrangé le visage ce coup-là... La roulette avant s'était barrée pendant qu'on faisait une course et il avait fait un soleil.

Sacrée finale que c'était encore ! Et tu te souviens le coup où il s'était pris un pneu sur le coin de la gueule ?

— Non, ça me dit rien ça.

— Ah non, c'est vrai, c'était avec Maxy ça. Il s'était endormi dans le garage et je sais plus qui s'est pris les pieds dans ses jambes, il s'est étalé sur la pile de pneus, elle a tangué et je sais pas comment ils avaient encore rangé ça et bim. Et sur qui s'est tombé ? Ce bon vieux Patoche ! Rétamé qu'il était. Avant une grande marque sur le coin d'la gueule pendant des jours et des jours. Il avait le début de Pirelli gravé sur le front là où ça avait touché en premier.

Les deux pouffent et repartent dans un fou-rire que le son de cloche retentissant n'arrête pas. Le britannique se lève, sachant pertinemment qui se trouve de l'autre côté de sa porte et a l'amabilité de sonner – lui.

— Salut Lew.

— Hey Val. Entre, entre. Et fais pas attention aux deux imbéciles, ils sont remontés dix ans en arrière.

— Et ben ça avait l'air sacrément amusant dix ans en arrière en tout cas !

— Salut Valtteri.

— Salut !

À peine les mots prononcés, ils sont de nouveau en train de ricaner. Le finlandais à un sourire amusé devant la scène en train de se dérouler alors que les éclats semblent enfin diminuer. Les deux finissent par reprendre leurs souffles et essuyer les larmes trainant dans le coin de leurs regards. La sonnette retentit une nouvelle fois et l'hôte quitte à nouveau son canapé pour accueillir le dernier à avoir répondu présent à cette invitation.

— Ah Checo, entre.

Le mexicain se glisse dans la pièce avant de prendre dans ses bras les présents. Il partage une grande accolade avec l'australien qui lui adresse un sourire lumineux et lui montre le siège situé à côté du sien. Pourtant, il ne prend pas immédiatement place, semblant chercher quelqu'un du regard avant de se décider sur le lieu où il souhaite s'installer.

— Fernando est pas là ?

Les deux hispanophones faisaient en effet souvent bande à deux au cours de ces soirées, s'ils étaient tous deux présents, profitant de la situation pour pratiquer leur langue alors qu'ils passaient bien trop longtemps à parler en anglais tout au long de l'année. Et cela au plus grand damne des autres, souvent bien incapables d'aligner deux phrases dans cette langue et ne pouvant suivre leurs conversations.

— Non, il fait toujours la gueule depuis qu'on lui a fait la blague qu'il pouvait plus participer vu qu'il appartenait plus au groupe des trentenaires.

Les rires éclatent alors que certains peuvent revisionner le visage qu'il avait alors affiché.

— Il est toujours en boycott ?

— Ouep ! Mais tant pis pour lui, il sait pas ce qu'il rate.

— Étonné quand même qu'il le tienne aussi longtemps, c'était celui qui préférait bitcher sur tout le monde.

Dans l'échelle de la mauvaise foi, des rumeurs, des ragots et des critiques et vannes sur l'intégralité du paddock, l'espagnol - qui avait à son époque créé le club des plus de trente - était le plus doué, le plus fou. C'était le modèle à suivre pour quiconque voulait être doué dans ce domaine, même si personne n'oserait prétendre l'être. Lewis sait pourtant qu'il avait trouvé dans l'allemand en train d'avaler chaque cacahuète en la faisant voler avant un digne successeur, surtout sur la partie potins. 

Dans ce domaine, l'élève dépassait même certainement le maître car jamais le quarantenaire absent n'avait fait boire d'autres pilotes pour leur arracher des secrets. Ils avaient surtout des styles bien différents. Le plus jeune étant beaucoup plus subtil quand l'espagnol n'avait pas hésité à suivre George des jours entiers en lui posant chaque seconde la même question pour savoir s'il était oui ou non en couple avec une danseuse ou à le mettre mal à l'aise devant la presse, des fans ou à peu près toute personne trainant dans le paddock dans l'espoir qu'il lâche le morceau. Tous les moyens chiants étaient bons pour parvenir à ses fins quand Sebastian préférait les missions d'espionnage et les questions piégeuses. Mais ce n'était pas le second qui se retrouvait régulièrement devant une porte qu'on lui claquait au nez.

— Et le binôme Haas ?

— Avec leur équipe.

— En même temps, ils en ont bien besoin vu ce qu'ils leur ont encore pondu cette année. Ils peuvent bien commencer à préparer la saison prochaine.

L'atmosphère dans la pièce est légère alors qu'ils se donnent des nouvelles personnelles et de leur équipe tout en mangeant le hachi-parmentier confectionné par l'anglais. Tous ne sont pas d'accord avec le mexicain quand il avoue avoir des doutes sur le binôme McLaren. Pour dire complètement vrai, il est d'ailleurs le seul à y voir quelque chose.

— Sérieusement Checo ? Non, y a rien entre eux.

— De toute façon, je vois pas pourquoi on ferait confiance à un mec qui n'avait même pas été capable de voir les yeux doux que faisait son coéquipier à l'autre côté du paddock.

Lewis arque un sourcil avec étonnement alors que Valtteri semble entrer dans la conversation. Il n'a pas le temps de soutenir son ancien coéquipier que l'australien en remet une couche.

— T'es vraiment le plus nul des commères !

— Tu peux parler. J'avais peut-être pas vu, mais toi non plus alors que t'étais le principal concerné.

Le brun fait un large mouvement choqué, ramenant ses deux bras contre sa poitrine et écartant la bouche.

— Je suis outré. Pour quoi tu me fais passer Sergio ? Et depuis quand tu te rebiffes à ces soirées ?

— T'inquiète qu'il avait biiiien compris après que les lèvres de « chaton » se soient posées sur les siennes. Parce qu'elles étaient « incroyables, non mais Seb, je crois que tu te rends pas compte comment elles étaient douces. Et puis il avait les yeux bleus, ils étaient si bleus, comme un ciel d'été, et ils brillaient tellement que je suis sûr que le soleil était jaloux. Mais ses lèvres, je crois que j'avais jamais été aussi bien embrassé de ma vie ».

— Je te déteste. Tu sais pas à quel point je te déteste.

— Moi aussi je t'aime Danny chéri. En tout cas, continue comme ça Checo, toutes les pistes sont bonnes à étudier ! Je compte sur toi pour me faire part de toutes tes idées.

L'allemand passe un bras de façon paternelle autour du mexicain dont le visage s'éclaire alors que de son côté l'australien grommelle. Lewis l'observe avec attention, conscient qu'il n'est pas le plus bavard ainsi entouré de monde quand les trois des quatre autres participants sont dans leur élément et Valtteri est là. Pourquoi est-il là ? Certainement plus pour le repas que les sujets de conversation en tout cas, car il arbore toujours le même air blasé. Ou peut-être était-il uniquement là pour lancer des piques aux autres comme il l'avait fait quelque secondes plus tôt avec Checo ?

— D'ailleurs en parlant du loup, Pierre a enfin compris pour vous ou on peut continuer de le pousser à croire que Max et Charles sont en couple ?

Tout le monde éclate de rire. Il n'avait pas fallu grand-chose au groupe pour comprendre qu'il y avait là le sujet d'un fil rouge à faire perdurer de grand-prix en grand-prix. Les deux rivaux d'enfance s'étaient d'ailleurs facilement mêlés au jeu, même si tous n'étaient pas d'accord quant au fait qu'ils le faisaient exprès.

— Aux dernières nouvelles, il est toujours aussi à côté de la plaque, il m'a lancé un regard noir quand j'ai interrompu leur débrief de la dernière course et est venu me chercher pour un sujet absolument inutile juste pour que je les laisse seuls.

— Ce mec est irrécupérable. Bon, faut que je réfléchisse déjà à ce que je vais lui raconter le week-end prochain pour continuer de l'enfoncer.

Valtteri roule ostensiblement des yeux lorsque Seb sort cette phrase.

— Prétends pas Val, je sais que t'es aussi rentré dans ce jeu, je t'ai vu faire.

Un léger rire échappe au finlandais qui hausse doucement les épaules.

— Vous savez que Fernando lui a fait croire qu'il les avait trouvés en train de s'envoyer en l'air « entre potes » dans sa chambre un jour où il allait lui rendre visite dans son motorhome.

— Du départ ça partait mal cette histoire, il ne va jamais dans le motorhome des autres sauf s'il veut absolument les faire chier et qu'il a le temps de s'infiltrer avant qu'on lui claque la porte au nez.

— Et ben malgré tout, il a gobé. Il l'a vu s'énerver contre Charles qui était tout penaud et ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Je sais pas s'il en est vraiment persuadé ou qu'il est naïf, mais il est vraiment ridicule. Comment croire un truc pareil ?

— Quelle star ! Il a réussi à faire une pierre, deux coups. Cet homme est mon modèle absolu.

Quand les mots échappent à Sebastian, Lewis n'est pas certain que cela soit une bonne chose. Mais il ne pouvait nier que l'espagnol ajoutait de l'animation à la vie du paddock. D'ailleurs, il ne semblait pas être le seul à s'inquiéter de l'influence de l'ainé des pilotes sur les autres.

— C'est aussi celui de Maxy et je sais pas trop si je dois m'inquiéter ou pas.

— Tant qu'ils ne s'entrainent l'un l'autre que vers Le Mans et pas dans ce type d'actions, tu n'as pas grand-chose à craindre.

— Ouais peut-être.

L'anglais quitte alors la table, se dirigeant vers sa cuisine où il récupère le tiramisu qu'il a confectionné. Aujourd'hui, les sujets ont été nombreux mais il est soulagé que personne ne se soit intéressé de près à comment chacun allait. Car s'il n'avait pas de souci à se confier parfois, à leur donner des brides des instants heureux ou plus douloureux de sa vie, il n'était pas prêt à étaler l'intégralité de ses doutes en place publique, même auprès des personnes avec qui il dinait une fois par mois.

Il dépose le plat sur la table alors que Valtteri semble être lancé dans une grande explication sur une activité réalisée pendant ses vacances d'été.

— Ah, génial ça !

— Il a l'air bon visuellement !

Un sourire étire ses lèvres alors qu'il sert les assiettes, ses doutes de début de soirée complètement oubliés le temps de quelques heures en compagnie d'amis. 

boom, nouveau chapitre. on arrête pas le progrès. (ceux qui découvrent peut-être mon compte avec cette histoire, vous fiez pas aux apparences et sachez qu'à un moment ou un autre, vous attendrez 3 mois entre 2 chaps, comme tout le monde !)

on a donc des soirées potins sur les plus jeunes entre trentenaires (et peut-être quarantenaire on ne sait pas si le boycott s'arrêtera) du paddock. un seb commère et fan de ski, un lewis toujours aussi perdu mais qui se détend pendant quelques heures et un daniel en cible préférée des deux autres.

avec dans le prochain chapitre, la suite de leur extraordinaire soirée.

je l'ai pas redit ici, mais y aura évidemment des refs à mes autres histoires vu que tout ce beau monde est lié depuis bien longtemps. (même avec celles foot & les nouvelles pour certaines malgré que personne ne l'ai encore compris haha !) mais c'est absolument pas nécessaire de les lire pour suivre en théorie l'unique risque c'est de pas avoir la surprise de certains détails des autres.

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