Chapitre 2 : Un revenant surprenant

Ils prirent Yuri en prenant soins de lui mettre des vêtements d'une blancheur intense et le mirent dans une salle des plus blanche qu'il sois, une fois a l'intérieur bien que cela reflète le Bonheur....le cauchemar commença pour l'enfant âgé de seulement 5 ans
l'enfant se fit bander les yeux et attacher a l'aide de chaînes brûlante de couleur écarlate a cause de la chaleur que rependais ses chaînes, qui lui laisseront de violentes traces aux poignets et aux chevilles.

-NON PAPA, MAMAN !!!!!, Hurlant de douleurs l'enfant qui se fit ouvrir les veines avec un couteau électrifié l'enfant hurlais, il pleurait tellement que le bandeau sur ses yeux étais trempé, il se débattais beaucoup. Un liquide commença a couler au niveau de ses bras, laissant des tâches d'une rougeur Intense sur les vêtements de ce dernier, le bruit du sang qui coulais au sol ce qui forma une flaque tout autour du jeune garçon

-PAPA AIDE MOI !....GROS BALÈZE NON S'IL VOUS PLAIS ARRÊTEZ......, Hurla l'enfant de détresse sa voix craqua malgré la douleur qu'il ressentais il hurla de toute ses forces, rien qu'à son hurlements on comprenais directement qu'il souffrais beaucoup trop. L'homme pris de l'huile bouillante, il la renversa a l'intérieur des veines qu'il avais ouvert a l'enfant, ce dernier au contacte de l'huile hurla et se débattais fortement on entendit ses pleures et ses cris déchirant et douloureux

-Ce n'est que le début petit, Lâche l'homme qui le torturait d'une voix assez grave et impassible

Une goutte de sueur vint se formé au niveau de son front lorsqu'il dormais, ses rêves étant de plus en plus agité, le jeune homme s'agitait d'avantage, sa respiration s'accélère de plus en plus. Il s'étaie attacher les poignets a son lit pour évité les accidents, ayant également mis des protections pour dents a cause de ses cauchemars de plus en plus mouvementé. La sueur cauchemardesque se multiplient en trempant totalement ses cheveux, d'un seul coup le jeune homme se réveilla il sauta hors de son lit qui étais près de la fenêtre et se retrouvant par dessus en brisant cette dernière, la fermeture de son poignet droit reliant son lit se brisant il se réveilla brusquement, son poignet gauche étant toujours relié a son lit il étais alors suspendue. Les passagers qui passèrent par son immeuble avaient pousser des cries de surprise.

-Je vais bien, lâche Yuri, sa respiration saccadé redescendit un peu , quand aux passagers de Tokyo ils le regardèrent avec peur et effroi en traçant leurs chemins, Yuri remonta a l'aide de la chaîne qui relier son poignet a son lit, se détachant ensuite. Il décida de regarder par sa fenêtre soupirant d'agacement Je dois réparer la fenêtre , soupira-t-il.

Le jeune garçon, à peine âgé de quatre ans, avait été témoin d’un véritable cauchemar éveillé : le massacre brutal et l'incendie de sa famille, ainsi que de toutes les personnes qu’il aimait. Ce jour-là, son monde s'était effondré, le plongeant dans un traumatisme profond.

Pendant près de dix ans, il vécut l’enfer, captif et torturé par celui qui aurait dû le protéger : son propre père, Hida Akishino, le plus brillant scientifique du Japon. Mais son calvaire prit fin grâce à Gil Atsushi, un policier déterminé qui lui sauva la vie. Pour Yuri, Gil devint plus qu’un sauveur : il devint un père de substitution, un pilier dans sa reconstruction.

Désireux de reprendre le contrôle de sa vie, Yuri s’installa seul dans un petit appartement à Tokyo. Là, il poursuivit son amour pour la science, une passion qu’il partageait malgré tout avec son père. Aujourd'hui, devenu un scientifique et profiler exceptionnel, Yuri travaille au FSB de Tokyo (l'équivalent japonais du FBI), où il met ses compétences et son intelligence hors pair au service de la justice.

Mais derrière ce brillant esprit se cache un homme marqué par l'ombre de son passé, déterminé à tirer force de ses cicatrices pour débusquer les vérités les plus sombres.

Yuri jeta un coup d'œil à sa montre, qu’il portait de manière peu unique,  toujours tournée vers l’intérieur de son poignet, contrairement à l'usage habituel. En voyant l’heure, ses yeux s’écarquillèrent de surprise

-Déjà ?! je suis encore en retard, lâche ce dernier en se préparent et en sortant, Il arriva au FSB

-Blackwood encore en retard c'est la 6 ème fois de la semaine, ici tu ne dois te permettre d'arriver en retard comme bon te semble!, fit la cheffe Miki de l'FSB en haussant la voix, Yuri avais ce côté vide dans son regard il étais assez froid

-Je suis navré j'ai eu un petit incident ce matin, 

-Comme quand votre voiture vous as lâcher a la dernière minutes alors que vous habitez au coins de la rue ? , fit-elle Yuri la regarda il soupira un bon coup avant de continuer, Et je ne compte pas toutes les autres excuses non rationnelle de votre part, je n'ai même pas envie de savoir quelle est votre excuse j'ai besoin de savoir la cause du meurtre

-Oui pardon, Yuri mis ses gants et se dirigea vers le cadavre il examina en prélevant des échantillons sur le cadavre la cheffe soupira froidement. Dans sa tête il regarda les alentours comme ci il se m'étais à la place du meurtrier..comme s'il voyais le meurtre
Yuri se releva après avoir examiné le cadavre

-Les hématomes présents sur le cou sont probablement dus à une pression intense ayant conduit au décès. Toutefois, en observant les yeux, on peut détecter de graves lésions oculaires juste ici,  ce qui pourrait indiquer une exposition à un toxique, Des analyses complémentaires seront nécessaires pour confirmer cette hypothèse,  déclara Yuri. Miki le fixa attentivement.

-Et comment explique tu c'est 17 coups de couteau sur le thorax?

-Il semble qu'il ait été poignardé après sa mort, possiblement par vengeance, ce qui pourrait indiquer un meurtre obsessionnel. Les traces sous ses ongles suggèrent qu'il s'est débattu et qu'il a probablement tenté de se raccrocher à un mur. On observe également des marques sur son abdomen et plusieurs ecchymoses, ce qui témoigne d'une lutte, ainsi que des traces sur son dos. Enfin, ses vêtements montrent qu'il a été tué ailleurs puis déplacé ici , conclut Yuri en leurs montrant les traces. La cheffe acquiesça d'un signe de tête.

-Blackwood allez examiné le cadavre a la morgue pour l'instant nous chercherons le profil du tueur, Yuri arqua un sourcil comme s'il attendais quelque chose, la cheffe soupira, Avec votre aide, soupira-t-elle.  Yuri afficha une mine satisfaite mais ne souriant pas

-Je savais que vous pouvez pas vous passez de moi, déclare-t-il

-Si tu tiens a ton job la ferme, Yuri leva ses deux main signe de capitulation, Miki le foudroya du regard en partant Yuri haussa les épaules en partant a la morgue.
Une fois a la morgue Yuri se concentra sur le cadavre en question, il décida d'ouvrir le cadavre pour savoir si quelque chose lui avais échapper mais lorsqu'il attrapa son scalpel sa mains tremblais énormément il serra fermement son poing en soupirant, il attendit un instant avant de l'ouvrir, bien que les ouvertures n'étaient pas droite.

Avec les résultats des analyses en main, Yuri afficha une expression de surprise, murmurant pour lui-même :

-De l'ammoniac...

Quelques heures plus tard, après avoir finalisé les rapports à la morgue, Yuri prit les dossiers et se rendit au bureau de la cheffe Miki. Elle se trouvait déjà en pleine réunion avec deux autres enquêteurs, tous concentrés sur la traque du meurtrier.

-Blackwood, du nouveau ? demanda Miki, levant les yeux vers lui.

Yuri hocha la tête et entama son rapport

-Oui. J'ai découvert la présence d'un poison dans son organisme: de l'ammoniac. C'est une substance hautement irritante pour le système respiratoire, la peau et les yeux. Un contact direct peut provoquer de graves brûlures, et à forte concentration, il entraîne des œdèmes pulmonaires qui peuvent être fatals. Dans ce cas précis, il semble évident que le tueur est un tortionnaire. Il ne se contente pas de tuer, il prend plaisir à voir ses victimes souffrir, crier, ou pleurer, Yuri marqua une pause avant de continuer, son ton devenant plus sombre. Les hématomes sur le cou montrent qu'il l'a probablement attaché par les poignets et les jambes. Il l'a torturé méthodiquement, l'a empoisonné lentement, s'assurant que la douleur et l'agonie soient insupportables. La victime a tellement souffert qu'elle a enfoncé ses ongles dans la chaise où elle était retenue. Une fois satisfait, le tueur a détaché le corps, l'a changé, puis l'a transporté dans la forêt. Là, il lui a infligé 17 coups de couteau, bien que la victime soit déjà morte à ce moment-là. Les ecchymoses sur tout le corps indiquent qu'elle s'est débattue avant de succomber.

Yuri termina son rapport, son regard devenant étrangement intense, presque dévoré par une lueur fugace de folie. Un éclat si subtil que personne ne le remarqua... sauf Miki, qui, habituée aux nuances de Yuri, ne put s'empêcher de froncer légèrement les sourcils.

-T’as déjà tué pour savoir ça ? lança l’un des deux hommes, un éclat provocateur dans les yeux. Yuri planta son regard glacial dans le sien.

-Non. Mais si tu veux, je peux faire une exception pour toi, répliqua-t-il d’une voix tranchante, L’enquêteur bondit de sa chaise, furieux, mais son collègue le retint fermement par le bras.

-Blackwood, calme-toi !

-Je plaisantais, faut pas être susceptible a ce point madame, rétorqua Yuri avec désinvolture accentuent le "madame" pour parler de l'homme, croisant les bras. L’homme le fusilla du regard, ses poings tremblant de colère.

-Alors vas-y, mutiles-moi si t’en as les tripes ça changera que ton propre corps rugit-il ,Yuri haussa un sourcil, un rictus glacial se dessinant sur son visage.

-J’ai toujours su m’en sortir avec les conséquences. Mais toi, t’as l’air de pas savoir quand fermer ta grande gueule

-Votre langage !, Un silence pesant s’installa. La cheffe marqua une pause, leur adressant un regard perçant avant de reprendre d’un ton froid, Vous avez un profil ? demanda-t-elle en dirigeant son attention vers les deux policiers

- Oui, selon moi, le tueur était une personne que la victime connaissait, probablement un meurtre obsessionnel. Le tueur avait besoin de voir la terreur dans le regard de sa cible, ce qui indique une fascination morbide pour la domination et la souffrance, Nous pouvons exclure la famille de la victime, car ils ne correspondent pas au profil psychologique. Je dirais qu’il s’agit d’un homme dans la trentaine, grand et physiquement imposant. Ce n’était pas une femme. Tout porte à croire que ce pourrait être un ami proche ou quelqu’un dans son entourage immédiat., Yuri termina son raisonnement avec assurance. Les deux autres enquêteurs le fixèrent, surpris par la précision de son analyse. Miki, les bras croisés, posa un regard perçant sur Yuri, comme si elle cherchait à lire au-delà de ses mots.

-Bien nous allons chercher de notre côtés si nous trouvons une piste nous t'enverrons un message soit prêt, lâche la cheffe avec froideur a Yuri, elle ne l'appréciait pas beaucoup a cause de son caractère assez froid et de la façon dont il parlais

Quelques heures plus tard, Miki et son équipe avaient interrogé plusieurs suspects potentiels. Après avoir rassemblé des éléments suffisants, elle transmit une adresse à Yuri et à une autre équipe pour qu'ils poursuivent l’enquête.

Arrivés devant l’appartement indiqué, les policiers frappèrent à la porte. Personne ne répondit. Deux des policiers, armés, se tenaient prêts à intervenir. Yuri, quant à lui, n’était pas équipé : il avait été privé de son pistolet habituel, jugé trop dangereux en raison de sa réputation imprévisible. Contraint de rester en retrait, il observait la scène avec une frustration palpable.

Il sortit alors son téléphone, composant le numéro de la personne qu’ils cherchaient. Une sonnerie résonna soudain derrière la porte, brisant le silence. Le téléphone du suspect était à l’intérieur.

-Il es bien la, lâche Yuri les deux policiers prirent leurs armes

-Ouvrez, c'est la police! ordonna l'un des policiers en frappant une dernière fois. N'obtenant aucune réponse, il donna un coup violent dans la porte, qui céda sous l'impact.

L'intérieur de l'appartement était plongé dans une obscurité oppressante. Une odeur âcre flottait dans l'air, mélange de métal et de chair brûlée. Au loin, un gémissement sourd brisa le silence. S'avançant prudemment, les policiers découvrirent un homme torse nu, attaché sur une chaise, entouré d'instruments de torture épars.

-Où est Tashiraku ? demanda l'un des policiers d'une voix ferme, tandis que les autres inspectaient la pièce.

-Je suis Tashiraku! Détachez-moi! gémit l'homme, visiblement marqué par des sévices intenses. Sa peau portait des traces de brûlures et de lacérations, témoins de la cruauté qu'il avait subie

Soudain, un homme surgit de l'ombre, bousculant les policiers et s'élançant hors de l'appartement. Une patrouille se lança immédiatement à sa poursuite, leurs pas résonnant dans les escaliers.

Resté dans la pièce avec un autre officier, Yuri s'approcha de Tashiraku pour l'aider à se libérer. Tandis que l'officier s'affairait à défaire les liens, Yuri baissa les yeux et examina attentivement le sol sous la chaise. Quelque chose semblait avoir retenu son attention...

-On a un problème il y as une bombes a retardement et il reste 40 secondes pour le détacher sinon ça explose, lâche le Yuri honnêtement avant qu'il se prenne un léger coup à la tête

-Espèce de crétin je suis pas aveugle pourquoi le dire a voix haute pour lui faire peur ?!, Fit l'officier qui étais avec lui Yuri haussa les épaules simplement Tashiraku étais encore plus paniquer qu'au paravent, Qu’est-ce qu’on fait ? C’est toi le génie, tu peux la désamorcer ? demanda l’officier, le ton chargé de panique.

-Je suis pas petit et il nous reste 35 secondes. Je pense qu’amputer sa main serait plus sûr, rétorqua Yuri, le visage sombre, tandis que l'homme semblais encore plus craintif

-Hors de question ! Et arrête de lui faire peur comme ça idiot, On essaye de la désamorcer ! coupa l’officier, déterminé.

Ils s’acharnèrent sur les fils et le mécanisme complexe, mais les secondes s’égrenaient trop rapidement. À 20 secondes restantes, Yuri releva la tête brusquement, son regard perçant.

-Trouve quelque chose de tranchant. On n’a plus le temps. Et ramène-moi beaucoup, beaucoup de glaçons, ordonna-t-il avec une froideur troublante,

L’officier hésita, voyant l’expression presque dérangée de Yuri. Mais face à l’urgence, il comprit qu’il n’y avait pas d’autre choix. Il partit chercher de quoi trancher et des glaçons, le cœur battant.

-Non, vous êtes malades ?! hurla la victime, réalisant ce qui allait se passer.

-Ce n'est qu'une main. Et puis, ils ont fait des progrès pour recoudre ce genre de choses. Tenez, mettez ça dans votre bouche, ça va un peu piquer, lança Yuri d'un ton glacial, tendant un morceau de tissu à Tashiraku.

La victime, terrorisée, tenta de se débattre, mais la situation ne lui laissait aucun choix. Dehors, plusieurs voitures de police étaient postées, leurs occupants en alerte, prêts à intervenir à tout moment.

Soudain, une explosion assourdissante secoua l'immeuble, projetant un nuage de poussière et de flammes dans le ciel. Quelques instants plus tard, le policier sortit du bâtiment, soutenant Tashiraku. La main amputée de ce dernier était recouverte d'un tissu blanc imbibé de sang.

Derrière eux, Yuri émergea, décoiffé, le visage marqué par la tension. Dans ses mains, il tenait une sorte de bac rempli de glaçons... et la main tranchée de Tashiraku.

J'ai sa main! s'écria-t-il, un éclat de folie dans le regard.

Les policiers sur place, choqués, se précipitèrent pour prendre en charge la victime, le policier, et Yuri. Une fois au poste, Yuri fut accueilli par un torrent de reproches.

-Qu'est-ce qui ne va pas chez toi ?! Tu as mis tout le monde en danger, et ça aurait pu coûter des vies!

Plus tard dans le bureau du cheffe Miki, Yuti était convoqué,

-Vous me renvoyez juste pour une main ? Il n’y a pas mort d’homme, ils peuvent la recoudre, rétorqua Yuri, visiblement agacé.

Miki, fulminante, lui répondit avec une colère froide

-Vous auriez pu désamorcer la bombe ! Plutôt que de prendre cette décision insensée, vous avez choisi de mutiler un homme ! Vous êtes aussi dérangé que ces tortionnaires que vous traquez ! Allez sérieusement voir une psychologue

-La victime est vivante, elle n’a pas explosé, et ce n’est certainement pas grâce à vos fichues règles absurdes. Et je n'ai pas besoin de psy, en revanche vous vous deviez en voir une par ce que vous avez l'aire sacrément déranger, Sur ces mots, il tourna les talons et quitta le poste, claquant violemment la porte derrière lui.

De retour chez lui, l’esprit encore agité, Yuri sentit un frisson lui parcourir l’échine. Une silhouette, familière mais troublante, se dessina dans la pénombre de la rue. Il s’immobilisa, incertain de ce qu’il voyait. Était-ce une hallucination, un tour de son esprit brisé

Sa main trembla violemment, mais il la força à se refermer en un poing crispé. Déterminé, il suivit la silhouette qu'il connaissais que trop bien, qui glissait dans une ruelle sombre. La tension monta lorsqu’elle s’arrêta net, restant de dos à Yuri.

Le silence était pesant, et chaque battement de son cœur résonnait dans sa poitrine comme un tambour.

-Bonsoir, Yuri Yukan, Yuri se figea sa respiration s'accélère Soudainement

A Suivre

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