Chapitre 4
Annyeong tout le monde ! C'est la merde dans leur pays hein ? Bon courage Jungkook ! Vous avez vu pour une fois c'est pas une victime il est badass ! Le média me tue XD N'hésitez surtout pas à commenter c'est vraiment important et ça m'aide beaucoup pour la suite !
Les heures s'écoulèrent petit à petit, d'une lenteur extrême pour le jeune qui ne bougeait pas, attendant que quelque chose se produise. Ces heures étaient les plus déterminantes de la Corée du Sud.
L'avenir du pays reposait sur cette vidéo, sur le mouvement d'opposition que tous devaient créer avant d'être soumis par l'armée ennemie. Plus Jungkook y pensait, plus il avait conscience que les pertes seraient inévitables.
Quoi qu'il arrive, des bains de sang se produiront obligatoirement. L'armée n'était pas déployée pour rien, si les citoyens s'y opposaient, elle n'hésitera pas à faire feu et se défendre. Mais dans tous les cas, mieux valait se défendre que de subir et devenir comme les nord coréens. Complètement prisonniers et soumis par l'autorité.
L'oppression par la force et la terreur était toujours violente et efficace, elle avait assidûment fait ses preuves lors des dictatures. De plus, personne n'allait les aider pour l'instant. Kim Jong Un avait pris les pouvoirs par la force et la Chine le protégeait.
Il avait une marge en attendant que les autres pays s'emmêlent pour les aider alors pour le moment, ils étaient seuls dans ce combat, et se devaient de le mener à bien pour leur liberté.
Du bruit attira son attention, lui faisant ouvrir les yeux. Des coups de feu résonnaient tandis que les cris affolés déchiraient l'atmosphère. Jungkook se releva et se cacha contre le mur avant de discrètement observer à travers la fenêtre sans se mettre à découvert.
Ça avait commencé.
Les tirs résonnaient dans la ruelle, effrayant les gens et les forçant à rentrer chez eux. Les tanks étaient de sortis ainsi que d'autres véhicules militaires circulaient dans les rues.
-Ceci est un avertissement ! Kim Jong Un est votre nouveau leader suprême. Le couvre feu vient d'être décrété, rentrez chez vous immédiatement. Toute personne aperçut à l'extérieur après vingt heures, sera instantanément exécutée, sans aucune forme de procès.
Jungkook jura en voyant les gens apeurés, fuir loin des soldats. Que faisait Kyungsoo ? Avait-il réussi à diffuser son message ? S'était-il fait prendre avant ? Au vue du mouvement de terreur, il ne l'avait pas encore fait. La nuit commençait déjà à tomber.
Ordonner à tout le monde de rentrer chez eux était d'une absurdité sans égal. Séoul était constamment active, de nuit comme de jour, elle n'allait pas s'arrêter de vivre parce qu'on l'ordonnait. Les gens travaillaient, ils devaient gagner leur vie. Mais le devaient-ils au risque de la perdre totalement ?
Les coups de feu tirés en l'air résonnèrent à nouveau. D'autres soldats tuaient les passants qui ne se laissaient pas faire et se rebellaient. Pour montrer l'exemple.
-Toute personne contrant l'autorité se verra fusillée d'une balle dans le crâne. Ni plus, ni moins. Répétaient les hauts parleurs.
Les lois n'étaient plus d'actualité, le changement allait se produire. D'autres soldats commençaient à propager les propagandes, ventant les mérites du nouveau dictateur. Les affiches du portrait du nouveau président étaient collées par centaines sur chaque mur, tous les hauts parleurs, télévisions publiques et panneaux publicitaires étaient contrôlés par l'État qui diffusait les propagandes.
Les chaînes de télévision étaient coupées, les frontières fermées et les politiciens, abattus ou emprisonnés. La maison bleue ne possédait plus aucun sud-coréen en son intérieur. La présidente elle, avait été pendue sur la façade frontale de la maison bleue, puis filmée pour être diffusée dans tout le pays afin de susciter le désespoir et la crainte des citoyens.
L'armée se déployait à chaque seconde un peu plus dans chaque ville de la Corée du Sud afin de les soumettre à la dictature. Ils allaient tous y passer, l'armée nord-coréenne de plus de neuf millions quatre-cent mille soldats à son service en avait totalement les moyens militaires. Et ils n'allaient pas se gêner.
De plus, l'armée sud coréenne était déjà en train de se faire soumettre pour la plupart. Les soldats n'avaient pas le choix que d'obéir au nouveau leader, quel qu'il soit ou se battre contre jusqu'à la mort. La plupart des chefs, commandants et lieutenants avaient été abattu. Aucun haut gradé n'y échappait.
Kim Jong Un avait envoyé son armée vers celle du Sud afin d'y mener une attaque rapide, surprise et inattendue avant même de propager ses propagandes. Il se devait d'abattre les futurs traîtres rapidement avant que naisse la rébellion, ce que Jungkook voulait. Or la vidéo qui aurait pu être un avantage conséquent n'avait pas été diffusée et il était maintenant trop tard. Les bains de sang venaient de débuter, les morts s'enchaînaient et le sang s'écoulait.
La vidéo avait pour but de prévenir tout le monde afin de se rebeller et surtout se préparer à l'attaque avant tout, seulement comme elle n'avait pas été diffusée, personne ne l'était et ils ne pouvaient que se faire décimer sans riposter.
Les tirs et les alarmes résonnaient dans les bases militaires alors que les corps s'éffondraient à chaque seconde. La plupart avaient réussi à se procurer une arme afin de défendre la base. Les explosions résonnaient, faisaient trembler la terre et la ville.
Les combats avaient débuté. Des hélicoptères nord-coréens survolaient la ville, diffusant les propagandes avec des hauts parleurs afin que tous, soient au courant de l'état des choses. Prendre le pays n'allait pas se faire en une journée, il lui fallait bien plus de temps et les autres pays allaient sûrement finir par s'y mêler, mais en attendant, la capitale était totalement prise d'assaut.
Des incendies débutaient dans la capitale à certains endroits, l'armée sud-coréenne était sortie et se battait contre les soldats ennemis. Les citoyens prenaient peur et se réfugiaient à l'abri, dans les bâtiments. Les balles se perdaient dans l'air et les corps jonchaient peu à peu les rues.
La nuit commençait à tomber tandis que les combats continuaient. Jungkook voulait s'y joindre, mais il se doutait que la vidéo n'avait pas été diffusée, en clair, il ne pouvait ni sortir, ni aider son camp pour la simple et bonne raison que tous attenteraient à sa vie, car il était considéré comme celui qui avait tué la présidente et mené le pays ainsi.
La vidéo était son moyen de révéler la vérité et de l'innocenter. Tant que personne ne la verrait, il serait aux yeux de tous, l'ennemi numéro un et devait rester caché. Mais au final...quand bien même la vidéo serait diffusée, qui allait le croire sans preuve ?
Jungkook se prit mentalement une douche glaciale en pensant à cette chose aussi évidente que stupide. Il n'avait aucun moyen de prouver son innocence, aucune preuve, rien. Si la vidéo avait été propagée avant tout ça, les gens l'auraient cru mais maintenant que c'était trop tard, plus personne n'allait le faire.
Il se laissa glisser contre le mur en regardant le vide alors que dans le fond, résonnait un bruit sonore de balles et de cris déchirants. Il était foutu. Il ne pouvait ni les aider, ni sortir d'ici. Kim Jong Un avait tout prévu et en plus il avait les moyens de créer de fausses preuves pour qu'il ne sorte plus jamais de son trou.
Tout le monde avait vu son visage, comment allait-il vivre maintenant ? Les civils le jèteraient de leurs commerces, lui interdiraient les vivres ou autres achats, lui cracheraient dessus avant de le dénoncer afin qu'il se fasse attraper.
Plus il y réfléchissait, plus l'obscurité dévorait son avenir et ses pensées noires, son âme.
Il était foutu. D'ici quelques semaines, voire mois, il n'aura plus aucun endroit dans tout le pays où se rendre car tous seront au courant. Ce n'était qu'une question de temps. Il mit sa main sur son visage et la passa de façon las dessus avant de la monter dans ses cheveux qu'il frictionna, énervé.
Il avait toujours donné sa vie pour son pays, il l'avait toujours fait passer avant la sienne et celle de sa famille et au final voilà comment son pays le remerciait. Mais ce n'était pas la faute du pays et Jungkook en était parfaitement conscient.
S'il avait mené sa mission à bien et protégé la présidente comme son devoir le lui imposait, tout cela ne serait pas arrivé. S'il avait tué le dictateur avant que lui ne la tue, le pays ne serait peut-être pas devenu ainsi.
Mais ce qui est fait est fait et personne ne pouvait revenir dans le passé pour y changer les faits. Jungkook ne savait pas ce qui était arrivé à Kyungsoo, il lui faisait confiance et savait qu'un empêchement avait sûrement empêché la diffusion.
Les soldats devaient contrôler totalement les médias, il devait donc être difficile pour lui de le mettre malgré tout. Mais de toute façon c'était trop tard et même s'il le faisait, ça ne changerait rien à la situation.
La rébellion avait déjà commencé, les soldats sud-coréens ne se laissaient pas faire et les tirs et explosions à l'extérieur témoignaient de la violence des combats. Et lui était piégé depuis le début. Il se forçait à ne pas sortir aider les siens au risque de se prendre une balle par son propre camp.
En fait, il n'y avait qu'une seule solution.
Jungkook devait fuir le pays. Même s'il ne le voulait pas, il en était obligé pour vivre. La Corée entière le considérait comme son ennemi, il devait demander l'asile politique dans un autre pays. Un pays proche et facile d'accès.
Il soupira et décida finalement sa destination. Demain, dès l'aurore, il contactera le ministère de la Justice japonais afin de bénéficier de sa protection en temps que réfugié politique.
La Chine était plus facile d'accès, mais elle était l'alliée du Nord. Il y réfléchit encore plusieurs heures, alors que la nuit tombait et les tirs continuaient. Il savait comment il devait s'y prendre. Il avait besoin d'aide mais savait sur qui il pouvait compter pour ça.
Il ne restait plus qu'à attendre que le lendemain se lève et que les combats se calment...
***
Les combats firent rage pendant quelques jours, obligeant la population à se faire discrète. Les citoyens étaient effrayés et restaient chez eux pour éviter de se faire tuer à l'extérieur, d'autres fuyaient, abandonnant leur maison pour quitter la capitale. Tout le monde était au courant de la situation dans Séoul.
L'armée nord-coréenne prenait petit à petit du territoire et soumettait par la force et la terreur, les villes aux alentours. Les frontières étaient toujours fermés et les autres pays se préparaient à attaquer la Corée du Nord pour aider le Sud.
Jungkook lui, était sorti le lendemain du commencement de la révolte afin de trouver une cabine téléphonique à l'extérieur, ne possédant plus de téléphone, l'ayant détruit pour que personne ne le trace.
Ce jour-là, il s'était donc faufilé dans la rue, profitant que les combats s'étaient éloignés dans la ville et que l'électricité n'était pas encore coupée par les explosions fréquentes. Il remerciait intérieurement le fait qu'il existait encore ces cabines alors que plus personne ne s'en servait depuis plusieurs années.
Il avait donc appelé le ministère de la Justice du Japon afin de demander son titre de réfugié politique, leur ayant expliqué la situation. Après en avoir discuté avec eux, il avait appelé Zelo, lui expliquant tout de A à Z.
Celui-ci était soulagé qu'il soit encore en vie et se doutait qu'il n'avait pas fait ça. Le connaissant, Zelo savait pertinemment que jamais, Jungkook n'aurait pu tuer la présidente. Il n'y avait donc pas cru et croyait totalement Jungkook.
Le brun lui avait alors demandé de l'aide, que Zelo avait accepté avec plaisir. Jungkook devait quitter le pays pour rejoindre le Japon or toutes les frontières étaient fermées.
Zelo l'avait informé que le commerce maritime était potentiellement fermé, en attendant que les choses se calment mais que, dès lors il serait ouvert, celui-ci l'aiderait à s'enfuir par les bateaux.
Il avait donc demandé au brun de le rappeler au bout d'une semaine pour voir si les choses avaient changés ou non car Zelo ne pouvait pas l'appeler, Jungkook n'ayant plus de téléphone.
La semaine fut longue et ennuyante pour le brun qui n'avait rien à faire. Après son appel il avait usé de ses techniques d'infiltrations et avait pénétré une petite supérette fermée, comme la plupart des magasins à cause des combats, puis il avait pris de quoi tenir une semaine sans rien chauffer ou garder au frais.
Il avait ensuite déposé des billets sur la caisse, refusant de voler tout ce qu'il avait pris et était retourné discrètement dans la maison abandonnée, toujours le visage caché par sa capuche et un masque qu'il avait pris dans la supérette.
N'ayant rien à faire, il se perdait dans ses pensées et sentait sa culpabilité le dévorer un peu plus à chaque instant. Sa famille était probablement morte désormais et tout était de sa faute. Il s'en voulait énormément et rester seul, obligeait son esprit à le torturer un peu plus avec ça.
De plus il haïssait le fait de ne pas pouvoir se battre aux côtés de sa fratrie. Ça le bouffait complètement, Jungkook avait une âme de combattant et rester là à rien faire jusqu'à temps de fuir ne lui plaisait absolument pas. Il se sentait aussi misérable qu'un pitoyable lâche. Et ça l'énervait.
Le moment était donc venu de rappeler Zelo. La semaine était passée avec une extrême lenteur au grand damne de Jungkook, qui pouvait enfin sortir de son trou à rat. Il retourna discrètement jusqu'à la cabine téléphonique la plus proche, observa les alentours pour être sûr de ne pas être interrompu et mit des pièces à l'intérieur avant d'appuyer sur les touches du télephone fixe. Le numéro composé, il le porta à son oreille tout en surveillant les alentours.
-Oui ?
-C'est moi.
Zelo reconnue la voix de Jungkook et poursuivit.
-C'est bon, dans quatre jours viens au port, je pourrais te faire passer dans un cargo.
-Ça marche merci.
-Pas de probleme. N'oublie pas de te changer.
-Ouais.
Il racrocha avant de quitter rapidement la rue et retourner chez lui. Encore quatre jours à vivre enfermé et à manger des gâteaux et des trucs comestibles sans devoir les chauffer. Ça commençait sérieusement à l'agacer.
En plus il n'avait aucun moyen de se laver à part l'eau de ses bouteilles pour nettoyer vite fait ses mains et ses cheveux quand il le pouvait. Vivre dans la crasse ne l'enchantait vraiment pas, mais il n'avait pas le choix.
Il repartit donc s'approvisionner dans la même supérette de la même façon et continua de vivre les quatre jours dans la maison délabrée. Les combats étaient toujours présents dans la ville, les explosions et les tirs résonnaient souvent dans l'air, démontrant la violence de ceux-ci.
Jungkook ne dormait que très peu, d'où la présence de ses cernes imposantes, et le confort n'était absolument pas présent. Le sol était son seul ami ici et heureusement que ça ne le dérangeait pas plus que ça.
Hormis les nuits froides qu'il devait supporter sans couverture, il s'en sortait assez bien. Le troisième jour arriva tandis qu'il sortit prendre ce dont il avait besoin pour s'enfuir. Il posa tout ce qu'il avait pris chez lui et attendit le quatrième jour.
Lorsqu'enfin le soleil se leva, il se prépara et se changea. Il modifia la couleur de ses cheveux avec la teinture qu'il avait acheté, faisant attention à ne pas en mettre partout sur lui, puis retira le produit avec l'eau de ses bouteilles.
Une fois sec, les cheveux entièrement noir de jaie, il mit les habits féminins qu'il avait achetés de la même manière qu'il avait pris la nourriture et mit les siens dans un sac à main qu'il avait pris.
Se travestir n'était pas un jeu pour lui, mais un moyen de fuir le pays. Il mit la perruque de cheveux longs noirs sur les siens et arrangea le tout pour ressembler à une véritable femme. Il devait avouer que son visage lui servait à quelque chose pour une fois, lui qui n'aimait pas ses traits fins.
Il tenta de se maquiller comme il put avec ce qu'il avait, tentant de se souvenir comment sa mère faisait avant. Il avait l'impression de mener un combat tellement c'était chiant et ça lui collait à la peau. Il n'aimait vraiment pas ça.
Une fois terminé, il sortit et se rendit discrètement au port. Les vêtements féminin qu'il portait lui allait excessivement bien et il se fondait parfaitement dans ceux-ci. Une fois arrivé au port, il y vit l'armée nord-coréenne surveiller les lieux et chercha Zelo du regard.
Lorsqu'il le vit, il s'approcha comme si de rien était et le rejoignit, sous les regards lourds des soldats. Il resta malgré tout impassible et Zelo l'entraîna dans un coin tranquille avant de sourire, se retenant de rire.
-Tu es très belle.
-Ferme-la tu veux ? Déjà que je supporte pas d'être comme ça.
-Allez je te taquine, ça fait super longtemps qu'on s'est pas vu !
-Hum.
-Dommage que ça se soit passé comme ça, j'aurais préféré profiter d'être avec toi, après tout ce temps où tu étais parti.
-Ouais...Moi aussi.
-J'ai tout réglé personnellement dans le bateau, normalement il n'y aura pas de problème, tu peux y entrer sans crainte.
-Merci pour tout Zelo.
-Aucun soucis ! Je peux bien faire ça pour mon pote !
Ils se firent une rapide accolade avant de se dire au revoir et de se quitter. Le bateau allait bientôt partir. Jungkook se dirigea vers celui que lui avait indiqué Zelo en affirmant qu'il avait tout arrangé et que personne ne l'arrêterait.
Il s'avança donc vers le bateau, mais repéra un soldat à côté de celui-ci qui le fixait. Il le connaissait. Ce soldat l'avait déjà vu lorsqu'il était en service au Nord. Il resta malgré tout impassible et s'avança vers lui, pour pénétrer dans le bateau.
L'entrée était juste à coté de lui. Lorsqu'il passa devant le soldat, celui-ci l'interpella, faisant violemment accélérer son coeur. S'il le reconnaissait, il était totalement foutu.
-Tourne-toi.
Jungkook ne bougea pas quelques secondes, dos à lui avant d'expirer discrètement et de se retourner, sans montrer aucune peur. L'homme sourit, et s'approcha dangereusement de lui avant de lui caresser la joue.
-T'es plutôt pas mal toi.
Son coeur pulsa dans son corps tandis qu'il se retenait de lui couper le poignet. Il ne l'aimait déjà pas lorsqu'il était dans le Nord. C'était un homme arrogant, un enfoiré qui n'avait aucune pitié et qui considérait les femmes comme des objets sexuels. Il détestait son comportement et sa façon d'être et ne supportait pas qu'il le touche.
-Tu ressembles beaucoup à cet enfoiré...
Son coeur rata un battement avant d'accélérer un peu plus. Malgré tout, il garda son masque impassible et ne réagit pas. L'homme le fixa, plissa les yeux avant de laisser traîner son regard de haut en bas, comme s'il dévorait sa proie du regard. Il finit par sourire et claqua sa main sur son cul avant de se reculer.
-Allez casse-toi avant que je ne change d'avis.
Jungkook ne fit aucun commentaire et retint son poing qui le demangeait, puis partit dans le bateau et monta dedans. Il l'avait échappé belle. S'il l'avait fixé un peu plus longtemps, Jungkook était persuadé qu'il l'aurait reconnu. Quoi qu'il en soit désormais il pouvait rejoindre le Japon, il avait passé le plus dur.
Il n'avait plus qu'à attendre de rejoindre l'archipel japonaise.
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