Chapitre 7
/!\ ATTENTION : Ce chapitre comporte des scène de violence et de viol, âmes sensibles sensible s'abstenir.
(Ellipse de deux semaine)
Je suis assise dans le canapé et regarde la télé. Je suis seule dans notre appartement, Jason est parti chez des amis passé la soirée. Il doit être pas loin de minuit quand je prends mon téléphone et essaie de l'appeler pour connaître son heure d'arrivée, mais je tombe sur la messagerie. Je réessaie plusieurs fois sans succès alors je laisse tomber, il fait ça souvent en ce moment, il part vers dix-huit heure et tard dans la nuit ou le lendemain matin. J'éteins la télé et part me coucher. Je tourne un peu dans le lit, inquiète, car d'habitude, il a au moins la décence de me prévenir au cours de la soirée, et là rien du tout. Après quelques minutes à cogiter, je finis tout de même par m'endormir.
C'est environ une heure après avoir rejoint le doux pays des rêves que j'entends du bruit dans le salon qui me réveille en sursaut. Si c'était un cambrioleur ? Ou un tueur en série ? Je décide de me cacher sous ma couette. La situation m'amusait légèrement, car il est vrai qu'une couette sauve les gens d'un tueur. J'imagine la scène du tueur qui entre dans ma chambre quand j'entends des choses se briser. Allé Enalya, tu peux le faire. Je rassemble le plus de courage que j'ai et me lève pour voir qui est dans l'appartement, mon téléphone dans une main et une tasse à café dans l'autre. Ridicule, pensais-je. Je m'avance prudemment dans le salon et pousse cri en voyant la personne se tourner vers moi.
- Jason, mon dieu, tu m'as fait peur ! Mais tu as vu l'heure qu'il est ? Putain, je me suis inquiétée et toi, même pas, tu me réponds quand je t'appelle, et en plus, tu empestes l'alcool, dis-je énervé.
- La ferme ! Cria t-il.
- Pardon mais tu plaisantes ? Tu te barre à dix-huit heures sans rien me dire, tu rentres il est une heure du matin bordel, m'énervé-je encore plus. Et en plus tu me dis de la fermer ? Mais ça va p...
Il s'avance vers moi, me plaque contre le mur et me met un coup-de-poing au visage. Ses yeux lancent des éclairs tellement il est furieux, mais à cause de quoi ou de qui ? Je ne sais pas mais il me fait peur.
- Parle moi sur un autre ton, dit-il avant de me remettre un autre coup dans le ventre. Allez chérie on va s'amuser un peu tous les deux.
Je tombe au sol ne pouvant plus respirer. Il m'attrape par les cheveux et me traîne jusqu'à la chambre ou il me jette sur le lit. Je me retourne vers lui pour le frapper à mon tour mais par je ne sais quelle sorcellerie je me retrouve plaqué contre le matelas de manière à ne plus pouvoir bouger. Je l'entends fouiller dans un tiroir, puis il tire sur mon short pour me l'enlever. Je tremble et j'ai peur mais je ne me débats pas. Pourquoi ? Parce que la dernière fois que j'ai essayé, il m'a frappé deux fois de plus. Alors je serre les jambes mais c'est comme si j'étais le pot de terre et lui le pot de fer, il gagnera toujours face à moi.
Je l'entends déboucler sa ceinture et il entre en moi sans aucune douceur pour entamer de violent va et vient. Je me mets à pleurer silencieusement, il me fait mal mais je le laisse faire comme à peu prêt tout le temps, je voudrais crier à l'aide, le frapper mais cette peur qui s'immisce en moi me paralyse. Une fois qu'il eut fini, il se retira et s'écroula sur le lit. Je remets mon pyjama et rejoins rapidement la salle de bain que je verrouille afin qu'il n'entre pas. Cela faisait maintenant deux semaines qu'il recommençait à me frapper et à me violer. La première fois, je me suis débattue, il m'a frappé deux fois plus et bien sûr, il m'a violée. Et cela dure depuis deux semaines.
Il me viole toujours sous l'emprise de l'alcool, autant vous dire qu'il sort souvent le soir donc il rentre bourré souvent. La plupart du temps, au lycée ou en général, il se comporte comme à son habitude, c'est-à-dire qu'il est gentil avec moi et avec les autres et aucune de ses paroles n'est déplacée, mais lorsque vient le soir et que je suis chez lui, c'est autre chose. Alors vous allez vous demander pourquoi je suis encore dans cet appartement ? J'ai voulu ne plus retourner chez lui le soir où je me suis cassé la main, car son attitude était inacceptable, mais il ne l'avait pas entendu de cette oreille. Il avait commencé par faire des allusions au fait que je n'étais plus avec lui le soir à l'appartement, ensuite, il m'envoyait des tonnes de messages plus violents les uns que les autres, mais j'avais bloqué son numéro pour ne plus les voir et c'est quand il m'a coincé, un jour au détour d'un couloir que j'avais accepté de revenir. Il me menace de faire courir une rumeur comme quoi je l'avais trompé, que mon événement sur Paris n'était qu'un prétexte pour aller voir mon amant et que je n'étais qu'une grosse salope" comme il l'avait si bien dit.
Après m'être lavé plusieurs fois, je sors de la douche et m'entoure d'une grande serviette blanche que je serre fort contre moi, comme si, cette dernière allait me protéger du monstre qui dort dans mon lit. J'avais des bleus un peu partout sur le corps et un nouveau s'ajoute à ma collection, je voyais apparaître un bleu ma pommette. Ma vue se brouilla et je me mit à pleurer. Je n'en pouvais plus. En plus, je ne pouvais pas me défendre correctement, car j'avais encore mon plâtre que je devais garder deux semaines de plus. J'aurais pu lui donner un coup avec, il était assez leurs pour l'assommer.
Je m'assois sur le sol attendant que le temps passe, que la blessure passer, mais rien n'y fait, seul le temps s'écoule, mais le mal que j'ai au fond de moi grandit encore et encore, si bien qu'il m'étouffe, qu'il m'empêche de me lever. Il faut que je me libère de cette sensation d'oppression qui s'est emparée de moi. Alors je fais un geste que je regretterai sûrement, je saisis une lame et au creux de ma cuisse je trace une ligne, puis deux, puis trois et cette angoisse qui me gagne petit à petit disparu. C'est comme l'effet d'une drogue, je me sens bien.
Je reprends rapidement conscience de ce que je fais lorsque je sens une goutte de sang glissé sur ma peau. Je lâche la lame que j'ai dans la main et attrape de quoi soigner cette blessure. Après avoir joué au docteur, je m'habille et retourne dans la chambre que je trouve vide. Jason a dû vouloir boire encore et il est allé s'échouer telle une baleine sur le canapé. Je referme la porte et m'allonge dans le lit où je m'endors plus rapidement que je l'ai pensé.
[...]
- Enalya réveille toi, me dit Jason en me secouant doucement.
J'ouvre les yeux difficilement, gémis de douleur en touchant ma pommette. Je dois avoir un bleu. Lorsque je me rends compte de la proximité entre Jason et moi j'ai un mouvement de recule qui à l'air de le peiné. Attends là pause ! Il a de la peine parce que je m'écarte de lui ? Il à l'air de ne pas se souvenir de ce qu'il a fait pourtant ses gestes sont ancrés dans mon esprit à jamais. Toutefois je me reprends.
- Quoi pourquoi tu me réveilles, demandai-je avec une voix endormie en me tournant vers le réveil, il est que neuf heures.
- Joyeux anniversaire, mon cur, dit-il en m'embrassant, et ton frère et Julie sont là.
C'est mon anniversaire, j'avais complètement oublié. Aujourd'hui, je fête 18 ans ! Je le remercie et me lève pour inspecter mon visage. Je le savais, j'ai un bleu. Enfin il est plutôt noir mais c'est qu'un détail.
- Tu leur diras qu'on a chahuté hier soir et que tu t'es pris mon coude dans l'il, s'exclame t-il fermement en sortant de la chambre.
Je prends un short en jean, un débardeur noir et blanc, attache mes cheveux et me rends dans le salon ou mon frère et Julie m'attendent. J'espère qu'ils ne vont pas trop poser de questions, l'excuse de Jason n'est pas mauvaise, mais Julie avait un sixième sens très aiguisé, rien ne lui échappe, à mon plus grand malheur pour cette fois.
- Salut, dis-je en faisant un signe de la main.
- Hey ma beauté joyeux anniversaire... Mais qu'est-ce qui t'es arrivée, me demande Julie en voyant mon visage.
- Merci et rien juste après notre film hier soir, Jason a commencé à me chatouiller, c'est parti en bagarre et son, je me suis prise son coude dans le visage, mentis-je.
Je ne la laisse pas répondre et me cherche une tasse de café pour me réveiller un peu. J'avais assez mal dormi cette nuit, je n'ai pas arrêté de me réveiller toutes les heures pour voir si Jason était avec moi dans la chambre et à chaque fois je constatais que la porte était toujours fermée et que j'étais seule dans le lit. J'avais pu trouver le sommeil vers sept heures du matin. Je liquide brun glisse le long de ma gorge et son goût amer me donne une claque, je rajoute un peu de lait et du sucre pour rejoindre mes visiteurs.
- Alors que me vaut cette visite, demandais-je.
- On t'embarque faire les boutiques, me dit Julie.
- Et toute la journée, ajouta mon frère.
En disant ça, il regarde méchamment dans la direction de Jason qui à l'air de se foutre de ce que nous pouvons dire. Était-il au courant ? Peut-être était-ce pour ça qu'il est rentré furieux hier. Mais alors pourquoi me frapper ?
- Budget presque illimité, me dit mon frère avant de me faire un bisou sur la joue, joyeux anniversaire ma belle.
- Allez vient, je vais te maquiller parce que là, tu as une sale gueule, me dit Julie en se dirigeant dans la salle de bain.
Je la suis et m'installe sur le rebord du lavabo pendant qu'elle rassemble tout mon maquillage.
- On va faire les boutiques tout de suite pour te trouver un maillot de bain et une jolie tenue pour ce soir ensuite, on ira manger des sushis et on passera chez moi pour se changer car on doit rejoindre Alex et Mariana à la plage avant seize heures, dit-elle en plaçant du fond de teint délicatement sur ma pommette.
- Mais j'en ai un de maillot tu sais, lui dis-je en grimaçant.
- Je sais. Mais ce n'est pas grave et prépare des affaires de rechange, pyjama et tout le bordel, tu dors chez moi ce soir.
- Et Jason, demandais-je anxieuse.
- Ce n'est pas son anniversaire donc il ne vient pas, me dit-elle avec un clin d'il.
Je me sens soulagé de sa réponse, je redoutais qu'il soit invité. Son comportement de la veille était inadmissible et je ne voulais clairement pas le voir ce soir. Je file dans ma chambre, prends un sac et y range quelques bijoux, mon pyjama, une tenue pour demain, une serviette, je passe dans la salle de bain et prends mon maquillage ainsi que mon chargeur de téléphone. Je mets mes sandales noires et dorées et j'attends les deux amis.
- Bon, on te la garde jusqu'à demain voir après-demain, balance Julie avant que l'on sorte de l'appartement.
J'embrasse rapidement sur la joue "l'homme de ma vie" et rejoins mon frère et Julie qui m'attendent dehors. Je monte dans la voiture en direction des boutiques. D'après ce que j'avais compris, c'était une journée assez remplie pour moi, j'avais hâte de découvrir ce qu'ils m'avaient tous préparé.
- Au fait, tiens, me dit Julie en me donnant son téléphone, tu as un message vidéo.
Je saisis l'appareil qui est ouvert sur une discussion, alors j'appuie sur la vidéo et surprise, je vois Norman qui me souhaite un bon anniversaire et de profiter de ma journée. Je lui réponds par une vidéo à mon tour ou je le remercie d'y avoir pensé même si je me doute que c'est la blonde devant moi qui lui a dit. J'en profite aussi pour vadrouiller dans le fil d'actualité de Julie quand je tombe sur une photo du compte de Jigmé qui montre Emy assise face à lui dans un train. Je me demande où ils peuvent bien aller, mais je ne lui demanderai pas, ça serait déplacé de revenir comme une fleur après notre dispute.
[Flash-back]
Ça fait bien une demi-heure que j'attends Jigmé pour pouvoir l'appeler en visio, il m'a dit qu'il en aurait pour dix minutes et résultat, je poireaute devant mon ordinateur en profitant pour réviser un cours qui est sur l'appareil. C'est alors que l'écran changea de couleur signe que Jigmé était enfin disponible.
Moi : il était temps, j'ai presque failli attendre !
Jigmé : excuse moi, j'ai cru que j'allais jamais finir ce putain de montage. Bref sinon ça va toi ?
Moi : oui, ça va et toi ?
Jigmé : j'ai mal partout, j'ai fait une soirée chez Marc et j'ai dormi par terre par manque de place. Eh, mais c'est quoi ce que tu as au front ?
Moi : rien, en sport au lycée, je suis tombée et il y avait un banc. Je te laisse reconstituer la scène tout seul.
Jigmé : c'est ce qu'il t'a dit de dire non ?
Moi : mais de quoi tu parles ? Je suis vraiment tombée.
Jigmé : je ne te crois pas, à chaque fois que je te vois, tu as un bleu quelque part sur le visage ou sur les bras, tu vas me dire qu'il ne te frappe pas ?
Moi : ne dis pas n'importe quoi !
Je le vois baisser la tête et souffler bruyamment comme s'il était énervé. Mais je n'y pouvais rien, j'étais vraiment tomber en sport à cause d'un filet de volley mal rangé.
Jigmé : je ne dis pas n'importe quoi, c'est la vérité aussi triste, soit elle, ton copain te frappe, et ne me dis pas non. Je vois bien que tu n'as pas trop le moral ces temps ci, et je me doute bien qu'il y a un problème mais si tu ne me dis pas ce qu'il y a je ne peux pas t'aider !
Moi : j'ai pas besoin d'aide ! Mon petit ami ne me frappe pas, tu te fais des idées !
Jigmé : arrête Enalya ! Arrête de te mentir à toi-même ! Ta relation avec ce type n'est pas saine ! Laisse-moi t'aider.
Moi : mais bordel, je n'ai pas besoin d'aide et encore moins de la tienne, si j'ai un problème, je le réglerais seule. Je ne m'occupe pas de tes affaires, alors ne t'occupes pas des miennes !
Je vis son regard s'assombrir et il baissa la tête.
Jigmé : très bien... Si tu le prends comme ça ne sert à rien de continuer à parler, dit-il avant de raccrocher.
[Fin du Flash-Back]
Depuis nous ne nous sommes pas parlés et je dois avouer que j'ai été une vraie débile de lui avoir dit ces horreurs, il voulait simplement m'aider et je l'ai repoussé alors qu'il aurait peut-être pu me sortir de cet enfer. J'ai directement regretté mes paroles lorsqu'il avait coupé court à la conversation et je m'en veux encore, mais je ne sais pas comment aborder ça avec lui. Il s'est peut-être dit qu'il avait perdu son temps avec une gamine comme moi et qu'il ne veut tout simplement plus entendre parler de moi.
- On est arrivé, fit Julie en sortant de la voiture me sortant par la même occasion de mes pensées.
Je regarde le complexe avec des étoiles dans les yeux comme un enfant à qui on offrirait des bonbons. Faire du shopping était une passion pour beaucoup de filles, je pense.
Après un grand nombre de boutiques parcourues, nous décidons de nous restaurer dans un très bon restaurant qui fait uniquement des sushis, une fois à table et servis, nous commençons à manger en parlant de la pluie et du beau temps quand Julie remis le sujet Jigmé sur le tapis.
- Au fait, Jigmé m'a dit que vous vous étiez disputés, vous ne vous parlez plus, demanda Julie.
- Non, répondis-je.
- Pourquoi ?
- Il se mêlait d'histoire qui ne le regarde pas, lui dis-je en lui faisant comprendre que le sujet était clos.
Je n'avais pas envie d'en parler, mon cerveau me torture assez avec cette histoire au quotidien.
Après avoir mangé nous nous dirigeons vers une boutique qui ne vend que des maillots de bain, accessoires de plage et tout ce qui concerne l'été. Andy lui part dans une boutique de jeux vidéo, nous laissant entre filles. Je me balade dans les rayons sans grande inspiration lorsque je vois au loin un magnifique bikini blanc avec au bout des fils, il y avait du métal couleur or. Il est magnifique, mais quand je regarde le prix, je le repose sur le présentoir. Trente euros un bikini, il ne faut pas abuser non plus.
- Il te plaît ? Va l'essayer, me conseilla Julie.
- Il est trop cher, je ne peux pas.
- Cadeau d'anniversaire ! Maintenant va mettre ton petit cul dans une cabine et essaie moi ça, me dit-elle en donnant les vêtements.
- D'accord, dis-je en rigolant.
Je me dirige dans les cabines comme me l'avait ordonné Julie et me changea. Une fois vêtu, je me regardais dans le miroir, il allait parfaitement avec ma peau légèrement bronzé, mais une seule chose n'allait pas : le bleu énorme que j'avais au niveau des côtes. À cette vue, mes yeux s'embuèrent de larmes. Le coup que m'avait donné Jason était bien visible. Voilà à quoi ressemblait mon corps, taché d'ecchymoses.
- C'est moi, alors fait voir, demanda Julie en entrant dans la cabine, Enalya qu'est-ce qui à pourquoi tu pleures ?
J'enlève mes bras et lui montre le bleu. Ses yeux s'agrandissent puis, sans un mot, elle me prend dans ses bras. J'avais besoin de ça, de quelqu'un qui me prend dans ses bras et qui ne lèvera pas sa main sur moi juste après. Nous restons ainsi une dizaine de minutes puis elle se met face à moi et me tend un mouchoir à la main pour que j'essuie mes yeux.
- Écoute, si tu veux, on en reparle plus tard, on ne dira rien à ton frère ni aux deux autres, je trouverai une excuse pour toi, mais en tout cas, tu es magnifique dans ce bikini. Enlève-le et donne le moi, je vais payer.
- Tu ne prends rien, demandai-je en essuyant mes joues.
- Si j'ai pris une paire de lunettes, car j'ai cassé les miennes. Aller petit cul dépêches toi ton frère vas râler sinon.
Elle sort de la cabine et je me change. Une fois changé, je sors et lui donne le maillot. Une fois nos achats payés, nous sortons du magasin, mon frère nous emmène dans une boutique qui vendait des robes aussi belles les unes que les autres. Il avait vu que je n'allais pas bien, mon maquillage avait coulé et son seul geste fut de m'embrasser la tempe.
- Bon, il est exactement quatorze heures quarante-cinq, dans une heure, il faut qu'on soit sorti compris si on veut être à l'heure pour aller à la plage, demanda mon frère.
Nous lui faisons un signe positif de la tête et nous partons chacun de notre côté. Au bout de 10 minutes, les deux revinrent me voir le sourire aux lèvres alors que j'étais en train de regarder une robe bleue avec des paillettes blanches.
- Oui ? Vous savez que vous me faites peur avec vos sourires-là ?
- Avec Andy, on a eu une idée, me coupe Julie.
- Tu choisis deux robes et deux paires de chaussures, me dit mon frère.
- Mais...
- Ne discute pas et choisis, ordonna Julie.
Je me déplace dans les rayons quand une robe attire mon attention. Le bustier était noir et la jupe était blanche avec des dessins noirs. Je récupère ma taille et continue à faire le tour des rayons, ma trouvaille dans les bras. Elles sont toutes plus belles les unes que les autres, je n'ai pas l'habitude de porter ce genre de robe. Enfin si, mais seulement pour les fêtes ou les mariages.
- Enalya regarde moi cette beauté, elle tirait tellement bien. Va l'essayer tout de suite, et essaye l'autre que tu as dans les mains, me dit Julie en me poussant dans les cabines.
A suivre...
Et voilà le chapitre 7 sans retard cette fois 😂
Alors qu'en pensez vous?
Le violence de Jason envers Enalya ? Son anniversaire ?
La dispute avec Jigmé? Pensez vous vraiment qu'ils rejoindront Alex et Mariana à la plage?
Dites moi dans les commentaires 😄
Je ne mettrais plus deux jours à poster les chapitres mais trois car pour écrire des chapitre en ce moment c'est un peu compliqué car je suis en vacances et la wifi marche quand elle veut 😅
Donc je vous souhaite une bonne soirée et je vous dit à dans trois jours 😘
Peace✌💖
PS: Voici la tenue complète d'Enalya :
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