Saut N°2
Il aurait dû sortir 3 jours avant mais anyway. En tout cas j'espère que ce Saut va vous plaire ! On continue (ormis pour Roi sans Couronne) les mêmes histoires ! Cependant une nouvelle histoire arrive, seul les anciens seront de qui il s'agit !
J'vous shouaites une bonne lecture et bonne année !!
Sommaire:
-Les secrets de la nuit de Xiyoo25 : chap.2
-Aurum T.1 Les cendres de Kael de LeRoiKing : chap.1
-Ombre du destin de Jis-KT : Trailer et chap.1
-Détective de l'espace de LeRoiKing : chap.2
|Titre: Les secrets de la nuit
|Numéro du chapitre: 2
|Écrivaine: Xiyoo25
|Prix: X
|Description: Cette histoire raconte la vie captivante et mystérieuse de Yushiro Katanagi, un adolescent de seize ans passionné par l'astronomie, vivant à la campagne avec sa grand-mère. Son amour pour l'observation des étoiles le conduit chaque soir sur une colline près d'un lac, où il contemple les constellations dans un cadre isolé et paisible. Cependant, ce rituel apparemment innocent cache des éléments troublants, sanglants, et fantastiques. (Âmes sensibles, s'abstenir, #Xiyoolasanguinaire )
|Résumé du dernier chapitre: Flemme
| Yushiro n'en revenait pas. Sa grand-mère en savait donc bien plus qu'elle ne voulait bien le laisser entendre. Il s'était toujours douté qu'elle lui cachait quelque chose. Mais il n'aurait jamais pu deviner que cette chose avait une dimension inhumaine.
Il appréhendait ce qu'elle pouvait lui dire. Son cerveau se faisait une joie de le ronger de questions sans réponse. Peut-être l'ignorance serait-elle plus douce que la vérité ? Il y avait pensé... mais son âme aspirait à des réponses.
Toute sa vie, il avait été maintenu dans une jolie prison dorée, loin de ce qui aurait dû être sa vérité. Il aurait dû partager ce fardeau avec sa grand-mère ! Mais pour une raison quelconque, elle ne l'en avait pas jugé digne...
Alors, il en avait marre de vivre dans l'ignorance. Cette impression d'être spectateur de sa vie n'avait que trop durée.
Il se dit que, qu'importe ce qu'elle lui dirait, il était prêt à l'entendre. Il préférait ça au sentiment d'impuissance presque tatoué sur sa peau par l'aiguille des ans. Ainsi, sa détermination renouvelée, le jeune katanagi acquiesça.
—Te souviens-tu de cette boucle d'oreille que je t'ai donné à ton sixième anniversaire ? Demanda la vieille dame.
Le jeune homme cru à une blague tant sa question était ridicule. Cependant, l'ambiance pesante dans la pièce l'empêchait de prendre cela à la légère.
—Oui... Je la porte tout le temps à l'oreille gauche comme tu me l'as dit. Mais... tu ne m'as jamais expliqué la signification du kanji brodé dessus.
La veille dame inspira profondément, sachant qu'elle s'apprêtait à révéler en quelques instants ce qui avait pesé sur ses frêles épaules toutes ces années.
—Cette boucle d'oreille se transmet de génération en génération dans la famille katanagi. Le kanji brodé dessus protège des nomus qui sont alors incapables de percevoir ta présence, mais l'eau de ce lac annule l'effet du talisman sous vingt-quatre heures. C'est pour cela qu'il ne sentait pas ta présence mais a été alerté par le fait que tu ais touché l'eau.
Sa voix était lente et posée tandis qu'elle expliquait cela. On aurait pu croire qu'elle avait préparé son texte à l'avance, ou avait eu bien trop de temps pour y penser.
—M-mais que va-t'il se passer... une fois les vingt-quatre heures écoulées... quand les nomus pourront me voir, demanda Yushiro d'une voix tremblante, s'imprégnant à peine des paroles de sa grand-mère.
—Les nomus ? Eh bien... ce sont des êtres imparfaits, incapables d'interagir avec le monde qui nous entoure... Ils cherchent donc à s'abreuver du sang d'un membre d'une des cinq grandes familles pour palier à ce problème et... détruire le monde, je suppose. Je préfère ne pas le savoir... Ce talisman nous protège d'eux.
Yushiro réfléchit quelques instants, ses yeux scrutant chaque recoin de la pièce. Puis, il prit conscience d'une chose. Une vérité qu'il avait tant désirée, au point de la perdre de vue. Son visage se décomposa, ses yeux écarquillés alors qu'il suait à grosses gouttes. Il ouvrit plusieurs fois la bouche sans qu'aucun mot ne sorte. Depuis quand sa gorge était aussi sèche ?
Il déglutit difficilement, serrant le poing comme pour calmer la symphonie macabre des battements tonitruants de son cœur
Ça ne pouvait pas être vrai... hein ?
Il devait en avoir le cœur nette... C'était une nécessité.
Alors, il prit finalement la parole d'une voix tremblante, peinant à finir sa phrase :
—Alors... l-la mort prématurée de mes parents... ce serait...
—Oui, c'est la faute des nomus, répondit la vieille dame du tac-au-tac, préférant arracher le pansement d'un coup sec.
...
Ah...
À cet instant, c'était comme si quelque chose s'était brisé en Yushiro. Il resta livide un instant, sans voix et tentant d'assimiler tout ce qui venait de se passer.
Il avait l'impression de nager en plein rêve. Pas le genre de rêve dont on ne voudrait pas se réveiller. Non, c'était un cauchemar insoutenable.
Ses parents étaient en fait morts à cause de ces monstres. Ces choses... Jamais il ne s'en serait douté. Il n'en savait rien, et elle si...
Il ne put s'empêcher de se sentir trahi.
Sa grand-mère ne l'avait jamais tenu informé de tout cela. C'était ses parents !
Il étaient morts et elle ne lui avait rien dit ! Rien, rien, rien !
À cet instant, une émotion bien familière vint noircir son cœur : la colère. Une rage intense mêlée à la frustration de son impuissance. Le jeune homme, d'ordinaire si effacé, était en proie à ses émotions négatives.
Alors qu'il s'apprêtait à les laisser exploser à la figure de sa mamie, il se rendit compte d'une chose : si elle a fait ça c'était pour le protéger.
»Que je suis pathétique... » Siffla-t-il entre ses dents, trop bas pour que sa grand-mère l'entende.
C'était de sa faute si elle ne lui avait rien dit. Il était bien trop faible pour changer quoi que ce soit. La preuve, en voyant cette chose, il avait détalé comme un lapin !
Yushiro serra le poing, mais cette fois-ci de frustration. En l'état actuel des choses, il pouvait juste subir et pleurer. Subir et pleurer, encore et encore. S'apitoyer sur son sort...
Il tenta de rester digne. Ce n'était pas dans ses habitudes de pleurer. Il préférait sourire ou rester silencieux. Mais les larmes lui montaient aux yeux, ou plutôt à l'œil, tel un barrage sur le point de céder au poids de... tout.
En effet, depuis sa plus tendre enfance, Yushiro ne pouvait pleurer que d'un seul œil, le droit. Il en ignorait la raison encore aujourd'hui. Il ignorait tant de choses de sa propre vie...
Finalement, une seule larme coula sur sa joue droite, solitaire. Il se ressaisit quelques minutes plus tard, déglutissant difficilement, et repensa au parole de sa grand-mère, remarquant une incohérence. D'une voix peu assuré, il osa la relever, malgré la peur de l'inconnu.
—Mais... c- ce n'est pas illogique ? Tu as dit qu'en s'abreuvant du sang d'un Katanagi, un nomu pourrait mener le monde à sa perte. Pourtant, ils... ils les ont...
Il n'osa pas terminer sa phrase, déglutissant difficilement. Pour lui, énoncer à haute voix la mort de ses parents par les nomus ne ferait que le rendre plus réel. Il savait déjà tout, mais il ne voulait pas l'admettre, préférant se bercer d'illusions.
Sa grand-mère le fixa un instant, un souvenir lointain semblant se dérouler devant son regard onyx. Au début, un sourire amer naquit sur ses lèvres, sûrement dû à de bons moments passés. Mais la réalité du passé vint tuer cette expression dans l'œuf. La vieille dame inspira alors profondément avant de répondre.
—C- c'est parce qu'ils sont...eux même devenus des nomus. Par choix. Afin d'empêcher un nomu de se compléter...
Yushiro cessa aussitôt tout mouvement, relevant instinctivement le regard vers sa grand-mère. Face à cette révélation des plus inattendues, il ne put s'empêcher de réagir bruyamment. Dans cette situation, sa spontanéité ne pouvait que prendre le dessus.
—Quoi ! Mais- mais... comment ?
—En effectuant ce qu'on appelle... le rituel maudit. Et je te préviens tout de suite. Il est hors de question que je te l'explique. Deux morts, c'est bien assez...
Le regard acéré de la vieille dame montrait qu'elle ne reviendrait aucunement sur ses mots. Rien ne la ferait dévier de sa position. Posant une main sur son front, désormais en proie à une migraine, elle reprit, sa voix menaçant de se briser à mi chemin.
—Je ne te le dirai qu'en dernier recours... si tu choisis cette option. Maintenant Yushiro, je ne peux plus garantir ton destin, qu'importe oh combien je le voudrais. Deux choix s'offrent à mon garçon... trois si considere la mort... tuer les nomus ou en devenir un...
À ces mots, un souvenir bien particulier flasha dans l'esprit du jeune homme. Celui-ci de la peur viscérale qu'il avait ressenti face à ce nomu. De la sensation de sa chaire tiraillée à la vue de ses griffes alors qu'elles ne l'avaient même pas touché. Du regard emplit de sang qui l'avait happé d'un regard, dévorant sa vie normale.
Alors, cette peur refit surface, prenant le dessus sur tout le reste.
—Je ne pourrai jamais tuer un nomu ! T'es folle ! T'as vu la tête de ces choses au moins ? Je mourrai direct ! C'est de la folie ! J-Je veux pas mourir ! S'écrira-t-il, chaque cellule de son être en panique. Il ne voulait plus revoir cette chose. Plus jamais.
Voir son petit-fils aussi brisé blessa la vieille dame plus que n'importe quelle arme. Elle voulut tendre la main, le consoler, lui dire que tout ceci n'était qu'un rêve, faire... quelque chose. Mais elle stoppa son geste. Son rôle était de lui montrer sa nouvelle réalité, aussi cruelle soit elle. Elle devait rester forte, pour lui, pour ce futur.
—Oui en effet... pour l'instant, tu n'as aucune chance face à un nomu. Mais aussi invincibles que soient ces créatures, elles ont tout de même un point faible : leur tête. Si tu les décapites ou que tu leur explose la tête, alors elles mourront sur le champ. Tu peux aussi bien utiliser une épée qu'un pistolet... voire même le shu.
La grand-mère débita ses explications sur un ton plat, vide, dénué de toute compassion pour ces créatures qui lui avaient tout prit. On sentait à son ton que chaque cellule de son corps hurlait à la mort des nomus. Pourtant, ses enfants en faisaient partie...
Yushiro tiqua à la fin de la phrase de sa grand-mère. « Le shu », c'était très vague. Et elle ne parlait certainement pas des choux-fleurs ou des choux-Bruxelles.
—D'accord... mais c'est toujours du suicide ! Et c'est quoi ce « shu » ? J'aime pas le chou ! S'exclama Yushiro, paniqué de ne rien saisir à sa situation.
L'objet de sa peur n'était pas d'affronter un nomu, mais plutôt de savoir que la mort lui collait désormais à la peau. Quoi qu'il choisisse, elle le suivrait toujours.
Une lueur de tristesse passa dans les yeux de la grand-mère. Elle aussi en était consciente, depuis qu'il avait franchi cette porte. Elle aurait voulu le garder, le protéger du monde. Mais elle en était capable, à plus de de soixante-dix ans. Seul « lui » le pouvait. Mais cet homme... il attirait la mort comme un aimant...
Malgré tout, elle savait que ce n'était pas son choix, mais celui de son petit-fils. Alors, elle reprit d'un ton résigné.
—Le shu... tu verras avec « lui », si tu arrives à le trouver, en fonction de ton choix. Je sais qu'affronter ces créatures doit te terroriser... C'est pour cela que je préfère tout t'expliquer afin que tu puisses faire ton choix en connaissance de cause... Quoi que tu décides, saches que je t'aimerais toujours...
Le poids de cette décision pesait désormais dans l'air. Yushiro allait devoir faire un choix qu'il assumerait toute sa vie.
(note de l'auteur : un kanji est un caractère de l'écriture japonaise.)
Titre: Aurum T.1 Les cendres de Kael
|Numéro du chapitre: 1
|Écrivain: LeRoiKing
|Prix: X
|Description: Plongé dans un monde ravagé par les radiations, où Ezren et Nerya, deux survivants liés par un passé douloureux, se retrouvent traqués pour un artefact capable de bouleverser l'équilibre fragile des puissances en place. Entre dangers mortels, secrets enfouis et rencontres improbables, leur quête de liberté pourrait bien changer l'avenir d'Aurum à jamais.
| Deux jours après l'attaque. Deux jours depuis que tout avait changé.
Le marché de la banlieue d'Azrah, une ville poussiéreuse en périphérie de la capitale, était un lieu comme tant d'autres dans ce monde dévasté. Les étals, faits de morceaux de tôles et de planches récupérées, étaient chargés de bric-à-brac : des pièces détachées de robots, des vêtements usés, des aliments avariés, des armes de fortune. L'air, saturé de la chaleur du jour, sentait la sueur et la rouille. Les marchands, pour la plupart des vieillards ou des hommes au visage marqué par des années de travail acharné, se démenaient pour attirer l'attention des rares passants. Les gens n'achetaient pas grand-chose, se contentant de déambuler parmi les tas de déchets, espérant un miracle ou simplement l'illusion d'une vie meilleure.
Ezren et Nerya, marchant côte à côte, observaient la scène d'un regard fatigué mais attentif. Ils n'étaient pas là pour faire des affaires. C'était un lieu où l'on venait chercher des informations, écouter les rumeurs, et parfois, sans s'y attendre, trouver des alliés ou des ennemis.
Ezren, son manteau usé flottant derrière lui, observait d'un œil distrait un vendeur de pièces électroniques qui semblait vendre des vieux circuits comme s'il s'agissait de trésors. Ses yeux étaient durs, ses pensées constamment tournées vers l'avenir. La récente confrontation avec Lurisk n'avait fait qu'intensifier l'angoisse qui le rongeait depuis des mois : des artefacts, des primes, des factions qui cherchaient à manipuler le passé pour contrôler l'avenir. Il n'arrivait pas à se défaire de l'idée que le monde devenait de plus en plus étroit, que les menaces se rapprochaient.
À ses côtés, Nerya faisait rouler un caillou entre ses doigts, observant les visages ternis des passants sans vraiment les voir. La silhouette de Nerya était toujours aussi frappante, un mélange de beauté sauvage et de prudence calculée. Son regard était plus acéré que jamais, et ses gestes dénotaient une certaine lassitude. Elle n'était pas ce genre de femme qui pouvait s'adapter à l'indifférence de ce monde ; elle était en guerre contre lui. Mais, malgré son air froid et pragmatique, il y avait toujours un éclat de douceur dans ses yeux lorsqu'elle se tournait vers Ezren: « J'ai vu quelque chose d'important il y a deux jours. »
Ezren tourna la tête vers elle, ses sourcils se froncèrent. Son instinct de survie était toujours en alerte, et la voix de Nerya, bien que calme, avait une teinte de gravité. Il savait qu'elle ne dirait rien sans raison.
« C'est à propos de Lurisk, n'est-ce pas ? »
Elle hocha lentement la tête, ses yeux se perdant dans le flot de gens. Puis, d'un geste, elle indiqua une ruelle plus loin, à l'abri des regards. Ils s'y dirigèrent en silence, Ezren ralentissant le pas, comme pour ne pas troubler l'atmosphère calme qui semblait régner dans cette partie du marché.
Là, dans l'ombre d'un bâtiment effondré, elle se tourna enfin vers lui, son visage légèrement crispé par une pensée obscure: «J'ai trouvé ça... » Elle sortit un morceau de papier froissé de sa poche, le tendant à Ezren. Il le prit, dépliant le papier avec soin. Ce qui s'y trouvait le fit frémir.
Il s'agissait d'une feuille déchirée, portant une prime sur sa tête. « 200B sur Ezren, mort ou vif. » Ce montant, énorme dans ce monde où l'argent se comptait souvent en miettes, semblait irréel.
Ezren fût étonné : « 200B... C'est une blague ? »
Il laissa échapper un rire amer, sa gorge serrée par la tension qui se construisait peu à peu. Il avait vu des primes avant. Mais jamais d'un tel montant.
« Ce n'est pas une blague. » Elle le regarda droit dans les yeux, sa voix basse et grave. « Ça signifie que Lurisk veut vraiment ta tête. »
Ezren se pencha en avant, sa main se posant sur le papier, les yeux fixés sur le montant écrit en grosses lettres rouges. 200B... Cette somme pourrait acheter trois maisons dans ce monde. Trois maisons entières. Il se prit à sourire, une lueur d'ironie dans ses yeux.
« Eh bien, si tu veux vraiment ce genre d'argent, je suis prêt à me rendre. »
Nerya haussait un sourcil. L'humour, même dans une situation aussi tendue, n'était jamais bien loin chez Ezren. Mais, au fond, ce qu'il venait de dire était aussi une réflexion douloureuse : tout cela, cette menace qui pesait sur eux, avait désormais un prix.
Elle soupira, un sourire en coin apparu sur son visage. Elle n'avait pas envie de rire, mais Ezren savait la faire sourire, même dans les pires situations.
« T'es un sacré comique, Ezren. Mais, crois-moi, Lurisk ne rigole pas. »
Un silence s'installa alors entre eux, lourd, comme si le monde autour d'eux avait disparu, ne laissant que l'ombre de ce qu'ils étaient devenus. Puis, la voix de Nerya brisa à nouveau ce silence: « Mais il y a un autre problème. Ils ne se contenteront pas de nous suivre. Ils savent que nous avons des informations. Et pas n'importe lesquelles. »
Ezren hocha lentement la tête. Il savait de quoi elle parlait. L'artefact trouvé dans les ruines... Ce secret qu'ils avaient découvert. Il leur appartenait désormais, et Lurisk ferait tout pour s'en emparer.
« Alors, on ne peut pas simplement fuir. »
Il rangea le papier dans sa poche, ses doigts se crispant autour de la prime. La décision était prise. Le monde autour d'eux pouvait brûler. Ils allaient se battre, encore et encore. Mais cette fois, ce ne serait pas juste pour survivre. Ce serait pour mettre fin à l'emprise de Lurisk sur ce monde.
Ils sortirent de la ruelle, se mêlant à la foule du marché. Leurs regards s'étaient faits plus sombres, mais plus déterminés. Peu importe les épreuves qui les attendaient, ils étaient prêts.
Le vent soufflait à travers les ruines, emportant les souvenirs d'un monde passé. Et Ezren savait que, quoi qu'il en coûte, il ne se rendrait pas.
Titre: Ombre du destin
|Numéro du chapitre: Trailer + chap.1
|Écrivain: Jis-KT
|Description: Lyria pensait être une fille comme les autres, jusqu'au jour où elle découvre qu'elle porte en elle l'antidote pour sauver un monde au bord du chaos. Manipulée par sa propre mère et traquée par des forces puissantes, elle doit trouver un moyen de survivre. Aux côtés d'Aiden, un garçon au pouvoir destructeur et au passé sombre, Lyria se lance dans une course contre la montre pour échapper à un destin qu'elle n'a jamais choisi. Mais chaque décision peut avoir des conséquences fatales. Jusqu'où ira-t-elle pour protéger ceux qu'elle aime ?
| Bande d'annonce
[Une musique douce et mystérieuse commence.]
Voix-off (douce, mais inquiétante) :
"Et si le destin du monde dépendait d'une seule personne... mais cette personne ne le savait pas encore ?"
[L'écran est noir. Un battement de cœur se fait entendre. Puis, des images apparaissent.]
[Plan large : une jeune fille, Lyria, marche dans une rue sombre, perdue dans ses pensées. La caméra zoome sur son visage, montrant son air inquiet.]
Voix-off :
"Lyria pensait être une fille ordinaire... mais son monde est sur le point de s'effondrer."
[Flash : Des hommes en noir frappent à sa porte, sa mère Éléonore est au téléphone, paniquée.]
Éléonore (au téléphone) :
"Ils savent que nous avons l'antidote... Ma fille ne devait jamais être impliquée..."
[Plan rapide : Lyria découvre des documents secrets dans la chambre de sa mère, son visage se fige d'horreur.]
Lyria (désespérée) :
"Je suis... l'antidote ?"
[Musique crescendo, plan rapide : Aiden, un garçon mystérieux, fait jaillir de l'acide sous ses pieds, son visage marqué par la douleur.]
Aiden (grinçant des dents) :
"Tu veux survivre ? Alors, on doit se battre. Je ne peux pas le faire seul."
[Plan : Lyria et Aiden se regardent intensément, un trou béant dans le mur derrière eux. Le son des alarmes retentit.]
Voix-off (sombre) :
"Traquée par des scientifiques sans scrupules... Un pouvoir qu'elle n'a jamais demandé... Un ami qui cache des cicatrices invisibles."
[Images rapides : Lyria et Aiden courent, se battent, un groupe d'enfants derrière une vitre regarde avec espoir. Un garçon murmure.]
Enfant 1 (à demi-mot) :
"Aiden... reviendra-t-il vraiment pour nous ?"
[Plan : Lyria, effrayée, mais déterminée, face à une armée de silhouettes dans l'ombre.]
Voix-off (puissante) :
"Dans ce monde, le choix est simple : se sacrifier... ou se battre pour sa liberté."
[Plan final : Lyria et Aiden s'enfuient dans l'obscurité. La caméra se fige sur le regard déterminé de Lyria.]
Lyria (voix basse) :
"Je ne laisserai pas ce monde me briser..."
[Titre apparaît à l'écran, en lettres lumineuses et vibrantes.]
"LES OMBRES DU DESTIN"
Voix-off :
"Le destin est une ombre... mais Lyria est prête à l'affronter."
[L'écran devient noir, un dernier battement de cœur retentit avant que la musique ne s'arrête brutalement.]
Chapitre 1 : Tragique Nuit
Sous le clair de lune, la nuit semblait paisible, enveloppant le monde dans un silence feutré. À l'intérieur d'une maison isolée, une famille partageait un moment chaleureux autour d'un dîner. Le père, la mère et leur petite fille de 9 ans, Lyria, riaient de bon cœur, savourant cet instant précieux.
« Maman, quand je serai grande, je veux devenir vétérinaire comme toi ! Je soignerai tous les animaux ! » déclara Lyria, les yeux brillants de rêves et d'innocence.
Sa mère, Éléonore, lui répondit avec un doux sourire en caressant tendrement ses cheveux. « Je suis certaine que tu seras une vétérinaire incroyable, encore meilleure que moi. » Elle déposa un baiser sur le front de sa fille, scellant ce moment d'amour maternel.
« Allez, mange maintenant. Demain, on va au parc d'attractions mais, uniquement si tu finis ton assiette, et que tu te couches tôt ce soir, tu te souviens ? »
Lyria s'écria de joie, excitée. « Ouiii ! J'ai hâte ! Je vais finir mon assiette alors ! »
Leur bonheur semblait éternel. Mais comme toutes les nuits paisibles, celle-ci cachait un sombre secret.
Après le dîner, Lyria embrassa ses parents et monta dans sa chambre, impatiente de rêver à sa journée au parc.
Une fois seule avec son mari, Jonathan perdit soudain son sourire. Observant sa femme qui elle contemplait la lune et les étoiles à travers la fenêtre entre ouverte. Avec curiosité et inquiétude, Jonathan se leva calmement . se dirigeant vers un tiroir caché et en sortit une petite boîte en métal . À l'intérieur, des documents, des photos. Et des informations glaçantes qu'il avait trouvé sur leur fille. Lyria... un projet ? Un échange ? Un antidote contre le virus Z ? Un problème future ? Son cœur se serra lorsqu'il vue à nouveau ces documents .
Il retourna à la table, le visage déformé par l'angoisse. « Éléonore, qu'est-ce que c'est que ça ? Pourquoi y a-t-il des dossiers sur Lyria ? Pourquoi veux-tu l'échanger ? C'est quoi cette histoire de « problème futur » et de « antidote contre le virus Z ? » et surtout tu veux bien m'expliquer pourquoi est-ce que tu cachais tout ça et pourquoi notre fille est impliqué ? »
« comment ça, je...je ne comprends pas de, quoi tu parles ?? » répondit Éléonore, un regard rempli de doutes et d'incrédulité « arrête. Tu sais très bien de quoi, je parle, on se connaît depuis neuf ans maintenant, et je sais très bien lorsque, tu fais semblant. » rétorquas Jonathan, visiblement agacé. « mais voyons chérie, je ne fais pas semblant de quoi parles-tu je n'ai rien à voir avec tout ça. Et d'ailleurs où as-tu trouvé ça ? » continua Éléonore, toujours en étant de plus en plus confuse.
« Éléonore, je ne me répéterais pas. Dis-moi pourquoi il y a tout ça sur notre fille. Et dis-moi la vérité sur tout ça. Pourquoi est-ce que notre fille est impliqué ? Pourquoi est-ce que elle est appelé le projet, 1980, dans ces documents, et c'est quoi son rapport avec ce virus Z, cet antidote et se problème futur !?. Sinon je risque de faire quelque chose que je regretterais fortement. » on écoutant les paroles de son mari Éléonore fut agacé et presque automatiquement, elle arrêtait de jouer à son petit jeu..
Ainsi avec , un calme glaçant, fixa de nouveau les preuves et Jonathan cette fois-ci sans une once de remord. Elle soupira longuement avant de répondre : « bien autant être honnête, tu sais, j'aurai vraiment voulu que ça se passe autrement j'aurai voulu, t'en parler moi-même. Mais bon c'est trop tard pour les remords et aussi, trop tard pour le reste maintenant, chéri. »
Jonathan se redressa brutalement, frappant la table du poing. « Trop tard pour quoi ? De quelle reste tu parles et...et Qu'est-ce que tu mijotes Eleonore ? Lyria est notre fille ! Qu'est-ce que tu lui as fait, qu'est-ce que tu la veux ? »
D'une voix posée, presque mécanique, Éléonore répliqua : « Assieds-toi. Je vais essayer de tout t'expliquer. »
Le visage de Jonathan se crispa, mais il s'assit malgré sa rage, en quête de réponses.
« Je ne suis pas seulement vétérinaire, Jonathan. Je suis une scientifique qui travaille pour le compte du gouvernement. Lors de ma grossesse je travaillais sur un antidote qui avait pour propriétés de soigner les infecter du virus Z, malheureusement. J'ai ingéré cet antidote qui n'aurait jamais dû entrer en contact avec notre fille. Et, cet antidote s'est lié à elle. Lyria n'est pas une enfant ordinaire elle ne l'a jamais été . Elle détient en elle la solution pour un avenir meilleur mais , et pour cela, elle devra être utiliser quitte à être sacrifiée . »
Jonathan, abasourdi, sentit le monde s'effondrer autour de lui. Ses mains tremblèrent alors qu'il digérait l'impensable. « U...Utiliser, Sacrifiée ? Pour... pour quoi....e...explique toi !? »
Éléonore, impassible, continua : « Elle est le salut de notre monde, Jonathan. Elle sera utilisée pour éviter une catastrophe imminente. Si elle reste ici, elle ne fera que retarder l'inévitable et le virus pourrait prendre de l'ampleur, tu sais . D'autres enfants partagent son sort. Elle ne souffrira pas seule. »
La colère explosa en Jonathan. En un éclair, il gifla Éléonore avec une violence qu'il ne se connaissait pas. Elle saigna, mais ne broncha pas. Sa froideur l'effrayait plus que tout. « Tu es folle. Je ne te laisserai pas lui faire de mal et encore moins la sacrifier ! Depuis longtemps je t'ai observé et j'ai remarqué que tu parler et agissez bizarrement lorsque tu étais au téléphone avec je ne sais qui, tu faisais des prélèvements à Lyria et je n'ai rien dit car je pensais aveuglément que tu faisais ça pour son bien mais...maintenant j'ai compris pourquoi...et crois-moi, moi vivant personne ne touchera à ma fille !! »
Il se précipita vers un tiroir et attrapa un couteau, prêt à tout pour protéger sa fille.
« Je n'hésiterai pas à l'utiliser si tu tentes quoi que ce soit Eleonore ! » dit-il un regard déterminé et le corps tremblant de peur. Eleonore remarquant les tremblements de son mari et afficha un sourire sadique, sinistre presque enjoué avant d'ajouter en marchant lentement vers les escaliers qui menaient à la chambre de Lyria « oh tu comptes m'arrêter avec sa ?, essaye ...chéri~ »
Pendant ce temps, dans sa chambre, Lyria dormait profondément, ignorant tout du cauchemar qui se déroulait en bas. Ses rêves étaient peuplés d'images joyeuses de ses parents et d'une vie future remplie de bonheur. Mais un grincement de porte la tira de son sommeil.
Éléonore entra dans la chambre, ses traits désormais marqués par une ombre de terreur. Elle s'accroupit près du lit de Lyria, lui caressa tendrement la joue et murmura : « Ma chérie, il faut que tu fuis. Ton père... il est dangereux. Il veut nous faire du mal. Fuis, je vais le retenir. »
Lyria, encore confuse, chercha des réponses dans le regard de sa mère. Elle n'avait jamais vu sa mère aussi terrifiée. Descendant de son lit, elle enlaça Éléonore avant de jeter un regard vers la porte. Son père se tenait là, un couteau à la main, les yeux enragés.
« Éloigne-toi d'elle, Éléonore ! » hurla Jonathan.
Mais Éléonore Afficha à nouveau un sourire sinistre à Jonathan avant, d'ouvrit la fenêtre d'un geste désespéré, le bois craquant sous sa poigne tremblante. Lyria, encore engourdie par la peur, tenta faiblement de se débattre, mais sa mère la souleva sans ménagement. « Pardonne-moi, mais je dois le faire pour ce monde pour le futur de l'humanité...» murmura-t-elle, sa voix brisée par un mélange de douleur et de résolution et son regard emprunt de doute, d'inquiétude et de détermination avant de jeter Lyria.
Rapidement Le vide avala la petite fille. Un hurlement déchirant jaillit de ses lèvres, se mêlant au sifflement glacial du vent. Son corps frêle fendit l'air, ses bras s'agitant instinctivement dans une tentative vaine de s'accrocher à quelque chose, n'importe quoi. Puis vint l'impact.
Une détonation sourde, suivie du craquement sinistre des os de son bras droit qui cédaient sous le choc. La terre humide, alourdie par la rosée du soir, éclaboussa autour d'elle. Une douleur fulgurante parcourut chaque nerf de son corps. Lyria, incapable de crier davantage, suffoqua, sa petite poitrine se soulevant dans une lutte désespérée pour reprendre son souffle. Son regard embué par les larmes fixait le ciel noirci, où les étoiles semblaient vaciller, comme si elles pleuraient avec elle.
Mais déterminer à s'enfuir, à courir elle se releva malgré la douleur, malgré la peur et s'enfuit dans la forêt. Ses pieds nus foulaient la terre humide, les larmes brouillant sa vue. Chaque pas était une lutte pour la survie et chaque larmes versé un écho des souvenirs lointain de sa famille. Elle entendait encore la voix de son père, l'appelant à revenir, suppliant de ne pas avoir peur. Mais comment pouvait-elle lui faire confiance après ce qu'elle avait vu ?
Pendant ce temps À l'intérieur de la maison, une tension brûlante.
Jonathan, figé sur place, regarda avec horreur sa fille se faire jeter par la fenêtre. Ses yeux s'écarquillèrent, et le couteau qu'il tenait glissa de ses mains pour heurter le sol dans un bruit métallique. Un souffle court et tremblant s'échappa de ses lèvres tandis qu'il courait vers la fenêtre. Penché à l'extérieur, il vit Lyria heurter violemment le sol, son petit corps se recroquevillant sous le choc. Elle se releva difficilement, ses mouvements empreints de douleur, avant de boiter en direction de la forêt, disparaissant lentement dans l'obscurité.
Jonathan resta paralysé un instant. Sa gorge se noua, et un frisson glacial parcourut son échine. Il n'avait jamais ressenti une telle terreur et prix de panique. Il se met alors à hurler le nom de sa fille à lui supplier de revenir à lui faire confiance, mais ses appels et étaient en vain. Aucune réponse lui était rendu aucun signe. Le souffle court, la rage monta en lui comme un feu inextinguible. Il se retourna brusquement vers Éléonore, ses poings tremblant de colère.
« T'ES FOLLE ?! » hurla-t-il, sa voix brisée par un mélange de douleur et de haine. « C'est ta fille ! NOTRE fille ! Comment as-tu pu... Comment as-tu OSÉ ?! »
Éléonore resta immobile, le visage empreint d'une étrange dualité. Ses yeux trahirent un bref éclat de remords, mais elle se reprit rapidement, son regard devenant aussi froid que la pierre.
« Je fais ce qu'il faut, » dit-elle d'un ton presque mécanique. « Elle a un rôle à jouer. Elle est destinée à sauver ce monde, Jonathan. C'est sa mission, son sacrifice. »
Jonathan, abasourdi, sentit son sang bouillonner.
« Un sacrifice ?! » rugit-il, faisant un pas menaçant vers elle. « C'est une enfant ! UNE ENFANT ! Elle aurait pu mourir, tu te rends compte ?! Et si elle ces blessés, hein ?! C'EST ÇA TON AMOUR DE MÈRE ?! »
Les mots de Jonathan frappèrent Éléonore de plein fouet. Elle détourna brièvement les yeux, mordant sa lèvre inférieure. Une larme silencieuse coula sur sa joue, mais elle se hâta de l'essuyer. Sa voix s'éleva à nouveau, glaciale et distante.
« Je n'ai pas le choix. »
Jonathan éclata de rire, un rire amer, presque hystérique.
« Pas le choix ?! Tu te caches derrière cette excuse misérable ?! »
Puis, d'un geste brusque, il fonça vers elle, la rage prenant le dessus. « JE NE TE LAISSERAI PAS LA TUER ! TU M'ENTENDS ?! »
Il tenta de l'atteindre, ses poings levés, mais Éléonore esquiva avec une fluidité presque surnaturelle. Elle le repoussa d'un coup vif sur l'épaule. Son visage devint étrangement serein, mais son ton était chargé de mépris.
« Tu es pathétique, Jonathan. Tu pensais vraiment que tu pouvais me protéger d'un monde cruel, mais tu n'es même pas capable de protéger ta propre fille. »
Ces mots étaient comme des coups de poignard dans le cœur de Jonathan. Sa vision devint floue de rage et de larmes. La scène de Lyria tombant par la fenêtre revenait en boucle dans son esprit. Cela en était trop. Il se rua vers le couteau qu'il avait lâché plus tôt, le ramassa, puis se tourna vers Éléonore, un éclat presque fou dans ses yeux.
« Je vais te faire payer pour ce que tu lui as fait, »murmura-t-il d'une voix tremblante. Puis il hurla : « POUR TOUT CE QUE TU LUI AS FAIT ! »
Il attaqua sans retenue, le couteau brillant sous la lumière tremblante de la lampe. Éléonore esquiva avec habileté, mais la fureur incontrôlée de Jonathan le rendait imprévisible. La lame érafla finalement son bras, un filet de sang s'échappant de la plaie. Elle serra les dents, ses provocations s'arrêtant un instant.
Dans un moment d'inattention, Jonathan parvint à la déséquilibrer et, dans une charge désespérée, il planta la lame dans son ventre. Éléonore écarquilla les yeux, haletant de douleur. Jonathan lui semble soudainement se figer ses mains, tremblant, toujours accroché aux manches de larmes. « non... » murmura-t-il, comme si la gravité de son acte venait de le frapper « qu'est-ce que j'ai fait ? » ajoute-t-il finalement, lâchant larmes, et reculant de quelque pas, les yeux. écarquillés de stupeur et de panique.
tandis que le sang imbibé la chemise de Éléonore. Celle-ci sera les dents avant d'arracher le couteau d'un coup sec. Et elle profitait du petit moment de panique de Jonathan pour courir vers lui avant de le transpercer à son tour Jonathan qui n'avait pas prévu ça tomba au sol. Gémissant de douleur Éléonore, en profita, elle sortit de la chambre avant de la fermer derrière elle et couru en direction de la cuisine.
Où elle s'est mis à chercher frénétiquement la bouteille de pétrole lorsqu'elle la trouva. Elle se mis alors à asperger toute la maison avant de remonter en direction de la chambre de l'ouvrir et d'asperger toute la chambre de pétrole. « Sois honnête avec moi. Pourquoi fais-tu réellement tout ça ? » dit Jonathan à bout de souffle. Tandis qu'il luttait pour se lever. « tu crois vraiment que ça en vaut la peine ? »
Éléonore s'arrêta un moment, ses yeux voilées d'hésitation mais elle secoua la tête, repoussant ses doutes « c'est pour tous nous sauver que je fais ça ! ». « tu es en train de tout détruire... notre famille... » murmurât Jonathan sa voie, brisée par la douleur et la désillusion. Mais Éléonore était déterminé, elle se rapprocha de son mari avant de le frapper de toutes ses forces au niveau de sa blessure, elle le fera une fois, puis une deuxième fois et une troisième fois son cœur se brisant à chaque fois. « Je...suis désolé ! » dit-elle, une dernière fois sans regard remplie de tristesse, avant de tourner les talons et de sortir de la chambre, laissant Jonathan couchés Au sol, gémissant de douleur.
Lorsqu'elle sorti en fin de la maison, elle prit l'allumette et l'alluma avant de la laisser tomber dans la flaque de pétrole qui était sous ses pieds... quelques secondes plus tard, la maison avait commencé à prendre feu laissant places à un spectacle horrible, laissant place à la fin d'une famille, heureuse laissant place à la douleur.... Tandis que Éléonore contemplait ce spectacle, elle ne peut retenir ses larmes. Ses yeux se remplit à nouveau de tristesse et de douleur avant que son regard ne change pour laisser place à se regarde rempli de froideur. Et sans dire un mot de plus, elle se retourna et s'enfonça dans la forêt.
Du côté de Lyria celle-ci continuait de courir malgré la douleur, mais. Soudain, elle trébucha, une branche invisible la faisant basculer. Elle dégringola une pente et se retrouva face à plusieurs silhouettes, des hommes qui semblaient l'attendre. Ses forces l'abandonnèrent. Les silhouettes qui l'entouraient se rapprochèrent, leurs yeux froids et calculateurs brillant à la lueur de la lune.
« Parfait, au final c'était beaucoup plus simple de te trouver projet, 1980 » murmura l'un des hommes, une voix douce mais tranchante comme la glace. « Embarquez-la et n'oublier qu'ils ont besoin d'elle au plus vite ! »
Lyria tenta de bouger lorsqu'elle vu les hommes se rapprocher d'elle, mais la douleur dans son bras la paralysait. Avant qu'elle ne puisse crier ou résister, des mains puissantes l'attrapèrent, l'enveloppant dans une couverture sombre. La fatigue et la peur eurent finalement raison d'elle, et elle sombra dans un sommeil tourmenté.
|Titre: Détective de l'espace
|Numéro du chapitre: 2
|Écrivain: LeRoiKing
|Prix: Actuel top 1, Top1 (x1)
|Description: Une épopée galactique déjantée où un équipage improbable traverse des dimensions absurdes et affronte des dangers sucrés pour découvrir que le plus grand trésor de l'univers est la quête elle-même. Entre humour décalé, personnages excentriques et réflexions existentielles, cette aventure prouve que même l'absurde peut cacher une vérité poignante.
|Résumé du dernier chapitre: Zork Flingon, un détective privé qui se fait payer en snacks, reçoit la visite inattendue d'une vieille femme en combinaison spatiale. Elle apporte un pot de confiture rose fluo, une substance étrange qui a envahi sa planète, transformé son mari, et menace de recouvrir l'univers. D'abord sceptique, Zork renifle le pot et ressent immédiatement ses effets envoûtants. Malgré l'absurdité de l'affaire, il accepte d'enquêter, intrigué et motivé par la promesse de tartes au poulpe. Avec son imperméable et un biscuit enfin ouvert, il se lance dans une aventure aussi collante qu'imprévisible.
| Zork Flingon détestait les procédures officielles. Dans un univers où chaque planète avait sa propre langue, sa propre monnaie et parfois sa propre gravité, rien n'était plus compliqué que de faire une déclaration auprès du Consortium des Claviers Cosmiques. Malheureusement, toute enquête sérieuse impliquant des phénomènes interstellaires mystérieux devait obligatoirement passer par eux.
C'est ainsi que Zork se retrouva dans la salle d'attente du centre bureaucratique de la ceinture Klekzorp, serré entre une plante carnivore qui bavait sur un formulaire et un blob lumineux en train de jongler avec ses propres organes internes pour passer le temps.
— "Prochain ticket : 873-Z," grésilla une voix robotique, aussi chaleureuse qu'un frigo en panne.
— "Enfin !" marmonna Zork, en se frayant un chemin vers le guichet.
Derrière le comptoir flottait un Bureaucrabot, une machine sphérique bardée de bras mécaniques, chacun tenant un tampon, une perforatrice ou une tasse de café en circuit fermé. Ses yeux rouges clignotèrent d'un air menaçant dès que Zork posa le pot de confiture sur le comptoir.
— "Objet suspect détecté. Confiture non homologuée. Veuillez présenter une Déclaration de Substance Collante (formulaire SC-56b)."
Zork soupira et claqua son badge de détective sur le comptoir. "Écoutez, je suis ici pour enquêter sur cette substance. Elle englue des planètes entières, et je pense que votre précieuse bureaucratie pourrait être en danger."
Le Bureaucrabot ne sembla pas impressionné. — "Sans formulaire SC-56b, aucune enquête ne peut être validée. Souhaitez-vous déposer une réclamation (formulaire RC-83a) ?"
— "Non, je veux juste que vous m'écoutiez."
— "Très bien. Déposez votre demande sur formulaire ECOUT-49 et patientez environ... deux cycles lunaires. Prochain ! "
Zork se retint de donner un coup de griffe dans l'un des bras mécaniques, surtout parce qu'il savait qu'ils étaient équipés de canons paralysants. Mais avant qu'il ne puisse rétorquer, un énorme fracas retentit dans la salle.
Un blob turquoise dégoulinant entra en trombe, renversant la plante carnivore et projetant des morceaux gluants partout. C'était Grob-Bibule, visiblement paniqué.
— "ZORK ! ZORK ! La confiture ! ELLE EST VIVANTE !" hurla-t-il, faisant sursauter tout le monde.
Le Bureaucrabot émit un grésillement d'alerte. — "Alerte : comportement erratique. Surveillance accrue requise. Requérant Grob-Bibule, veuillez compléter le formulaire SAN-99 pour tout signe de possession ou de folie cosmique."
— "POSSESSION, MA GELÉE ! ELLE A DÉVORÉ MON FRIGO !"
Zork attrapa Grob par ce qui semblait être son "épaule" et le secoua légèrement. "Reprends-toi, Grob. Qu'est-ce que tu veux dire par 'vivante' ?"
Grob frissonna et bégaya : "J'ai... j'ai touché le pot. Juste pour goûter. Mais elle s'est mise à bouger, à grimper sur mes étagères, et elle a avalé tout ce qui ressemblait à de la nourriture. Mon pudding d'anniversaire y est passé, Zork ! MON PUDDING !"
Zork jeta un coup d'œil au pot sur le comptoir. Il brillait plus intensément qu'avant. Une petite bulle de confiture éclata sur le bord, et une sorte de bruit... de mastication en sortit.
Le Bureaucrabot clignota frénétiquement. — "Confiture animée détectée. Intervention d'urgence en cours."
Avant que Zork ne puisse protester, une barrière énergétique descendit entre eux et le pot de confiture, piégeant celui-ci dans une sorte de champ magnétique.
— "Objet confisqué. Transfert immédiat au Département des Substances Anomalistiques. Prochain ticket : 874-A."
— "HORS DE QUESTION !" hurla Zork, frappant la barrière. "Cette confiture est ma seule piste, vous n'avez pas le droit de me la prendre !"
— "Erreur. Nous avons tous les droits. Bonne journée."
Et juste comme ça, un petit drone mécanique s'envola avec le pot, laissant Zork les poings serrés et Grob en larmes sur le sol.
— "Zork... si elle avale tout... qu'est-ce qu'on fait ?" murmura Grob.
Zork se redressa, l'air plus déterminé que jamais. "On va suivre ce fichu drone jusqu'au Département des Substances Anomalistiques. Et si ces bureaucrates pensent pouvoir m'arrêter... ils n'ont encore jamais goûté à ma patience limitée."
Heure de Vote ! Vous devez voté les 3 meilleurs chapitres parmis ceux présentés dans ce Saut.
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3. [Écrivez votre réponse en commentaire et justifiée]
Et maintenant n'hésitez pas à dire ce que vous proposez à améliorer dans le Saut. --->
Et voilà ! Vous en avez pensé quoi ? Personnellement je suis super fière d'accueillir de si belles histoires en ce nouveau début !
J'ai eu malheureusement du retard, veuillez m'en excuser...!
Cependant je vous shouaites à tous une bonne année et que tout le bonheur vous tombés dessus et vous étouffes jusqu'à avoir le ventre remplis de bonheur et de petit cœur (je devrais écrire une histoire à la fois terrifiante et adorable X) )
Sur ceux je vous dis à la prochaine !
Le Saut: Slimy48
5271 mots
15 janvier 2025
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