quelques réflexions sur jim morrison et les salles de cinéma.

BIEN LE BONJOUR !

comment qu'ça va ? (à lire avec un accent ch'timi, si possible.)
je viens aux nouvelles ! enfin, si des gens n'ont pas encore supprimés ce rantbook de leur bibliothèque.
donc, le brevet est passé, la libératioooon, je m'en suis sortie avec 763/800, ce dont on se fiche totalement, MAIS J'AI EU 40/40 EN RÉDACTION DE FRANÇAIS ET J'ÉTAIS TRÈS TRÈS FIÈRE DE MOI. le sujet m'a plutôt inspirée (j'ai pris imagination), il fallait se mettre dans la peau d'un personnage qui se rappelait de ses souvenirs d'enfance, et des jeux auxquels il jouait. j'ai fait presque deux copies doubles entières x)

[Il devrait y avoir un GIF ou une vidéo ici. Procédez à une mise à jour de l'application maintenant pour le voir.]

and i- oOp !

c'est carrément chiant de dire ça alors que c'est les vacances, mais j'espère que vous êtes fiers de ce que vous avez faits à vos examens (si vous en passiez !). oubliez pas qu'alain souchon a passé son bac trois fois pour ne jamais l'avoir.
C'EST TOUT POUR MOI.

TRANSITION (cette photo adoucit mes journées.)
en ce moment, je voue un culte à jim morrison (ET SAEZ MAIS FAUT QUE J'EN PARLE PLUS TARD. et je sais pas, vous, mais j'admire tellement rarement des personnes vivantes que ça me brise le cœur en miettes.) sauf qu'ensuite je me rappelle que le mec torturait son petit frère quand il était gosse. explications :

(on ne peut pas nier son sens de la répartie.)

mais jurez, c'est pas HYPER FLIPPANT ? les siblings (je ne connais pas le mot pour désigner un ensemble de frères et de sœurs, alors je me contente de la langue anglaise.) ont pour réputation de se chercher des noises, mais là, c'est hyper malsain, comment tu veux grandir avec une minimum d'amour de toi-même après ça ?
et ça continue avec sa copine de l'époque, tandy martin :

c'est un peu un taré, non ?

mais ce qui me dérange tant, mesdames et messieurs et personnes ne s'identifiant à aucun genre binaire, c'est que
JE LUI RESSEMBLE AFFREUSEMENT.

tout ce qui est manipulation des foules, expériences à la con, intérêt dans des sujets improbables, et mode de pensées, C'EST PARFAITEMENT IDENTIQUE ENTRE JIM ET MOI. je suis totalement du genre à pousser un mensonge jusqu'au ridicule, pour voir jusqu'où les gens peuvent le croire (même si je dis "c'était une blague", après, ça reste horrible). j'adore analyser pendant les concerts comment les gens bougent en fonction de ce que l'artiste leur ordonne (souvent de façon subliminale) sur scène. j'aime bien me plonger à fond dans quelque chose dont la plupart des gens ne verrait pas l'intérêt, jusqu'à épuisement du sujet.
et par rapport au mode de pensées, je lisais une interview de jim, et il disait : "je n'ai jamais compris comment le public des salles de cinéma pouvait être aussi passif. je crois que le public doit participer à la création, intervenir, agir. par exemple, il ne tient qu'à vous de fermer les yeux autant de fois que vous le voulez, ou de vous lever et de marcher cinq minutes. la personne qui fait cela ne verra pas le même film que celle qui est restée sagement assise à sa place du début à la fin, d'accord ?"
et c'est TOTALEMENT une réflexion que je m'étais faite il y a un bout de temps. je vous laisse d'ailleurs réfléchir là-dessus en commentaire. mais pour moi, si tu vas au cinéma regarder un film, c'est pour être avec d'autres gens, et je préfère chercher l'émotion dans le regard du public que directement regarder le film (#NoEtMoi...). j'ai toujours l'envie de me pencher vers mon voisin, de lui demander ce qu'il a pensé de telle ou telle scène, s'il trouve que machin joue bien, s'il aurait changé le scénario, etc. mais quand tu fais ça, tu te reçois forcément un immense "CHUUUUUUUT" de la part de la moitié de la salle x)

pause. pour détendre l'atmosphère et vous empêcher de penser que je suis une perverse narcissique psychopathe, je vous partage une des blagues préférées de jim : "que dit un aveugle quand il rentre dans une poissonnerie ? salut, les filles !"
fin de la pause, nous pouvons reprendre.

c'est là qu'arrive un sujet me tourmentant quelque peu : jim et moi (putain on dirait le nom d'un roman d'amour à la con) possédons presque le même quotient intellectuel.
et c'est bien là le problème du haut-potentiel intellectuel : son utilisation dans le mal.

regardez hitler, staline et compagnie. de nombreuses études ont montré qu'ils étaient probablement tous surdoués (J'AIME PAS CE MOT. DISONS PLUTÔT "HAUT-POTENTIEL INTELLECTUEL".)
n'allez pas croire que je compare jim morrison, 149 de qi, à hitler, 149 de connerie.
loin de moi cette idée.
mais, les plans machiavéliques naissent donc de l'intelligence (du moins celle neuropsychologique). qu'en pensez-vous ?
pour moi, pas de doute possible, tu ne planifies pas la mort programmée de millions d'innocents si tu (j'ai faillis dire "si tu n'as jamais lu nietzsche. OUPS.) est con comme une cuillère à café. du coup, je me sens un peu bête, parce que je pense que tout le monde a déjà compris ça et que je me fais qu'émettre une évidence, mais ça m'intéresserait de savoir ce que vous pourriez rajouter sur le sujet !

sur cette photo, jim me fait penser à un dandy des années quarante, qui a raté sa carrière de chanteur de cabaret et qui devient alcoolique.

C'EST TOUT POUR MOI.
je vous souhaite beaucoup de trucs cools pour votre âme. teignez vos cheveux en bleu si vous voulez, portez des robes à carreaux jaunes et oranges, faites vous des maquillages à la con sur votre face, arrêtez vous pour regarder les étoiles !

à la revoyure !

— le 23 juillet 2019
après un apprentissage extrême de l'italien : succhiare il cazzo per la cocaina



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