Chapitre 10
Cela faisait maintenant deux semaine que j'étais partie.
Je m'étais réfugiée dans un bois, près de la ville.
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Je marchais dans les rue sombres, cachée sous ma capuche. Il faisait nuit, les rues étaient de plus en plus vide, et les magasins commençaient à fermer leurs portes.
Tandis que je continuai mon chemin, j'aperçut un bar au loin: Grillby's.
-Grillby...ça me dit quelques chose..
Je m'approchai doucement et jetai un regard par la fenêtre. Je vis une télévision où un avis de recherche était diffusé.
Il y avait la photo d'une jeune fille aux cheveux (l/c) et (c/c), et aux yeux (c/y). C'était moi.
Seulement quelques jours après mon départ, il y avait déjà des affiches placardées de partout.
À chaque fois que j'en croisais une, je l'arrachais et la déchirais en mille morceaux, avant d'éparpiller ces derniers.
Il ne faut pas que l'on me retrouve.
Je continuai de marcher et me dirigeai comme tous les soirs vers l'hôpital.
Je venais rendre visite à Sans durant la nuit.
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Après de longues minutes, j'arrivai enfin à destination.
Je ne devais pas me faire voir, alors, au fil du temps, j'ai fini par trouver un passage.
J'allai à l'arrière du bâtiment, grimpai sur les poubelles, puis sur la barrière, avant de sauter pour m'accrocher à la branche d'un arbre.
J'escaladai jusqu'à arriver à une fenêtre que le personnel ne fermait jamais.
J'entrai et je fis face à une pièce lugubre. Elle était complètement abandonné.
-Tu m'étonnes que la fenêtre n'est jamais fermée.. Cette pièce à été oubliée par tous.
Mais bon, je ne vais pas me plaindre, au contraire.
Je mis fin à mes pensée et ouvrit une trappe. J'entrai à l'intérieur et, après quelques mètre, j'arrivai enfin à mon but.
Je poussa l'obstacle qui nous séparait et sorti.
Le voila. Il est là.
En face de moi se tenait le jeune homme aux cheveux blanc, allongé sur son lit d'hôpital, paisiblement endormit.
Je m'approchai et m'assis sur la chaise à coté. Je contemplais son magnifique visage, abîmé par ma faute.
-Sans..je suis tellement désolée...
Une larme coula le long de ma joue et la culpabilité et le regret refirent surface.
Alors que je relevai la tête, mon regard se posa sur un journal posé à coté de moi.
Je le pris en main et vis en titre principal: "Gaster, le scientifique fou, encore dans la nature et la jeune fille disparue; p62"
-Gaster...? Jeune fille disparue...?
Je l'ouvris et me précipitai vers la page 62. Une fois arrivée, je lis:
"Il y a deux semaines, quelques chose d'incroyable c'est produit dans le lycée de la ville.
À l'intérieur d'un bâtiment fermé et interdit d'accès, se tenait un scientifique fou du nom de Gaster.
Il pratiquait des expériences illégales sur de personnes qui étaient portés disparues. Il les avait kidnappé.
Nous avons demandé au directeur, M.Asgore Dreemurr, pourquoi ils laissaient de telles choses se produire dans l'enceinte de leur établissement. Voici ça réponse: "Nous n'étions pas au courant de ce qu'il se passait.
Le bâtiment G était fermé à cause d'une rumeurs circulant entre les élèves.
Cette rumeurs disait que cet endroit était hantée et que quiconque entrerai n'en sortirai jamais.
Suite à cela, des élèves immatures se donnaient le défi d'y pénétrer.
Malheureusement, aucun ne revint de cet escapade.
Beaucoup de jeunes on commencé à avoir peur, et ont quitté le lycée.
Nous avions donc décidé d'enquêter et nous sommes allé voir à l'intérieur.
Mais il n'y avait rien, le bâtiment était comme il l'a toujours été. Alors nous avons arrêté les recherches et avons fermé le bâtiment définitivement.
Nous n'aurions jamais pu imaginer qu'il y avait vraiment quelque chose.
Encore moins quelques chose d'aussi grave et dramatique.""
-Le bâtiment G? Alors...c'était pour ça que personne n'avait le droit d'entrer sous peine d'une grosse sentence...
À cause d'une rumeur qui était en fait...réelle.
Je continuai de lire. La suite racontait qu'après une alarme incendie déclenchée mystérieusement, des personnes ont trouvé un jeune homme en très mauvaise état dans son lit.
Ce derniers a été pris en urgence et après quelques jours de repos, il avait témoigné.
Une enquête a été ouverte mais le coupable n'a pas encore été retrouvé.
Alors que je continuais, je bloquai sur un passage:
"Cependant, le jeune homme affirme qu'il y avait une autre victime avec lui. Une jeune fille (c/c) aux yeux (c/y), appelée (t/n) (t/p).
Malheureusement, elle n'as pas été retrouvée sur les lieux du crime. Elle est portée disparu. Si vous la voyez, ou pensez l'apercevoir, contactez la police."
Après ce passage, il y avait une photo de moi et mes coordonnées.
Ma taille, mon âge, mon nom ect...
-Non!
J'arrachai le papier violemment avant de quitter la pièce, furieuse.
Je sorti de l'hôpital et retourna dans les bois.
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Je regardais le ciel étoilé tous en repensant à ce maudit article.
Un passage passait en boucle dans ma tête...celui sur ma "disparition".
Je me levai précipitamment et décidai de faire une petite balade histoire de me remettre les idées en place.
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Je marchais depuis plus d'une heure et mes pieds commençaient à me faire mal.
Pourquoi? Tous simplement parce que mes chaussures était en piteux état.
Lorsque je me suis enfui je n'avait rien d'autre que des sous-vêtements.
Tous ce que j'ai maintenant je l'ai soit volé, soit trouvé dans des poubelles.
J'hésitais à retourner rendre visite à Sans.
Quand j'ai déchirer le journal je n'ai pas ramassé les papiers.
-Plus discrète que moi, tu ne trouves pas...,soufflais-je
Après quelques instants de réflexion je me décidai enfin et je me mis en route vers l'hôpital.
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J'arrivai devant le grand bâtiment blanc. Je repris le trajet habituel et arrivai dans la chambre du jeune homme.
Mais lorsque je relevai la tête, je m'aperçu qu'il n'y avait plus personne.
-Hein? Mais comment est ce possible?, chuchotais-je, étonnée.
Je suis parti il y a même pas quatre heures...il devrait être là...!
Deux bras m'entourèrent soudainement la taille et je sentis un torse musclé se coller contre mon dos.
La surprise me figea sur place et l'angoisse grandissait peu à peu.
Un souffle chaud vint chatouiller mon cou et des lèvres virent s'y presser.
Je sentis mes muscles se raidir et je rassembla tous mon courage pour tourner la tête.
J'étais sur le point de voir l'inconnu quand une main se posa sur mes yeux.
Mon corps bascula vers l'arrière et atterri sur un matelas qui ma foi était très confortable.
Je relevai la tête et mon sang ne fit qu'un tour lorsque je vis qui était à califourchon sur moi.
Ces cheveux blanc aux couleurs hivernales, ce regard bleu comme l'océan, ces lèvres fines et pâles....ce visage que je connaissais si bien.
-Sans...
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SALUUUT
Chapitre 10 est sorti ;-;
J'en suis pas très fière, ce n'est pas le meilleur chapitre que j'ai écrit😐
Je n'ai pas grand chose à dire mise à part que j'étais en vacances donc je ne pouvais pas poster avant😂😐
Bisouus~
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