Chapitre I
-Éxecuter le
L'ordre étais clair. D'un œil vif et autoritaire, l'alpha de la meute fixa un instant la clairière baignée du clair de lune, et regarda, tour à tour, chaques membres de sa meute avant de poser ses yeux sur l'individu qui devait mourir.
-Non ! Implora une louve blanche, aussi claire que la neige ou seul ses deux grands yeux bleu ciel s'intillaient comme deux petites étoiles sous le ciel nocturne. Par pitié ne tuer pas mon fils, je vous en supplie!
- C'est de ta faute si on doit en venir à là! Tu sais très bien la reson et tu sais très bien les concequences ! Ce loup ne devait même pas connaître le jour ! Tu nous as caché ta grossesse, tu nous as trahis !
Tous le reste de la meute grogna d'approbation suite à la prise de parole de l'alpha qui, debout sur une sorte de grand édifice rocailleux, fixa la mère avec un air de dégoût.
Pas à pas, l'alpha decsendis de son promontoire, s'approcha de la louve et lui murmura au creux de l'oreille, assez fort pour que le reste de la troupe l'entende :
- Mais ne t'inquiète pas, il n'ira pas seul à l'haut delà. Tu l'accompagnera.
Tous le reste de la foule, surpris, pesta. La meute se divisa rapidement en deux partie : une qui étais favorable à ce que l'alpha tenais en compte, l'autre, qui refusais quoique se sois. Et au centre de tous sa, la louve, son louveteau noir à peine né rouler en boule entre les deux pattes avant de sa mère.
- S'il te plaît écoute moi, repris la louve blanche, tue moi si tu le veux, sa ne m'importe aucune importance. Mais s'il te plait, épargne mon fils. C'est moi qui est causé ce dégât, c'est à moi d'en prendre les concequence.
- Sauf que tu ne peut pas comprendre ! Tu ne peut pas savoir le mal que sa fait de perdre un proche ! Il faut l'avoir vécu pour ressentir le vide que sa peut causer... Le vide que tu m'a causer en réalisant ton acte !
Sans laisser le temps à la louve de riposter, pris par la rage et la hargne de venger ce qu'elle avais perdus, elle montra les croc, grogna et bondis sur la louve clair.
On vis les deux louve rouler au sol dans une pluie de gouttes écarlates.
La meneuse se fichait complètement de savoir si elle piétiner sur le nouveau née ou non. Sa seule conviction étais de les tuer. D'arracher l'épine planter des les pattes de sa meute. D'enlever les "traîtres".
La meute tenta de les séparer, en vain. Un crie de détresse parvint de la bagarre. On vis la louve blanche chanceler, puis tomba, inerte, la gorge séparée en deux.
La chef recula, fière de son geste. Aillant désaltéré sa soif de vengeance, elle décida de laisser le louveteau sain et sauf.
Au moment où la foule se dispersa, une autre louve, le ventre arrondie par sa futur progéniture, s'approcha lentement du nouveau née, devenus orphelin.
- vien avec moi, lui murmura telle. Même si je n'est pas trop le droit, je ne peut pas laisser un louveteau de cette âge mourir en plein dans le camp.
Discrètement, elle saisit le jeune loup par la peau du coup et l'emporta avec elle dans l'entre destiner au futur mère. Le jeune couina, se débata, avant de s'apaiser, visiblement soulager de ne plus être seul.
Elle lança un dernier regard sur la dépouille de la louve blanche gisant sur le sol au clair de lune et déclara, dans un murmure presque inaudible
- Je te promet ma sur ma propre vie que je prendrais soin de ton fils, je le défendrai et lui offrirais tous l'amour que tu aurais pus lui offrir.
Elle pascienta un petit moment à contempler la lune, puis se freilla un passage dans le buisson afin d'entrée et de mettre à l'abri le petit louveteau.
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