Chapitre 17

Hey ,hey , hey! Désolé de poster aussi tard, d'habitude je les poste vers 16 heures, mais j'étais dans les boutiques pour acheter mes cadeaux de dernière minutes et c'était bondé! Bref, je vous souhaites de bonne fêtes et tout ce qui va avec, enfin je suppose que vous avez entendu ce discours des centaines de fois maintenant alors pas la peine de le répéter. En tout cas, bonne lecture !

Vue d'Ambre

J'ouvrai les yeux, mais les refermais immédiatement. Le soleil venait de m'aveugler. Je les rouvris petit à petit. J'étais allongée sous des arbres et des rayons de soleils traversaient entre toutes ces branches et feuilles pour venir dessiner comme des petits dessins sur l'herbe verte. J'étais étrangement sereine, pourtant, loin, bien loin dans mon esprit, j'avais comme une petite voix qui me disait que tout allait mal. Une impression comme de poids sur mon cœur persistait malgré le fait que j'étais d'excellente humeur.

-Ambre ! Ambreuuuh ! Appela une voix plus loin dans la forêt. C'était Elodie, ma meilleure amie qui m'appelait.

Je me redressai sur mes coudes, faisant se frotter les brins d'herbe à ma peau, me provoquant des chatouilles.

-Oui ?

-Dépêche-toi ou je garde tout pour moi ! Cria Elodie, avec une voix enjouée.

-Garder quoi ? Demandai-je en me redressant un peu plus.

David émergea des fourrés.

-Tu comptes la laisser manger tout le pique-nique ? Me demanda-t-il en m'aidant à me relever.

Je remarquais alors que j'étais habillée d'une simple robe blanche, fleurie à certains endroits. Elle était à bretelle et il y avait une fine ceinture qui marquait ma taille. J'étais pieds nus. Un chapeau de paille avec un ruban bleu turquoise m'abritait de l'insolation.

J'enlevais tout les brins d'herbes sur ma robe en la frappant légèrement.

-Certainement pas.

-Alors allons la chercher. Me dit David avec des yeux de prédateur en me tendant sa main.

J'attrapais sa main et on se mit à courir. Je tenais mon chapeau sur ma tête avec mon autre main posée dessus. Jamais l'herbe ne m'avait parue si agréable et douce. Mes cheveux volaient derrière moi tendis que je poussais des petits cris joyeux et David réagissait en rigolant. Mon cœur se gonflait de bonheur à chaque fois qu'il riait. Au loin, la lumière se fit plus intense. Je me rendis compte que c'était la fin de la foret car il y avait de moins en moins d'arbres. On sortit finalement de la forêt et on arrêta de courir pour admirer le paysage. Du vent vint faire flotter au dessus de mes épaules mes cheveux et me rafraîchir par la même occasion. Une énorme plaine, fleurie à certains endroits par des fleurs colorées était sublimée par le ciel bleu sans nuages. Les rayons du soleil venaient embellir ce magnifique paysage, en tapant sur les fleurs, les rendant presque brillantes. Un peu plus loin, la plaine devenait une petite pente et encore quelques mètres plus loin du bout de la pente se trouvait au lac, où semblait être rassemblés plusieurs personnes nous faisant de grands signes. Et devant nous se trouvait Elodie, courant avec un grand panier dans la main droite, vers ces gens.

Je me tournais mon visage vers David, et vit que celui-ci me regardais, justement. Comme prit en flagrant d'élit, il se mit à rougir en détournant les yeux. Je lâchais un petit rire avant de me mettre à courir après Elodie, tenant toujours la main de David. Arrivés dans la pente, l'herbe était étrangement mouillée et je me sentis tomber. Deux puissantes mains m'attrapèrent au niveau des côtes et me redressèrent. Je n'avais même pas besoin de courir : je surfais sur l'herbe mouillée. On descendit donc en surfant sur l'herbe, provoquant des rires des personnes nous attendant plus loin. On arriva en bas tranquillement et je me rendis compte que ce n'était personne d'autre que nos familles qui nous attendaient en bas. Il y avait mes parents, ceux de David et ceux d'Elodie.

-Vous n'avez qu'a aller jouer pendant qu'on installe me tout. Me dit ma mère.

J'acceptais avec plaisir et on se dirigea vers le lac. Elodie se déshabilla, ne laissant que son maillot de bain et plongea dans l'eau. David fit de même ainsi que moi-même. Je rentrais dans l'eau mais elle était glacée. Malgré toute ma bonne volonté, l'eau arrivée au niveau de mes hanches, je m'arrêtais.

-Elle est trop froiiide !

Elodie fonça vers moi à toute vitesse, m'attrapa la main, et me tira vers elle, me faisant totalement basculer dans l'eau. J'eu l'impression de recevoir une gifle.

-Ambre ! Ambre ! Tu ne trouves pas que tu as assez dormis ? Chuchota une voix en me secouant dans tous les sens.

J'ouvrais les yeux et découvris Elodie, en train de me secouer dans tous les sens, alors que j'étais tranquillement allongée. Je me relevais doucement. Mon rêve était si beau !

-Mais c'est quoi ton problème ? Demandais-je doucement en essayant de me rappeler de quelque chose. J'avais l'impression qu'on m'avait anesthésié le cerveau.

Elodie me lâcha, et se dirigea vers la seule fenêtre de la chambre, que des rayons de lune traversaient. Elle attrapa un petit sac posé là, et en sortit deux petites fioles. Elle revint vers moi et me les tendis.

-Tiens, celle-ci va te redonner des forces, et l'autre va t'aider à te réveiller plus rapidement. C'est vrai qu'après avoir dormi tout ce temps, tu dois te sentir bizarre.

-Comment ça « tout ce temps » ? Et qu'est-ce que tu as mis là-dedans pour que sa ait une aussi...bizarre apparence ? Dis-je en regardant d'un mauvais œil les deux liquides.

-Bois et tu verras.

J'avalais donc le contenu de la première fiole et j'eu l'impression d'être aussitôt traversée par une étrange énergie ; j'étais sûre que je pouvais courir un marathon sans problème et d'être même pas essoufflée à la fin. Puis je bus la seconde, et je vis comme des images défiler dans ma tête, tous les événements précédents. Mes souvenirs revinrent, mais je ressentis un vide dont je n'avais pas l'explication. Je me rappelais alors que techniquement, Elodie ne devrait pas être là...Alors soit j'étais dans le royaume ennemis, soit...

Je me relevais et sautais dans les bras d'Elodie.

-Tu as réussis à t'évader ?

-Ouai.

-Et...Et mes parents, comment vont-ils ?

Elle eu un air pleins de regrets et de colère avant de me répondre.

-Je n'ai pas pu les emmener avec moi Ambre. Nous n'étions pas emprisonnés au même endroit. Je suis désolée, j'aurai du...

-T'inquiète, ça va... Je comprends.

Elle se défit de mon emprise.

-Mais il n'y a rien d'autre qui te chiffonne ? Me demanda-t-elle.

-Autre chose devrait me chiffonner ?

Elle râla.

-Je crois que la dose n'étais pas assez forte... Mais enfin Ambre ! Tu ne sens pas qu'il y a un léger souci ?

-Bah non. Pas la peine d'essayer de me faire moins de peine ou se genre de choses Elodie. Arrête de tourner autour du pot et dis-le directement.

-David. David à disparu de la circulation.

C'est pour ça. C'était donc ça ce vide que je ressentais...Est-ce qu'il était...mort ?

-Il...Il n'est pas mort, pas vrai ? Demandais-je ne pouvant retenir le tremblement de ma voix.

-On ne sait rien. Même Chris n'arrive pas à le localiser. Mais on doit y aller.

-Aller où ? Demandais-je en me massant les tempes.

Trop d'informations en un coup.

-Aller au royaume Dragon. Il y a de fortes chances pour que David y soit, et il faut qu'on aille libérer les autres.

-Mais comment on va faire pour sortir d'ici avec toute la sécurité ?

-On se débrouillera. Et puis la situation à grandement évoluée.

-En une nuit elle a grandement évoluée ?

-Viens voir. Me dit-elle en attrapant ma main et en m'emmenant devant les fenêtres.

Tout avait l'air normal. On voyait toute la ville, d'assez haut d'ailleurs. Je devais être dans une des aile du château, un peu retirée, et haute.

-Bah quoi ?

-Là regarde. A chaque coin de rue il y a un garde, tout comme à chaque carrefour. Dit-elle en me pointant plusieurs gardes, quasiment invisibles.

-Et là, les champs.

En effet, les champs étaient entourés de petites particules blanches, vertes et bleues dans l'air. Des gens récoltaient, et aussitôt les fruits, et les légumes repoussaient.

-Toute les auras reliées à la nature se relaient pour faire le plein de nourriture en cas d'invasion.

-Et là haut, tu vois ces gens qui volent montent la garde également et prévienne en cas d'une présence.

Je n'y comprenais plus rien.

-Mais enfin combien de temps ai-je dormi ?!

-Aujourd'hui ça fait exactement un mois et deux jours que tu es endormie.

Je fus prise d'un vertige et je m'appuyais contre le mur.

-Un...Un mois et deux jours ?! Mais comment est-ce possible ?

-C'est loin d'être le problème principal, je t'assure.

-Ok...Il s'est passé quoi, encore ?

-Les combats ont commencés. Et les actes de barbarie aussi. Chaque royaume essaye d'effrayer l'autre. Mais là encore, ce n'est pas le plus gros souci...

-Bon Dieu quoi encore ?

-On est entrain de perdre la guerre. On pourrait se faire envahir là, maintenant.

-Tu sais quoi Elodie, ne me dit plus rien. On s'en va, et vite.

Elle ouvrit la fenêtre et balança son sac par la fenêtre sans même regarder. J'essayais aussitôt de stopper sa chute avec mes pouvoirs mais rien ne se manifesta.

-T'inquiète, il y des gens en bas.

-Qui ?

-Michael, Chris et...Un ami. Jette toute les affaires qui te gènes.

-Ce qui me gène c'est que je ne ressens plus rien ; d'abords David et maintenant mes pouvoirs. Il me reste quoi exactement ?

-Pour tes pouvoirs, c'est juste parce que tu dors depuis...longtemps, donc il faut leur laisser le temps de se réveiller.

Un bruit de poignée qu'on tourne se fit entendre et Elodie se déplaça tellement vite à l'autre bout de la pièce que j'eu l'impression qu'elle s'était téléportée. Un homme armé rentra dans la pièce et il fut étonné de me voir debout.

-Vous êtes déjà r...

Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase car Elodie venait de l'assommer d'un coup dans la tempe.

-Vite, il faut y aller. Viens m'aider.

Je l'aidais à traîner le garde à l'intérieur de la pièce puis elle referma la porte. Elle le fouilla mais ne trouva rien d'intéressant. Elle ouvrit la fenêtre et se mis accroupie sur le rebord. Un coup de vent et elle risquait de tomber.

-Tu compte jusqu'à trente, et tu sautes. Me dit-elle avant de se laisser tomber dans le vide.

Je me mis vite à sa place en quelques secondes. Voler, je l'avais déjà fais plusieurs fois, j'en avais l'habitude d'ailleurs. Pourtant, jamais mon cœur n'avait tapé dan ma cage thoracique aussi fort et aussi vite. Si jamais ils n'arrivaient pas à me rattraper, je n'aurai rien pour m'aider. Arrivé à trente je lâchais ma seule prise qui me maintenait et je chutais dans le vide. Ma chute fut vite ralentie, et j'atterris délicatement dans les bras de Chris. Il me remit à terre, et m'aida à me tenir debout, le temps que retrouve un équilibre.

-Tiens attrape ça. Me dit Michael en me balançant une arme.

-Sa ne fera que paralyser mes gens ne t'inquiète pas. Me rassura Elodie.

Nous étions cinq : Elodie, Chris, Michael et le fameux ami d'Elodie.

-Salut, moi c'est Nathan. Me dit-il visiblement crispé.

Il regarda les autres, mais finit par me faire une petite courbette. Je le relevais immédiatement.

-Non, non, non ! Pas de sa avec moi. Comportes-toi comme avec une personne normale, d'accord ?

-Euh...Comme tu veux.

Elodie sortit de son sac cinq tenues identiques à celles des soldats et je la regardais avec étonnement.

-Mais ! T'a le sac de Mary Poppins ou quoi ?

Elle me fit un clin d'œil.

-On peut dire ça. Enfilez-les, c'est pour passer sans encombre à travers la ville.

-Par-dessus nos vêtements ?

-Ouep.

On enfila donc les tenues, qui s'avéraient être incroyablement confortable. On mit nos casques puis on quitta les alentours du palais pour se diriger dans la ville. Mais d'un coup, toute la ville s'alluma et une alarme sonna.

Les gardes, un sur deux, partirent de leurs position pour courir dans une direction. Arrivés à notre niveau ils nous poussèrent avec eux.

-Dépêchez les gars ! On est attaqués côté ouest !

On se regarda un instant, mais ne voulant pas paraître suspects on couru avec eux. Bientôt on rejoignit toute une petite troupe de soldats. On se tint tous par la main, l'un d'eu brandit une pierre et on se fit tous téléportés. Sans avoir le temps de savoir où j'étais, on me jeta une arme dans la main. Je me fis poussée à l'extérieur à cause de toute la foule et bientôt je me retrouvais dehors, au front. Au loin, des troupes arrivaient avec les armes levées, au sol comme dans les airs. Un sentiment de terreur me prit alors. Qu'est ce que j'allais faire ? En plus je n'avais toujours pas retrouvé mes pouvoirs ! J'étais vraiment dans la mouise !

Heureusement, nous étions tous les quatre à côté.

- Et on fait quoi maintenant ? Demandais-je en essayant de maîtriser le tremblement de ma voix.

-On improvise ! Cria Elodie avant de lever son arme et de se mettre à courir vers les ennemis.

Tout le reste de l'armée suivit et je fus bien obligée de suivre, moi aussi. Les dragons crachèrent du feu, mais une énorme barrière se leva, bloquant toute les flammes. Les troupes du sol commencèrent à se battre mais je reculais. Elodie, Chris et Nathan, qui venait de décoller pour se battre dans le ciel, se battaient courageusement mas moi que pouvais-je faire ? Je ne savais pas me battre avec mes armes !

Des soldats, se mirent en position et des violentes bourrasques vinrent toucher les dragons volants et plusieurs chutèrent. Un mélange d'éclair et de pluie vinrent encore compliquer les choses pour eux. D'autres soldats vinrent, avec une petite broche verte au niveau du cœur. Ils entamèrent une sorte de chorégraphie et des plantes jaillirent du sol, emprisonnant et étouffant les ennemis. De certaines sortirent un gaz vert, ce qui fit reculer un peu plus l'ennemis. La terre se fissura même à certains endroits.

Michael et Elodie frappaient avec une rapidité que je ne croyais pas possible. Je n'arrivais même pas à distinguer leurs gestes, pourtant, les gens tombaient comme des mouches au bout de quelques minutes de combat. Des cris de douleurs jaillissaient de partout et je ne pouvais dire de quel côté ils venaient.

Nathan, lui, avait des ailes qui semblaient faites de verre fin. Il n'avait qu'à toucher un dragon pour l'affaiblir. Il aspirait leurs énergies et en redonnait aux autres soldats.

Quand à Chris, il se démenait comme pas permis, et donnait des coups de griffe à qui l'approchait. Il mordait, aussi.

J'étais tant occupée à les regarder que je ne vis pas le dragon piquer à toute vitesse sur moi. Je reçu un énorme coup de patte et je fis projetée plusieurs mètres plus loin dans un hurlement de douleur. Ma tête heurta le sol dans un affreux bruit. Ma vue se brouilla un instant, avant que tout ne redevienne comme avant. Je n'avais plus mal nulle part, et j'eu l'impression que de l'électricité traversait mes veines. Je sus que j'avais retrouvé mes pouvoirs quand une chaleur réconfortante me traversa. Je sentis mon énergie jusqu'au bout de mes doigts. Je vis Elodie me rejoindre et elle m'aida à me relever. Quelques secondes plus tard, nous étions tous regroupés.

-Il faut y aller. J'ai récupérer une pierre pour se téléporter. Annonça Chris fièrement.

Des cris de victoire s'élevèrent quand les dragons reculèrent avant de disparaître complètement dans le néant.

-Ils se sont téléportés ? Demanda Chris.

-Ouai, je pense. Répondit Nathan.

-Allez on y va. On va se téléporter à l'intérieur de la cité, mais il va falloir être discret. Nous expliqua Elodie.

-Attends, quoi ?! Comment est-ce que tu sais où te téléporter exactement ? Demanda Michael

-Nathan connait la ville. On va se téléporter dans une forêt, non loin de là.

-Si tu le dit...

-Allons-y alors.

On s'éclipsa discrètement, et une fois à l'abri des regards, on se téléporta.

Vue de Christelle (à la suite de celle d'Ambre)

Je faisais les cent pas dans ma chambre en me tenant la tête. Bon sang ! Tout partait de travers, et je n'avais plus le contrôle de rien. Les problèmes s'enchaînaient mais je n'avais aucune solution. Déjà plus d'un mois que j'étais ici, je n'avais pas réussi à m'enfuir, ni à libérer mes amis. De plus, je n'avais plus reparlé à Damien depuis la fameuse soirée, non seulement parce que nous étions tout les deux trop têtus pour faire le premier pas, mais en plus de ça il était très occupé par mon problème suivant : les combats avaient commencés. Et j'avais appris en écoutant les gardes parler à ma porte qu'en plus de tout ça, David, oui le David était emprisonné à son tour. Soit, ça ne ferais qu'une personne en plus à délivrer pas vrai ? Mais en prime, oui, parce que ça en suffisait pas, ils comptaient faire en sorte de tirer des informations de l'ennemis et sa allait forcément finir par de la torture. Et le connaissant, il se laisserait tuer plutôt que de livrer la moindre information sachant qu'en plus c'était Ambre qui se trouvait là-bas. Si jamais je n'arrivais pas à le faire sortir très vite, jamais je n'oserais à nouveau regarder Ambre dans les yeux, du moins, si elle, ou moi, restions en vie assez longtemps. Bref, tout partait en cacahuète. Un œil sur mon horloge m'apprit que j'allais bientôt avoir le droit d'aller me promener.

Les gardes qui m'accompagnaient, trois au total, me laissèrent choisir la destination de ma petite promenade et je choisis la forêt, sans même réfléchir.

La forêt n'était pas très loin et j'y rencontrai parfois de petits animaux mignons.

En traversant la ville, je vis bien que beaucoup de choses avaient changé. Non seulement il y avait des gardes, mais après une certaine heure, tous les volets étaient fermés et les portes bien verrouillées. Il n'y avait plus d'enfants qui se baladaient dans les rues joyeusement, et on n'entendait plus aucun oiseau.

On arriva dans la forêt et je m'assis tranquillement sur un rocher pendant que les gardes allaient faire leurs rondes.

Une lumière violette fit se projeter mon ombre sur un arbre et je me relevais précipitamment, alertée. Voyant que personne n'arrivait, je me dirigeai doucement vers l'endroit d'où avait jaillit la lumière. J'écartais quelques buissons, à la recherche de l'objet, de la personne ou de l'animal ayant provoquer cet étrange phénomène.

-Ambre ? M'écriai-je surprise de voir mon amie ainsi que quatre autres personnes.

Ils étaient tous à terre, sauf deux garçons que je ne connaissais pas. Chris et Elodie, gisaient à terre à côté d'Ambre.

-Christelle ! Me répondit-elle-en levant mollement sa main.

-Mademoiselle vous êtes là ! Crièrent des gardes derrière moi.

Et merde...


Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top