Nezuko était allongée sur le lit, serrant nerveusement la couverture, pinçant nerveusement les lèvres, essayant de calmer chaque respiration. Même si le tissu doux frottant contre son corps nu apportait une sensation de légèreté et de confort, le visage de Nezuko était maintenant brûlant jusqu'à la fièvre, car une pensée lui trottait dans la tête. .

Elle était sur le point de le faire avec Sanemi.

Ce soir, c'est la nuit de noces après leur mariage.

Même si elle était tentée d'interroger Mitsuri sur son expérience dans la chambre, ce n'était pas vraiment une expérience, juste une question sur ce qu'une mariée devrait faire lors de sa première nuit. Ne vous inquiétez pas trop, a dit Mitsuri, détendez simplement votre corps et faites également confiance à votre partenaire. Malgré cela, Nezuko ne pouvait cesser de s'inquiéter, comme si à tout moment son cœur pouvait sortir de sa poitrine. Se pourrait-il qu'elle perde connaissance avant que l'un ou l'autre ne puisse faire quoi que ce soit ? Y a-t-il une mariée qui perdrait ainsi la face lors de son mariage ? Nezuko secoua la tête, prit une profonde inspiration, essayant de se calmer. Tout ira bien. Aucun problème.

Parce que cette personne est son Sanemi.

Une excitation se répandit progressivement dans tout le corps de Nezuko. Ce soir, elle est la plus belle mariée de son mariage. Elle appartenait à Sanemi et il lui appartenait. D'une manière juste et directe. Par une promesse contraignante de s’offrir mutuellement les plus belles choses pour l’éternité.

Soudain, on entendit le bruit de la porte de la chambre qui s'ouvrait.

C'est Sanemi. Peut-être qu'il avait fini de s'occuper des invités et que la fraternité des caramboles était venue jusqu'à l'hôtel pour applaudir et célébrer. Ce n'est qu'à minuit que Sanemi monta dans sa chambre.

"L'expression sur ton visage donne l'impression que je suis sur le point de te manger." Sanemi se pencha et embrassa légèrement Nezuko sur la joue, la taquinant.

Nezuko était embarrassée et ne répondit pas à ces taquineries, mais en un instant ses yeux tombèrent dans celui de Sanemi, toute timidité disparut soudainement, au fond de ces yeux se trouvait une étreinte douce et tolérante d'elle. Son haleine sentait légèrement l'alcool, mais Sanemi n'avait pas l'air ivre, au contraire, il la regardait attentivement comme s'il était celui dont elle avait capturé l'âme. Nezuko le regarda d'un air vide et regarda son image gravée au fond de ses yeux.

"N'ayez pas peur. Je suis là." Il la rassura doucement, puis ôta habilement son costume. Ses mains musclées semblaient hypnotiser et capter son regard à chaque mouvement qu'il faisait. Nezuko fixa la poitrine ferme clairement visible derrière les boutons lâches de sa chemise. Sa main glissa jusqu'à sa ceinture, puis jusqu'à la fermeture éclair de son pantalon et enfin, un bruissement retentit au même moment où les vêtements touchèrent le sol.

Sanemi s'avança vers elle, ôta doucement la fine couverture que Nezuko enroulait autour de son corps, sourit et l'embrassa, ses mains caressant son corps blanc et lisse, comme s'il glissait doucement sur un brocart de première qualité. La température et la chaleur de sa main la firent frissonner, mais Nezuko resta silencieuse et laissa Sanemi continuer. Il n’y avait aucun obstacle pour empêcher ses mains d’explorer les endroits ondulants de son corps. Chaque virage, chaque courbe se courbe parfaitement dans l'obscurité fluide, et le son d'une douce respiration résonne dans le baiser passionnément entrelacé. Nezuko sourit lorsqu'il la laissa partir un instant, car le baiser précipité mais prudent de Sanemi avait dissipé l'anxiété invisible qu'elle imaginait.

Deux silhouettes enlacées l'une dans l'autre, la blancheur de la chair nue se profilant au milieu de l'obscurité enveloppante. Ses lèvres et sa langue possédaient chaque centimètre carré de sa peau, les mouillant et les suçant tandis que des halètements passionnés s'échappaient de sa jolie bouche.

Une intrusion qui apportait à la fois douleur et plaisir extatique et brûlant mêlés, entrelacés et entrelacés, l'absorbant étroitement. Au coin de ses yeux coulaient des larmes de bonheur mêlées d'émotions débordantes. Parce que la personne en face d'elle était son bien-aimé, son Sanemi, la personne qu'elle avait juré d'aimer pour le reste de sa vie, lui donnant tous ses souvenirs et l'amour le plus fort et le plus complet. Nezuko ne ressentait plus la douleur, ou peut-être que la douleur avait disparu depuis longtemps, quand elle avait l'impression de fondre inconsciemment sous son corps, le laissant la tourmenter à volonté à chaque poussée, faisant tourner le monde et le ciel sauvagement.

Ses mains se serraient fermement sur son dos tonique et taché de sueur, comme si elles s'accrochaient au seul support dans la mer d'amour qui débordait et s'écrasait sur le rivage, se retirant puis martelant encore et encore, submergeant tout son esprit. Le son lubrique et débauché qui résonnait alors qu'il ondulait sur son corps fit s'enfoncer Nezuko de plus en plus profondément, ses jambes attrapèrent sa taille, le serrant fermement.

C'était comme s'il y avait un pouvoir magique qui l'attirait, et elle l'attirait. Absorbant toute la lumière vive à travers un petit trou étroit. Et tout simplement éclatait et débordait, comme s'il éclatait de milliers de couleurs printanières dans un printemps où des centaines de fleurs fleurissaient.

Une partie de son âme lui a été donnée et la moitié de son âme a fusionné avec elle. Pour toujours, ne vous séparez jamais.

Nezuko serra fermement le drap du lit et haleta après que la soif brûlante d'amour se soit calmée, lentement. Il l'a tenue pendant un moment mais ne s'est toujours pas retirée. Nezuko était confuse et était sur le point de poser une question lorsqu'elle fut soudainement surprise lorsque l'homme commença à entrer et sortir à nouveau.

Elle pensait qu'il arrêterait après la première fois, mais il s'est avéré que Nezuko avait tort.

"Je ne te laisserai pas partir aussi facilement, bébé."

Le son des gémissements et le goût collant du sexe ont continué à résonner de façon humide toute la nuit.

Nezuko s'est plongée dans une spirale de répétition, de progression, de répétition et de progression.

Comme si cela pouvait durer éternellement sans aucune fin en vue.

Fin.