Chapitre 14

Petite annonce de l'auteur : je serais à l'étranger voir mon ange que j'aime ♥️ du coup je pourrais pas vraiment écrire, mais le gros du scénario est déjà bien encré dans ma tête, alors n'ayez crainte, j'arriverais à le sortir rapidement (normalement) après ca ! Sur ce, bon chapitre ~

Samuno

Quelques jours étaient passés depuis que Na-chan était devenu notre nouveau professeur. En japonais il nous apprenait à mentir et à berner notre cible, en géographie il nous enseignait comment tourner l'environnement qui nous entour a notre avantage, et en histoire il nous informait de l'histoire des endroits divers, etc.

De mon côté, mes douleurs à mon œil gauche devenait de plus en p'us fréquente, longue et intense [😏]. Seulement, elles se manifestaient uniquement quand j'étais seul, et la nuit. Je n'avais aucune idée de ce qu'il m'arrivait, et j'aimerais bien le savoir. Tout ce que je savais, c'est que ces douleurs m'épuisaient fortement.

Nous étions en cours d'anglais, donner par Bitch-sensei, quand soudain, une douleur atroce, fit surface au niveau de mon œil gauche, m'arrachant un cri de douleur. J'apportais ma main à mon œil, ne pouvant m'empêcher de crier, et je sentis un liquide chaud, gluant, qui avait à la fois une odeur sucrée et délicieuse qu'extrêmement dégoûtante et repoussante.

Mauvais.

C'était comme si quelqu'un essayait de prendre le contrôle de mon corps. Je luttais de toute mes forces, je criais à l'aide, plus rien n'existait autour de moi, je ne ressentais que la douleur au niveau physique. Puis, je me mis à vomir d'un liquide rouge, à saigner du nez. Le goût du sang, j'avais à la fois envie de vomir et de le ravaler en le dégustant. Puis, soudain, tout mes sens furent plus aiguisé. Ils l'étaient de base, mais là ça me semblait ingérable. J'entendais les appels de mes camarades comme des cris aigües et qui me brisait les tympans. L'odeur du sang présent autour de moi, celle de l'inquiétude et de la peur, ça puait. Mais je ne pouvais m'empêcher d'apprécier cette odeur, de m'enivrer avec, de la désirer. Le goût du sang, je l'avalais, il me semblait tellement délicieux. Le seul sens dont je n'avais pas accès, était ma vue, qui était extrêmement brouillée.

Je ressentais des sentiments totalement contradictoire. Je luttais contre moi-même. Un combat acharné qui me faisait souffrir. Je sentais mes forces me quitter. Je tentais de rester éveillé, vainement.

Bon sang, qu'est-ce qu'il m'arrive ?!

Puis tout devint noir.

Externe

Nasagi tentait depuis bien dix Minutes d'avoir un quelconque contact avec son ami. Il refaisait une crise, et il était prit au dépourvu. Il pensait que c'était fini, tout ça. Elle n'a jamais été aussi violente. L'œil visible de Samuno était vitreux, il était parcouru de spasme. Puis, le Tetsurou fut au première loge pour observer le changement radical de comportement du noiraud. Radical et brutal.

-Tout le monde ! Reculer ! Ordonna le brun.

Ils s'exécutèrent, se disant que le professeur de japonais et d'histoire géo en savait plus qu'eux sur la démarche à suivre. Samuno se redressa, des spasmes animais son corps. Il avait un grand sourire, trop grand pour être sain. Le noiraud n'avait plus rien de sain maintenant. L'assassin n'était plus que l'ombre de lui même. Nasagi pesta contre lui même. Il n'avait pas arrivé à le stopper.

Si Samuno était pale, maintenant, Samuno était blanc, livide, presque gris. Beaucoup de sang partait de son oeil gauche, et un peu de son oeil droit, qui était maintenant révulser. Les saignement de nez avait cessez, et un filet de sang coulait du coin de sa bouche. Il était digne d'une creepypasta.

-Do you... want to play... with me ? Demanda ce qui était apparemment Samuno. Sa voix était très grave, mais montait dans les aiguës au fur et à mesure de ses dire.
-Surtout ne lui répondez pas ! Ordonna/cria Nasagi. Les personnes présentes ici gardèrent alors le silence. Kurinki-chan !! Hurla t'il en apportant sa main gauche sur celle de droite. J'ai besoin de toi ! Vient avec l'uso !

Samuno rigola d'un rire a en faire frissonner la Mort. Il attaqua de front le professeur, avec une vitesse déconcertante. Mais Nasagi les esquiva tous. Il se tourna alors vers les élèves, et son sourire sadique s'agrandit. Koro-sensei se mit devant le noiraud, lui disant silencieusement qu'il ne s'en prendrait pas à ses élèves sans lui passer sur le corps. Le poulpe apporta une tentacule en direction de Samuno, mais elle fut coupée instantanément.

-Alors ? Ca fait mal ? Souria le noiraud. Il tenait fermement le couteau anti-sensei, du sang s'écoulait doucement au niveau de sa main, d'ailleurs. Il regarda sa main. Tch. Moi qui pensait que l'enveloppe de l'autre con me protégerait... Il est vraiment inutile on dirait. Dommage que je ne peux pas le tuer. ~ Sur ce, ja nee ~~ Il prit la fuite par la fenêtre.
-Je ne te laisserai pas partir, Akuno ! Dit le professeur d'histoire géo en s'élançant a sa poursuite.

Ledit Akuno lui assena un coup de couteau anti-sensei, mais ca n'eut aucun effet. Il écarquilla les yeux et baissa sa garde. L'adulte ne profita pour le maitriser, mais l'élève se débattait comme un beau diable, et le spécialiste en infiltration et en espionnage commençait a avoir du mal. Tadaomi vint a la rescousse. Celui qui était apparemment Akuno, fit un mouvement brusque et réussit à mordre la main de Karasuma-sensei, et il resta accrocher a cette dernière.

-Merde ! Mais putain, qu'est-ce qu'ils foutent ?! Jura le brun. Il sortit un couteau anti-sensei et marmonna : Excuse moi... Sa-chan.

Il prit son bras droit, déchira sa chemise et appuya son couteau au niveau de la fosse cubitale [Merci Deo ! C'est l'endroit où se plie le coude], et du sang s'en écoulait alors. L'endroit où le couteau était posé semblait bruler, et on dirait que c'était extrêmement douloureux. Il continuait, ses cheveux cachant ses yeux, et au bout d'un moment, le maitriser cria de douleur, libérant ainsi le professeur de sport. Ce dernier saignait a flot depuis l'endroit où il a été mordu. Son agresseur lanca un regard noir au brun, et si un regard pouvait tuer, il serai déjà mort. Il se débattit, et essaya de se libérer de l'emprise ferme de l'espion, mais il n'y arriva pas. Ce fut a ce moment que la porte de la salle s'ouvrit en trombe, dévoilant le corps de Niseko Kurinki, et un autre homme, du même âge que l'expert en infiltration.

L'homme a sa suite était aussi grand que Nasagi. Il avait le teint pâle, faisant ressortir ses cheveux rouge. Ils étaient plus foncé et plus long que celui de l'Akabane a la racine, mais ils étaient aussi rouge que ceux de Karma a la fin. Ils étaient coiffé d'une manière en bataille, les cheveux en arrière pointaient vers la droite, et ceux en avant vers la gauche. Il avait de petits yeux gris, où brillait de la malice. Ses sourcils étaient noir ébènes et étaient plutôt épais, mais sans plus. Il avait un nez droit, et un sourire aussi malicieux que la lueur dans ses yeux. Il était pas mal, mais ne dépassait pas la moyenne.
Si certain trouvait que la tenue du Tetsurou étaient un peu trop exhibitionniste, celle de l'inconnu elle, était une abomination. Il portait pour seul haut une veste longue moulante jusqu'au bassin, et volait librement a partir de là. Elle était majoritairement gris foncé, dont les bordures étaient rouge pétant. Au centre de cette dernière, il y avait une braguette, qu'il avait ouvert jusqu'au nombril, dévoilant une musculature pareil au Tetsurou. Il avait des manches longues, et a partir de ses avants bras, il avait des gants noirs. Il portait un pantacourt large, du même style que son haut, et au niveau du milieu de sa cuisse gauche, il y avait un tissu gris clair, partant sur le foncé sur la fin. Il était plutôt court. Ses bottes étaient noir également, du même style que ceux de Nasagi. Ce dernier prit la parole :

-Hé, Kurinki-chan, vient ici ! Et toi l'uso, occupe-toi des témoins ! Ne les tue pas !
-Samuno-sama ! S'écria la fille en voyant l'état de Samuno.
-Toi, me donnes pas d'ordre. Et j'ai un nom, tu sais ? Répondit le rouge.
-Ouais, c'est nique-ta-mère. Répondit sèchement et froidement, même avec une pointe de méprise, le professeur d'histoire géo. Et si, je suis parfaitement en mon droit de te commander, connard. Lui cracha t'il. Il se tourne vers Kurinki, et changea de ton en celui qu'il utilisait habituellement avec ses élèves. C'est Akuno.
-Bipolaire. Marmonna le rouge.
-Fais ce que t'as à faire et ferme-là ! S'exclama le brun.

Niseko gardait le silence, et elle semblait assez blasée. C'était donc assez habituel entre les deux. Elle cherchait plutôt un moyen d'approcher ledit Akuno sans se faire mordre. Elle se tourna alors soudainement vers Karasuma.

-Monsieur, vous avez été blessé par cette personne ? Demande t'elle en montrant d'in signe de tête le captif, qui se débattait de plus en plus. Tadaomi hocha doucement la tête. Sur une échelle de 1 à 10, 1 étant très faible, et 10 étant insupportable, combien noterez vous votre douleur ? Il est important pour moi que vous soyez honnête, et mettez votre égaux de côté, je vous prie. Demande t'elle, un doux sourire aux lèvres.
-8 ; 8,5 voir 9... répondit Karasuma-sensei, hésitant. Niseko hocha la tête, restant professionnel, et sortit deux trois affaires de son sac, et appliqua les premiers soins au professeur d'EPS.
-Vous m'appèlerez dès que vous aurez finis votre travail. Annonça l'adolescente en passant sa carte. Elle se tourne vers Akuno. Bon... comment je vais faire moi ? Le patient la regarda d'un oeil noir et meurtrier, s en faire trembler les morts, mais elle ne broncha pas. Autant prendre le taureau par les cornes. Tetsurou-san, libère-le. Demanda calmement la blonde.

Il s'exécuta en silence, le regard inquiet. Une fois libre, l'assassin fit l'erreur de foncer vers la Kurinki. Elle l'esquiva sans peine, et lui donna un violent coup avec sa main. Elle avait réuni deux de ces fins doigts ensemble, et avait frapper à un endroit précis, et l'élève s'évanouit. Elle fit des signes avec sa main, et chuchota des mots dans ce qui était apparemment une langue inconnue, et l'expression mauvaise, psychopathe et non-saine d'esprit disparut du visage, pour laisser place a un plus paisible.

-Itsuwari-san, fais ce que tu as à faire s'il te plait. Demanda poliment l'adolescente.

Effectivement, celui qui était apparemment censé faire quelque chose n'avait rien fait depuis tout a l'heure, à part observer élèves et professeurs un à un. A l'entente de l'ordre, il soupire et questionna, plutôt blasé :

-Je m'occupe également celle de l'autre tapette ?
-Samuno-sama est bien plus fort que toi. Annonça froidement Niseko. Et non, il est temps de lui dévoiler une partie du mystère qu'est sa vie, lui informa t'elle, plus calme.
-Ok. Répondit simplement le carmin. Il se tourna vers les élèves, et fit un sourire sadique.
-Ne les tue pas, teme. Dit le brun, avec un ton méprisant.
-J'ai peut-être l'oubli comme capacité, mais je n'ai ni de l'amnésie, ni l'Alzheimer, alors t'es gentil, mais je me passerais volontiers de ton aide, le toutou. Fit le rouge, avec un sourire carnassier, sans se retourner.
-Répète pour voir l'uso ?! S'emporta le brun.
-En plus t'es sourd ? Demanda le cramoisi, en se retournant.
-Ca suffit les garçons ! Vous ne pouvez pas agir comme des personnes civilisées à un moment ? Taisez-vous et ignorez-vous ! S'emporta la blonde, qui n'en pouvait plus de cette dispute qui commençait à lui taper sur les nerfs.
-C'est lui qui a commencé ! S'exclamèrent en même temps les deux adultes. Elle lanca un regard qui voulait tout dire aux deux hommes, et ils se turent, non sans s'être lancés un regard méprisant mutuel. La Kurinki soupira longuement.
-Des gamins je vous jure...

L'Itsuwari regarda les élèves, et fit à leu près la même manœuvre que la blonde/blanche, et marmonna d'autres textes dans sa barbe. Les yeux des élèves devinrent vitreux, tandis que l'homme continuait, tranquillement, ce qu'il faisait. Quand il eut finit, il claqua des doigts, et tous s'évanouirent. Il regarda Irina et Tadaomi, et refis la même chose, et il claqua des doigts. Les deux professeurs s'évanouirent à leurs tours.

-Bon, j'ai fait ce que j'avais à faire, je m'en vais. Kurinki-san, dis moi quand t'as fini et que t'es parti, je taperais dans mes mains. Dis le rougeaud en partant les mains croisé derrière sa tête.

La concernée hocha simplement la tête, et murmura à Samuno toujours endormit quelques mots, et souffla sur son oreille. Elle se redressa, et disparut, en annonçant que c'était bon. On put entendre un claquement de main résonner dans la pièce, et tout le monde se réveilla, à part Nasagi, qui lui, était resté éveiller. La question majoritaire était : "Est-ce que Samuno-kun va bien ?" et le concerné se demandait qu'est-ce qu'il s'était passé. Question à quoi Karma y répondit :

-Tu t'es évanoui et t'es ouvert la tête en plein court ! Il faut dormir tu sais, Samuno-kun. ~

Fin

Pfiouuuh ! J'ai cru que j'arriverais jamais a le finir ce chapitre !
Ohayo ! Comment allez-vous ? Moi ca va.
Meri : Miku-chan, tu pars à l'étranger ? Maiiiis tu devais écrire le prochain chapitre... *pleurniche*
Moi : oh Meri-kun... mais ne t'inquiète pas, le chapitre sortira de toute manière ! Et je suis pas sûre que Sa-kun veut vraiment que je sorte ce chapitre. ~ 😈
Sa : j'le sens pas.
Moi : tu fais bien Sa-kun, hihi. ~
Sa : *gloups*
Shu : quand est-ce que j'interviens ?
Moi : bien plus vite que tu ne le croies. Et ne soit pas pressé, car je suis pas sûre que ca va te plaire ! ~ hihi. ~~
Meri : Miku-chan a attrapé le sadisme ! Cachez-vous ! *s'enfuit*
Moi : Meri-kun, ton tour viendra, promis !
Shu : c'est grave comme maladie ?
Moi : *sourire sadique*
Shu : je corrige ma question, c'est se soigne ?
Moi : je sais pas et je veux pas savoir ! Je suis bien avec mon horrible sadisme moi ! Shu-kun, Sa-kun, le mot de fin !
Shu + Sa : ok ok... Mikumi-chan espère que ce chapitre vous aura plu, attention le drama continue encore, n'hésitez pas à mettre votre avis dans les commentaires, elle les lit et y répond.
Moi : merci ! Sur ce :

Sayonara~~

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