9. ☼ Railey
Hello ! Comment n'allez-vous ? 8D
J'avais fini le chapitre déjà avant-hier mais je ne le poste qu'aujourd'hui parce que avant-hier j'étais tellement mort ixdé ptdr lol mdr on s'poile tellement. Et hier j'ai eu un problème avec internet -encore aujourd'hui. Sur mon portable, ça passe, mais l'ordi ne se connecte pas, j'ai tout essayé, mais finalement là j'utilise la 3G de ma mère donc j'suis en PLS :')
Toujours ce problème d'espace toussa toussa. Hum. Tristesse ;; ENFIN BWEF, n'hésitez pas à commenter, voter, et bien sûr lisez hein sinon c'est embêtant 8D
Pas vraiment vérifier les fautes, on verra bien x'D
Bonne lecture ! ♡
Railey
Il est crispé. Je le remarque dans la façon qu'il a d'éviter ladiscussion. Je l'entends presque souhaiter de la cesser. A madernière question, ses membres se tendent et il se lève d'un coup,comme si on le venait de lui mettre le feu au cul :
- CA SUFFIT !
Je ne suis pas choqué. De là où je suis, il me domine de par saposture. Assis, je le regarde tristement, un sourire dessiné sur levisage. J'ai pitié de lui. Je sais que je ne devrais pas, et jecrois qu'il le prend mal également, mais je ne peux pas m'enempêcher. Je ris d'un rire sans joie :
- Là aussi tu ne vas pas répondre, c'est ça ?
N'obtenant aucune réponse, je sais que j'ai visé juste. Ilsiffle ses chiens, et décide de reprendre les trois en même temps.Je me doute que ça ne l'arrange pas, mais j'ai surtout la certitudequ'il veut tout sauf rentrer avec moi.
- A demain, je souffle.
Je suis persuadé qu'il m'a entendu, mais il continue son cheminsans m'accorder un regard. Ai-je eu tord en m'incrustant dans sa vieprivée ? En essayant, juste une fois dans ma vie, d'aider quelqu'un?
Pourquoi a-t-il fallu que ça tombe sur un type aussi tordu ?
* * *
Je rentre dans mon appartement, et je pose tranquillement les clésau-dessus de la cuisine juste à droite de l'entrée. Ça fait unesemaine que j'évite Alex, et c'est totalement réciproque. Stevie,Andie et Tess l'ont très bien remarqué. Elles ont essayéd'arranger les choses de mille-et-une façons, mais on n'se causeplus. En fait, ce ne sont même plus des disputes. On ne s'adressepas un mot. Encore secoué par mon altercation avec Alex, je mets dutemps à percevoir du bruit vers la chambre. Merde. Si au départ jepense que c'est une illusion, je me rends vite à l'évidence : il ya quelqu'un dans ma chambre.
Oh mon dieu.
Je respire calmement, et cherche un bout de bâton -ou n'importequoi qui assomme. J'ai l'impression que mon cœur va exploser dans macage thoracique. Mon sang rugit dans mes tempes. Et plus jem'approche, plus je panique à l'idée que le squatteur entende mesbattements. Les tambours ne veulent pas cesser, et je ferme les yeuxen expirant doucement. Mon souffle tremble. Étrangement, je mesouviens parfaitement, quelques secondes plus tôt, avoir ouvert laporte. Elle n'avait pas été forcée. Violemment, je claque celle-cicontre le mur et m'apprête à sauter sur le gêneur, et je m'arrêteen plein élan quand je vois le chat noir gratter sur la couvertureque je lui avais acheté la dernière fois. Putain. Il m'a fait peurce con. Je soupire de soulagement, et je lâche ma ridicule casseroleavant de m'affaler sur le matelas double posé directement sur lesol. Le chat ne bouge pas et continue de faire ses griffes sur sacouverture, elle-même allongée au pied de mon lit.
- Salut toi.
Il -je crois avoir vu ça dans son entre-jambe- me regarde avecdes grands yeux ronds, puis vient se frotter à mon visage dirigévers le bout du matelas.
- Comment je vais t'appeler ?
Bah oui. Une semaine que je l'ai, il a toujours pas de nom. Je merends compte, au bout de quelques minutes, de la difficulté del'exercice. Comment fait Alex pour leur trouver des prénomsexactement ?
Alex. Merde. Faut vraiment que je règle ce problème. Au pire,c'est qu'Alex. C'est pas si grave, si ?
Perdu dans mes pensées, le chat me donne un coup de patte, et un« aïe » s'échappe de ma bouche. Le connard. Je lance le premiertruc qui me vient sous la main pour qu'il puisse s'amuser avecquelque chose d'autre que ma santé mentale, et c'est une balle detennis qui finit par être sa victime. Le chat se jette sur la balle,et c'en est hilarant.
- Bon, Chabal, reviens ici !
Chabal. Un chat qui joue à la balle. Oh putain. Je suis un génie.Je souris comme un idiot, et j'essaye d'oublier ce qui me tracassedepuis tout à l'heure. Malgré tout, Alex garde précieusement saplace royale dans un coin de ma tête.
Énervé, j'enfile ma culotte de cheval, et je descends en trombe.Je rencontre Tess, et ne voyant pas Alex aux alentours, je luidemande :
- Alex est pas là ?
- Railey, le centre équestre n'est pas limité à une allée. Etpuis tu t'en fous non ?
Je soupire, et je décide de ne pas insister. Je l'entendssoupirer à son tour :
- Il est avec Salvaje. Oh, et je ne t'ai rien dit.
Je hoche la tête sans la remercier, puis je vais attacherCatalina à un anneau sur le mur de l'allée. Si seulement Andieétait là...
Je regarde les brosses comme si elles étaient mes pires ennemis,et avec dégoût, je m'empare de l'étrille. Je veux monter moi, pasbrosser un putain de poil. Je n'ai pas sauté d'obstacle depuis queje suis ici, et ça me manque terriblement. Mais je sais que Catalinaest une bille à ça. Enfin, c'est normal, elle est très jeune, etelle est encore en apprentissage.
Je lui passe les différentes brosses, et m'efforce de tout faire.Déjà que j'me suis pris la tête une fois avec Alex, j'ai pas nonplus envie qu'on s'engueule une deuxième fois. Je la sellerapidement, et je me dirige vers la grande carrière. J'envoie monregard vers Alex qui est proche de Salvaje. Ils ont bien progressé.Désormais, il le touche sans trop de problème. Il aura quand mêmefallu presque deux mois pour gagner sa confiance à celui-là. De làoù je suis, je vois qu'il tient le licol dans sa main gauche, etqu'il flatte l'encolure de l'espagnol. Je pourrais rester des heuresà regarder ça. C'est le piaffement de Catalina qui me tire de mespensées, et je rentre dans la carrière.
Monter me fait du bien. Et en deux mois, Catalina s'est amélioréeaussi. Elle fait de superbes cercles, alors qu'elle avait, encore ily a quelques semaines, des problèmes de direction. Les allures sontde mieux en mieux adaptées par rapport à ce que je demande. Je faisune demi-heure de monte durant laquelle je travaille les alluresrassemblées et allongées. Elle assimile avec difficulté, mais aumoins, elle le fait correctement à la fin de la séance, et c'est leprincipal. Je dessangle, puis je marche un peu, rênes en main. Jen'aurais jamais fait ça avant de venir ici. Avant, je montais, jedescendais. Mais Alex m'a engueulé dès les deux premières semainesen me rabâchant sans cesse qu'en fin de séance, je devais laissersouffler mon cheval en le faisant marcher, et ne pas stopperl'activité d'un coup. Je ne sais pas ce qu'il m'a lancé comme tourde magie, mais désormais je le fais par automatisme. Après cinqminutes, je sors de la carrière, et je vois Alex quitter la petite.Nos regards se croisent, et il le détourne au bout de quelquessecondes. Putain. Encore. Je secoue la tête, et rattache Cata sur lemur.
Pendant les soins, que je dois également faire à la fin d'unexercice, je commence à saturer. Je soupire, et Catalina commence àse décaler pour essayer de me coller contre le mur. Je réagis toutde suite, en élevant la voix :
- Ooh ! Tu fais quoi là ?
J'accompagne ma voix par ma main qui pousse sa croupe. Elle a dela force, la conne. Elle finit par se remettre droite :
- Putain, y'a pas que la couleur que tu tiens de la vache.
J'entends un rire étouffé et, surpris, je me retourne pour voirAlex qui se mord la lèvre.
C'était qu'Alex hein. C'était pas si grave.
Pourtant, jereste comme un con, à ne vouloir qu'une chose : qu'il me parle.Qu'il dise quelque chose, n'importe quoi. Même « t'es con » ça meva. Un espoir fou vient emballer mon organe vital qui gonfle etcomprime ma poitrine. Sauf que, malgré l'éclat de rire dans sesyeux, il détourne tout de suite son visage et continue son chemin enm'ignorant de nouveau. Un son reste étouffé dans ma gorge. Je leravale.
Qu'est-ce que j'espérais exactement ? Qu'il me saute dessus en medisant qu'il est désolé ? Et puis, il ne devrait pas être désolé.On a tous les deux notre part de responsabilité. Mais l'un pourl'autre, on ne veut pas faire le premier pas. Et ce que je lui ai ditla dernière fois, c'est véridique. Je ne pourrais rien luipardonner. Il ne faut pas qu'il ait de raison de se faire pardonner.
Rageusement, je finis vite le pansage de Cata, et je la ramène aubox. Je me réfugie dans ma chambre, tiraillé par l'envie d'allerlui parler, et la peur de le faire en premier. J'ai peur de me fairerejeter, j'en ai conscience. Mais c'est plus fort que moi. Montéléphone -que je n'utilise désormais presque plus- se met àvibrer deux fois, m'indiquant que j'ai reçu un message. Affalécomme une larve sur le matelas avec Chabal qui me mord le mollet, jescrute avec attention la notification.
« Toi y'a pas que la connerie que tu tiens du kakapo. »
Je hausse un sourcil.
« Qui c'est ? ._. Et puis c quoi un kakapo '-' ? »
« Incorrigible. Apprends à écrire correctement par SMS. »
Je n'ai pas le temps de me défendre qu'un autre message arrive
« Et dire que tu as pris un chat noir. C'est Tess qui me l'a ditavant que tu ne poses la question. C'est le compagnon de la sorcièreet du diable, ça porte malheur ».
Je souris comme un imbécile devant le message. N'ayant pas lenuméro d'Alex, j'enregistre le contact. Ce gars est un cas.
« Et t'aurais peut-être eu un signe avant-coureur de notredispute ? :O »
« Est-ce que je t'ai dépassé une fois dans les escaliers ? »
Hein ?
Je comprends après un certain temps que ça doit encore être uneréférence dans ses superstitions à la con. Je ne réponds pas, etregarde mon écran comme si c'était la chose la plus précieuse dumonde. C'est lui qui a envoyé le premier sms, alors j'attends qu'ilrelance la conversation -parce que je ne prends pas vraiment ledernier message pour une question.
« Tu me dois une glace au fait. La dernière fois, je n'ai pas eule temps de la manger. »
Quel gratteur.
« A l'italienne vanille-fraise 8D je sais ! :'3 En fait jeconnais tout de toi 8) »
Je sers le portable contre mon ventre, et sentir les vibrations dedeux messages reçus me fait tellement de bien. Un grand sourire decrétin heureux bouffe tout mon visage.
« Arrête avec ces smileys. Enfin bref. »
« T'es là ce soir ? J'ai prévu soirée réconciliation. »
Il l'a fait. Il a fait le premier pas. Il a eu les couilles lui.Je me retiens de sauter de plafond. Putain. Mais c'est qu'Alex. Fautque je me calme.
« Ouiiiiiii *3333 * Roh mon chéri je t'aime <3 »
« Railey... »
Je ris en sentant son exaspération d'ici. Je ne veux pas casserl'ambiance, mais je respire un bon coup, vérifie mon message, etj'envoie :
« Et soirée explication aussi ? »
Pour la première fois depuis le début de la conversation, laréponse se fait attendre. Je me ronge le bout de l'ongle. Mais aubout de quelques minutes, je soupire de soulagement. Il n'y a qu'unseul mot.
« Oui. »
* * *
Ça fait deux fois que je viens ici, à chaque fois déposé par Tess, et rien que de voir son chien gris chelou -Carrie non?- me fout un de ces maux de crâne. Elle se met à aboyer -au moins j'ai retenu son sexe- et Alex ouvre la porte de sa maison. Pratique, pas besoin de sonnette.
Je retiens mon souffle. Une semaine qu'on ne s'est pas causé. Je peux vous assurer que ça fait bizarre de le revoir d'aussi près sans qu'il ne s'échappe. Il pose ses yeux sur moi, et j'ai envie de rire de mon propre stress. On dirait que je vais à un examen putain. On se jauge du regard, et il se retient de détourner le sien, je le sens. Mais il ne le fait pas.
Il sort de sa maison, et alors que je galère à essayer de trouver le mécanisme de son truc, il me toise avec ce regard qui veut tout dire. Celui-là même. Celui qui m'a vraiment manqué. Celui du : « t'es vraiment con hein ».
- Roh ça va, ferme ta bouche !
Il lève ses mains en l'air pour me signaler qu'il n'a encore rien dit. Oui, bah je sais, mais c'est frustrant. Même si ça m'avait manqué. Mon sang s'affole dans mes veines, et quand il m'ouvre son portail, je ne suis qu'à un petit mètre de lui. Roh my god, ça fait tellement étrange.
- Salut.
Il hésite à répondre à ma salutation, mais finit par hocher doucement la tête. Il calme Kali -ah, c'est ça- en une intonation de voix, et m'invite à rentrer chez lui. J'observe les lieux en faisant un commentaire par découverte. On perd pas les vieilles habitudes.
Dans le petit salon, il y a deux canapés qui forment un L, le plus long en face de la télévision, et le plus petit collé au mur perpendiculaire à celui sur lequel se trouve la télé. Une petite table en bois trône en arrière-plan. Je ne vois pas la cuisine ni la chambre d'où je suis, mais je devine que c'est une maison à un seul étage. En revanche, je ne rate pas une miette du zoo qui s'étale devant moi.
- Waouh. Quand j'avais dit « pleins d'animaux », je ne pensais pas à... tout ça.
Je finis ma phrase en déglutissant. Il a même des lézards ? Mais what ?
Il ne me répond pas. Au bout d'un moment, il se tourne vers moi et enfin, enfin, il m'adresse la parole :
- Tu peux t'asseoir sur le canapé. Pas le petit, il est plus sale, les chiens s'allongent dessus. Pizza le soir, ça te va ?
Je dois avoir l'air d'un con, mais je reste pendu à ses lèvres. Il vient de me parler. Je pourrais le serrer dans mes bras jusqu'à ce qu'il étouffe. Mais je crois que ça ne lui plairait pas. Alors je me contente de m'asseoir, pétillant, et je hoche vivement la tête :
- Grave ! Oulà attends !
Il me regarde, suspicieux :
- T'es sûr que manger de la pizza ça porte pas malheur ? Si jamais t'as pas compté et qu'ils ont mis 13 fromages au lieu de la 4 fromages.
Ses yeux forment deux billes, et j'explose littéralement de rire, alors qu'un chien noir et blanc vient se jeter sur moi. Ah lui je m'en souviens. Nyx. C'est celui que j'avais tenu en laisse, et que j'avais essayé de faire coucher. En vain. J'entends Alex gronder de la cuisine :
- Nyx, descends de ce canapé. Toi c'est l'autre côté.
Il continue d'essayer de monter sur le grand canapé, mais j'avoue que je n'ose rien dire. Je suis pas très doué avec les animaux, et j'y connais rien en cabot moi.
- Nyx.
Les pizzas sûrement dans le four, il s'approche du chien et le gronde en désignant sa place. Ledit Nyx y retourne, la queue entre les jambes. Il ne me propose pas à boire, et j'avoue que je m'en fous carrément. Il me rejoint sur le canapé, du côté droit afin de pouvoir caresser Nyx.
Le silence nous fait un p'tit coucou. Je ne sais pas trop quoi dire. Et puis après tout, c'est lui qui m'a invité hein !
- Pour la dernière fois... désolé de m'être emporté.
Sans gêne, je m'allonge sur toute la longueur du canapé en posant mes jambes sur ses cuisses. Il me regarde, incrédule. Ses yeux parlent pour lui. « Ça va ? Je te dérange pas ? »
- Je t'ai déjà dit Alex que tu n'as pas à te faire pardonner. Et il ne vaut mieux pas. Je ne pardonne pas les gens.
Ma phrase le laisse de nouveau perplexe, et ça se comprend. Mais il ne cherche pas plus loin. Il faut dire que contrairement à moi, Alex n'est pas très curieux.
- C'est juste que... c'est un peu difficile. Je sais pas si...
Il bute sur ses mots, et je vois sa main saluer ses cheveux. Bon. Je me redresse, tout en gardant mes jambes sur les siennes, histoire de bien lui mettre du poids en plus.
- Tu n'es pas obligé. Je veux dire... si juste tu me pardonnes moi d'avoir été trop curieux, ça me va.
- C'est chaud. J'ai du mal à me dire que tu peux être mature.
Ça veut dire quoi ça exactement ?! Je gonfle mes joues, et croise les bras. Oui, j'suis un gamin. J'm'en tape. Littéralement.
Il n'y prête pas attention et il essaye de trouver un angle pour commencer. Je décide de l'y aider. Je suis trop gentil hein.
Doucement, je viens glisser une main dans ses cheveux, et il sursaute par surprise. Cependant, voyant que je suis un minimum sérieux, il me laisse faire. Je commence par lui détacher son chignon de toujours, et je crois que c'est la première fois que je vois ses cheveux détachés. Ils sont dans un bordel pas croyable. Déjà, le métier veut ça. Mais si en plus il a un cuir chevelu pareil, c'est vite la foire ! En revanche, à part « bandant » je vois pas d'autres mots qui seraient plus appropriés. Je le sens frissonner sous mes gestes. Il ferme ses yeux, et ça m'incite à continuer. Je masse calmement son crâne, et un effet double se produit : je suis calme. Genre, vraiment calme. Je ne me sens pas sur les nerfs, ni susceptible, j'ai l'impression qu'il pourrait dire n'importe quoi que je rirais comme un idiot.
- Commence par répondre aux questions que je te pose, d'accord ? Le plus difficile, c'est de répondre à la première. Une fois que t'as commencé, ça va venir tout seul.
Complètement absorbé par mon massage, il hoche la tête, à moitié endormi.
- Pourquoi tu as commencé l'équitation ?
Un blanc me répond. Ça commence bien dis donc, cet interrogatoire. Je ne le presse pas, chose assez extraordinaire vous devez le concevoir, et je continue de caresser sa chevelure volumineuse. En réalité, je me doute de la réponse maintenant. Mais je veux l'entendre de sa propre bouche.
- Comment ça s'appelle déjà ?
Il se renfrogne, et j'ai peur qu'il ne se dérobe maintenant. Sans que je ne m'y attende, il vient nicher son visage dans mon cou, et j'en frissonne violemment. Wa. J'étais pas prêt.
- Désolé. Ça m'aide.
Je sens son souffle qui s'échoue et humidifie ma peau, et je lui réponds qu'il n'y a pas de problème. Il fait ça parce qu'il ne veut pas me regarder dans les yeux. Je le sais. Alors il se cache. Au bout d'un moment, sa voix parvient à mes oreilles. Elle se répand dans tout mon corps, et la réponse se répercute dans mon cerveau :
- L'équithérapie.
* * *
Bah. Voilà. Mdr :'D
On note un petit rapprochement physique hein, à partir du neuvième chapitre il serait temps, et surtout on entre au coeur de l'histoire. Because l'équithérapie c'est grave stylé les gars. La suite sera centrée sur la soirée également, rohlala :'DDD
Enfin bref, est-ce que c'était assez crédible ou pas ? Les réactions, la part cachée de maturité de Railey :'D
Et aussi, petite question : il y a un point de vue que vous préférez ?
Petit mystère qui entoure notre cher Railey, quelques indices posés dans ce chapitre-là :'3 Bon. Je remarque aussi que je fais des chapitres de plus en plus longs, il faut que j'arrête :'D En vrai j'ai pas de tailles précises, mais j'aime pas quand c'est "trop long" si vous voyez ce que je veux dire :) Dites-moi ce que vous en pensez !
Bisouuuus ♡
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