32. ☼ Railey
Hello ! Comment n'allez vous ? :D
Alors déjà je tiens à m'excuser pour le retard de ce chapitre, j'attendais les vacances pour poster parce que j'ai été débordé avec les bac blancs et surtout un pitit problème de santé mais ça va hein TOUT VA BIEN LOL donc je vais pas blablater plus longtemps du coup et direct vous donner le chapitre, y'aura gros blabla à la fin 8D
Bonne lecture ♡
Railey
- Tu as fait quoi hier ?!
La rage m'envahit, et s'évapore par tous les pores de ma peau. J'ai même l'impression que j'ai le souffle qui sort de mes narines, un peu comme un taureau. J'ai envie de tout casser, et je remercie mon petit frère et mes parents de ne pas être présents lors de mon léger pétage de câble. Alex, au lieu de se faire petit, me regarde droit dans les yeux, sans expression particulière. Je vais le tuer. J'vous jure je vais le tuer.
- T'es sérieux putain ? D'où tu fais ça Alex, merde ! C'est ma vie, fuck ! Tu sais faire que ça ? Faire chier les gens ?!
Je sais que j'exagère -ou du moins j'en ai conscience dans un monde loin de celui dans lequel je suis en ce moment- et que je n'ai pas le droit de critiquer les autres à ce niveau-là. Mais c'est plus fort que moi. Je tourne en rond, m'arrache les cheveux, laisse mes yeux s'humidifier sous l'effet de la colère, et je finis par choper le blond par le col et lui défoncer le dos sur le mur. Sa grimace suffit à me faire comprendre sa douleur, et c'est sûrement mon côté sadique, mais je me réjouis de voir cet air sur son visage. Peut-être que je suis heureux de voir qu'il souffre, qu'il se rapproche un peu de ce que je vis.
Mais ce n'est pas la même douleur.
Ca ne sera jamais la même.
- T'avais pas le droit putain ! T'entends, t'avais pas le droit ! Est-ce que moi j't'ai fait chier sur ta vie ? Est-ce que je t'ai obligé à parler ? J't'ai posé des questions, oui, mais quand j'ai vu que tu voulais pas m'en parler tout de suite j'ai pas fouillé dans ta vie ! Merde !
- Je n'ai pas fouillé à proprement parlé.
Pour le faire taire, parce qu'entendre sa voix m'enrage encore plus, je le tire vers moi pour mieux le cogner contre le mur qui risque de s'effondrer -j'aime les hyperboles- sous mes coups.
- Ta gueule !
- J'ai pas fait des recherches si c'est ce que tu veux savoir. Je suis tombé dessus au hasard. C'est pas à moi que tu dois t'en prendre pour la mise en ligne d'articles sur internet.
Je craque et je mets la lettre contenant mon prénom sur l'enveloppe avec une écriture que je reconnaîtrais entre mille bien en évidence devant son nez :
- Et ça c'était sur internet aussi ?!
Je le lâche d'un coup, et ma tête commence à tourner. La fatigue reprend le dessus et je tente de me calmer en respirant calmement.
- Va-t-en.
Il aurait peut-être dû insister un peu plus, peut-être qu'au fond ça m'aurait fait plaisir -même ça je n'en suis pas sûr en réalité- ou faire comme dans les films et s'excuser. Mais non, il ne dit rien et claque la porte derrière lui. Le bruit qu'elle produit me fait revenir à l'instant présent, cet instant où je suis seul, où le silence me tient compagnie avec cette belle lettre que je me sens obligé d'ouvrir, curieux, peureux, inquiet, terrifié même, désespéré, triste.
Honteux. Cet état d'esprit prend le pas sur tous les autres, et je ne ressens plus que de la honte alors que je déplie la lettre, écrite par un en-tête. Juste mon prénom.
"Railey,
J'aurais bien commencé avec un habituel "tu vas bien ?" mais je pense te connaître encore assez pour être au courant de ton état.
A vrai dire, j'ai été vraiment surprise de la venue de ton ami -petit ami ?- à l'hôpital. Quand il a prononcé ton nom, c'est comme si je subissais un retour en arrière. Tu sais, j'ai ressenti l'odeur des frites qui flottait dans l'air après les concours. Elles sont chères et dégueu ces barquettes, mais elles représentaient tellement pour toi, moi, nous. Je ne mange plus de frites. Je crois qu'en fait, je n'ai jamais vraiment aimé ça. C'est con, hein ? Ouais, les frites, c'est pas mon délire. Mais le fait d'en manger avec toi, l'ambiance et tout, je crois que ça m'a fait kiffer. C'était pas le repas que j'aimais, c'était la façon dont je me sentais. Je me sentais tellement bien.
J'ai perdu l'utilisation de mes jambes. J'apprends à vivre sans. Physiquement, je n'ai pas eu aucun problème. Psychologiquement, c'était un peu plus dur. Je t'en ai vraiment voulu. Et je t'en veux encore aujourd'hui. Mais ce n'est pas pour mes jambes. Les erreurs, ça arrive Railey. Celles-là étaient plus grosses que les autres. Mais il faut bien qu'il y ait des reliefs partout non ? Si tout était petit, ou si tout était grand, il n'y aurait aucune comparaison possible, et alors les grandes ou les petites choses ne seraient que des choses. Tu comprends ce que je veux dire ? Alors oui, c'était en parti de ta faute. Mais la mienne également. J'aurais dû vérifier la sangle, j'aurais dû regardé.
Ce n'est pas pour cet accident que je t'en veux. Non, moi je t'en veux de m'avoir laissée. Ce dont j'avais le plus besoin, c'était d'avoir du monde avec moi, et toi, tu es juste parti. Tu as disparu, et parfois, je doute même sur la couleur de tes yeux. Puis après je me souviens que tes yeux ressemblaient au ciel, au ciel bleu ou gris peu importe, tes yeux c'étaient un ciel magnifique dans lequel on partait en voyage. Je t'en ai voulu de m'avoir laissée derrière toi.
Pour finir, j'ai une requête.
Ne t'en veux pas. Pas pour ce que tu crois en tout cas. Tu auras tout le temps de venir me rendre visite. Mais ne t'en veux pas. Ne laisse pas les cauchemars te voler ta vie, ne laisse pas la sangle t'étouffer à vie, je t'en prie. Tu ne pourras pas pardonner les gens si tu ne te pardonnes pas toi-même. Alors ne te pardonne pas, parce que moi, je ne demande aucun pardon pour ça.
A la prochaine (ça fait un peu formel, mais je sais pas trop quoi écrire désolé. J'espère que tu arriveras à tout lire malgré les tâches -c'est juste que je buvais en même temps que j'écrivais, alors y'a eu des gouttes d'eau- et bisous aussi)
Agathe.
PS : quand tu viendras à l'hôpital, rapporte-moi un burger. Pas de frites hein ?
PPS : Alex t'a laissé l'adresse sur le frigo, je lui ai dit que tu regardais toujours le frigo."
Agathe a toujours été friande des grandes déclarations, des belles choses bien écrites et des belles paroles. Sa manière de parler me fait revivre à mon tour nos nombreuses conversations, et je me rends compte que je souris comme un idiot depuis dix minutes. Je me sens libre. Je me sens bien, je me sens vivant. Un poids vient de s'envoler loin dans le ciel -pas mes yeux non- et je me sens si léger que je pourrais bien me mettre à battre des bras et à atteindre les étoiles.
Et soudain, je me sens terriblement con d'avoir parlé comme ça à Alex. Je ne perds pas une seconde, et sors mon téléphone pour l'appeler, mais je tombe sur sa sonnerie. Je soupire en lâchant un juron et je raccroche. Après avoir réitéré l'action plusieurs fois, j'abandonne et j'enfile mes chaussures. Aujourd'hui, après avoir passé une nuit aussi pourrie que les précédentes, je m'aventure dans les rues à la recherche de l'hôpital -après avoir effectivement trouvé un papier sur le frigo.
Et là, je panique comme un idiot. Devant la chambre, avec une barquette de frites -je sais pas si c'est autorisé et je m'en fous, je l'ai cachée- je toque à la porte. Je n'attends pas la réponse et j'entre pour y voir Agathe me regarder avec surprise puis à me sourire comme jamais.
On s'est parlé, j'ai réussi à m'excuser. Malgré sa lettre, je me suis excusé.
J'ai demandé son pardon tout de même. Elle m'a demandé le sien, elle n'avait pas à se faire pardonner mais je l'ai fait quand même parce que j'arrivais à le faire.
J'ai réussi, et j'ai l'impression d'avoir fait plus de pas en avant par rapport aux deux ans pendant lesquels je semblais stagner voire reculer dans les mauvais jours.
On a réussi. On a ri, elle a rejeté mes pauvres frites que j'ai finalement mangé avec grand plaisir.
* * *
- Railey, tu devrais rentrer. Ça fait trois heures que tu es là. Il est 17 heures. Il y a quelqu'un qui t'attends, non ?
- Tu parles d'Alex ? Bah. Ça m'étonnerait.
Elle hausse un sourcil :
- Comment ça ?
Le malaise se peint sur mon visage, et je grimace :
- On s'est un peu... disputés. Le truc c'est que quand je m'énerve, lui il reste stoïque et j'ai l'impression que tout ce que je lui dis lui passe au-dessus. Je sais qu'il est... comme ça, mais parfois j'ai besoin de savoir comment il se sent, et il me dit jamais rien.
- Parce que tu lui disais plus toi peut-être ?
- Tu sais très bien ce que je veux dire. Moi c'est... Je veux dire, c'était une situation dont je ne voulais pas lui parler. Alors que lui, il me fixe pendant que je l'engueule et c'est un peu comme un "je m'en bats les roustoutou" tu vois ?
Elle éclate de rire.
- Les roustoutou ? Sérieusement ? C'est quoi ce mot ?
- Te moque pas de mon vocabulaire, on fait ce qu'on peut.
Elle me sourit doucement :
- Et ce que tu me dis là, tu ne crois pas que c'est avec lui que tu devrais lui en parler ?
- Bien sûr que si mais-...
- Les non-dits ça mènent toujours à la merde dans un couple.
- Je sais mais-...
Cette fois elle ne me coupe pas, c'est moi qui m'arrête en cours de route. Elle sourit malicieusement alors que j'ai envie de l'étriper :
- Avant que tu n'imagines quoique ce soit, on n'est pas en couple.
- Mais oui, et moi je suis la Reine d'Espagne. Oh ! Et j'ai eu un douzième enfant hier.
- Ta gueule. Je te jure que c'est vrai. Bref, la discussion est close.
- Oh non non, elle sera pas close tout de suite, je ne crois pas.
Je sais que ça ne sert à rien d'esquiver, alors je reste encore un peu :
- Si tu me dis comme Josh je te démonte.
- Oh, j'espère que Josh va bien ! Il est venu il y a deux semaines, c'était vraiment cool de le voir ! Bref. On s'en fout. Il t'a dit quoi ?
Pas question de lui confier, c'est trop gênant. J'invente une excuse bidon, mais je crois que je suis pas si bon menteur que ça puisqu'elle se contente de lever un sourcil pour me faire comprendre que ça prend pas. Je "tss" avec ma langue pour montrer mon agacement.
- Tu viens vraiment de me "tsser" là ?
- Grave.
- Donc ?
Elle gonfle sérieux.
- Il a juste dit que... enfin qu'il... que je...
J'y arriverai jamais.
- Qu'il est probable, et ne te réjouis pas comme ça je sens ta joie d'ici c'est flippant j'ai pas envie d'être contaminé, que je sois... enfin t'as saisi l'idée.
- Pas du tout.
- Mais nique-toi.
- Toujours aussi élégant mon cher Railey. Donc que tu sois ?
J'essaye de me ressaisir et de finir ma phrase, même si mes joues qui chauffent de m'aident pas trop :
- Un peu, je dis bien un peu, hum... amoureux ? Oh mon dieu je viens vraiment de dire ce mot putain de merde j'vais aller me faire brûler vif pour oublier ce cauchemar allez bisous !
- RAILEY SI TU FRANCHIS LE SEUIL DE CETTE PORTE JE NE GARANTIS PAS TA SECURITE.
Je m'arrête alors dans mon élan de fuite absolument courageux et je me retourne pour faire face à son immense sourire qui fend son visage en deux :
- Railey et amoureux dans une même phrase. C'est tellement beau merde. Et sans le mot "baise" aussi. Parce qu'amoureux de la baise je ne sais pas combien de fois tu me l'as sorti pour justifier le nombre de gens qui passaient dans ton lit. Donc maintenant, tu vas rentrer chez toi, dire tout ça à Alex, passer une nuit folle d'amour et tout me raconter demain, d'accord ? Allez, casse-toi espèce de pet.
Un doigt d'honneur me démange alors je ne m'en prive pas et je me barre sans plus tarder jusque chez moi. Il est presque 18 heures quand j'ouvre la porte de la maison ouverte. Je me doute qu'Alex est rentré -heureusement qu'il a un double des clés. Pour ce qui est de Samuel, il rentre souvent avec les parents, et je ne vois pas leur voiture.
- Alex ?
J'enlève mes chaussures, me recoiffe, bois un peu d'eau et me dirige vers la chambre.
Je ne sais pas pourquoi ça n'arrive qu'à nous ce genre de situation. Pourquoi je rentre au moment où il me tourne le dos et qu'il vient de retirer son tee-shirt de la manière la plus sexy qu'il soit ? Et putain de merde, Seigneur pardonnez-moi tous mes pêchés, mais avec un dos pareil moi j'réfléchis plus.
Et le fait d'avoir passé l'après-midi avec Agathe, d'avoir ce poids en moins, me met dans une humeur qui m'est très rare depuis deux longues années. J'ai envie de sourire tout le temps, et j'ai l'impression que les remords qui m'ont rongé de l'intérieur se sont évaporés. Il n'en existe que des restes, et ils ne me font plus mal.
- Waouh.
Il sursaute et se retourne avant de réenfiler son haut de pyjama -donc en réalité un autre tee-shirt- aussi vite que possible. Il est neutre, et je crois qu'il ne sait pas trop quoi faire. Je dis innocemment :
- Tu n'étais pas obligé de te presser tu sais.
Il me balance son tee-shirt de la journée à la figure -une manière détournée de dire "ferme ta bouche"- et part dans la salle de bain. Il revient une minute plus tard en jogging, et moi je n'ai pas bougé.
- Quel pudique tu fais.
- A quoi tu joues Railey ? Tu n'es pas censé... me dire de dégager ?
Ce n'est que le fait qu'il me rappelle mes propres paroles que ça montre sa faiblesse. Il en a été blessé, et cette fois je le vois clairement.
- Désolé Alex. J'étais... vraiment en colère. Tu l'as fait... sans me prévenir, et même si ça m'a aidé et je t'en remercie maintenant, tu n'avais pas à faire ça. Et moi je n'avais pas à te parler comme ça.
Il me regarde avec des grands yeux de merlan frit, et je pouffe en voyant sa tête. Il se passe une main dans les cheveux avant de s'excuser à son tour. Fier de moi et de mes progrès en l'espace d'une journée, je riposte, content de moi :
- Je te pardonne mon chou !
Je ne sais pas s'il est choqué par le fait d'être pardonné par moi ou d'avoir été appelé "mon chou". Un mélange des deux j'imagine. Mais j'ai mal aux joues à force de sourire comme un idiot. Je m'assois sur mon lit qui est devenu son lit depuis quelques jours et il reste toujours planté là, sans rien dire. Décidé, je me lève et je campe devant lui avec mes deux pieds. La proximité ne me gêne pas, et elle me chatouille le ventre. Mes mains viennent d'elles-mêmes se poser sur les hanches d'Alex et elles remontent lentement sous son tee-shirt en de lentes caresses. Je le sens frissonner sous mes doigts, et il n'y a pas de meilleures sensations. Je ne me rends compte qu'après plusieurs secondes -ou minutes ?- mais je suis désormais totalement collé contre lui, et je me sens bien alors que l'atmosphère devient plus lourde et plus sensuelle. Ses lèvres m'attirent et ne demandent qu'à être mordillées pendant que j'essaie de me retenir -sûrement une conscience intérieure pourrie.
Alors c'est lui qui fait le premier pas. Il happe ma lèvre inférieure, la mord et finalement, on s'embrasse lentement, créant dans mon ventre une tornade de feu qui me brûle tout le corps. Ses mains, pourtant dans le bas de mon dos, semblent partout à la fois sur mon corps, et je fonds petit à petit.
On s'enflamme, on brûle, et la douceur s'efface petit à petit pour laisser place à un désir irrévocable. Je lui dévore la bouche -et je crois qu'il fait de même ?- alors que le temps d'enlever son tee-shirt -finalement ça ne lui aura vraiment servi à rien ce putain de tee-shirt- me paraît déjà une éternité puisqu'on doit se séparer dix secondes. Je fonds de nouveau sur ses lèvres alors qu'il laisse échapper par mégarde un ou deux soupirs de plaisir qui me font perdre la tête. Je le plaque doucement contre le mur, mes mains emprisonnant les siennes au-dessus de sa tête, puis un de ses rares rires s'échappent de ses lèvres.
- Je sais pas ce que t'as avec les murs, mais quand t'auras ton appart' faudrait qu'ils soient solides.
Ca me fait plus rire qu'autre chose, mais je ne perds pas de temps et plonge dans son cou. Son visage rieur devient déformé par le plaisir. Je le devine par son corps qui commence légèrement à trahir son état.
- Maman, papa ! Y'a Alex et Railey qui font boum boum !
Je m'écarte d'un coup, et l'excitation qui était à son comble redescend aussi vite qu'elle est montée.
Samuel, tu es un homme mort.
* * *
PTN PTDRRR JSUIS DESOLEE JETAIS OBLIGEE DANS MA TETE LA SCENE ELLE EST AUSSI DROLE QUE FRUSTRANTE
Alors là je peux parler tranquilouuuu mouahahahaha. BREF. Bon, encore désolé T_T Mais comme c'est les vacances normalement c'est un ou deux chapitres par semaine donc ça va rattraper le presque un mois de rien ;_; <= coupable.
Ensuite je voulais vous remercier fmoisrhgmqoeigheoq j'ai l'impression de pouvoir faire que ça mais sans déconner tous vos coms et tout ça me fait tellement plaisir et même si j'y réponds deux mois après ben quand j'me sens pas suuuper bien et tout je les lis et ça me remonte grave le moral ;-; JVOUS LOVE TROP FDMOSFMSOIEHGMOIRJOIEJROEIJTROIG
OUBLIEZ PAS LA PTITE ETOILE LOOOOL OU LE BOUTON "SABONNER" LOOOOL (on appelle ça la com ok ? Apparemment c'est hyper utile. J'ai l'impression j'suis nulle à ça PTDR JPP bref)
Ah oui aussi pour ILC, je sais que je devais poster les parooooles la semaine dernière ou il y a deux semaines, mais comme je l'ai dit plus tôt j'étais pas mal occupée avec des problèmes perso toussa toussa enfin bref on s'en fout et du coup j'ai pas pu ;; JE PARS EN VACANCES DANS MOINS DE UNE HEURE LOOOOOL je vais à Alès. Dans le sud 8D Donc je vais pas tarder faut encore que je finisse mes affaires bisouuuuuus ♡
ET PLAW.
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