28. ☼ Railey

Hello ! Comment n'allez vous ? :D

Moi ça va because C'EST LES VACANCES donc je poste deux chapitres par semaine uhuh :3 bref, même si je vais devoir taffer comme une tarée pendant ses vacances, j'm'en fous :))

J'écris le grand mot à la fin comme d'hab, mais hésitez pas à commenter même pour dire de la merde (j'aime la merde) ça me fait taper des grosses barres. VOUS ETES GENIAUX. CEST TOUT CE QUE J'AI A DIRE. VOILA. Pas vérifié les fautes :D

Bonne lecture ! 

Railey

Dans la vie, il y a pleins de choses inattendues qui arrivent. Qu'elles soient bonnes ou non, elles sont là.

La meilleure surprise de ma vie se trouve juste devant moi. Et je ne pourrais pas expliquer les sentiments qui me prennent à la gorge malgré tout le vocabulaire que j'ai pu apprendre dans ma vie. Ce n'était sûrement pas assez.

Je me rends compte du silence qui s'est creusé. Mes parents attendent ma réaction, Josh fronce les sourcils, mon petit frère s'impatiente, et Alex me fixe avec des yeux indescriptibles. Lui aussi semble abasourdi, si on retire l'effet de surprise. Je suis déchiré entre l'envie de le serrer dans mes bras, de l'embrasser, de me mettre en colère pour tous les vents qu'il m'a foutu par message. Entre tous ces choix, je décide de ne rien faire. Je reste planté là, comme un débile, attendant qu'il dise quelque chose. Grosse blague. Attendre qu'Alex dise quelque chose ? On en est encore pour demain. A mon grand étonnement, il se racle la gorge :

- Bon anniversaire.

Quand je cherche à accrocher son regard, je constate qu'il ne me laisse pas lire en lui puisque ses yeux se promènent sur les côtés et... je rêve ou Alexander Santoni est gêné ? Mon air incrédule est vite remplacé par un sourire qui prend toute la place sur mon visage. D'un mouvement de tête, j'incite les autres à partir devant, alors que j'invite Alex à marcher à côté de moi. Il me suit en me jetant des coups d'œil furtif. C'est amusant de le voir agir comme ça. Disons que la gêne et Alex, c'est comme un bel oxymore quoi. Enfin, j'ai remarqué que ça dépendait sur quel sujet.

Alors que nos doigts se touchent, mon cœur rate un battement, mais je n'ai pas besoin de plus. Je ne ressens pas le besoin de m'en emparer, ni d'entrelacer nos doigts. La chair qui se touche sur le rythme de nos pas me suffit. J'esquisse de nouveau un sourire :

- Je rentre dans quelques heures, je dois d'abord raccompagner tout le monde à l'écurie et m'occuper de Gigi.

- Gigi ?

- Georgiana. Me demande pas pourquoi ils l'ont appelé comme ça, c'est dégueulasse. Je l'appelle Gigi. C'est la jument que j'ai monté.

Ca fait tellement bizarre de lui parler. J'ai encore du mal à y croire, comme s'il suffisait d'un rien pour que je me réveille d'un de ces nombreux rêves. Il y a dix minutes, j'étais sur un podium et dans ma tête, Alex était à 200km. Maintenant, je marche à côté de lui. On s'arrête, puisque la voiture est à portée de vue. Je n'ai pas vraiment envie de le lâcher maintenant que je l'ai retrouvé, mais j'ai pas vraiment le choix.

- A tout à l'heure.

- Mmh.

- C'est quoi mon cadeau ?

- Qui t'a dit que tu aurais un cadeau ?

- C'est le principe d'un anniversaire.

Il soupire et me regarde, blasé :

- Si t'es pas content que je sois là, je peux aussi me barrer.

Il croise ses bras sur son torse, et semble tout à fait sérieux. Je pouffe et lui tape l'arrière du crâne alors qu'il gronde :

- Me touche pas.

- Rohlala. Chéri, faut pas le prendre comme ça. Bon. J'y vais.

Il se retourne sans m'accorder un nouveau regard. Pour m'amuser, je n'hésite pas une seconde et lui claque les fesses, alors que le bruit attire l'attention de ma famille et qu'Alex se retourne, médusé, l'air de dire "à quoi tu joues ?!". Je ris à gorge déployé et je les abandonne ici. J'entends tout de même mon frère demander à ma mère :

- Pourquoi Railey il a touché les fesses d'Alex ?

- On fait ça aux personnes... qu'on aime beaucoup... essaye de relativiser ma mère.

- Du coup j'peux te claquer les fesses ?

- Euh... non Samuel... évite de faire ça.

Ils sont tellement stupides que même pendant le trajet jusqu'à l'écurie, je pouffe encore dans ma barbe.

- T'as l'air de bonne humeur, m'interpelle Dorothée.

Tiens, je l'avais oublié celle-là. Je grogne, soudainement refroidi :

- Et c'est sûrement pas à cause de toi.

- Railey... je me pose la question depuis un moment mais...

- Mmh ?

- Est-ce que tu es bipolaire ?

Rahlapute.

***

Quand j'arrive chez moi, il est presque quinze heures, et je n'ai toujours pas mangé. La joie des concours. Bon. Après, j'aurais pu manger là-bas, y'a toujours de la bouffe à disposition. Mais le prix pour deux malheureuses saucisses et trois frites me fait vite reculer en général. Autant payer un fast food, ça revient presque moins cher. J'ouvre la porte et... ouais, la scène qui se déroule devant moi est extrêmement étrange.

Josh joue avec mon frère. Je les vois empiler avec attention les kappla et ça me fait sourire. Josh est un vrai gamin.

Mais je crois que le plus étrange, c'est de voir Alex endormi sur le canapé juste à côté.

Je vis dans la même maison que mes parents, mais ils font leur vie et je fais la mienne. Je ne m'étonne donc pas qu'ils ne soient pas là, et je m'approche du canapé pour m'installer à côté d'Alex. Je détaille son visage, de la barbe presque inexistante jusqu'à son cou, de sa mâchoire jusqu'à la racine de ses cheveux. Alors que je suis absorbée par mon observation, j'en oublie presque ma faim qui me fait gronder le ventre. Je sursaute quand la voix d'Alex me tire de ma contemplation de ses bras dont la peau m'attire plus que nécessaire :

- Va manger p'tit con.

L'insulte me fait froncer les sourcils :

- C'est comme ça que je me fais accueillir après plusieurs mois ? Je sais pas comment je dois le prendre.

- Mal.

Evidemment. Je roule des yeux alors qu'il étire discrètement ses jambes et passe une main sur le haut de son crâne dans une tentative vaine de se faire respecter par ses cheveux. Je m'étonne quand j'entends son propre ventre émettre un petit bruit. Il se couvre le ventre en me regardant droit dans les yeux, tentant par tous les moyens de garder son air blasé :

- Quoi ?

Je souris bêtement :

- Tu m'as attendu.

- Non.

- C'était pas une question.

- J'avais juste pas faim tout à l'heure.

- Quelle mauvaise foi.

- Mon foie se porte très bien, merci.

- Essaye pas de m'imiter, tu battras jamais mes jeux de mots.

- C'est tes couilles que je vais battre.

- Oh, tu le fais inconsciemment.

- Qui te dit que ce n'est pas conscient ?

Avant qu'on ait pu finir notre conversation -enfin conversation...- Josh explose d'un rire tonitruant dans la maison, et Samuel est à deux doigts de la crise de larmes parce que mon con de meilleur ami vient de casser leur construction.

- Putain mais...

Il n'arrive pas à aligner deux mots qu'il repart en fou rire. Je ne comprends pas, et Alex non plus. Après trois minutes, il respire plus calmement et s'essuie les larmes qui perlent au coin de ses yeux :

- Si vous vous entendiez de l'extérieur mon dieu. Vous êtes exceptionnelles.

Je sais pas comment le prendre. Alex est de nouveau complètement indifférent, jusqu'à ce que je m'approche suffisamment de lui pour sentir son souffle tremblotant sur ma joue. Je susurre doucement :

- Tu m'invites ?

- Va crever.

- C'est mon anniversaire.

- J'ai l'impression que tu profites un peu trop de cette occasion.

- Désolé.

L'excuse qui arrive en plein milieu de la conversation le surprend, et Josh intervient -encore :

- Faites pas des bébés ici s'il-vous-plait. Allez manger dehors, et laissez le pauvre Samuel dans l'innocence.

Je ne contrôle pas mes joues. Ce sont elles qui rougissent comme deux tepus là. Je grogne et j'enfile juste un sweet. Le beau temps du printemps me permet de ne pas mettre de manteau. Et ça me fait penser que je ne suis jamais sorti dehors avec Alex avec le soleil au rendez-vous. Je sais pas en quoi ça me fait sourire.

On sort et il met les mains dans la grande poche avant de son propre sweet. On arpente les rues, et je trouve facilement ce que je veux : un tout petit resto, à l'allure fast-foodienne qui n'accueille pas beaucoup de monde. Je rentre, suivi d'Alex qui observe l'endroit, dubitatif. La dame qui nous reçoit me lance un grand sourire :

- Railey ! Ca fait longtemps que tu n'es pas venu ! Tu vas bien ?

Je vois bien qu'Alex se pose des questions, puisque malgré son air indifférent, il jette un coup d'œil en ma direction avant de feindre l'ignorance :

- Ca va. Et toi ? Les affaires marchent ?

- Si tu revenais plus souvent, je suis sûre que les filles ramperaient pour manger ici, bougonne-t-elle.

- Toujours à râler.

Elle rit. Malgré ses cheveux grisonnants et les rides qui marquent son âge, son rire est très mélodieux, et je l'apprécie toujours autant. Madame Mangin me recevait toujours quand je fuyais mes parents à cause des disputes, et m'offrait pleins de repas gratuits pour faire cesser mes larmes. Sa gentillesse ne faisait que me faire pleurer encore plus. Elle nous indique une table à côté d'un des murs, et on s'assoit tranquillement alors qu'elle revient nous donner les cartes et de l'eau.

- Pose-moi tes questions Alex.

Il soupire :

- Je n'ai aucune question à poser.

- Mais bien sûr.

Il relève enfin son regard vers moi, et une nouvelle fois, nos yeux s'accrochent. J'ai l'impression de ne pas l'avoir vu pendant des années, et certains détails que je pensais avoir oublié me reviennent. Il passe sa main dans les cheveux, et je souris.

- T'es gêné.

Il tique et retire sa main.

Finalement, le début du repas ne change pas de d'habitude. Railey parle tout seul, et Alex semble n'en avoir rien à faire.

- Et donc là, je lui ai dit qu'il pouvait-... oh, tu fais quoi ?

- Toilettes.

- Mais attends que j'ai fini ! Mais ! Alex ! Reviens ! PUTAIN REVIENS ESPECE DE P'TIT CON !

Certaines personnes me fixent avec des gros yeux alors que je fulmine. Il vient littéralement de m'ignorer et d'aller aux chiottes alors que je parlais. J'ai envie de le défoncer. Non, pas comme ça. Putain.

Et je crois qu'il en chie des grosses hein. Parce que j'attends cinq bonnes minutes comme un idiot, tout seul sur ma chaise. Alors que je soupire, une fille s'assoit, les joues rosées, à la place d'Alex :

- Salut...

Oh non, stop. Je souris hypocritement :

- Cette place est occupée, ça se voit non ?

Elle se gratte l'arrière du crâne, mal à l'aise :

- Oh oui, mais... vous aviez l'air d'attendre quelqu'un et comme l'assiette a été débarrassée...

Et alors ? J'ai même plus la force de me battre. Je crois que mon air désespéré la fait paniquer encore plus. Alors que j'allais la dégager, Alex revient et fronce les sourcils. Et merde, forcément ! Et je le connais Alex. Il va encore fuir, penser que je suis con, me faire la gueule en m'ignorant plus que d'habitude en disant : non, je fais pas la gueule, je fais comme d'hab. Il va prendre son air indifférent, et je serai là, à me morfondre sur ma malchance, comme un idiot. Alors je soupire une énième fois en fermant les yeux :

- Et merde, fait chier.

- Excusez-moi mademoiselle, mais vous venez de vous asseoir à ma place.

Je relève la tête précipitamment pour voir Alex, un air complètement détaché, une main sur le dossier de sa chaise.

- Mais... vous étiez parti et je pensais que...

Au lieu de la couper, il l'incite à continuer :

- Que ?

Elle crame littéralement, honteuse, puis se tourne vers moi :

- Que... que vous pouviez me donner votre numéro. Je suis célibataire et...

- Et il ne l'est pas.

La fille et moi nous redressons en même temps :

- Quoi ?

Mais qu'est-ce qu'il raconte comme connerie ?

Il soupire, toujours indifférent, et se déplace en faisant le tour de la table pour venir se planter devant moi. Pas que je n'aime pas la proximité ou quoique ce soit, mais son comportement me donne des questions de m'interroger non ? Je n'ai pas le temps de réfléchir plus qu'il empoigne le haut de mon sweet et me lève d'un coup, m'obligeant à tenir sur mes deux jambes, devant lui.

MAIS ?

Je rêve ?

Il va vraiment me frapper ?

Mais j'ai rien fait !

Je vous jure que j'ai rien fait !

- Oooh, Alex, calme-toi, si tu veux qu'on se batte il vaudrait peut-être mieux que-...

Ma phrase est brutalement coupé par deux lèvres qui se collent aux miennes avec un mélange de douceur et de violence.

Je ne sais pas comment réagir. Je suis choqué. Je ne réponds pas au baiser. Je suis juste là, planté comme un débile, les jambes sur le point de lâcher. Les frissons me parcourent de la tête aux pieds, mon cœur tambourine dans ma poitrine, ma tête me brûle, alors que mon bas-ventre est chatouillé par des milliers de papillons. Je pensais que c'était que dans les livres, qu'on ne voyait ça que dans les fictions débiles qu'on trouve sur Internet. Mais je sens mon corps devenir fiévreux.

Je n'ai pas le temps de décrire plus longtemps le nombre de sensations indescriptibles qui me parcourt qu'il me lâche, et que par conséquent, je me ramasse stupidement à moitié sur le sol, tentant d'amortir ma chute en me rattrapant à ma propre chaise. L'adolescente nous jette un regard, sur le point de pleurer pour sa propre connerie d'avoir voulu m'aborder, et se barre en courant. Alex revient à sa place.

Et c'est tout.

Il mange son dessert quand celui-ci arrive, et redevient comme avant. Remis de mes émotions, je sens une légère frustration monter en moi :

- Pourquoi t'as fait ça ?

Il hausse un sourcil l'air de dire "bah quoi, c'est toi qui voulais la dégager non ?".

- Putain Alex, tu comprends vraiment rien.

- Et c'est quoi que je ne comprends pas ?

C'est vrai ça. C'est quoi qu'il ne comprend pas ? Ce que je ne comprends pas moi-même ? Je soupire et décide d'oublier l'incident. Le repas jusqu'ici me plaisait bien trop pour le gâcher par une dispute. Décidant de garder la conversation pour ce soir, j'attends mon dessert pendant pas mal de temps, et ça finit par me taper sur le système. Bon, c'est quand qu'ils...

- Joyeux anniversaaaaaaire ! Joyeux anniversaaaaaaaire ! Joyeux anniversaaaaire Raileeeeey !

Le chant Mme Mangin me fait sursauter. Alex sourit légèrement mais ne chante pas, alors que tous les gens présents dans le petit resto, bien qu'ils soient peu nombreux, se mettent à chanter en cœur. Putain, arrêtez, c'est gênant merde. Ils ne semblent pas pouvoir communiquer avec mes pensées puisqu'ils continuent tous en hurlant :

- Joyeux anniversaaaaaire !

Et ça part en tonnerre d'applaudissement alors que je me retrouve avec des bougies sur mon dessert. Oh mon dieu, la honte. Alors on allait aux toilettes, hein Alex ? J'vais le niquer. Ma haine envers lui semble se dissiper aussitôt que je le vois doucement applaudir, son applaudissement se perdant dans le brouhaha. Et bizarrement, il n'y a que lui que j'entends. Certaines personnes proches me félicitent après que j'ai soufflé, plus gêné qu'autre chose, et au bout de quelques minutes, l'euphorie disparaît pour laisser place au calme d'il y a quelques minutes.

- Pourquoi tu te sens obligé de foutre la merde dès que tu reviens ? J'te déteste. J'te l'ai déjà dit, non ?

Il sourit doucement, alors que je vois bien qu'il essaye de ne rien esquisser. Alors ça me fait éclater de rire :

- Tu sais, sourire c'est pas interdit de temps en temps.

Il lâche un rire discret :

- Et puis tu es tellement plus beau quand tu ris Alex.

Il s'arrête d'un coup, mais garde un sourire sur son visage, les yeux baissés sur sa main qui se promène sur la table. Moi je prends ça comme une invitation hein. Et puis, il a l'air de bonne humeur. Je pose la mienne sur la nappe, et doucement, je frôle ses doigts. On regarde tous les deux nos mains dont les doigts s'entremêlent délicatement, comme si on avait peur de casser quelque chose.

Comme s'il y avait quelque chose.

Parce que, avec mon cœur qui faisait le marathon, mes envies étranges et ce genre de choses, j'étais obligé d'affirmer que oui, il y avait quelque chose.

* * *

Putain ce chapitre sert à rien. C'est juste des trucs mignons. J'ai besoin de trucs mignons pour mon coeur meurtri par le célibat. Nan en vrai j'm'en bats totalement les couilles, mais vous pouvez même pas imaginer. Donc d'abord.

MERCI MAIS JE SAIS PAS QUOI FAIRE DAUTRES A PART DIRE MERCI, c'est que grâce à vous lesplus de 40k et otriqgqeroihgqiuzrghmieuthgetmiqhgtois j'ai pas de mots. Voilà. Merci. J'vous aime.

Ensuite, JVOUS AIME

et ensuite JVOUS AIME

et après JVOUS AIME

et aussi JVOUS AIME.

Voilàààà ! :D

Donc suivez-moi si vous m'aimez -putain faut jamais dire ce genre de chose mdr après personne te suit et c'est la décadence LOL-, commentez, aimez ou n'aimez pas si vous n'aimez pas lol, et voili voilouuuuu ! ;D KEUR SUR VOS BELLES PETITES FESSES.

Ah oui, pas mal m'ont demandé. Ce soir si vous voulez, dans "I love cake" je ferais un p'tit truc -jsp quoi encore- et je vous montrerai ma gueule. Vous serez illuminé par ma beauté. Ptdr jpp, c'est pas bien de mentir. ENFIN BWEF, jvous aime mes flocons d'avoine au caramel beurre salé <= ok c'était dégueulasse.

PLAW 

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