26. ☼ Railey

Hello ! Comment n'allez vous ? :DD

Alors comme promis, voilà le chapitre 26 que j'ai littéralement écrit d'une traite. Je sais pas si ça m'est déjà arrivé en dehors des deux ou trois premiers chapitres xD Ca m'a fait du bien, même si je déteste rester scotchée sur un ordinateur, j'ai pu sortir ce que je voulais. Je suis pas spécialement fière, mais au moins, c'est spontané. Ce que je vous montre là, c'est un peu euh... comme un jet quoi. Parfois fuck la technique et le style.

FUCK THE LIFE.

Ok peut-être pas. 

J'ai pas relu, genre vraiment pas. Tout d'une traite. Peut-être des incohérences, des fautes, des trucs qui vont pas, vous m'direz :')

Rendez-vous au petit mot de fin :D

PLAW <3

Railey

Je suis arrivé chez moi depuis une semaine. Enfin. Chez mes parents plutôt. Je n'ai plus d'appart', et c'est hyper chiant de s'en retrouver. De toute façon, je passe mes journées à cheval. Il faut bien que je reprenne ce que j'ai perdu pendant ces six mois. Disons que je ne suis pas monté intensivement. En même temps, c'était un peu le but aussi.

Mais quelque chose me dérange dans l'écurie. J'y vais depuis que je suis dans cette ville proche de Paris, depuis que je suis petit, et j'ai l'impression que tout m'y est étranger. Je ne reconnais pas les gens, ils me paraissent fades et ennuyeux. Les chevaux, au contraire, me semblent plus mystérieux, plus durs à approcher. Peut-être que Salvaje me traîne encore un peu trop dans la tête. Je revois ses membres puissants, sa fougue, et quand je compare ça à la façon dont ils sont tous traités ici, ça me serre le cœur.

Va plus vite.

Saute plus haut.

Prends les options.

Ne perds pas ton temps.

Le temps, c'est tout ce qui compte dans les compèt'.

J'erre dans l'écurie, en me demandant quel cheval je vais monter aujourd'hui. Je n'ai pas le mien, et celui que je montais régulièrement avant de partir est désormais occupé par un autre cavalier. C'est comme ça ici. Les cavaliers, ça se remplacent.

- Hey !

Oh. Non. Pitié. Pas elle.

- Ca va Ralou ?

Je souffle intérieurement, me retourne, et je croise le regard de la belle, la magnifique, la parfaite, la splendide Dorothée. LA Dorothée. Une compétitrice redoutable. Qui croit qu'elle peut encore me mettre dans son lit. J'ai fait l'erreur une fois, pas deux. Elle est tellement collante.

- Salut Dorothée. Ouais ouais, je vais monter là. Donc euh... salut de nouveau.

Je repars, les mains dans les poches, en regardant chaque cheval disponible dans l'allée. Je me rends compte qu'il y en a que j'ai monté dont je ne connaissais même pas le nom. "Orage". Je lève les yeux de sa pancarte et un petit gris me regarde, et baisse les oreilles en arrière. Mauvais caractère hein ?

Je m'approche et pose ma main sur la portière de boxe. Il la lèche, la sent, et devient un peu plus confiant, même s'il reste méfiant.

- Waouh !

Décidément, quand elle veut me faire chier, elle y arrive considérablement bien. Je souffle.

- Quoi ?

- Personne ne l'approche ce cheval !

Pas étonnant, vu comment on leur porte de l'attention. Cette pensée m'échappe et je la retiens de justesse. Putain. Tess, Alex, qu'est-ce que vous m'avez fait ?

Avant, Dorothée, c'était moi.

- Alex aurait pu monter dessus en deux jours.

Je ne sais pas pourquoi je lui dis ça. J'ai envie que les gens sachent qui il est, autant que j'ai envie de le garder pour moi.

- Alex ? C'est qui ?

Dans mon esprit, ça s'embrouille un peu. Je revois son visage de grognon, ses yeux d'une couleur noisette très étrange, et par-dessus tout, je visualise son dernier rire comme si c'était hier. Alors en y pensant, je souris comme un idiot, et sans que je n'en prenne conscience, je frôle mes lèvres du bout de mon pouce, en dirigeant mon regard vers le fond du box, avant de laisser cogner ma tête contre le haut de la porte de bois :

- Un idiot.

Alors que c'est moi l'idiot, je ressens le besoin de l'insulter gentiment, comme si je m'attendais à ce qu'il rapplique en répliquant, là, maintenant, tout de suite.

Et je pars. Je n'ai pas envie de monter. Parfois j'me dis que j'suis vraiment un raté. J'commence des choses que je finis jamais, j'ai pas de conviction, j'avance sans savoir où j'vais vraiment, sans savoir ce que je veux tout compte fait, tout en me laissant ronger par les remords.

J'en ai tellement et ça me bouffe. Des vers grouillent dans mes intestins. Je le sens au plus profond de moi. Ca s'effrite petit à petit, mais j'crois que je me suis fait à l'idée de ne jamais aller mieux. On s'habitue.

Alex me manque. Sûrement beaucoup trop pour que je puisse l'ignorer. On se tapait dessus parfois, on ne se parlait pas beaucoup finalement.

Tess me manque. Elle m'en a fait voir de toutes les couleurs. Elle m'a fait pleurer comme un idiot, j'ai pas envie de l'abandonner. J'ai pas envie d'apprendre qu'elle est allongé dans un lit avec des draps blancs alors que je ne suis pas là.

Même Stevie me manque à sa façon. Elle était conne, mais sans elle, je n'aurais rien eu pour me défouler.

Andie, je ne l'ai pas beaucoup vu. Elle était beaucoup avec Tess, et travaillait très consciencieusement. Le souvenir que j'en ai, c'est une fille pleine de joie.

L'écurie me manque. Catalina me manque.

Mais je crois que ce qui me manque le plus, c'est Chabal.

Je l'ai laissé à Tess, parce que je ne pouvais pas l'emmener dans le train, puis l'imposer à mes parents.

Le soir, j'ai besoin de sa chaleur pour dormir un minimum. Je ne dors plus du tout. Josh s'inquiète, comme mes parents je crois. Mais je leur en veux. Je leur en veux de m'avoir forcé à aller là-bas pour ensuite m'en retirer. En soi, je suis majeur, je pourrais très bien me casser. Mais je vais vivre de quoi ? Mon métier, ce sont les compèt'. Et je suis quand même un bon dans le milieu. Chez Tess, il n'y a pas de cheval formé pour les compétitions de complet. Feunek est spécialisé dans les compétitions western, et le reste, ce sont des chevaux pour les enfants ou pour les petites compétitions.

Alors que je sors de l'écurie, je tombe sur Josh qui m'attend dehors. Je me dirige vers lui et me réfugie dans une accolade. Ce gars, je le lâcherai pour rien au monde.

- Salut.

Il me tape affectivement dans le dos avant de se retirer et de sourire tristement :

- Je savais que tu ne monterais pas.

Contrairement à quelques mois plus tôt où je me serais sûrement énervé, je ris, gêné.

- Ouais. J'ai croisé Dorothée, ça m'a fait fuir.

Il pouffe bêtement.

- Allez, viens chez moi, j'vais te changer. On sort ce soir ! Avec les potes !

Mon cœur rate un battement :

- Yanis ? Et Tim ? Et Flo' ? Et Lola ? Et Christelle ?

- Yep. Ils se sont libérés. Alors on s'pose dans un bar tranquilou, on parle, on rigole, et tu vas me parler mon coco. Même si j'dois te faire boire 40 shots de vodka.

***

C'est comme ça que je me retrouve avec peut-être un peu trop d'alcool dans le sang accompagné de tous mes potes de lycée. J'les aime tellement putain, avec eux, y'a tout qu'est simple. Et parfois, le simple, ça fait du bien. Même si c'est pas forcément vrai, entendre "Tout va bien" de la bouche des gens me rassure. Orelsan.

Tess.

Putain, je vais jamais oublier ou quoi ?

- Bon alors.

Je lève les yeux vers Lola, une brune un peu rondouillette absolument adorable, des lunettes posés sur l'arête du nez qui lui donne un charme supplémentaire.

- Qui est ce fameux "Alex" ? Josh nous dit que tu ne parles quasiment que de lui depuis que tu es rentré.

L'alcool aidant sûrement un peu, je me mets à sortir des trucs plus stupides les uns que les autres :

- C'est un con ! Il rigole jamais ! J'vous jure ! C'est un mur, genre vous avez déjà parlé à un mur ? Bah pareil ! Au début, on se sent vraiment con ! Puis après ça va, ça passe !

Allô cerveau de Railey ? Oui, ici les neurones. Nous sommes en train de nous déconnecter.

- Il se fout de moi ! Mais en fait non lol ! Puisqu'il se fout de tout le monde ! Il ignore ! Mais il est aussi super chaud !

Attention bouche de Railey, tu commences à dire des conneries !

Ah ! Les avertissements ne sont pas passés, les neurones se sont vraiment déconnectés.

- Genre vous auriez vu ses abdos rohlala ! Christelle, il est pour toi ! Ou toi Flo' ! Quoique. Nan, en fait j'le garde. Parce que j'vous jure que quand il m'a embrassé...

Non, ça fallait pas dire.

- Enfin, que moi je l'ai embrassé...

Je me perds dans mes mots, et ma tête reste complètement avachie sur le bar :

- Enfin on s'est embrassé quoi... enfin j'sais plus. C'était cool.

Je ne vois plus leur visage. Je sens juste un grand vide. J'ai l'impression d'être un putain de dépressif, à avoir envie de pleurer chaque seconde de la journée sans raison justifiable. Pourtant, l'alcool, ça rend joyeux normalement. Mais j'ai sérieusement l'impression que j'ai passé ces dernières semaines à chialer. Ca me casse les couilles.

Mais j'y peux rien.

Ca vient du fond. Je sais pas trop d'où.

Et ça fait grave mal.

Je n'entends même plus les voix qui me parlent, je n'entends qu'un brouhaha, des chuchotements trop forts pour ma pauvre tête qui a du mal à supporter tout ça. On m'a dit que le temps, ça arrangerait tout.

Pourtant, qu'il pleut, vente ou neige, ça change pas grand-chose.

Ok. C'était nul.

Je sens une main sur mon épaule. Josh me secoue :

- On va rentrer j'crois.

Quand je lève la tête, je vois la tête dépitée des quatre autres. Je crois qu'ils m'ont jamais vu dans cet état. Je n'sais pas à quoi je ressemble. J'dois être moche.

- Rah vous auriez vu vos têtes les gars ! T'sais, genre comme dans les dramas japonais ou coréen ou chinois ! Les dramas vietnamiens ils existent ? Ca se trouve c'est grave bien ! Pourquoi tu pleures Loulou ? Faut pas pleurer pour rien !

Je suis entre le rire et les pleurs.

Josh me tire et on sort du bar. Je respire enfin. Sans qu'il me demande, je reprends après avoir un peu marché sous la pluie dans la nuit :

- Et puis moi j'me suis barré. Et tu sais le plus drôle ? Genre à la gare, quand on s'est dit au revoir, bah moi j'ai fait quoi ? Allez hop, p'tit câlin et j'me casse ! Salut, j'espère que j't'ai bien fait chier !

On s'assoit dans un escalier, et il me répond :

- Et c'est quoi le problème ?

Il est sérieux ?

- T'es sérieux? T'as bien compris ce que je te disais là ?

Il me regarde et répète :

- Oui, oui, et c'est bien pour ça que je te demande : c'est quoi le problème ?

Je me fige et me tends sous la colère alors que mes joues sont mouillées, un mélange de pluie et de larmes je pense :

- Putain, mais je l'ai impression, chauffé, et j'ai voulu le niquer juste après avoir fait exprès de flirter avec une autre meuf ! Il va croire que j'veux juste le baiser !

- Et c'est pas ce que tu veux ?

Je réagis sur le qui-vive :

- Quoi ? Non ! Non, pas Alex !

- Mdr.

Il hausse un sourcil et me regarde comme si je venais de me prendre une bombe nucléaire :

- Bah mon gars. T'es atteint de la plus belle maladie bien que très douloureuse en ce moment sur cette Terre. Putain, enfin. J'suis content pour toi mon pote.

Je ne comprends rien à son charabia. Il semble le deviner puisqu'il m'éclaire :

- Railey Atkins Vassura, après avoir passé tant d'années à baiser veut finalement faire l'amour, même si ça ne semble pas inclue dans son vocabulaire. T'es amoureux mon pote. Et là, bien comme il faut. La vache, faut que je rencontre ce gars.

Mais qu'est-ce qu'il me chante comme connerie encore lui ?

Je n'ai pas le temps de faire quoique ce soit -difficile en même temps vu l'état dans lequel je suis- que je me fais voler mon téléphone par Josh. Il regarde ma galerie photo et les commente une après une.

- Alors c'est lui Alex ? Tu l'as carrément en fond d'écran quand vous dormiez sur un arbre. Il faisait beau là-bas !

- J'ai envie de retourner là-bas Josh. J'ai envie d'y retourner.

- Bah vas-y.

Voilà. Quand je vous dis qu'avec eux, tout est simple, c'est pas une exagération.

- Mais j'ai mon taff, ma famille, j'peux pas me barrer d'ici, et Tess pourra peut-être plus m'héberger dans deux semaines ou dans trois mois, puisqu'elle va peut-être crever. 

J'suis HS. Je sens ma tête tourner, et j'ai une énorme envie de dégueuler. Même assis, j'ai l'impression de vaciller et de voir flou.

- Mec, vomis pas là steuplait, on rentre et tu pourras vomir autant que tu veux, mais pitié, ne vomis pas ic-...

Il ne finit pas sa phrase que je rends tout ce que je n'ai pas mangé ce soir sur l'escalier alors qu'il s'écarte d'un bond spectaculaire. C'est dégueu la vache. J'ai mal à la tête, les membres engourdis et le goût de vomi dans la bouche, c'est immonde. Je continue pendant quelques minutes. Josh s'est tourné, je crois qu'il trouve ça dégueulasse aussi.

- Putain Ralou'...

Même si c'est un endroit isolé, ça reste un endroit public. Quand j'ai enfin fini mes affaires, il me tire par le bras et m'emmène chez moi -mes parents donc qui vont me voir défoncer- et je ne me souviens pas vraiment de ce qui se passe pendant le trajet. Je crois que j'étais à deux doigts de me payer un mur à un moment. Mais après une longue marche, je me sens allongé sur un lit que je reconnais, et Josh s'occupe de moi comme une maman en me faisant boire de l'eau et me force à dormir.

Je suis mort. Alors je mets quelques secondes à m'endormir.

***

- Désolé Railey, j'suis à la bourre !

- Nan nan, t'inquiète, j't'ai tout préparé ma boubouille.

- Arrête de m'appeler comme ça !

- Tiens.

Une main. Une assigne.

- Il te portera chance.

- Tu sais bien que la chance n'a rien à voir là-dedans Railey. J'vais gérer !

- Ouais, j'compte sur toi. Allez, vole bien !

***

Je me réveille en sursaut, la sueur coulant le long de mes tempes. J'ai l'impression de vivre le cauchemar à l'instant présent alors qu'une grosse migraine pointe le bout de son nez. La respiration en désordre, je me pose en demi-allongé sur mon lit, en essayant de reprendre mon souffle, fermant les yeux. Il me suffit de quelques secondes pour revoir les images dans ma tête, alors je me lève brusquement et j'allume la lumière, paniqué.

Je reviens sur mon lit, la tête qui tourne et un goût pâteux dans la bouche. Je mâche dans le vide et prends mon portable. Trois heures quarante. Je soupire.

En regardant dans mes contacts, je tombe sur "Alexanderounou". Depuis que je suis parti, je ne lui ai rien envoyé du tout. Faut dire que lui non plus.

De toute façon, je n'arriverai pas à me rendormir.

«Hey.»

Je n'ai pas beaucoup d'espoir. Contrairement à moi, Alex est un gros dormeur. Même s'il se levait hyper tôt, il ne disait pas non à une bonne nuit de sommeil. Alors que je repose mon téléphone, je l'entends vibrer. Sérieux ? J'allume l'écran et je vois un message d'Alex s'afficher. Je souris comme un débile, malgré mon mal de tête.

«Pourquoi ça m'étonne pas que tu sois réveillé ?»

Pris d'un élan de folie, je l'appelle. J'ai besoin de sa voix. Je ne sais pas pourquoi. Il répond après quelques sonneries.

- Putain Railey, pourquoi tu m'appelles à quatre heures du mat' ? Je taff moi...

Merde. Sa voix du maton -ou de la nuit ?- est vraiment trop sexy pour mon pauvre petit cœur.

- Hier j'étais complètement torché. Apparemment j'ai parlé de toi.

Je l'entends bouger et soupirer à l'autre bout du fil, et il ne répond pas. Pas plus bavard au téléphone hein.

- Alex ?

Il marmonne quelque chose de non perceptible pour une innocente oreille humaine, alors je continue sur ma lancée, le cœur sur le point d'exploser :

- J'ai envie de te voir.

J'ai peur. Parce qu'il ne répond pas, parce que j'ai l'impression qu'il ne bouge plus, parce que j'ai même l'impression qu'il a raccroché. Finalement, j'entends avec soulagement sa voix :

- J'peux pas. Je travaille, et toi tu vas reprendre les compèt'. C'est bon, t'es venu six mois, t'oublieras vite.

"T'oublieras vite". "Le temps guéris les blessures". "Ca va s'arranger". "Tu vas voir".

- J'en ai marre Alex. Qu'on me parle toujours au futur en me disant qu'il va se passer telle ou telle chose. Le problème tu vois, c'est que moi j'attends, j'attends, et il se passe jamais rien. J'me dis que c'est de ma faute, que je devrais peut-être faire quelque chose, parce qu'attendre sans rien faire ça sert à rien. Mais on me répète toujours "tu verras" mais je vois jamais rien. J'peux pas oublier, j'ai pas une mémoire qui efface ce que je souhaiterais effacer. Alors désolé d'être comme ça, désolé de t'avoir dérangé dans ta petite vie pendant ces six mois. Désolé de t'avoir embrassé et d'avoir envie de recommencer et-...

- Railey.

- Et désolé de t'énerver et de ce que j'ai fait à Cata, désolé pour ce qui arrive à Tess, mais tu vois, ce sont des choses qui arrivent. Désolé de m'être tiré comme un connard, mais tu sais c'est un peu ce que je suis-...

- Railey.

- Mais tu vois moi j'peux pas oublier les choses qui m'ont aidé, j'peux pas juste appuyer sur un bouton "delete" et supprimer les plus beaux souvenirs que j'ai, j'peux pas oublier la cascade, et j'peux pas t'oublier. Et ça me frustre tellement, et puis merde.

Je me recroqueville dans mon lit, le téléphone loin de mon oreille mais assez proche pour l'entendre dire :

- Moi aussi.

Je renifle.

- Moi aussi j'peux pas oublier. T'es vraiment qu'un crétin.

* * *

Bon. Ben. Voilà. J'espère que c'était cool :'D

Alors. Encore une fois merci putain, presque 34k vues, vous êtes des grands malades. Et je réponds aux commentaires (pas à tout hein, parce que je vous le dis pour le deuxième fois mais quand je reste trop longtemps sur un écran je sature QQ) demain ! :D

Donc. Je sais pas si tout le monde l'a vu puisque je l'ai mis dans un HS et tout enfin bref on s'en blk :D Mais j'ai fait un autre... euh... livre ? C'est pas du tout une histoire ni rien, c'est juste pour interagir avec un peu tout le monde si jamais, comme il s'est passé pour ces trois semaines, je ne peux pas poster ! :D

YA UNE PETITE SURPRISE DESSUS DU COUP. C'est "I love cake", certains d'entre vous le savent déjà et je les aime, j'vous nem tous, bisouuuuus <3333

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top