WARNING : p'tit lemon à la fin. J'suis pas hyper douée sooo, voilà voilà..
Bref, je suis responsable de mes écrits, mais vous êtes responsable de vos lectures.

- Derrière toi ! S'écria un jeune homme brun masqué.

Une brune se retourna vivement et contra l'attaque d'un ennemi.

- Merci Akio !
- De rien Akisa. Dépêchons nous de retrouver les autres !

Elle hocha la tête et le suivit au pas de course, en enjambant des corps évanouis par-ci et par-là.

oOoOoOo

- Monsieur Akabane, les agents de La Défense est en salle de réunion et vous attend.

Karma était sur une chaise, les jambes sur son bureau en train de jouer sur sa console.

Il soupira et se leva.

- J'y vais. Dis moi, t'aurais pas pris du poids~ ?

Sa secrétaire sursauta et devint rouge de colère.

- MONSIEUR AKABA-...

Trop tard, il avait claqué la porte.

oOoOoOo
Pdv Akisa

J'étais en Russie en mission d'infiltration avec mon équipe mais les choses se sont compliquées. Ils nous ont facilement repérés et ils sont vraiment fort ! Je savais pas qu'ils étaient autant baraqués !
Enfin bref, on devait hacker un système militaire mais il fallait s'y rendre sur place et avoir accès à l'ordinateur.

Il y avait 4 zone de protection. La première était à l'extérieur du bâtiment, que nous avons facilement évité. La seconde était la sécurité intérieure qu'Akio et moi défions, puis pour la troisième, il fallait aller sous le bâtiment, et enfin pour la quatrième, entrer dans la salle de contrôle.

Katsuo et Yukio avaient eu accès à l'ascenseur grâce à notre diversion et était donc en dessous.
Ils devaient se battre pour laisser Athena s'occuper de l'ordinateur.

- L... ...ars, ça... om...nce....chau...er i....i ! Entendais-je dans mon oreillette grésillante.
- On entend rien avec ces brouilleurs de merde ! Pestais-je.
- Dépêchons nous de les rejoindre.

Nous allions dans l'ascenseur qui répétait « VIRUS VIRUS » sans cesse.
Ouais, Athena avait dû le hacker car il demandait des empreintes oculaire, digitale, faciale... Tout un bordel !

Nous arrivions sur place : un long couloir sans fin avec plusieurs corps sur les côtés.

- Pas de caméra en vue. Je reste ici au cas où d'autres arrivent. Trace.

J'hocha la tête et utilisa ma super vitesse.

BEYBLADE BEYBLADE HYPER VITESSE !

Humhum.

Je voyais les mêmes images grises défiler puis une masse noire.
Je m'arrêta et à quelques mètres, j'avais mes amis.

Je vis Yukio se faire désarmer sa double épée qui arriva à mes pieds dans un bruit sourd. Elle poussa un cri de détresse, tandis que Katsuo peinait à se défendre.

Je frappa dans l'épée avec mon pied et elle s'envola en l'air pour venir dans ma main droite.

J'avanca mon pied gauche et le tourna à 90C vers la droite. Je me pencha en avant, prenant appuis sur ma jambe droite, et les frappa tous avec cette double épée en un quart de seconde.
J'arriva au bout du couloir, devant la porte où se trouvait sûrement Athena.

Quelques pas précipité arrivèrent à mes côtés et je rendis sa double épée à Yukio.

- Merci de l'aide.

J'hocha la tête et Katsuo ouvrit la porte.

Athena était posée, les pieds sur la table en train de regarder un animé japonais.

- JE PEUX SAVOIR CE QUE TU FOUS ! Cria-t-on en cœur.
- Oh, vous avez enfin fini ! Ça fait... 15 minutes que c'est prêt !
- Et t'aurais pas pu nous prévenir ? Soupira Yukio.
- Ça m'est sorti de la tête.

On la regarda qui continua son animé et je sentis mon chaud bouillir.

- T'ATTENDS QU-...
- Tu regardes quoi ? Demanda Katsuo en se penchant par dessus l'épaule de la rose.
- D Gray Man. Allen le sang.
- On y va ? Soupira Yukio. Sérieusement, j'ai l'impression d'être la seule adulte responsable ici !
- Et moi ?

Elle haussa un sourcil.

- Je maintiens ce que je dis.

Je soupira et un tourbillon de carte se déclencha devant nous.

Akio apparu comme par magie.

- Ta-daa !! Je viens d'inventer ce tour complexe que je nommerais... Tornarte !
- Tornate ?
- Ouais ! Tonarde + carte, tonarte ! Pas mal, hein ?
- Naze.
- Pourri.
- Nul à chier.
- Claqué au sol.
- Pfff, vous ne reconnaissez même pas la valeur de mes tours ! C'est un tour très difficile !
- T'es passé par l'aération au dessus de ta tête, soupirais-je.

Il regarda au dessus de lui et vit la plaque ouverte.

- .... Non... Mentit-il.
- Bon, allons-nous en avant que les renforts n'arrivent.
- Ouais, on a 5 heures de vol.
- 5 HEURES ? Il est quelle heure ?
- Heu... 10 heures.
- QUOI ? J'Y SERAIS JAMAIS !
- Ok, pas de panique. Y'a le décalage horaire. Me calma Akio.
- Ce sera jamais assez ! Je dois être prête à 13 heures là bas !
- On te préparera dans l'avion et on gagnera du temps sur place. Allez on se dépêche ! J'ai pas envie d'être en retard !

oOoOoOo
Pdv Karma

Cette réunion est d'un ennui. Ils m'expliquent le fonctionnement de La Défense, l'importance de protéger les gens et blablabla.
Je regarda ma montre pour la énième fois : 10:03.

Je soupira et me leva bruyamment de ma chaise.

- Je connais tout ce fonctionnement et je vais être en retard à un meeting. Ma secrétaire vous donnera le restes des informations si vous avez des questions. Au fait, votre braguette est ouverte~.

Je m'en alla en souriant légèrement.

- Monsieur Akabane ! Qu'est-ce que je dois faire ? Donner la responsabilité à notre associé ?
- Non, je la donne à vous. Cette idiote d'associée foutra tout en l'air. Et ne m'appelez pas. J'suis en vacances.

Je m'en alla vers l'ascenseur sans écouter ma secrétaire rechigner.

oOoOoOo
Pdv Akisa

Heure : 11:34

Athena avait bien toutes les données et les mis sur son ordinateur.
Elle pris la clef USB et la rangea dans une mallette, puis donna la clef à Akio qui la fit disparaître.

- Bon, on arrive dans un peu plus d'une heure. Allons nous préparer. Proposa Katsuo.

oOoOoOo
Pdv Karma

Heure : 12:47

- Wow, tu es... Si beau n

Je me tourna vers ma mère qui avait les larmes aux yeux.

- Mon petit garçon va devenir grand !

Je me contempla dans le miroir. C'est vrai, ce smoking me va à ravir. Tout me va à ravir.

- Je suis un grand garçon depuis longtemps maman.
- Je sais bien !
- Tout est prêt ? Vérifia mon père.
- Mais oui, tout va bien aller.
- Regardez le, il nous rassure plus qu'on le rassure ! Ça devrait être l'inverse !
- Akisa est prête ?
- Oh oui, je n'ai pas eu le temps de la voir !
- Elle va pas tarder à arriver.
- ELLE N'EST TOUJOURS PS LÀ ?
- Elle va faire une entrée fracassante, calmez vous. Je connais ma fiancée~.

Ma mère soupira sans pour autant destresser et mon père croisa ses bras.
Elle avait une longue robe dorée qui et mon père était en costard cravate, comme d'habitude. Il avait juste une petite fleur dans la poche de sa veste et sa cravate spéciale rouge qu'il ne mettait que pour les grandes occasions.

Je me retourna vers le miroir et repassa une main dans mes cheveux.

Tout va bien se passer... Elle n'avait tout de même pas oublié ?

oOoOoOo
Pdv Akisa

Heure : 12:56.

Tous mes amis étaient habillés. En costard noir en blanc pour Katsuo, et noir avec une cravate à motif de jetons de poker pour Akio. C'est un miracle qu'il n'ait mis que cette stupide cravate.
Yukio avait une robe mauve avec un décolleté très plongeant, des bretelles fines, un dos dénudés et sa longueur s'arrêtait aux cuisses. Très... Irina. On va dire ça comme ça.
Athena avait une combi-short verte foncée.

- 4 MINUTES ! Criais-je.
- Je cherche un endroit où se poser ! Se défendit Katsuo, le conducteur.
- POSE TOI SUR L'HERBE ESPÈCE D'IDIOT TRIPLÉ D'ABRUTI !!!
- Ça y est, elle pète un cable.
- Tu veux encore faire une entrée spectaculaire, toujours à voler la vedette.
- Je la vole pas puisque JE SUIS la vedette de cette putain de fanfiction ! Maintenant fait atterrir ce PUTAIN de jet privé sur cette PUTAIN DE PELOUSE DE MERDE !
- Comme tu voudras...

L'avions piqua et nous poussâmes tous un cri en nous agrippant à nos fauteuils.

- TU VEUX NOUS TUER OU QUOI ?!! KATSUO !!!!

L'avion ralentit et se redressa, puis on sentit les roues entrer en contact avec l'herbe.
Je regarda par dessus le hublot pour voir la maison que Karma avait loué.
Plusieurs invités semblaient étonnés, mais je vis Karasuma avec un sourire en coin.
Je sortis de l'avion suivie par mes camarades.

- T'attends quoi ? Cours te préparer dans ta chambre !
- A-Ah oui !

J'utilisa ma vitesse et me retrouva dans ma chambre en un clin d'oeil.

Je trouva ma robe accrochée sur un ceinture et l'enfila avec peine.

- BORDEL DE CHIOTTE !

La porte s'ouvrit sur Irina, Rio, Kayano et Meg.
Irina avait une magnifique robe bleue fendue aux jambes avec un décolleté sobre.
Rio portait une combi-short bleue marine à motif blanc avec une queue de cheval.
Kayano avait une robe bordeaux et ses cheveux bruns étaient détachés.
Quant à Meg, elle portait une robe rosée avec de la dentelle blanche.

- On pensait que tu aurais besoin d'aide.
- Vous avez bien pensé ! Irina, Meg, vous me coiffez, Kayano trouve moi les chaussures, Rio aide moi à enfiler cette robe de l'enfer !

Elles hochèrent la tête et s'attelèrent à la tâche.

- Corsage ?
- Quelle horreur, tu veux que j'meurs étouffée ?

Rio pouffa puis m'aida à entrer et me remonta la fermeture éclair.
Elle me poussa dans une chaise.
Akio entra :

- Oookay, je vois que vous gérez... Je dois monter sur l'estrade.

Il s'approcha de moi et m'embrassa sur la tempe.

- Rendez la belle elle est hideuse !
- Connard ! Criais-je.
- Je t'aime aussi !
- MOI NON !

Je soupira et les filles s'esclaffèrent.

- On a deux minutes pour te coiffer. Heureusement que Yukio t'a maquillé et qu'elle te les a bouclé ! Tu es très belle.
- Merci.

Kayano arriva avec les chaussures et me les mises aux pieds.

- Tu es stressée ?
- Très.
- T'étais où ?
- En Russie. J'espère que le changement brutal de température va pas me rendre malade !
- Parle pas de malheur. Tout est prévu. Si tu tombes malade, y'a Takebayashi ou Okuda pour s'en charger.
- Finis !

La porte s'ouvrit sur Karasuma et il écarquilla les yeux.

- Tu es resplendissante...

Je me leva et me regarda dans le miroir.
J'avais une robe sirène blanche aux reflets dorés, qui me moulait jusqu'aux cuisses avec un décolleté et le haut en dentelle.
Mes cheveux était bouclés au bout avec deux petites tresses qui se rejoignaient au centre, et des décorations blanches. Pour le maquillage, je n'avais qu'une poudre matifiante, un maquillage nude pour les yeux avec du mascara et un rouge à lèvres rose nude mate.
Les chaussures étaient d'un confort inédit pour des escarpins avec des talons. J'avais gagné 3-4 centimètres :

(Oubliez le rosé, tout est blanc avec des reflets dorés).

- On se retrouve là bas, me chuchota Rio en s'en allant.

Les filles la suivirent et je me retrouva seule avec Karasuma.

- Tes parent seraient... tellement fiers...

Il arriva à mes côtés.

- Je suis fier de toi Akisa.
- Merci Tadaomi...
- Tu as peur ?
- J'crois j'vais vomir.
- Ça se voit. S'amusa-t-il.

Il pris mes avants bras.

- Tout va bien se passer. J'ai croisé les parents de Karma, ils sont fou de stress. Ils pensaient que tu ne viendrais pas.
- Quelle idée ! Évidemment que j'allais être là ! Je veux l'épouser !
- Je sais.

Je me retourna vers le miroir et me contempla une dernière fois.

- On y va ? Tu ne vas tout de même pas être en retard à ton propre mariage.

Je ris doucement.

- On y va.

Il me pris l'avant bras et nous sortions de ma chambre.
Le bruit de mes talons résonnèrent et nous nous trouvions devant une grande porte donnant à l'extérieur. Oui, nous nous marions dans le jardin.

J'envoya un message à Athena et j'entendis la musique démarrer.

- Tu es prête ?
- Oui.
- Si tu ne le sens pas, c'est pas grave ok ? Tu peux refuser, ce n'est pas grave. Pas de pression.
- Ok...

Il ouvrit la porte et je vis tous les regards se braquer sur moi.
Je pris une grande inspiration et les regarda.

Je croisa le regard de mes camarades de classe. Les filles étaient larmoyantes et je leur fis un mince sourire.
Je vis mon équipe. Katsuo me fit un clin d'oeil et les filles me sourirent simplement.
Je leur envoya un simple mouvement de tête.
Puis au premier rang, je vis les parents de Karma, un sourire d'encouragement aux lèvres, je vis Irina dans une belle robe bleue fendue aux jambes. Elle croisait les bras et semblait fière elle aussi.
J'arriva presque devant l'autel. Et je le vis. Mon coeur s'arrêta de battre quand je croisa ses prunelles dorées. Son costume blanc et doré avec son sourire en coin.
Je vis ses yeux briller de bonheur, si bien que son témoin, Nagisa, lui sorti un mouchoir.

Je ris doucement et Karasuma me lâcha le bras pour retourner aux côtés d'Irina.
Mon témoin, Akio, me donna un coup de coude.

- Je te l'ai déjà dit, mais tu es magnifique.

Je lui souris simplement, rongée par le stress.
Les deux témoins reculèrent d'un pas tandis que je m'avançais vers Karma.

Il me prit les mains et me souris. Je perçus dans son regard de la douceur et de l'amour. Par un regard, il me transmettait tout ce qu'il éprouvait. Il me caressa la main doucement, comme s'il avait peur que je me brise entre ces mains et que tout cela n'était que fabulation.

J'écouta d'une oreille distraite le discours de la femme qui nous mariait et répondait que quand je le devais.

- Katsu Akisa, voulez-vous de prendre pour époux Monsieur Akabane Karma ici présent et lui jurer fidélité dans la maladie comme dans la santé, dans la pauvreté comme dans la richesse et dans la vie comme dans la mort ?

Je croisa son regard et vit une lueur d'inquiétude y passer.

Je lui fis un sourire en coin et m'amusa à faire durer le suspens.

- Oui, évidemment que je le veux.

Les parents de Karma soupirèrent de soulagement et la cérémonie continua :

- Akabane Karma, acceptez-vous de prendre pour épouse Mademoiselle Katsu Akisa ici présente, et jurer fidélité dans la maladie comme dans la santé, dans la pauvreté comme dans la richesse et dans la vie comme dans la mort ?
- Mmh... J'ai un doute~.

Je sais qu'il blague mais mon coeur reçoit des coups à chaque secondes passées.

- Oui, je le veux. C'est la meilleure chose qui ne me soit jamais arrivé.
- Je te déteste pour ce que tu viens de me faire subir.

Le salle ria doucement et l'ambiance devint relaxante.

Nagisa donna les bagues.
Karma me mit la mienne : une bague argentée, avec une pierre dorée, comme ses yeux.
Je pris la sienne : une simple bague en argent avec un A gravé dessus, et lui passa au doigt.

- Par les liens qui me sont conférés. Je vous déclare mari et femme. Vous pouvez embra-...

Trop tard, Karma s'était déjà jeté sur moi.
Il avait posé ses mains sur mes joues et m'embrassait tendrement.

Les invités applaudirent et je cru voir du coin de l'oeil Koro pleurer, comme il en avait l'habitude.

Quand Karma détacha ses lèvres, je regarda dans cette direction mais ne vit que le mur.

Je souris doucement.

- Va falloir que tu me supportes toute. Ta. Vie.
- J'veux divorcer.

Je lui jeta un coup de poing dans l'épaule et il me pris par la taille pour le balancer sur ses épaules comme un sac à patate.

- ALLONS MANGER ! Cria Terasaka.
- OUAIS !
- Bande de dalleux !!! Karma repose moi !
- Nope ! Tu es officiellement à moi~. Je vais pouvoir te faire subir les pires tortures sexuelles~.
- C'est pas déjà fait ?
- VOUS SAVEZ QU'ON ENTEND TOUT ??????

Le reste de la cérémonie s'est très bien passé. On a ri, on a bu, on a dansé. La nourriture était divine. C'était le plus beau jour de ma vie.

Vers trois heures du matin, tous les invités étaient parti.

- Je suis crevée... Soupirais-je.
- Mmmh~...

Je me tourna vers Karma qui avait son regard pervers.

- Sérieusement ?
- Oh oui.

Karma me pris par la taille et m'embrassa fougueusement.
Je passa mes mains dans sa nuque et laissa nos langue s'entremêler.

——
- Tu sais.. que tu... vas... galérer... à enlever... ma robe. Réussis-je à dire entre de multiples baisers.
- Je la déchirerais.
- ELLE NOUS A COUTÉ UNE FORTUNE !
- Arrête de parler.

Il repris position de mes lèvres puis me fit un suçon sous mon oreille.
Un soupir de bonheur s'échappa de mes lèvres et Karma passa ses mains sur mes fesses.
Il me souleva et me plaqua contre le mur.
J'enroula mes jambes autour de sa taille et il descendis ses baisers vers ma clavicule.
Je commença à lui enlever sa cravate pendant qu'il descendait doucement ma fermeture éclair.
Ses doigts passaient dans mon dos, me procurant des milliers de frissons, ce qui m'excita encore plus.
Je déboutonna sa chemise précipitamment et embrassa ses abdos.
Je remonta vers son oreille et la mordit doucement.

- Mmmh~...

Je souris contre sa peau et il reprit possession de mes lèvres.
Il me porta jusqu'à notre chambre et, sous l'excitation, plusieurs objets tombèrent et des meubles se déplacèrent de quelques centimètres.

Karma défonça la porte, littéralement, et me jeta sur le lit.
J'enleva mes chaussures de l'enfer et il enlevât les siennes.
Il m'enleva ma robe avec précaution et je vis son visage rougir et s'étirer en un sourire en voyant que je ne portais qu'une culotte.

- Si j'avais su ça plus tôt, on se serait mariés en baisant~.
- Charmant. Viens là.

Il se pencha vers moi mais je retourna nos positions. Il s'amusa avec mes seins tandis que je lui enlevais sa ceinture.
Nos joues étaient rougies par l'excitation, nos respirations haletantes et la chaleur de la pièce était devenue insoutenable.

Je lui enleva son jean et il se trouva en boxer devant moi.

- Là, on est quitte.

Il réinversa nos positions et m'embrassa langoureusement. Il descendit ses baisers vers mon ventre et je me cambra en attrapant les draps.
Il m'embrassa sur le tissus de ma culotte et fit une légère pression.

- Aaah~, Ka...Karma~...
- Laisse moi m'amuser un peu~.

Il continua ses pressions et je me sentis devenir folle.
J'avais besoin de plus.
Mais plus important. Je vais lui faire pareil.
Quand il remonta vers moi, je réinversa nos positions.
Je passa deux doigts sur la bosse du boxer et fit des petits ronds très lentement.
Il se passa une main sur les yeux.
Je passa deux doigts sous la bosse et posa ma bouche sur le dessus, en posant des baisers par-ci et là.

- Aaaah~... Akisa... Bordel arrête de me faire attendre~...

Je souris contre le tissus et l'enleva.

Je passa lentement ma langue sur son membre ce qui le fit soupirer de frustration et de satisfaction.

- Va... Plus vite~...

Je tourna autour du gland avec ma langue, le rendant totalement fou.

- Putain AkisAAAaaaaa~~...

Oui, je l'avais pris en bouche et avait fait des vas et viens trop rapide d'un coup. Oops.

Je le sentis reprendre ses esprits dans cette folie car il remonta mon visage vers lui.

- Va trouver une foutue capote.
- Voilà.

En un coup de vent, j'en avais une.

Il me la prit des mains et se remit au dessus de moi.
Ma culotte se fit déchirer et il mit le préservatif.
Il m'embrassa et me fit des suçons sur la poitrine, puis entra.
Nous le faisons très souvent. Depuis nos 17 ans. Donc franchement, je n'ai plus mal, je suis habituée à le recevoir.

Je passa mes mains autour de sa nuque et lui mordit le lobe
Il haleta.

- Allez mon mari, Fait. Moi. Jouir~.

Il eut un sourire en coin.

- Les désirs de Madame Akabane sont des ordres~.

Il l'enfonça plus profond et ma tête bascula en arrière.

- AAAaaaah~... Karma~...
- J'ai touché ton point. Oups~.

Il continua de marteler mon point puissamment, ce qui me fit crier de plus en plus fort.

- Tu vas me rendre fou... J'pourrais avoir un orgasme juste en te regardant...
- J'y compte bien~.

Je le poussa et il se trouva allongé sur le lit. Je me mis à califourchon sur lui et m'assis sur sa verge.
Il posa ses mains sur mes fesses et je fis des vas et viens.

Il observa ma poitrine monter et descendre en même temps puis bascula sa tête en arrière quand je lui fis un suçon sur son biceps.

Il resserra sa poigne sur mes fesses rebondies.

- Accélère.
- T'as dis quoi ? Demandais-je en arrêtant tout mouvement.
- Bordel Akisa je vais te MMMMmmmmmh~~~....

J'avais repris mes gestes mais d'une lenteur extrême. Heureusement que j'suis musclée parce-qu'il faut en avoir des abdos là.

- Ça suffit.

Il me pencha en arrière et se remit sur moi.
Il me pénétra violemment et de plus en plus rapidement.
Il frappa mon point et je me trouva dans un autre monde.

- Vas-y~... Karma~... Je...
- Moi aussi...

Dans un ultime coup, mon corps se tendit et il poussa un râle de jouissance en harmonie avec le mien.

Il m'embrassa tendrement.

- Vous êtes magnifique Madame Akabane.
- C'est de famille alors, Monsieur Akabane...

Il s'étendit à mes côtés en enlevant la capote.
Il la jeta dans la poubelle de loin.

- Panier à 3 points.
- Le nouveau Michael Jordan.

Il rit doucement.

Je me mis sur le côté pour le contempler et remis une de ses mèches en place.

- Je t'aime à mourir Karma.
- Moi aussi... Je mourrais pour toi.
- Ce n'est pas ce que je te demande...
- Je sais, mais s'il le fallait, je le ferais sans hésiter. Parce-que je t'aime.

Je l'embrassa tendrement.

- Tu te rends compte ? Tu me disais il y a plus de 10 ans que tu te marierais avec moi et qu'on fonderait une famille. Voilà où on en est.
- Je savais que tu étais la bonne.
- Comment ?
- J'en sais rien mais... Ton sourire, ton rire, ou juste un regard vers moi me suffisait à tomber plus amoureux chaque jour...
- Karma...
- Akisa, tu es ma femme maintenant, et je te promets de te protéger du mieux que je puisse.
- T'es ringard. Riais-je.

Il m'envoya un oreiller sur la tête.

- Tu sais que je vais continuer mes missions hein ?
- Je sais... Je te demande juste d'être plus que prudente.
- Je suis toujours prudente. J'vais pas disparaître d'un coup... Surtout pas maintenant...
- Moi ça m'arrangerait en fait~... J'irais voir mes putes.
- Tu parles de ta mère ?
- Oh la salope.
- Je trouve aussi.

Il rit doucement.

- Je rigole, j'adore ta maman.
- Elle t'adore aussi.

Je l'embrassa une énième fois et je m'endormis dans ses bras.

Je m'appelle Akisa Katsu. Je suis née en automne, ce qui me vaut mon prénom ( Akisa signifie sable d'automne). Je suis une fille d'une famille d'assassin connue, dû aussi à son nom (Katsu signifie victorieuse). Et croyez moi, malgré les obstacles, mon histoire est victorieuse.
J'ai épousé l'homme que j'aime. J'ai des amis et une famille qui m'aiment. Et même si j'ai perdu des proches, cela m'a rendue meilleure. Je serais éternellement reconnaissante à Koro-sensei pour m'avoir enseigné la vie. M'avoir enseigné l'amour, l'amitié, le partage, le pardon et surtout, à contrôler mes émotions sans les bannir totalement. Les émotions altèrent le jugement, mais ils font de moi ce que je suis aujourd'hui.

Merci d'avoir suivi mon histoire. J'espère que vous apprendrais de mes erreurs.
Je sais que je ne suis qu'un personnage fictif, mais j'espère être réel dans vos coeurs, car tant que je le serais, je continuerais à vivre.
S'il vous plaît, ne m'oubliez pas. N'oubliez pas mon histoire. Celle d'une jeune femme tombée au fond et qui est remontée avec de l'aide. Si vous vous sentez au fond, au bout, demandez de l'aide. Même si vous trouvez que c'est faible, même si vous pensez qu'on ne vous comprendra pas, qu'on ne peut pas vous aider. J'en suis la preuve que si, on peut nous aider.
Ne pensez pas que c'est différent car on a ressenti la même chose : la tristesse, la haine, la colère, le rejet, la jalousie. Mais avec de l'aide, vous surmonterez tout. Demander n'est pas être faible, au contraire, c'est être fort. Il faut de la force pour dire tout haut que ça ne va pas.
Alors en mon honneur, au nom de mon histoire et des rires, peut-être des larmes, que vous avez ressenti à travers cette fiction, ces pages et ces simples mots, faites le. Vivez votre vie, rendez-moi fiers de vous, mes apprentis assassins.
Merci pour tout.
Akisa Katsu.

———————— End ———————

Wow. Bon, bah c'est la fin...
Damn. Ça a duré un an ! Une putain d'année !
Je pensais vraiment pas que ça allait durer aussi longtemps mais merci beaucoup ! Ma fiction est devenue connue grâce à vous et à vos commentaires agréables et pleins d'amours.
Je m'excuse si j'ai parfois était dure dans les commentaires (notamment quand on corrige simplement les fautes d'orthographe sans rien voter ni commenter, comme un fantôme. Je sais que ça part d'un bon sentiment mais ça m'énerve, donc désolé).
Je tiens également à dire qu'aucun roux n'a enté maltraité durant l'écriture. J'ai rien contre les roux hein !
Je suis pas douée pour les mots de fins, alors je vais juste vous remercier.
Plusieurs bonus sont en cours, mais je vais aller en prépa dans quelques mois, je n'aurais donc pas le temps d'écrire. Je ne sais pas si je ferais une suite, mais j'espère que cela vous a satisfait.
Bien à vous, et en vous souhaitant toutes les merveilles du monde,
L'écrivaine @Akisa_Kts