Salut saluuut ! J'espère que vous passez tous de bonnes vacances ! Alors voila, j'ai plusieurs chapitres fini en brouillon, environ une vingtaine, et si je garde mon rythme de 1 le mercredi et 1 le week-end, et bien ils seront publiés d'ici septembre. Je suis donc bien trop en avance, genre ce chapitre je l'ai écrit en mai ! Mais j'ai pas envie de publier un chapitre par jour, par peur que la fiction ne se finisse trop rapidement. Donc j'ai besoin de votre aide, je devrais faire quoi ?
Sinon, bonne lecture !

Pdv Akisa
J'étais tranquillement dans ma chambre, sur mon lit, les mains entre la tête.

C'était les 10 ans de ma soeur aujourd'hui. Enfin... Elle devait avoir 10 ans aujourd'hui.
J'avais décidé d'aller acheter son gâteau préféré et aller lui donner au cimetière.
Ouais... C'est pas très joyeux mais bon...

Soudain, j'entendis Karma parler. J'alla à ma fenêtre et vit Koro sensei parler avec lui.

- Un festival d'été ?
- J'ai eu l'idée aujourd'hui et je préviens toute la classe. Malheureusement certains sont déjà pris et je suis très triste !
- Ouais... Pourquoi pas... De toute façon j'étais en train de glander.

Karma balança sa tête à droite pour voir par dessus l'épaule du poulpe.

- Et toi Akisa, tu viens ?

Koro se retourna.

- Oooh ! Tu habites à côté Akisa ? C'est pourtant pas l'adresse que tu as écrite.
- Justement pour éviter que vous veniez à l'improviste.
- Tu viens au festival ? Enchaina Koro.
- Je sais pas... C'est l'anniversaire de ma soeur...
- Tu peux venir ce soir !!! S'il te... une seconde, ta soeur ? Elle est pas...
- C'est bon ! Je viendrai ! Tranchais-je pour éviter qu'il en dise plus en présence de mon voisin. Mais pas longtemps c'est clair ?
- Merci Akisa !!!!!

Sur ce, il s'en alla à vitesse mach20.

- Elle a quoi ta soeur ?

Évidemment...

- Rien... Je te le dirais peut-être si t'es sage !

Je lui tira la langue et pris mes affaires pour sortir acheter le gâteau de ma soeur.

oOoOoOo

- Rahhh !!! Pourquoi je dois mettre un Kimono ! Ralais-je devant mon miroir. J'ai l'air ridicule... (Voir média).
- Je trouve qu'il te va bien.

Je sursauta et vit Karma à la fenêtre.

- Ah bon ? Tu trouves ?

Il hocha la tête en buvant son lait à la fraise.

- On y va ?

J'hocha la tête et je pris mes affaires en prenant soigneusement le gâteau de ma soeur pour le mettre dans mon sac.
Je descendis de chez moi et vit Karma qui m'attendait gentiment. Il avait une chemise rouge et un jean noir.

Rahhh je rêve de mettre une tenue confortable !!

On alla donc au festival. Je croisa Koro dans son déguisement grotesque et je discuta avec lui avec Nagisa et Kayano. J'avais vu Okajima prendre des photos et plusieurs filles de la classe discuter.

- Je suis content de vous voir plus nombreux que prévu. Si personne n'était venu, je me serais peut-être suicidé.
- Zut, on aurait pas dû venir.

J'entendis un soupir et me retourna pour voir Chiba et Hayami.

- Chiba-kun, Hayami-san ? Pourquoi vous deprimez ? Demanda Nagisa.
- On a été viré du stand de tir.
- C'était trop facile, on raflait tout. Comment on va faire ?
- Dites, m'sieur ! S'écria Karma.

Je me retourna et écouta sa conversation.

- J'ai dépensé 5.000 yens sans jamais gagner mieux que le cinquième lot.

Je m'approcha et lit son carnet par dessus son épaule. Il y avait des maths.
Je releva la tête vers le vendeur.

- Vu le nombre de fils et lots restants, si je calcule la probabilité de tirer l'un des quatre premiers lots... J'arrive à 0.05%
- 0.05% ! M'écriais-je. Monsieur... Vous devriez avoir honte... Je voulais vraiment la play la-bas et mon petit-ami ici présent comptait m'aider... Mais je peux demander à mon père de vérifier ces calculs ! Il est policier ! Et je suis sûre que vous n'êtes pas un arnaqueur, pas vrai ?
- J'ai compris ! Je te rend ton argent, mais ne dit rien !
- Non, je n'ai pas dépensé 5.000 yens pour qu'on me les rende. Ma petite amie veut la console~.
- Bien bien !

Il nous la donna et je tapa dans la main de Karma.

- J'étais sûr que tu craquais pour moi. S'amusa Karma:
- Hein ?
- « mon petit-ami »~.
- Pfff, c'était qu'une excuse, je préfère sortir avec Asano qu'avec toi.

Il me fit un petit regard en coin.

Touché.

- Je t'ai aidé avec la console, donc je la veux !
- Pffff, j'aurais pu m'en sortir tout seul.
- Bien... Alors tu me laisseras y jouer ?
- Mouais, ok.

Je regarda le stand d'à côté et sursauta en voyant Koro-sensei.

- Vous essayez de faire quoi, là ?
- Je suis fauché ! Je reprend les stands que vous avez fait fermer !

Je soupira et continua de marcher pendant que Karma essayait de le perturber avec son poignard.

- Akisa ? Tu vas où comme ça ? Demanda Koro.
- Bah, je rentre.
- Ah non ! Il y a un feu d'artifice !
- Et ?
- Allez-y, toi et Karma ! Sinon vous me faites un exposé oral sur la beauté de votre magnifique professeur pour demain.
- QUOIIII ?!!!!

Je soupira.

- Allons-y...

Je marcha avec Karma pour sortir de la foule et aller dans un coin tranquille. On arriva plus loin, dans un coin désert en haut d'une petite colline qui avait une belle vue panoramique. Je m'appuya sur la rambarde et regarda le ciel, bientôt accompagnée par Karma.

Le feu d'artifice commença.

- Ces vacances d'été auront été intenses... Soupirais-je.
- Ouais... Mais je sens que le second va être encore plus intéressant.

On resta tranquillement, l'un à côté de l'autre, à regarder le feu d'artifice dans un silence reposant.
Une fois le spectacle fini, je me redressa et regarda ma montre.

23:38

Merde ! Si je ne me dépêche pas, je vais y arriver après minuit !

J'allais partir en courant mais Karma m'attrapa le poignet.

- Lâche moi Karma, je suis en retard !
- Ou ça ? Tu habites seule non ?

Sentant qu'il ne lâchera pas l'affaire, je lui dit la vérité.

- Je dois voir ma soeur avant minuit... Tu veux venir ?

Il haussa un sourcil.

- Okay. C'est loin ?
- En courant... On y est dans 10 minutes !
- J'y arrive avant toi !

Karma commença à courir et je le rattrapa.

- Tu sais même pas où c'est ! M'écriais-je en rigolant.

Une dizaine de minutes plus tard, je l'arrêta devant un parc.

- C'est ici.

Il fronça les sourcils mais ne dit rien.

On s'enfonça dans le parc pour arriver devant une grille en fer. Je l'ouvris dans un grincement métallique. Le cimetière.
Je continua de marcher et m'accroupis devant une tombe.

Hikari Kitsu.

- Salut p'tite soeur... Tu te souviens de Karma ? Bah... le voila...

Je me tourna vers Karma qui avait la bouche légèrement entre ouverte.

- Désolée de ne pas te l'avoir dit mais... c'est assez dur d'en parler...

Il ne dit rien et s'accroupit à côté de moi.

- Il s'est passé quoi ?

Je ne répondit pas.
Je sentis un regard brûlant se poser sur moi et je tourna mon visage vers lui.
La lumière de la nuit reflétait sur ses beaux cheveux rouges et dans ses magnifiques yeux dorés.
Je soupira.

- Assassinée. Ne me demande rien de plus, je ne te dirais rien !

Je sortis de mon sac un petit gâteau à la pistache. Je détestais ça, mais c'était son gâteau préféré. Je mis une bougie et l'alluma.

- Bon anniversaire sœurette...

Une brise vint éteindre la flamme. Je rangea alors la bougie et commença à manger le gâteau.

- Beurk, c'est toujours aussi infâme... Je ne sais pas comment tu fais pour aimer ça...

Je me tourna vers Karma qui me regardait toujours, mais avec pitié.

- Ne me regarde pas comme ça, Karma... Soupirais-je.

Il enroula mes épaules de son bras.

- Bon anniversaire Hikari... Chuchota Karma.

Je souris.

- Tu veux du gâteau ?
- C'est à quoi ?
- Pistache.

Il haussa les épaules et commença à le manger.

- C'est pas mauvais, je vois pas pourquoi tu te plains.
- C'est degueulasse oui ! Tu te serais bien entendu avec elle, tiens !

Il sourit et fini le gâteau.
Une horloge sonna 12 coups. Il était minuit.
Je bailla, ma tête contre l'épaule de Karma.

- On rentre ? Proposa-t-il.

J'hocha la tête et on se leva.
Il ne me posa aucune question sur ma famille durant tout le trajet, on parlait surtout de la classe et de comment assassiner notre professeur.

oOoOoOo

Arrivée devant chez moi, je lui souhaita bonne nuit et ferma la porte. Je pris une bonne douche et me mis en pyjama. Je bailla et entendis du bruit en bas. J'avais fermé la porte à clef pourtant... Je descendit et manqua de tomber par terre.
Il était là.
Il m'avait trouvé.
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Et il allait payer.