Dixième Chapitre

Les soldats de l'entrée sont arrivés pour débarrasser les corps. Sans doute ont-ils été alertés par Darwin lui même ou par les cris. Mon sauveur me fait monter sur le même cheval que lui une fois ses ordres distribués. Cela me fais étrange. Notre position comme son regard habituer à voir des morts. Je me demande combien d'horreur il a vu à la guerre ? Je n'ai point de doute sur le faire qu'il a du y participer.

J'ai sa chaleur dans mon dos pendant que nous galopons ensemble et cela me trouble. C'est sûrement encore dut à la peur que j'ai eu de la blesser gravement juste avant. J'en frisonne encore d'horreur.

- Dites moi. Était-ce vrai ?

- De ?

- Que vous partiez de votre plein gré avec eux ?

- Ma foi oui.

- Pourquoi cela ?

- Parce que le passé finis toujours pas nous rattraper où que l'on soit.

- Ce sont les hommes qui vous poursuivais quand nous nous sommes rencontrés ?

- Non. Ce n'était pas les mêmes mais oui ils étaient venu pour la même chose que ceux de la dernière fois. Cela veux dire que même ici nous ne serons pas tranquille. Que, s'ils apprennent que je vis chez vous, ils vous tueront aussi.

La dernière phrase m'a échappé, ce qui n'aurait pas du arriver, mais cela était une vérité.

- Vous avez peur pour moi ?

- Ne devrais-je pas ?

- Non vous ne devriez pas. Après tout nos ne sommes qu'ami, donc vos peurs sont infondés. Puis je sais combattre.

- Vous êtes rancunier. Seulement, on peut s'inquiéter pour ses amis. J'imagine.

- C'est possible. Et ce n'est pas entièrement faux.

Nous arrivons dans le silence suite à ça. Il descend et je descend après lui. Nous laissons Caviar en charge d'un palefrenier et allons directement chez son médecin pour me rassurer plus que de le soigner. Ce n'était effectivement qu'une égratignure. Mais au moins, maintenant nous sommes sûr.

- Rassurez ?

- Devais-je être inquiète ?

- Non.

- Alors tout vas bien.

Je sors pour aller vers mes appartements. Mais il me rattrape la main.

- Accompagnez moi.

- Où ?

- Dans un endroit interdis.

- Comment cela ?

Il tire sur ma main et me fait parcourir les couloir, contre mes protestations, jusqu'aux bains chauds...

- Vous êtes tombez sur la tête pendant que vous tiriez des flèches ?!

- Non. Mais vous êtes bien sale.

- Dans la chambre j'ai de quoi me lavé. Je n'ai pas besoin de sources chaudes bien trop grande et encore moins pour homme !

- Et bien si vous n'en voulez pas moi je ne m'en priverai pas. Vous pourriez d'ailleurs me laver les cheveux. Cela sera un bon moment de compagnie.

Il fait vraiment passer ce moment gênant et non approprié pour de la compagnie ? Je sais que cela était notre accord mais il outrepasse les limites ! L'accompagner pendant qu'il prend son bain ! C'est plus qu'impolie et mal venu de sa part. Je le vois se déshabiller mais rester en culotte d'homme. Cela lui va au genoux mais tout de même. Il se glisse dans l'eau et reste au bord.

- Alors vous avez peur ?

- Je vais mouillée ma robe.

J'ai dis cela pour garder contenance mais comment rester sereine dans ce type de situation ?

- Alors enlevez là. Je ne vous regarderai pas.

- Vous êtes osé !

J'avais une espèce de voile de robe tout en dessous en dehors de ma culotte pour femme. Cela est blanc donc si l'eau me vient dessus cela ne m'aidera en aucun cas. C'est mieux que rien sert ! Mais certainement pas convenable. Si je reçois la moindre goûte, il verra tout à travers. SI ce n'est pas vraiment déjà le cas sans forcément d'eau..

- Sachez que je vous hais.

J'enlève le plus gros de ma robe et m'approche doucement. Je prends le savon et lui frotte les cheveux.

- Puis-je posez une question ?

- oui.

- Pourquoi avez vous ces deux nattes ?

Il ferme les yeux.

- Dois je vraiment vous répondre ?

- Vous n'êtes pas obligé.

- Cela me frustrerais de vous répondre sur ma vie alors que vous ne parlez jamais de la votre. Preuve en ai.

- Alors ne dites rien.

J'étais agacée.

- Malgré ça j'aime votre curiosité envers moi.

- Cela suffit.

- Vous n'aimez pas que je dises ce que je pense Scarlett ?

C'en est trop. Je me redresse sur mes genoux et à l'aide de mes bras, je pose mes mains sur ses épaules et le coule. Il est bien surpris. Quand je le laisse revenir à la surface il se retourne vers moi.

- Vous essayez de faire mourir votre sauveur ?

- Vous n'avez qu'à ne pas dire des choses gênante.

Il sourit amusé puis me détaille.

- Retournez vous. Je dois rincer correctement vos cheveux.

Il s'approche du bord et me regarde.

- Ne venez vous pas de le faire ?

- Pas vraiment mais si cela vous va alors tant mieux je peux partir.

Je commence à me relever mais il mattrape le bras.

- Ne fuyez pas comme ça.

- Mais ne comprenez vous donc pas que nous ne devons pas être si proche ? Vous l'avez dis vous même.

J'ai été un peu froide en le disant. Son sourire s'efface et nous restons un instant à nous regarder.

- Ne pensez vous pas que si je dois risquer ma vie parce que je suis à vos côté c'est à moi de décider ?

- Mais êtes-vous fou ?

Il me tire à lui en reculant.

- Darwin non !

Il me fait tomber dans l'eau. Quand je sors la tête de l'eau en ayant bu un peu d'eau sous la surprise je tousse un peu. Sauf que je rougie bien vite en sentant le peu de tissue que j'ai remonter au dessus de mes hanches à cause de l'eau. C'est pire qu'inconvenant, cela ne devrait pas avoir lieu ! C'est plus qu'intime, c'est.. ! Je suis bien trop gênée pour trouver mes mots. Heureusement, ma poitrine est submergée car il l'a verrait à travers le tissue sinon. Ce serait vraiment la cerise sur le gâteau pour m'humilier davantage et me porter déshonneur.

- Vous êtes horrible ! Vicieux et sans réflexion !

- Vraiment ? Dans ce cas vous devez appréciez les personnes horribles et vicieuses comme moi.

Il s'approche de moi.

- Ne vous approchez pas !

J'essaie de reculer mais il pose ses mains sur ma taille en me gardant contre lui. C'est trop absurde. Je viens mettre mes mains sur ma poitrine en guise de petite protection.

- Scarlett je vous jure que j'y ai bien réfléchis. Je pensais vous laissez loin de moi mais quand j'ai vu Pommelé revenir au gallos sans vous... J'ai eu si peur qu'il vous soit arrivé malheur.

- Darwin ne faites pas ça.

- Peut importe votre passé et peut importe si je dois défier le monde pour vous. Ce sont mes décisions. Alors prenez en compte mon coeur et le votre. Ne pensez pas à ce qui a pu ce passer dans votre vie.

- Je ne peux pas.

- Pourquoi ? Si vous me déclinez je veux une raison.

C'est de la torture. Comment peux il me poser une question pareil ?

- Parce que je ne veux pas risquer de vous perdre !

A peine ces mots ont franchis ma bouche que je les ai regretté. Son regard c'est fait bien tendre et plein de compassion dont je ne veux pas.

- Scarlett..

- Non je vous en pris.. J'ai déjà perdu quelqu'un à cause de l'amour. Je ne veux pas revivre ça.

- Vous avez perdu l'homme que vous aimiez ?

Que faire ? Dois-je lui dire maintenant ? Au moins dans les grandes lignes ? Cela ne servira plus à rien de mentir ou de cacher cela au point où nous en sommes. J'aimerai que cela l'effraye et l'éloigne à vrai dire.

- Darwin, je ne l'ai même pas perdu, je l'ai conduis à la mort. Il est mort sous mes yeux pour me punir de l'avoir aimé corps et âme.

- Pourquoi ? Étiez-vous promise à un autre ?

J'avale difficilement. Je n'en ai parler à personne depuis lors. Et en parler maintenant m'ébranle plus que je ne le voudrais.

- Oui. J'avais été fiancé à l'homme qui est devenu mon mari. Cet homme était mon meilleur ami, mon ami denfance. Nous allions nous marié sur de bons termes amicaux mais je suis tombée amoureuse. Je me suis éprise de son petit frère et lui de moi. Par la suite, nous nous sommes donnés l'un a l'autre. Notre relation était secrète mais un soir il nous a surpris ensemble. A partir de la, il s'est senti tellement trahi par les êtres qu'il aimait qu'il est devenu sans coeur et brutal. Il a fait exécuter son propre frère pour me punir de mon infidélité. Je l'ai vu mourir Darwin. Et je sais que s'il vous trouve, il ne cherchera pas à comprendre si nous sommes amant ou non. Il vous tuera point à la ligne.

Je le regarde les larmes aux yeux et il passe une main sur ma joue.

- Que l'homme qui vous est marié soit un bien né ou non, il devra passé par la guerre s'il veut ma mort. Et je pense que vous valez la peine de braver les interdis Scarlett. Je comprend votre douleur j'ai moi même perdu des êtres chers mais je ne me laisserai pas tuer et encore moins devant vous. Faite moi confiance.

Il approche son visage et quand ses lèvres trouvent les miennes je n'ai pas la force de reculer. Depuis quand n'avais-je pas eu un baiser d'amour ? Depuis si longtemps Il me serra contre lui pour continuer le baisé avec douceur. Darwin.. Vous faites l'erreur pour une femme qui à commis la faute. La leçon qu'il m'aura donné n'aura servie à rien si je tombe amoureuse d'un homme qui m'a sauvé mais qui m'est encore tant inconnu.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top