68. The Two Of Us (Explicit)
NDA: /!\ chapitre pas propre (^ㅅ^)
Et d'ailleurs, j'ai sentit un malaise en relisant le lemon.. C'était hyper cringe mais bon, j'avais la flemme de le réécrire.
PS: J'ai tellement hâte de publier la fin de l'histoire et de voir vos réactions :) J'ai rédigé une partie déjà
PS2: BONNE ANNÉE :)
BREF,
Lama.Xx
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Puis avec un ricanement, Calum retira sa main de ma bouche et la remplaça bien vite par ses lèvres qui s'écrasaient intensément contre les miennes.
Il va s'occuper de moi..?
Ses lèvres mouvaient avec les miennes tandis que je tirais sur sa veste de costard pour la lancer quelque part à travers la pièce. Et je ne dû pas le prier pour qu'il se mette à déboutonner sa chemise, tout en descendant ses baisers mouillés jusqu'à mon épaule dénudée. Je me contentais de passer ma main dans sa chevelure ébouriffée tandis que sa chemise trouvait bientôt le même chemin que sa veste de costard, dévoilant son torse et ses épaules dessinées.
Calum prit les devants et avant même de m'en rendre compte, il m'avait renversé sur le matelas. Je gémis en me redressant sur mes coudes, mon petit ami qui se dressait au dessus de moi. Il s'humidifia les lèvres puis posa ses lèvres dans mon cou.
Machinalement, je saisis sa nuque et y plantai mes ongles. Mais ma tâche se compliqua quand je sentis qu'il relevait légèrement ma robe pour plaquer son érection contre ma féminité.
« Oh mon dieu.. » Jurai-je lorsqu'il commença à frotter sa virilité sur mon entre jambe.
Je supposais bien qu'il avait l'habitude de le faire, par la façon dont son bassin ondulait contre le mien. Je laissai tomber ma tête en arrière en poussant un soupir plaintif, à sa merci. Il le vit et un sourire amusé apparut sur ses lippes.
« C'est facile avec toi, uh ? » Il ronronna dans mon cou, mordillant la peau du creux de mon décolleté.
« Calum, j-je t'en p-prie. » J'agrippai la ceinture de son pantalon, assoiffée de rapprochement.
« On dit quoi, bébé ? »
« S'il te plait.. Cal, je- »
« Ashton et Calum sont au bord d'une falaise, » Souffla t-il sans cesser le contact de ses hanches sur les miennes.
« Calum, s'il te- »
« Calum pousse Ashton de la falaise, celui qui reste sur la falaise te baise le mieux. Qui te baise le mieux ? »
« Arrête ça !! » Pleurnichai-je.
« Dolly.. » Il gémit en tournoyant une de mes mèches rouges entre ses doigts. « Qui te baise le mieux ? »
« Calum ! » Haletai-je, ma réponse qui parut lui faire plaisir.
Il finit par m'offrir ce que je souhaitais lorsqu'il se déshabilla entièrement. J'admirais chaque aspect de son corps bronzé, de la forme de ses muscles jusqu'à sa clavicule et de ses cuisses pleines jusqu'à sa mâchoire saillante.
J'avais compris que je sortais avec un canon de compétition.
Calum sourit quelques instants puis d'une lenteur extrême, il retroussa ma robe jusqu'à mes hanches puis fit glisser ma petite culotte le long de mes jambes. Un court moment s'immisça ensuite, pendant lequel Calum plaçait précautionneusement son préservatif avant de placer la couverture par dessus nos corps entremêlés.
Et je suppose que c'est ainsi que nous nous en sommes venus au moment fatidique, lorsqu'il me pénétra en sentant mes mains se resserrer autour de ses bras tatoués à mesure que sa longueur glissait en moi.
Mon bassin se souleva et un gémissement le gagna lorsque qu'il entama un premier coup de rein.
À mesure qu'il remuait ses hanches contre les miennes, je verrouillai mes jambes autour de son bassin. Je finis par plaquer mes lèvres sur les miennes alors qu'il saisissait mes cuisses entre ses mains en m'appuyant plus profondément contre le matelas. Je gémis contre ses lèvres, pour témoigner de mon plaisir tandis que ses mains montaient dangereusement jusqu'à mon entre-jambe.
Et croyez moi, j'avais bien faillit avaler ma salive de travers lorsque ses doigts avaient atteint mon clitoris.
C'était repartit avec le même débat du je-ne-veux-pas-que-tu-me-touches-l'entre-jambe.
« Calum ! » M'écriai-je.
Nous étions en couple donc je suppose que c'était norm-
Non, ça ne l'était définitivement pas.
« Mh ? » Il releva un sourcil, totalement calme alors que j'étais haletante et rouge de honte.
« Arrête ce que tu t'apprêtes à faire immédiatement. »
« Quoi ? Ça ? » Ses doigts se mirent à frotter mon clitoris tandis que je mordais ma lèvre inférieure jusqu'au sang pour m'empêcher de venir.
« Oui, je- » Je fus interrompue par un énième de ses coups de reins tandis que ses doigts continuaient de mouver lentement.
Et si son corps pressé contre le mien sous les draps me procurait le plus grand du plaisir, sa respiration irrégulière qui chatouillait mon oreille à chaque intrusion qu'il faisait en moi, me rendait encore plus folle de lui.
« Je ne vais pas tenir.. » Murmurai-je alors qu'il ralentissait ses coups de hanches pour les rendre plus intenses, la peau douce de son ventre qui frôlait la mienne.
« Tu ruines l'atmosphère quand tu parles.. » Souffla Calum avant de plaquer sa main contre ma bouche, pour faire taire mes paroles.
Et à la place de me plaindre, je m'étais contentée d'admirer les structures de son visage redessiné par la lumière tamisée. Mes yeux se mirent à suivre chaque mouvement qu'il faisait avec ses lèvres, remplis d'admiration.
Le regard de Calum croisa le mien et je ne pus m'empêcher de couiner contre sa paume. Instantanément, il retira sa main pour approcher ses lèvres des miennes. Mon souffle s'échouait contre son visage tandis que ses doigts s'enterraient dans ma hanche pour permettre un accès plus facile. Puis, pris d'une certaine douceur qui n'appartenait qu'à lui, ses lippes vinrent s'attacher aux miennes avec intensité.
Mais au moment où nous nous y attendions le moins, une voix s'écria derrière la porte:
« Calchou !! »
Mes yeux s'agrandirent et les lèvres de Calum quittèrent les miennes dans un son mouillé.
Tout sauf ça.
« J'espère qu'il plaisante. » Ironisa Calum alors que son corps tout entier se crispait.
« Caaaal ! C'est le dessert ! »Répéta Jared derrière le mur.
C'est exactement à ce moment là que le plaisir avait laissé place à l'embarras.
« Calum !! Tu fous quoi ? » Insista Jared avant d'enchaîner:
« Devine qui va manger ton gâteau ? Jaroudouuuu »
Et avec un soupir exténué, mon petit ami s'était laissé tomber avec irritation contre l'oreiller, juste au dessus de moi.
« Je vais tuer cette petite merde. » Se promit Calum en hurlant dans son coussin tandis que je restais immobile, les yeux larges.
•••
« Comment va ta cheville ? » Demanda Jared, la bouche barbouillée de crème pâtissière tandis qu'il avait déjà engloutit la moitié du gâteau.
« Jared ? » Interpela Calum en décomposant sa part de gâteau avec sa cuillère, les yeux noirs de haine.
« Oui ? »
« Ferme ta gueule. »
« Ravie de voir que ça va mieux. » Ricana Joy.
« Oui. » Se contenta de grogner Calum, ses sourcils qui auraient pu rejoindre son menton tant ils étaient froncés.
« Il s'est passé quelque chose ? Tu as l'air de détester ton frère encore plus que d'habitude. » Remarqua David, curieux.
Jared haussa les épaules avant de murmurer:
« Tu sais comment il est, papa. Imprévisible et effronté. »
« Continue comme ça et je plante ta vieille gueule dans ton gâteau. »
« Calum ! » Grondai-je.
« Quoi ? » Il frappa du poing sur la table, comme un enfant tandis que je roulai des yeux.
« On ne va pas s'éterniser plus longtemps, je crois. » Murmurai-je alors que Joy esquissait une moue boudeuse.
« Dans ce cas, je vais amener le cadeau du petit. Anoushka, voiture !! » Hurla Joy en tendant ses clefs en direction de la domestique qui trottina ridiculement à elle.
Elle marmonna quelques mots de russes avant de disparaître par la porte, emmitouflée dans son manteau de laine.
Quelques minutes passèrent avant que nous vîmes Anoushka passer la porte avec un paquet immense sous le bras. Elle posa le carton au sol en soupirant d'épuisement puis se redressa.
« Vous pouvez disposer, Anoushka. » Annonça Joy.
« Merrci, madame. » Elle répondit avec son accent prononcé.
« J'espère que vous n'avez pas fait trop de folies. » Marmonnai-je en fixant la boîte avec insistance.
« Oh, Trésor. Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour le nouveau né de la famille ! » À ses paroles, elle baissa les yeux sur le bébé qui était entrain de jouer avec sa nourriture, ses yeux chocolats qui semblaient hypnotisés par chaque composant de sa part de gâteau.
« Vous et vos cadeaux débiles. » Souffla Calum, la mine désespérée à la vue du carton. « Toi et papa vous avez le chic pour mettre votre argent dans des trucs inutiles. »
« Alors, il l'ouvre ? » Grogna Jared, impatient.
« T'attends deux secondes, tête de merde ? » Cracha Calum en incitant Jared à baisser bêtement la tête.
Je finis par déposer le bambin sur le sol où il se redressa avec hésitation. Doucement, il tituba vers la boîte où le mot "fragile" était inscrit alors que Calum approchait le carton en même temps. Ils déballèrent la boîte et l'ouvrirent calmement pour dévoiler le contenant.
Seulement, le cadeau bondit hors de la boîte et je me mis à hurler.
•••
« Où est ce qu'on va le foutre ? » Se plaignit Calum en fixant le cadeau empoisonné.
Le bébé Jack Russel se mit à sautiller partout dans la pièce tandis que j'inspectai l'appartement en me demandant où est ce que nous allions placer son panier.
« Tu sais, Calum.. » Commençai-je. « J'aime beaucoup tes parents mais parfois ils sont.. »
« Ouais, je sais. » Se contenta d'approuver Calum.
Le chiot était toujours entrain de jouer avec Timothy qui s'amusait à tirer sur ses oreilles.
Et honnêtement, je n'avais jamais vu un chien avec autant d'énergie. Même Timothy commençait à s'épuiser à force de courir puérilement derrière lui.
« Comment nous allons l'appeler ? » demandai-je en me tournant vers Calum.
Et tel le cerveau qu'il était, Calum posa les yeux sur la boîte en carton puis proposa:
« Fragile. »
« Fragile ? » Je déglutis.
« C'est ce ce qui est inscrit sur la boîte. »
Sa remarque me fit froncer les sourcils mais je compris son allusion au moment où mes yeux se posèrent sur l'inscription.
« Sérieusement.. » Soufflai-je.
« Ou alors, on ne lui donne pas de nom et on part l'abandonner derrière le dos du gosse ? »
« T'es malade ?! » Hurlai-je pratiquement. « Jamais je ferai une chose pareille !! »
« Okay, okay. » Calum soupira avant de s'agenouiller.
Le Jack Russel s'empressa de courir vers lui. Et malgré le fait que Calum avait les bras tendus dans sa direction afin de le réceptionner, le chiot l'ignora et se mit à mordiller le short de Calum.
« Eh !! » Hurla le basané en tentant de se débarrasser du chien qui se peinait à tirer sur son short de pyjama. « Casse toi, sac à merde !! »
« Ça va pas être une tâche simple.. » Je soufflai.
« Au pire, il peut dormir avec toi dans le salon ? » Demanda Calum tandis que je commençais à réaliser.
Avec moi ?
Dormir dans le salon ?
« Comment ça, dormir avec moi ? » Je demandai, tandis que mon coeur s'emballait.
« Bah, tu sais.. » Calum plongea ses mains dans les poches de son short. « Tu dors dans le sofa, non ? »
« Mais je pensais que, étant donné que nous sommes en couple, on pouvait.. Tu sais.. Ensemble.. »
J'étais actuellement très embarrassée. Est ce que c'était un crime de vouloir dormir dans la même chambre que mon copain ?
« Ah, ouais.. » Il hocha la tête avant d'hausser les épaules. « Bah non. »
Et alors qu'il s'apprêtait à partir, je m'imposai sur son chemin, les yeux suppliants.
« Pourquoi non ? C'est quelque chose que tu faisais avec Jane, non ? » Je papillonnai des cils tandis que l'indifférence de Calum se ressentait sur chacun de ses traits.
« Et ? Tu as dit que tu ne voulais pas que je te traite au nom de Jane. » Expliqua t-il en se retournant tandis que mes yeux naviguaient du chien à son visage.
Je repliai mes bras contre ma poitrine d'irritation pendant que mon petit ami disparaissait avec le bébé dans les bras en direction de sa chambre.
« Calum !! » M'indignai-je.
« Quoi encore ? » Dit-il en pivotant sur moi.
« Tu ne m'aimes plus ? »
Plus aucun son s'émit.
Juste le son de ma respiration et le regard pesant de Calum concentré sur moi.
Je déglutis alors que ses yeux vitreux restaient posés sur ma personne, en imposant un peu plus de poids à mes épaules.
Et avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit, il cracha:
« Comment tu peux oser dire de la merde pareille ? »
« Ça veut dire que.. » Commençai-je avec un sourire en coin.
« Tu dors toujours dans le canapé. »
Mon sourire chuta.
Merde.
•••
« Maman dort toujours dans le canapé. Et toi ? Toi tu dors dans ton berceau royal des Hood. »
Je me contentais de m'allonger dans le canapé, en écoutant attentivement le babyphone par laquelle s'échappait les paroles de Calum au bébé.
Il poursuivit après un soupir:
« La vérité c'est que je ne veux pas dormir avec ta mère parce que je veux avoir mon lit deux places pour moi tout seul. Surtout qu'avec son gros cul, elle va m'expulser du matelas. »
Je rêve.
« Imagine si elle pète ? L'horreur. »
Et en entendant ces mots, j'ai compris que je ne rêvais pas.
J'allais me mettre à le gronder lorsque je sentis des pattes surgir derrière le bord du canapé. J'eus le temps de me demander ce qu'il se passait que le Jack Russel était sur posé sur mes cuisses.
« 'Fragile'.. » Soufflai-je, perdue dans le fin fond de mes pensées.
Le chiot poussa un aboiement avant de reposer son museau contre ma jambe, ses yeux éveillés qui suivaient chacun de mes mouvements.
J'avais déjà passé une partie de la nuit avec le chiot contre moi quand j'avais sentit de l'humidité et bien d'autre formes s'incruster dans ma couverture.
C'est lorsque mon nez avait humé l'odeur suspecte que j'avais compris.
Le chien venait de lâcher ses affaires dans le canapé que j'appelais "lit" depuis peu.
Et autant vous dire; tout y était passé, sortit d'une aussi petite bête.
Mon confort s'était transformé en toilettes pour chien en quelques minutes seulement.
Une demie heure plus tard, j'avais laissé Fragile dans la salle de bains avec son panier et une gamelle de croquette et j'étais repartie dans le couloir.
Un sourire malicieux m'avait conquit au moment où mon regard rencontra la porte de la chambre de Calum.
C'était ma chance.
J'ouvris lentement la porte en m'infiltrant dans la pièce par la même occasion, mes pantoufles moutons qui effectuaient un grincement à chaque pas que je faisais sur le parquet.
J'eus le temps de grimper sur le lit que la lampe de la table de chevet s'alluma soudainement. Mes yeux s'écarquillèrent quand je fis face à Calum avec des sourcils froncés et les doigts posés sur l'interrupteur.
« Euh-Je.. Le chien.. » Me mis-je à bégayer alors que le regard de Calum ne présageait rien de bon.
« T'es tellement têtue. » Marmonna t-il. « Allez, viens ici. »
Et sur ces paroles, il avait encerclé ma taille de ses bras avant de m'attirer à lui, ma tête qui se calait contre son torse nu.
Je soufflai doucement, à proximité de son cou:
« Bonne n- »
« Ta gueule. »
« Je suis désolée. »
« Mh.. »
« Calum ? »
« Tait toi, Dolly. Genre, vraiment. »
« Merci. »
Et là dessus, un sourire le gagna et ma main se mit à lui caresser tendrement la nuque.
•••
« Étant donné que j'ouvre une terrasse qui communique au café, je vais bientôt avoir besoin de plus de personnel. » Annonça le patron en nous distribuant nos tabliers.
J'hochai la tête attentivement alors que Shannon faisait des bulles avec le chewing-gum qu'elle avait en bouche tout en me fixant avec insistance.
« Et du coup...? » J'étais incertaine.
« J'ai deux employés qui viennent faire un essai aujourd'hui. » Poursuivit le boss. « Je compte sur vous pour les former et les aider à s'y retrouver au sein du café. »
« Pas de soucis. » Acquis-je tandis que Shannon n'avait toujours rien dit.
« Bien. » Mr. Miller nous fit un signe de main avant de disparaître à l'arrière boutique.
Une fois qu'il eut refermé derrière lui, Shannon s'exclama:
« T'as des poils de chien sur ta jupe. Ça vient de Calum ? » Elle demanda alors que je baissais les yeux sur ma tenue.
Très drôle...
« Si tu m'adresses la parole dans l'unique but de tailler Calum, je préfère que tu ne me parles plus. »
« Excuse moi mais c'est un peu dur à digérer. » Elle descendit du comptoir pour me toiser de haut en bas. « Il y a deux mois encore, tu planifiais l'assassinat de Calum Hood et à l'heure d'aujourd'hui, tu lui suces la bite. »
« Tu t'entends parler, Shannon ? » Soufflai-je avant de discerner un de ses soupirs.
« Excuse moi. » Finis-je par entendre de sa part.
« Quoi ? »
« Je suis désolée. C'est juste que.. Enfin.. » Et là dessus, elle haussa les épaules avant de s'éloigner de moi pour gagner le bar.
Je ne m'étais pas attardé plus longtemps sur son cas. Le boulot m'attendais et j'avais intérêt à être présentable pour les deux employés qui allaient nous rejoindre dès aujourd'hui.
Et après m'être débarrassée des poils de chiens qui trônait ma jupe, je m'étais chargée de nettoyer la vitrine et les tables.
Aujourd'hui, quelques clients nous avaient offert une visite mais l'ambiance restait relativement calme.
Enfin, jusqu'au moment où Mr. Miller nous présenta à nos prochains collègues.
Et autant vous prévenir, je me mis à me décomposer à la vue de Luke Hemmings et Ashton Irwin avec des tabliers autour des hanches.
Des tabliers où le mot "Buzzin" était inscrit soigneusement.
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