63. Show me

VOUS POUVEZ CONTINUER DE COMMENTER SI VOUS VOULEZ ! ÇA ME FAIT PLAISIR

NDA: REGARDEZ MOI CE CHEF D'ŒUVRE DESSINÉ PAR PrayForPizza :)
VOUS POUVEZ ALLER JETER UN COUP D'ŒIL À CE QU'ELLE ÉCRIT DONT LA FICTION "City Lights" JE SUIS SURE QUE ÇA LUI FERA PLAISIR ! ;)

NDA2: J'ai perdu beaucoup de lectrices :( Je suppose que ma merde est plus aussi bien qu'avant

NDA3: MAIS VOUS INQUIÉTEZ PAS, J'AI UNE HISTOIRE DE RÉSERVE QUAND CELLE-CI SE TERMINERA MUHAHHAHA

Lama.Xx
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Mais dans le plus grand des calmes, alors que ce n'était ni l'instant ni le moment, Calum déclara:

« Sois ma copine. »

Replay.

Mais dans le plus grand des calmes, alors que ce n'était ni l'instant ni le moment, Calum déclara:

« Sois ma copine. »

Rep-

Bon d'accord, j'exagère.

Mais honnêtement, j'étais tétanisée.

Premièrement parce qu'il était toujours en moi, deuxièmement parce qu'il avait pu dire ça sur un coup de tête quand il avait atteint l'orgasme, troisièmement parce qu'il me regardait avec un de ces regards intenses dont même Angelina Jolie serait raide dingue et dernièrement, parce que je ne le pensais pas sincère vu combien je suis probablement très moche quand je fais l'amour.

Avec des sourcils froncés et une moue de réflexion, je soufflai:

« Tu es sûr ? Je veux dire, on vient juste de- »

Calum m'interrompit en posant un ordinaire baiser sur mes lèvres, juste pour que je puisse en réclamer plus. Quand il s'écarta de moi et qu'il en profita également pour se dégager de nos ébats, il replaça une de mes mèches derrière mon oreille puis dit:

« Tais toi, Dolly. Tu compliques toujours les choses. »

« Tu sais quoi ? » Je souris.

« Mh ? » Il enroula le préservatif usagé dans un mouchoir qu'il balança dans sa corbeille.

« Si tu veux qu'on soit ensemble, » Je fixai mes doigts qui jouaient avec les bouts de la couette blanche. « Tu ferais mieux de m'emmener en rendez-vous. »

Et à cet instant, il tourna violemment la tête dans ma direction, ses yeux bruns ouverts en grand.

« En rendez vous ? » Il déglutit. « Mais je t'ai déjà emmené au MacDonald. »

« Qui a dit qu'un rendez-vous se résumait à manger ? »

« Tout devient plus difficile quand il s'agit de toi, uh ? » Il roula des yeux.

« Je dois être sûre de ta sincérité. Tu m'as traité comme une malpropre quand je suis arrivée. » Fis-je remarquer en plaçant les draps sur ma poitrine.

« Ouais. Bon, alors. » Il m'envoya un regard brûlant. « Tu veux un deuxième round ? »

« Un quoi ? »

« Et on peut même le faire par derrière si tu- »

« Quoi ? Non ! Jamais de la vie ! J'ai un vagin. C'est pas pour rien, Calum. »

« Allez ! »

« Tu dois aller travailler. » Dis-je en tentant de paraître raisonnable alors que j'étais juste effrayée.

Calum soupira grossièrement tant il était irrité que je ne veuille pas de son pénis entre mes fesses. Puis, tout en préservant un air las, il posa ses yeux sur le cadran de son horloge.

Et ce fut la réalisation soudaine quand il hurla:

« Je suis en retard d'une demie heure !! » Il s'empressa de bondir hors du lit pour chercher ses vêtements au sol, totalement nu.

Donc, fatalement, bien que la femme soit parfois plus discrète que l'homme, je ne pu me blâmer de jeter un regard à ses fesses bronzées.

« Tu t'es tatoué sur les fesses ? » Je ris en tentant de lire le mot inscrit à l'encre.

À ma question, Calum se redressa brusquement pour plaquer une main sur sa fesse.

« C'est rien !! » S'empressa t-il d'avancer.

« Sérieusement, il est écrit quoi ? » Demandai-je en fronçant les sourcils, Calum qui se glissait dans son boxer blanc tout en m'observant.

« Sans importance... J'étais ivre quand je l'ai fais et c'était un gage de Luke. » Il haussa les épaules puis déglutit nerveusement.

« Calum.. » Grondai-je quand il jeta son regard éteint sur le mur.

« Je t'assure, » Il enfila son t-shirt.
« Pas intéressant. »

« Je le saurai bientôt. » Dis-je quand il grogna d'irritation.

« J'ai pas de secrets, Dolly. Je suis pas le mec de Twilight, je suis pas James Dean, j'ai pas les pouvoirs de Spiderman. Je suis juste moi. »

« Et bien, dis moi. »

« Tu veux réellement savoir ? »

« Oui. »

« Bien. » Il s'approcha de moi puis abaissa son caleçon et je fus confrontée à son fessier.

Mais ce que je lis n'était pas du tout ce que je pensais que j'allais lire.

« C'est une plaisanterie ? » Demandai-je avec des yeux ronds.

Ce crétin s'était tatoué mon prénom sur sa fesse droite. Littéralement.

« 'Dolly'. Voilà ce que je me suis fait tatoué sur le cul. » Annonça t-il en replaçant son boxer. Il en profita pour ramasser son jeans étalé sur le parquet et de s'y vêtir.

« Quand est ce que tu as fait ça ?! »

« Cette fois où j'avais disparu une semaine entière, pendant que nous mettions de côté pour Bali. » Il referma sa braguette. « J'avais été dans un bar avec Luke et on avait bonne descente. Résultat, je me suis réveillé avec ton prénom sur mon cul. J'ai pas osé rentré tout de suite à l'appartement. »

« Calum !! C'est idiot ! » Je secouai la tête alors qu'il observait le sol comme un enfant prit la main dans le sac.

« Mais ça fait rien, tu sais. » Il haussa les épaules en saisissant sa paire de converses. « Je dirai à la meuf après toi que c'était le nom de ma tante décédée. »

« Calum... » Je soupirai avant de m'avancer jusqu'au bout du lit. Je pris son visage entre mes mains puis posai un doux baiser sur le coin de ses lèvres. Il me contempla faire, le regard enfermé dans le mien.

« Tu me distrais trop. » Grogna t-il en s'écartant finalement.

Une fois qu'il se glissa dans ses converses et enfila son hoodie, je le vis s'accroupir pour ramasser ce que je devinais être un vêtement. C'est quand je constatai qu'il s'agissait de ma petite culotte que mes yeux s'arrondirent.

« Qu'est ce que tu fais ?! » Demandai-je.

Calum sourit avec malveillance puis plongea le tissu couleur prune dans la poche de son hoodie Nike sans daigner m'offrir un regard.

« Je garde ça pour moi. » Dit-il en haussant les épaules, entreprenant la sortie.

Lorsqu'il s'apprêta à prendre la porte, il se tourna brièvement vers moi:

« Bonne nuit, brebis. » Il m'octroya un clin d'œil.

Et avec un baiser soufflé, Calum disparu de la chambre et je sombrai dans les lumières éteintes de la chambre, un sourire en coin plaqué aux lèvres.

Une fois que j'eus jugé qu'il était bel et bien sortit, je brandis mon portable dans ma pochette. Et avec une certaine hésitation et des doigts tremblants, je sélectionnai son numéro avec appréhension. Quand la messagerie vocale s'émit, j'attendis patiemment avant de laisser un dernier message:

« Niall ? » J'inspirai grandement. « J'y ai réfléchis. » Dis-je en prenant le temps de poser mes paroles.

« Mais je ne pense pas que ma place se trouve à côté d'un traitre. »

Bip.

Je vivais quand les lumières s'allumaient.
Calum vivait quand les lumières s'éteignaient.
Pourtant, il allumait toutes les lumières pour moi.
Alors pourquoi je cherchais toujours à les éteindre ?

•••

J'étais entrain de tracer des motifs divers sur la table quand Calum apparu dans la salle à manger.

« Tu nourris pas Timothy à cette heure-ci ? » Demanda t-il en ouvrant le frigo.

« Il dort.. » Soufflai-je. « Du coup, j'ai lessivé le t-shirt que tu m'as offert et il est propre. »

Mais au moment où je tournai ma tête dans sa direction, je tressaillis involontaire en découvrant qu'il était entièrement nu.

« T'es nu ?! » J'écarquillai les yeux alors qu'il ricanait.

« Ouep. » Il attrapa le carton de lait puis fit couler le fond dans sa gorge avant de le balancer au pied de la poubelle débordante.

Quel soin.

« Je veux pas aller travailler... » Soufflai-je en faisant de mon mieux pour ne pas avoir à regarder son appareil génital, même si j'avais fait sa connaissance il y a quelques heures.

« Moi non plus. Mais je me suis fait engueulé par mon gérant hier soir et étant donné que je l'ai traité de sextoy sur pattes, il a menacé de baisser mon salaire ou de me renvoyer si ça persistait. »

« Pourquoi tu as fait ça ? Tu ne veux quand même pas risquer de perdre ta place ?! »

« Dolly.. » Il soupira. « Je vais la perdre, quoi que je fasse. Quand tu dépasses la barre des 25 ans, tu n'es déjà plus apte selon le patron. Je ferai pas ça toute ma vie. »

« Mais c'est un travail qui te plait ? »

« Je suis constamment tenté. Quand j'étais avec Jane, j'avais le sentiment de la tromper alors que tu vois, c'était juste mon milieu, mon boulot, ma bite. » Je sentis sa présence dans mon dos avant qu'il n'enroule ses bras autour de ma taille. « Et puis, j'ai pas envie que ça fiche tout en l'air avec toi... » Souffla t-il en posant un baiser derrière mon oreille, éveillant par la même occasion plusieurs de mes frissons.

« Tu en trouveras d'autre. »

« Nan. » Il grimaça. « Toi au moins, tu t'énerves tout le temps, puis t'as des jolis seins, tes sourcils ressemblent à montagnes et j'ai tout le temps envie de te toucher les fesses. »

« Je suis touchée par ton romantisme. » Dis-je, un sourire qui risqua d'apparaître.

« C'est ce qu'elles disent toutes. » Il passa une main dans ses cheveux avant de se laisser tomber sur la chaise à ma droite. « Je t'emmène au boulot quand Amy viendra tenir le petit ? »

« Tu devras me ramener aussi alors. »

« On baise à l'allé ou au retour ? »

« Au retour. »

« Je savais que je pouvais compter sur toi. »

•••

« Ça, c'était notre lycée. Et tu vois la cours ? »

« Ouais ? »

« Tu vois la ruelle qui mène jusqu'au stade, là où il y a un trou dans le grillage ? »

« Mh ? »

« C'est là que j'avais l'habitude de baiser ta mère. »

« C'est pas possible... » Je grognai de frustration quand il hurla presque de rire, en frappant sur son volant comme un dératé.

« Nan, plus sérieusement.. » Il ralentit pour que nous ayons une vue presque pleine sur les alentours. « C'est là que j'ai embrassé Shannon pour la première fois. » M'informa t-il en pointant du doigt la petite ruelle sombre, où déjà nous pouvions apercevoir quelques adolescents entrain de fumer. « Mais j'aimais pas comment elle embrassait. Tu vois le goût des médicaments dilués à l'eau ? »

« Cal- »

« Et bah... Ça avait ce goût là. De toute façon, j'étais sûr qu'elle était lesbienne. »

Pour être lesbienne, elle l'était. Alors ça, j'en avais la certitude. Surtout quand elle essayait de m'embrasser en me sachant hétérosexuelle.

« T'avance ta caisse, le mioche ?! » S'écria un camionneur derrière nous, ce qui eut le don de faire rouler les iris bruns de Calum avec nonchalance. Le basané au sang chaud ouvrit sa fenêtre puis prit une grande inspiration.

« Je montre le paysage à ma meuf ! Si t'as un problème fonce dans ma caisse et tu rembourseras la carrosserie de ma BMW, enfoiré ! »

Je glapis au son du mot 'meuf'.
J'étais sa meuf.

Et là-dessus, Calum le gratifia d'un doigt d'honneur avant de refermer la fenêtre comme si de rien n'était et de
m'offrir un sourire charmeur.

« T'aimes mon côté féroce ? »

« T'es pathétique.. » Soufflai-je en appuyant ma tête contre le carreau, supportant les quelques secousses causées par sa berline noire.

« Oh, brebis... T'es vraiment excitante quand tu t'énerves sur moi. » Il se réinstalla sur son siège, les yeux jubilants d'excitation.

« T'as vraiment un soucis, Calum. » Dis-je et il sourit avec malice.

« Je me soigne, mais merci. » Et là dessus, il se stationna avant de freiner brusquement, en manquant de m'envoyer valser contre le tableau de bord.

« Tu as eu de la chance que ma ceinture n'a pas cédé. » Dis-je en ramassant mon sac à main en cuir.

Au moment où je fus hors de la voiture et que je m'apprêtais à décamper, je sentis la large main de Calum entourer mon poignet avant qu'il ne m'attire brusquement jusqu'à l'intérieur de la voiture.

Je glissai avant de tomber pleinement sur le siège passager, sous son emprise. Je gémis et il écrasa durement ses lèvres sur les miennes.

Et avec ça, il me relâcha abruptement et avec beaucoup de négligence puis annonça:

« Maintenant, tu peux dégager de ma bagnole. »

•••

« Tes suçons viennent de qui ? » Me demanda soudainement Shannon, les sourcils froncés.

Je déglutis en plaquant une main sur mon cou.

Shannon ne s'était pas même permise d'une parole de trop avec moi. Depuis l'incident, nous n'échangions que des banalités et maintenant j'étais supposée lui parler de mes ébats de hier soir.

« Je me suis pris des coins de table. »

« Dans le cou ? »

« Ouais. »

Silence.

« C'est Calum ? »

« Non. »

« Arrête, » Shannon ricana ironiquement. « C'est lui qui t'a déposé, je l'ai vu. »

« Qu'est ce que ça peut te faire ? Je ne suis pas lesbienne et nous deux ça n'existera jamais ! »

« Woah... Du calme.. C'est juste que tu m'avais promis de ne pas tomber dans son jeu. Et là, vous avez baisé. » Déclara Shannon avec un regard froid. Elle remplissait les verres sans même avoir à regarder si elle visait correctement, et pour être honnête, je l'admirais secrètement.

« Non. » Dis-je en grattant le bout de mon plateau, au point que la couleur s'effaçait par endroit, pour laisser place au metal froid d'origine.

« Admet que vous l'avez fait. Je me fâcherai pas. »

« Où se situe le problème ? » Je roulai des yeux. « Ça ne te regarde pas, Shannon. »

« Oh, c'est pas vrai. Et maintenant, il va te jeter comme toutes les autres. Dolly, je t'avais dit de te méfier de lui et son jeu de séducteur à deux balles ! »

« Il ne va pas me jeter. » Dis-je. « J'en suis certaine. »

« Vis comme tu le sens mais ne reviens pas pleurer quand il t'auras laissé. » Annonça Shannon en finissant par poser les boissons sur le plateau.

J'avais la certitude que Calum ne me laisserait pas. Surtout pas après tous les efforts qu'il avait fournit pour qu'entre nous ça fonctionne, ce serait absurde.

Totalement absurde.

Puis, je repensai au fait qu'il avait non seulement trompé Shannon, mais qu'en plus de ça, il avait également
trompé Jane.

Et ça, ça avait suffit pour que mes yeux s'humidifient puérilement.

Je vais perdre Calum.

•••

« Pourquoi tu as trompé Shannon ? » Demandai-je finalement quand Calum manqua de s'étouffer avec sa gorgée de bière.

« Qui t'a dit ça ?! » Je vis ses doigts se resserrer agressivement autour de son volant.

« Shannon, elle-même. J'aimerais avoir le cœur net. J'ai envie de savoir la personne que tu es avant de m'embarquer en terre inconnue sans être certaine de ce qui m'attend de l'autre côté. »

Je le vis maugréer des injures entre ses dents serrés en bifurquant sur une ruelle à gabarit fermé et de freiner face à une étroite impasse. Là où une vieille enseigne clignotante mourrait silencieusement, posée aux dessus des autres ordures laissées dans les bennes.

« Pourquoi elle t'a dit ça ? » Me demanda Calum quand nous fûmes à l'arrêt.

« Parce qu'elle m'a fait comprendre que je devais me méfier de toi, quand on était en voyage en Bali. Et je commence effectivement à me poser des questions. Tu as trompé Shannon, tu as trompé Jane et maintenant, c'est moi que tu vas tromper ? »

« Dolly.. » Il roula des yeux. « Bien-sûr que je serais prêt à te tromper. »

Au moins, ça a le mérite d'être franche.

'Dolly, tu vas te faire tromper et jeter comme une vieille ordure'.

Je ferais mieux de préparer ma place à côté de l'enseigne pourrie.

« Pourquoi ça ? »

« Parce que je suis stripteaseur. Tu ne peux pas réclamer de moi un parfait petit ami exemplaire et romantique quand je suis une vermine imbue d'elle-même et négligente. »

« Woah.. Donc, tu es entrain de sous-entendre que je dois te laisser me tromper ? »

« C'est là que tu as faux. » Calum soupira. « Désolée de te décevoir bébé mais je vois des filles plus belles que toi chaque jour. »

« D'accord... Merci. »

« Mais, » il reprit. « Aucune d'elles ne méritent que je te trompe. »

Je l'observai avec un regard noir tandis qu'il m'offrait le plus beau de ses clins d'œil.

« Idiot. » Soufflai-je.

« Abrutie. » Susurra t-il.

« Imbécile.»

« Ordure. »

« Conna- »

« Je t'aime. »

« Attends, quoi ? »

« -pas. » Il grimaça. « Je voulais juste que tu ne me traites pas de connard. »

« Je me disais bien que tu n'étais pas sérieux. Puis, je ne sais pas ce que j'aurais répondu. »

« 'Okay' ? » Calum ricana en faisant tambouriner ses doigts sur le tableau de bord.

« Exactement. »

« J'aurais rejoint Ashton dans la catégorie des rejetés. »

« Tu peux déjà le faire. » Dis-je quand il exhala un rire ironique en entourant mes épaules de son bras épais.

« Très drôle... » Il fronça les sourcils en venant prendre mon menton entre ses doigts. « Je préfère te prouver que je vaux bien plus que Irwin et son froc souillé. »

« Ah oui, et comment ? » Je pouffai.

« Mon patron me fait tellement chier que ce soir est le soir où je vais sécher le boulot pour t'emmener en rendez vous. »

« Ah oui ? Et le bébé, t'en fais quoi ? »

« Amy et Michael vont garder le petit cette nuit. »

« Et qu'est ce que nous allons faire ? »

« Quelque chose de mal, Dolly. Quelque chose de très mal. »

Et là dessus, il me planta un long et significatif baiser sur les lèvres.

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