55. Girls Talk Boys
NDA: Girls Talk Boys est vraiment cool ;) Il y a un petit air des années 80, c'est sympa ! Mais ça manque un peu d'eux et d'une touche de rock... J'ai peur qu'ils perdent de leur authenticité...
CELA ÉTANT DIT, ÇA NE M'EMPÊCHE PAS D'ÉCOUTER CETTE CHANSON 24H SUR 24.
NDA2: J'AI CRÉÉ UN COMPTE TWITTER POUR LA FICTION @LamaDelver DONC VOUS POUVEZ ME CONTACTER POUR ME CONTACTER OU M'ENVOYER DES PHOTOS, OU BIEN RÉAGIR SUR LE HASHTAG #SOSDADDYWATTPAD
SI VOUS N'AVEZ PAS TWITTER, JE PEUX ME CRÉER ENCORE UN AUTRE COMPTE SUR UN AUTRE RÉSEAU, FAITES SAVOIR LEQUEL SI ÇA VOUS INTÉRESSE (FACEBOOK, TUMBLR, INSTA, ETC. )
NDA3: JE NE M'Y CONNAIS VRAIMENT PAS EN MÉDECINE DONC DÉSOLÉE SI C'EST INCOHÉRENT
Lama.Xx
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« Calum.... » Murmurai-je, les yeux ronds.
« Quoi ? » Demanda t-il en surgissant de la cuisine pour arriver au living.
« C'est pas ta mère ? » Suffoquai-je en pointant la télévision du doigt.
Lorsque ses iris croisèrent l'écran de la télévision, il me jeta un regard peu intéressé:
« Ma mère n'est pas comme ça. » Il secoua la tête en se contentant de reporter son attention sur son paquet de chips.
Puis là, alors qu'il était parvenu à nier une grande partie de la vérité, cette dernière éclata à l'écran.
Sur la télévision, s'affichait un Calum de –je dirais– 13 ans, le crâne tondu aux cheveux très courts et un rouleau de papier toilette en main. Il était entrain de marquer la différence entre le papier bon marché et le papier Calpoo avec un sourire surfait.
« Et maintenant ? » Demandai-je.
A la minute même où Calum se reconnut, son teint devint blanc et il échappa un cri en laissant tomber son paquet de chips au sol.
« Putain !! » Il jura en accourant jusqu'à la télévision. « Argh, c'est quoi ça ?! »
« Oh mon dieu !! » Je ris en me tenant le ventre.
« Voilà les nombreuses raisons pour lesquelles ma préférence rencontre immédiatement Calpoo !
Vivez bien, vivez propre. Calpoo. » Émit le Calum âgé de 13 ans avant que la publicité ne se finisse sous nos yeux ébahis.
Mais je n'avais pas finit de rire.
« Je vais les tuer. » Déclara Calum en brandissant brutalement son portable, plus en colère que jamais.
« Ça ne fait rien, Calum... Oh... Ou devrais-je dire.... "Calpoo" ? » Je ris, frottant les larmes qui bordaient mes yeux alors qu'il composait le numéro fatidique.
« Continue de te marrer, Ariel. Je t'aurai au tournant. » Annonça t-il en se ruant jusqu'à la cuisine à grandes enjambés lorsque ses parents répondirent au téléphone.
Il a fallut trois minutes.
Trois minutes à Calum avant d'hurler dans son portable:
« Tu m'avais promis de ne plus jamais ressortir cette pub !! » Il y laissait toute sa gorge tant il était irrité, à tel point que j'en avais les frissons.
« Ouais, c'est ça ! "Une idée de Jared" ! Qu'il aille se faire foutre par une queue avant que je ne le croise encore, ce connard !! » Il contracta ses poings. « Je ne veux plus revoir cette pub nul part. Alors, vous avez intérêt à vous magner ou votre stupide repas de famille vous le passerez avec la tête dans votre dinde. »
Je déglutis nerveusement lorsqu'il se retourna sur lui-même pour me jeter un coup d'œil. Il me lança un regard noir et raccrocha avant de plaquer son portable sur le comptoir de la cuisine.
« Calme toi... C'est juste une publicité. » Soufflai-je en attrapant Timothy dans mes bras pour le soulever et rejoindre Calum dans la cuisine.
« C'est pas juste une pub. Toutes les filles d'Australie ont vu ça ! » Il me contempla en se pinçant les lèvres. « Y compris toi... Et... Enfin, ça ne devrait pas me préoccuper tant que ça quand il s'agit de toi. » Il soupira en brandissant une bouteille de bière dans le frigo.
« Et ? On s'en fiche, Calum. La fille qui ne veut pas sortir avec toi à cause d'une futile pub de papier toilette est conne. » Je ris doucement. « Puis, Calpoo est effectivement le meilleur dans son domaine. »
Il eut un sourire narquois avant de reprendre fermement son sérieux et de s'installer à table.
« C'est la marque de mes parents. C'est ce qui leur permettent de gagner si bien leur vie. » Dit-il.
« Et ils ont baptisé la marque en ton nom ? Cal-poo ? »
« Ouais. C'était avant que je naisse. Mes parents ont toujours aimé le prénom "Calum" et je suppose qu'ils s'attendaient à avoir un garçon le portant. »
« Oh... » Je souris en coin. « Tu ne me l'a jamais dit. »
« C'est pas le genre de chose dont je suis fier. » Il roula des yeux. « Puis, je n'ai pas envie de me confier à toi. »
Sur ses paroles, il prit sa bouteille en main avant de se relever de sa chaise et de venir se planter lentement à côté de moi. J'haussai les épaules avant de murmurer:
« Un jour, je saurai certainement tout. »
Sur mes paroles, il se pencha dans ma direction puis souffla:
« Trouve le moyen de découvrir mes secrets et je serai tout à toi. »
Là dessus, il esquissa un sourire malveillant avant de boire une gorgée de sa bouteille et de s'éloigner en direction de sa chambre.
•••
« Combien de fois il va falloir que je te le dise ? Calum n'a aucun secret. » Soupira Amy en reposant sa tasse de café sur la table.
Ce midi, Amy s'ennuyait tellement à l'appartement, qu'elle était venue me rendre visite au café avec le bébé pendant ma pause. Et étant donné que Shannon et moi ne parlions plus tant que ça ensemble, j'avais de suite accepté.
« Je suis sûre que oui. Il déteste la solitude, il a trompé Shannon, ses parents tiennent une industrie de papier toilette, voyons voir... » Je fronçai les sourcils.
« Ce ne sont pas des secrets, ça. » Elle rit. « Tu veux un conseil, Dolly ? »
« Oui, je veux bien... » Soufflai-je en jouant avec mon sous-verre.
« Si tu veux découvrir les secrets de Calum, tu ferais mieux de coucher avec lui. »
Je m'étouffai.
Littéralement.
Avec l'afflux d'air autour de nous.
« Pas possible ! » Gémis-je.
« Pourquoi ça ? C'est ce que j'ai fais avec Michael ! Il m'a tout raconté; la première fois qu'il a fait pipi dans une piscine, l'album de Phil Collins caché dans son tiroir, son obsession maladive pour Ariana Grande, ses pensées coquines sur moi, les moqueries vis-à-vis de son énorme pénis mutant, sa- »
« Stop ! » M'exclamai-je. « Je ne veux rien savoir à propos du pénis de Michael Clifford. »
« Comme tu veux. » Elle haussa les épaules. « Enfin, tu as mon conseil. Fais en ce que t'en veux. »
« J'y penserai... » Mentis-je.
« Tu ne le feras pas. »
« Non. »
« Bien. »
« Et une fellation ? »
« Je ne sais pas en faire. »
Silence.
« Attends, QUOI ?! » S'écria Amy, à deux doigts de s'étouffer avec son café.
« Je ne sais pas faire de fellations. »
« Et avec Ashton... ? » Elle grimaça.
« Rien. Il y a été tout de suite... Enfin, pourquoi je te parle de ça... »
« Parce qu'on est amies ! JE SUIS HEUREUSE QUE TU ME CONFIES LA FAÇON DONT LA BITE D'ASHTON IRWIN EST ENTRÉE DANS TON VAGIN !! »
Lorsqu'Amy hurla pratiquement ses paroles involontairement, la quasi totalité des clients de chez Buzzin tournèrent la tête dans notre direction.
« Mademoiselle Perkins, votre pause est finit !! » Hurla le patron alors que je marmonnais des injures en me levant de ma chaise.
Lorsque je saluai Amy avant de repartir, elle émit:
« Si tu veux séduire Calum, tu n'as qu'à porter ce t-shirt ! IL TE FAIT DES NICHONS D'ENFER !! »
Et à nouveau, toutes les têtes étaient retournées sur nous.
« OK, merci. » Annonçai-je précipitamment avant de prendre congé avec les joues rouges.
« Dolly ? » Elle m'interpella à nouveau.
« Oui ? »
« Essayez de trouver un terrain d'entente et je suis sûre que tu finiras par voir Calum comme nous le voyons. Tu le verras toujours comme l'éternel connard qu'il est jusqu'à ce que tu l'acceptes et que tu le prennes du bon côté. »
Je déglutis lorsqu'elle me quitta et que je ne vis plus qu'une petite tache entrain de traverser le passage pour piétons à travers la vitrine.
Amy avait raison. Nous devions à tout prix trouver un moyen de nous entendre.
•••
« Je crois qu'il a mal. » Dit Calum alors que je tentais de bercer le bébé contre ma poitrine.
« Je ne sais pas... Ça fait bien trois quarts d'heure qu'il pleure... J'ai le sentiment qu'un bébé n'est jamais épuisé... » Soufflai-je en caressant le crâne de Timothy pour le calmer.
« Tu es sûr qu'il va bien ? » Calum fronçait les sourcils tandis que le bébé ne cessait d'hurler.
« Il est étrange.. C'est un bébé plutôt sage, il ne m'a jamais fait de crise pareille ! »
« Moi je te le dis, il a mal ! »
« Je vais le prendre dans la position des coliques et je verrai si le souci vient de là ! » M'exclamai-je en prenant le bébé sur le ventre dans l'étreinte de mes bras.
Malheureusement, une demie heure après, ses pleurs continuaient toujours et je commençais à remettre en question mon rôle de mère. Je le nourrissais, je le changeais, je jouais avec lui, mais rien n'y faisait.
« Il hurle beaucoup... Nous devrions peut-être l'emmener aux urgences... » Remarquai-je pendant que Calum regardait un épisode de Prison Break à un volume assez haut que pour couvrir les plaintes de Timothy.
Il n'eut aucune réponse de sa part, juste le son de la TV.
« Calum ! » Grondai-je alors qu'il tressaillit et baissa le son de la TV pour m'écouter contre son gré.
« Ouais ? » Marmonna t-il.
« Le bébé pleure énormément... On doit l'emmener aux urgences ! »
« Laisse moi juste prendre une dou- »
« Ça suffit, on dirait une fille ! On y va. » M'exclamai-je en saisissant ma veste.
Calum roula des yeux avant d'attraper son écharpe et de rentrer ses pieds –dont les chaussettes étaient dépareillées– dans ses DocMartens.
Lorsque nous fûmes prêts et que le bébé –qui continuait toujours de couiner– fut installé dans son maxi-cosi, Calum nous dirigea jusqu'à sa berline noire. Je ne pris pas plus de temps pour installer Timothy et m'asseoir au côté passager.
« Allons-y. » Soufflai-je en gardant une main derrière mon siège, pour atteindre Timothy et lui caresser la joue.
•••
C'est ainsi qu'après que le bébé se soit fait examiné, nous nous étions retrouvé à patienter pour les résultats dans une salle d'attente dont le sol était pour la majorité parsemé de vomi séché et de Coca-Cola collant. La télévision diffusait en répétition cet éternel épisode de Bob L'éponge et une vieille femme à notre droite ne cessait de nous jauger de haut en bas en roulant des yeux, probablement en constatant notre jeunesse et le bébé que nous transportions.
« T'as remarqué ? » Me demanda Calum alors que je fronçais les sourcils.
« Quoi ? » Je tournai la tête dans sa direction.
« La vieille qui n'arrête pas de nous regarder a sa jupe rentrée dans sa culotte. » S'exclama Calum sans gêne, amenant les regards des autres patients sur sa personne. Il rit quelques instants avant d'offrir un regard serein à l'antipathique dame qui se contenta de le gratifier d'un regard noir.
« Malotru. » Marmonna la dame en retirant discrètement sa jupe de sa culotte détendue, sous les nombreux regards des patients.
« Fossile préhistorique. » Riposta Calum.
Et sans vraiment réfléchir, je ris avec lui. Il esquissa un sourire fier avant de murmurer:
« Tu vois, Dolly, c'est comme ça que tu vas terminer si tu ne te prends pas en main. » Il fit une grimace peu élégante avant d'écarquiller les yeux lorsqu'il vit la personne qui venait de s'installer dans la lignée de chaises à notre opposé.
« Woooow.... » Exhala Calum en passant sa langue sur ses lèvres.
Je me contentai de lever un sourcil en le voyant esquisser un sourire narquois, comme toutes les personnes présentes dans la salle.
« Salut beauté, je peux te servir de docteur si tu veux. » Ronronna Calum en s'adressant à une jeune fille aux jambes interminables entrain de feuilleter un magazine de célébrités. Elle rougit fâcheusement à ses mots, se contentant de rire bêtement derrière son magazine.
« Elle n'a que 15 ans !! » S'écria celle que je devinais être sa mère à ses côtés, faisant rouler les yeux chocolats de Calum.
« Oh, si on peut même plus rigoler, ici ! »
« Nous ne rigolons pas avec ça ! Vous êtres impertinent, jeune homme ! » S'intercala une autre femme.
« Allez tous vous faire foutre !! » Cracha Calum.
Après un bon dix minutes à attendre dans une salle d'attente seule, Calum s'étant fait rejeté de la salle lorsqu'il avait renversé le contenant de son Coca-Cola sur une femme, le docteur vint enfin à notre rencontre.
« Nous avons les résultats. » Nous aborda le Dr. Mackenzie alors que nous étions tous les trois plantés devant lui avec des yeux ronds.
« Alors ? » Demandai-je en plantant mes ongles dans la paume de ma main de stress.
« Pas de panique, ce bébé a les fosses nasales légèrement encombrées et ne présente que le symptômes d'un rhume. »
•••
« J'espère que c'est une blague. » Annonça Calum lorsqu'il fut stationné devant l'immeuble.
« Comment pouvons nous être aussi stupide ? » Je secouai la tête en croisant les bras sur ma poitrine.
« Au moins, on a bien remplit notre rôle de parents. » Calum échappa un gloussement. « On s'est inquiété pour rien. »
« Mais tu n'as pas bien remplit le tien. Quel genre de père irait renversé sa canette de soda sur quelqu'un dans une salle d'attente ? »
« Elle m'a traité de machiste ! » S'offusqua Calum. « Je reconnais que je le suis de temps en temps mais je ne voulais pas que ce soit elle qui me le dise !! »
« Oh mon dieu... » Je ris en levant les yeux sur le plafond de la voiture.
« Puis, c'était drôle. Elle avait mit tellement de maquillage qu'on aurait dit que son visage fondait. » Ricana Calum en grattant distraitement le cuir qui ornait le volant de sa berline.
« Peut-être mais je voudrais pas que ça m'arrive. Surtout que j'ai maintenant la certitude que tu serais capable de me renverser ce truc sur la tête. »
« Plus maintenant. » Dit-il en me regardant en coin. Il sourit avant de se pencher légèrement et d'enclencher la radio sur ma station préférée.
« Pourquoi ? »
« Parce que j'aime la nouvelle couleur de tes cheveux. » Il haussa les épaules en faisant mine de se concentrer sur les dernières secondes du morceau des Foutains Of Wayne qui s'émit sur la radio.
« Vraiment ? » Je soulevai les sourcils.
« Yup. » Murmura Calum. « D'ailleurs, tu attrapes la même couleur quand tu t'énerves contre moi. On dirait Hulk quand il a ses menstruations. »
« Woah... C'est hilarant. » Je roulai des yeux.
« Je sais. » Il m'octroya un clin d'œil et la chanson se finit. Quand la seconde débuta, mon souffle se bloqua dans ma gorge.
À ce moment-là, nous savions à quel point les premières notes de la prochaine chanson nous étaient indispensables.
C'était celle-là.
Cette chanson.
La chanson.
Notre chanson.
Et depuis le jour où je l'ai rencontré, je ne l'ai jamais oublié.
Nous échangeâmes un long regard lorsque la batterie commença à jouer. Ses yeux ne quittèrent pas les miens une seule seconde. Il humidifia ses lèvres un moment avant de les entrouvrir lentement et de laisser échapper.
« Where is my Mind ? des Pixies. » Déclara t-il en m'observant toujours.
« Tu trouves pas ça ridicule ? » Dis-je.
« Mh ? »
« Calum, » Finis-je par soupirer en baissant les yeux.
Il se mordit la lèvre inférieure d'anxiété avant de se décider à m'écouter.
« Tu es la pire personne que je n'ai jamais connu de ma vie. » Annonçai-je.
Calum fronça les sourcils en se déjouant d'intervenir, se contentant de suivre le reste de mes mots.
« Malgré tout, je n'ai pas envie de te détester. Même si mes raisons de le faire sont milles fois plus justifiées que les tiennes. » Je secouai la tête. « Ça me tue de nous voir nous haïr pour si peu. Je conçois que tu ressentes un mal de vivre ou que tu aies le besoin de le refouler sur moi mais sache que je suis humaine, Calum. Je pleure, je crie, je ris, je ressens les choses quand tu me les dis. » Je me frottai la nuque nerveusement, sans prendre la peine de le regarder. « Alors, si tu as prit la décision par toi même de me garder encore sous ton toit, il va falloir que nous apprenions à nous supporter, à nous comporter comme des parents, à cesser de nous haïr. Je ne veux plus avoir à te détester juste parce que tu le fais sans raison fondées. Je veux juste que, lorsque tu croises mon regard, tu ne penses pas à la Dolly ingrate que tu as côtoyé à une fêté lycéenne foireuse mais à la mère de ton fils qui a souffert en mettant ta progéniture au monde. Supporte-moi, ne fut que le minimum. »
Calum resta silencieux un moment puis entrouvrit délicatement les lèvres pour souffler à proximité de mon oreille:
« Je peux te supporter. » Fit-il en retenant le dossier de mon siège pour se rapprocher de moi.
« Je peux le faire aussi. »
« Dans ce cas, nous sommes okay ? »
« Nous le sommes, je le suppose. »
« Okay. »
« Encore plus Okay. »
« Bien plus Okay. »
« Super. »
« Super. »
Nous sommes restés à quatre petits et insupportables centimètres de proximité entre nos deux visages, à nous contempler un long instant.
Je m'apprêtai à parler à nouveau quand Calum roula des yeux puis m'empoigna pas la nuque pour faire échouer ses lèvres sur les siennes. Je tressaillis à son acte, posant mes mains sur ses joues alors que ses lèvres se fermaient sur les miennes. Doucement, sa langue vint rencontrer la mienne et je luttai contre ma respiration hâtée, ma poitrine compressée contre la sienne. Sa main caressait ma nuque de son pouce, me procurant plus de douceur que j'en avais attendu de sa part. Lorsque notre baiser se finit par un son humide et le rythme de l'irrégularité de la respiration Calum, je soufflai:
« Wow. »
« Ouais. » Dit-il. « On me le dit souvent. »
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La fin vous plaît ? ;)
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