Storia de amor
capítulo catorce
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Una semana y dos días antes.

Un plateau de jeu était posé devant les deux amoureux. Ils jouaient aux petits chevaux et Adèle était en train de donner une bonne correction à Lucas. Le pauvre n'avait qu'un seul cheval de sorti tandis que sa belle venait de finir son quatrième tour. Il lui restait seulement deux cheveux à placer, sous le regard noir et boudeur de son petit-ami.

_Fais pas la tête Lulu, t'es le meilleur sur le terrain au moins.

_Ça me va droit au cœur.

Adèle sourit sarcastiquement et embrassa furtivement les lèvres de Lucas. Le jeune homme laissa tomber le jeu, préférant se concentrer sur sa belle. Il la fit se déplacer et la posa le plus délicatement possible sur ses genoux. Les deux amants s'embrassaient amoureusement, passionnément sans arrières pensées derrière ce baiser. Seulement de l'amour, un amour si sincère qui cela pourrait en devenir déconcertant pour eux-mêmes.

_Je t'aime Lucas.

Adèle ne pouvait s'empêcher de répéter inlassablement les mêmes mots, voulant à tout prix lui témoigner son amour. Il l'embrassa bien plus passionnément encore. Les mains de Lucas étaient fixées sur la taille de son amante. Il l'aimait lui aussi bien plus qu'il ne le pensait au départ. Adèle mis sa tête dans le cou de son amant, elle l'embrassa, et elle le sentit frissoner sous ses baisers. Elle sourit et déposa une dernière fois ses lèvres dans le cou de Lucas, lui laissant un fine trace rouge. Elle était fière d'elle, ses yeux possédaient une lueur rieuse et ses joues avaient viré au rouge écarlates juste après leur premier baiser passionné. Elle ressentais vraiment un bonheur sans fin. Elle était vraiment amoureuse de lui. Elle était amoureuse de Lucas, complètement éprise de lui.

La main droite de Lucas se déposa dans ses cheveux et il exerça de petits et doux mouvements. Adèle souriait, il était là au milieu du salon, le footballeur assis sur une chaise et sa bien-aimée sur ses genoux, la main gauche du défenseur était encrée sur la hanche de sa belle tandis que l'autre lui carressait lentement et doucement les cheveux. La brune souriait, les deux lâchaient prise dans ce moment d'une infime douceur. Lucas reserra sa poigne sur la hanche de sa petite-amie. Il déposa un petit baiser sur le haut du crâne d'Adèle, puis posa sa tête au même endroit. Plus un bruits ne se faisaient entendre, le silence était agréable, les deux amants étaient là, l'un contre l'autre, s'aimant à en mourir. Doucement les yeux de la jeune femme se fermèrent, elle ne voulait pas dormir, juste fermer les yeux pour profiter au maximum de se calme si reposant, apaisant.

_Je t'aime aussi Adèle.

corrigé.