Chapitre 52~

Je n'ai pas prévenu, je n'ai pas mis de trailer.
Mais je me suis dit “C'est Halloween !” alors pourquoi ne pas poster un chapitre ? 🤗
(En plus il est long et fort en émotions 😬)
Allez, bonne lecture !
~***~

Ryan : « Je répète ma question une seconde et dernière fois : que me caches-tu ? Si tu ne réponds rien, alors je crois que tout est clair entre nous. »

Samantha : « Est-ce du chantage ? De nous deux, tu es celui qui me cache le plus de choses, Ryan. Et moi non plus, je ne te demande rien parce que j'attends que tu t'ouvres de ton plein gré. Au début, j'ai essayé de te tirer les vers du nez cependant j'ai compris que ça ne servait à rien. Donc j'ai attendu mais tu restes toujours aussi fermé. Alors quand c'est moi qui m'ouvre, quand c'est moi qui essaie de te raconter ce qui m'arrive, immédiatement tu m'assailles sur des détails mineurs. »

Ryan : « Ce ne sont pas des détails mi- »

Samantha : « Tu me laisses parler, s'il te plaît ! »

Il se ravise et croise les bras et les jambes. Je sais qu'il déteste qu'on remette en question son autorité mais c'en est trop. Il est temps de vider mon sac. Je n'en peux plus de tout refouler à chaque fois, juste parce que j'ai peur qu'il me fasse une scène comme ce qui est en train de se passer. Mais je préfèrerai encore le confronter là maintenant, que de me faire bouffer par mes pensées. C'est insoutenable.

Samantha : « Est-ce que tu m'as seulement écouté, Ryan ? Est-ce que tu m'as entendu quand je t'ai dit que j'ai failli me faire faucher ? Est-ce que tu comprends que j'aurai pu mourir sur le coup ? Jake m'a sauvé, que tu le veuilles ou non. S'il n'était pas là, je ne serai pas là avec toi. Je ne t'en ai pas parlé plutôt parce qu'au moment de le faire, tu m'as annoncé ce dîner. Je sais que tu veux tout faire pour nous réconcilier, Jenny et moi. Mais je n'y arrive pas. C'est tout bonnement impossible ! Je ne sais pas ce qui t'aveugle mais depuis la première fois qu'elle m'a vu, elle me méprise. Elle ne cesse de me dire que je ressemble à tes anciennes conquêtes, dès que tu as le dos tourné. Que, je ne m'intéresse qu'à ta richesse et tes biens. Est-ce que c'est réellement l'image que je dégage ? J'ai beau lui expliquer le contraire, elle ne veut pas me croire. Elle fait semblant d'être aimable avec moi devant toi mais elle est plus qu'hostile lorsque nous sommes seules. Mon intention n'est nullement de réduire tes efforts à néant mais comment te sentirais-tu à ma place ? Que, quoique tu fasses, tu seras jugé, seulement que sur des préjugés ? À chaque fois, je fais mes preuves parce que j'ai l'impression que jamais je ne me ferai reconnaître. Que je ne serai jamais à la hauteur des expectations des autres... de... tes expectations. Et depuis samedi, ça empire de jour en jour. Je me sens consumée de l'intérieur et c'est insupportable. Je n'y arrive plus... »

Je baisse la tête et mes larmes tombent sur mes mains.

Samantha : « Maintenant, crois ce que tu veux ou qui tu veux. Je croyais que tu me faisais confiance. Enfin, assez pour ne pas croire tout ce que l'on raconte sur moi et assez pour que tu ne sautes pas aux conclusions. Je me demande... me connais-tu vraiment, Ryan ? Comment tu me vois ? Je veux dire, à chaque incident ou problème, tu ne me crois pas, tu n'as pas confiance en mes paroles. Mais dès qu'il s'agit de quelqu'un d'autre, tu doutes de moi. Depuis tout ce temps, tout ce qu'on a traversé... pourquoi tu crois encore que je pourrai te trahir ? De quoi je manque pour que tu puisses enfin t'ouvrir à moi ? »

Je ne crois pas que c'est comme cela qu'une relation fonctionne. Dès que nous avançons d'un pas, nous reculons de dix par la suite. Et lorsque cela arrive, c'est toujours pour les mêmes raisons. C'est lassant, c'est toujours le même scénario. Puis-je réellement continuer sur cette voie ?

Sans que je m'en aperçoive, Ryan s'approche de moi et s'assoit à mes côtés. Il prend mes mains dans les siennes et me regarde, peiné. Ai-je réussi à l'atteindre ? Pour de bon, cette fois-ci ? Je ne pense pas tolérer une dispute de plus avec toujours et encore les mêmes dilemmes à la carte.

Ryan : « Suis-moi, s'il te plaît. J'ai quelque chose à te montrer. Quelque chose qui me tient à cœur. »

J'inspire un bon coup tout en fermant les yeux puis je le laisse me guider je-ne-sais-où. Je me ressaisis, c'est sa dernière chance. S'il ne se rend pas compte de tout ce que j'éprouve, après tout ce que j'ai dit... Même si cela doit me briser le cœur, me détruire de l'intérieur, je vais couper les ponts... à quoi bon rester devant une impasse ?

Il me conduit à la porte du sous-sol. J'ai déjà vu pas mal de films thriller pour savoir où ça va finir. Il compte me tuer dans le sous-sol ? Me torturer ? Parce que j'ai ouvert ma bouche ? Parce que j'ai fait ma grande gueule et que je l'ai froissé, donc il va me supprimer ? Non, c'est impossible. Ce qui se passe dans les films, reste dans les films.

Il descend le premier et me tend sa main pour que je la prenne. Il fait tout noir, j'avance à pas de souris. Lorsqu'il s'arrête pour activer un interrupteur, je me cogne à son dos. Faut dire que j'ai fermé les yeux, redoutant le moment où il me tuera avec une hache ou une tronçonneuse...

Quand Ryan s'écarte pour me permettre de voir le sous-sol, c'était loin d'être le cas.

Ryan : « Je te présente mon refuge. »

Il y a une maquette gigantesque pour des petits trains dans son sous-sol ! Et pas que, les murs sont recouverts de posters, tous en rapport avec les trains. Pincez-moi, je rêve !

Samantha : « Je... euh... Tu... »

Je n'ai pas les mots. Ryan glousse et s'avance vers les jouets-, euh, les trains. Il prend un wagon et m'invite à m'asseoir à côté de lui, par terre.

Ryan : « Je possède cette collection depuis mes neuf ans. Depuis, j'en prends le plus grand soin. Lorsque mes parents sont morts, j'ai trouvé du réconfort dans ces petites machines. Elles me permettaient d'échapper à la triste réalité à laquelle je faisais face et d'avoir du temps pour... réfléchir. Oui je n'étais qu'un gamin mais tellement de choses déjà trottaient dans ma tête. Lorsque je ne réfléchissais pas, je passais un bon moment : Je m'amusais. Ce qui est bien avec les petits trains, c'est que tu peux choisir d'être le conducteur et alors là, tu as le contrôle sur tout. Tu peux empêcher le train de dérailler, tu le fais arriver à l'heure. Il y a un tout un programme qui permet le bon fonctionnement de la gare. Il n'y a pas d'imprévus, il n'y a ni accident... ni perte... si tout se passe comme prévu, si tout est ''sous contrôle''. Tu comprends, mon désir de tout contrôler vient du sentiment de peur que m'inspire la perte d'une chose importante à mes yeux, voire un être cher. De cette même peur sont nées mes barrières. Je me suis dit que si je ne laissais personne m'approcher alors je ne pourrai leur faire de mal et il n'y aura ni imprévu, ni accident ni perte. Tu l'as vu par toi-même à quel point il est difficile de vivre à mes côtés. Et je m'en veux toujours jusqu'à maintenant de faire souffrir Jenny parce que de toutes les personnes, elle est la seule famille qui me reste. Son avis compte beaucoup pour moi. »

Je le sens trembler et pose alors une main sur sa cuisse. Il se détend et me sourit tristement.

(Est-ce le moment où je regrette d'avoir ouvert ma grande gueule ? Oui.)

Viennent ces points dans le temps où nos paroles glissent plus rapidement que le fil de nos pensées. Ça m'arrive un peu trop souvent, je trouve. Est-ce parce que je trop sensible, émotive ? Que je réagis au quart de tour et que j'ai le sang chaud par la suite ? À part Ryan, il n'y avait qu'une personne avant lui sur laquelle je m'étais déchaînée tout comme je l'ai fait. Oui, je l'ai fait car... Je l'aimais trop.

Et ce qui arriva, arrive encore. Je n'apprends pas de mes erreurs, on dirait. J'aime trop et le voilà, le problème. Quand on aime, on devient plus susceptible. On dit que si l'on se met autant en colère, qu'on est autant concerné par ce qui arrive à autrui, c'est parce qu'on tient beaucoup à cette personne. C'est la stricte vérité. Je me suis promis de faire des efforts pour changer, il est interdit que je refasse les mêmes erreurs du passé.

Samantha : « Ryan, je suis déso- »

Ryan : « Non, ne t'excuse pas. Ne reviens pas sur tes paroles. Tu as raison, dans tout ce que tu as dit. »

Il dépose le wagon et prend ma main, plus précisément celle où j'ai mis ma bague.

Ryan : « Lorsque je t'ai offert cette bague, je me suis fait une promesse : celle de ne jamais te laisser partir. Samantha, tu es unique dans ton genre. Tu es spéciale. N'importe quelle personne qui t'a dans sa vie serait comblée. Mais l'idiot que je suis ne cesse de tout foirer à chaque fois à cause d'une peur stupide. Stupide parce que je sais que je te veux près de moi, j'en suis certain. Je ne comprends pas pourquoi j'hésite encore. C'est aussi flagrant que le nez au milieu de la figure. »

Nous nous levons et Ryan me regarde avec tendresse et bienveillance.

Samantha : « Seras-tu donc prêt à tout me dévoiler ? Peu importe tes faiblesses et tes défauts, Ryan. Tu n'as pas à en avoir honte ou quoique ce soit. C'est ce qui t'a forgé après tout.»

Ryan : « Tu vois, c'est ça qui est bien avec toi. Tu ne me juges aucunement. Je peux être moi-même et... »

Il dépose à nouveau un baiser sur ma main.

Ryan : « ... Je devrais en apprendre de toi. »

Il m'arrache un sourire.

(Comment ça apprendre de moi ?)

Samantha : « Ne dis pas de sottises. J'ai également mes défauts, plus que toi, je crois. »

Ryan : « C'est exact. Tu es irrespectueuse, forte tête et colérique au quart de tour. »

Samantha : « Pardon ? Hé, tu pourrais au moins me soutenir et non me couler ! »

Ryan : « C'est ce que j'ai fait, j'ai soutenu tes paroles. Tu es réellement couverte de défauts. »

Je fis semblant de faire la moue mais quand nos yeux se rencontrent, nous éclatons de rire en même temps. De vrais gamins.

***

J'arrive à Carter Corp. en avance et me dit qu'un café s'impose. Lorsque je me dirige vers le vendeur habituel, je vois Matt sortir de la boutique avec deux boissons toutes brûlantes au vue des fumées. Quand il me vit, ses lèvres s'étirent en son éternel beau sourire.

Matt : « Hé, si c'est pas ma princesse préférée. »

(Alors déjà, je suis la seule que tu appelles princesse. Pour ne pas dire que je suis ta princesse.)

Si je le dis tout haut, son égo va gonfler comme un ballon de baudruche.

Samantha : « Bonjour, toi. »

Je m'approche et lui fait la bise. Comme à son habitude, il en attend plus de ma part, sous prétexte qu'il est le « meilleur collègue que je n'ai jamais eu ». Évidemment, tout n'est que plaisanterie. Toutefois, c'est dans ces moments de rigolade que l'on saisit qu'une part de vérité se cache en-dessous de certains sous-entendus. C'est la même chose qu'avec les personnes saoules, à peu près la majorité de leurs paroles sont vraies.

Samantha : « Tu commences fort, dis donc. Je parie que tu as encore veillé à cause d'un stupide jeu vidéo ! »

Matt : « Loin de là, ma belle. Justement la deuxième tasse... est pour toi ! »

Il me tend joyeusement le second gobelet. J'examine ce dernier, peu convaincue. A croire qu'il m'attendait au quart de tour. Comment est-il possible que PILE au moment où je meurs d'envie d'un café, Matt rapporte deux tasses, l'un spécialement pour moi ?

Samantha : « Je t'avoue que ça me... désoriente. Est-ce que tu m'as suivi de loin pour ensuite me dépasser et faire semblant pour que l'on se rencontre ici-même ? »

J'ai radoté sans reprendre ma respiration. J'en finis essoufflée. Matt fit les gros pour finir hilare.

Matt : « Mais pas du tout ! Sam, quelle imagination débordante tu as ! Et c'est moi qui manque de sommeil, hein ? J'étais en direction du boulot quand justement, je suis passé ici. Puis je me suis souvenu que tu adorais leur café donc je t'en ai pris un. Je voulais te faire la surprise en montant à ton étage mais finalement, nous nous sommes croisés ici et pour une surprise, c'en est une. »

Je souffle. Un mélange de soulagement et d'irritation. Soulagée parce que je me montais simplement la tête, irritée parce que je me montais précisément la tête. Passer du temps avec Ryan ne m'a aucunement déridé. Enfin, si. Mais uniquement lorsqu'il est à mes côtés. Les problèmes s'enchainent. Je suis attachée à lui, à un tel point que je devienne dépendante de sa présence. Sans lui, me voilà qui barguigne pour des broutilles. Je passe une main lasse sur mon visage.

Samantha : « Excuse-moi, Matt. Je suis parano. »

Il s'approche et me tape gentiment la tête.

Matt : « Le Big Boss te crée encore des problèmes ? »

Samantha : « Oui... et non. Cette fois-ci, ce n'est pas sa faute. »

Matt : « N'oublie pas que je suis toujours là. Au moindre problème, tu accours. »

Samantha : « Pour de vrai ? »

Il hoche vigoureusement la tête.

Matt : « Vrai de vrai. »

Samantha : « Alors... Tu voudrais bien me ramener plus de sucre, s'il te plaît ? »

Il ne s'y attendait pas. Matt grince des dents, pris de court par ma demande. Mais le gentleman qu'il est accède à ma requête. Je rajoute du sel en modifiant affreusement ma voix.

Samantha : « Vous me sauvez la vie, ô preux chevalier ! »

Il me suit dans mon délire en prenant également la même voix et fit une révérence.

Matt : « Tous vos désirs sont des ordres, princesse. »

Les passants se retournent devant notre petit numéro et nous nous esclaffons de plus belle jusqu'à Carter Corp.

Bras-dessus, bras-dessous, chantonnant tout en sautillant comme des gamins de six ans, nous passons la porte d'entrée du grand hall, attirant comme d'habitude l'attention. Finalement, je m'en sortirai. Question de mental. Je ne suis PAS dépendante de Ryan. La preuve : je m'amuse bien avec Matt. Nous débarquons devant le comptoir de l'accueil, poste de Lisa mais cette dernière n'y est pas. A la place, un corbeau noir nous dévisage, les bras croisés, le regard atone. Il arque un sourcil lorsque Matt pose sa main –un peu trop fortement- sur son épaule pour le saluer.

Matt : « Colin, mon pote ! Que me vaut ta petite bouille trop craquante ? D'habitude, tu ne quittes jamais ton étage. »

Colin lève les yeux au ciel. J'imagine qu'il a déjà poignardé Matt un millier de fois dans sa tête à cause de toutes ses conneries. Comment il fait pour tolérer cet électron libre ? Quand Matt s'y met pour de vrai, même moi je pète un câble mais Colin... c'est le calme plat. D'un seul coup d'œil, il ignore royalement Matt et se tourne vers moi. Ce dernier baisse les épaules et boude parce que son meilleur ami ne le calcule même pas d'un pouce.

Colin : « T'en mets du temps pour venir. J'ai attendu une demi-heure déjà. »

Pas de « bonjour », pas de « ça va ? », direct les hostilités. C'est du grand Colin, quoi. Je ne relève pas.

Samantha : « Euh... Tu me veux quelque chose ? »

Ce sourire en coin que j'exècre se dessine sur son visage. Alors, soit il signifie « arrête de te foutre de ma gueule » ou bien « ne viens pas me chercher des noises sinon tu le regretteras » ou « t'as le toupet de demander encore ? »... et j'en passe, il existe d'autres significations. Ce genre d'expression que lui seul peut communiquer par un sourire. Ce sourire horripilant.

Colin : « J'te rappelle que tu m'as refilé un boulot et j'aimerai en être débarrassé là. »

Toujours pas à la page, j'attends qu'il développe mais ça l'agace encore plus.

(Faudrait améliorer tes compétences en socialisation, Coco.)

Colin : « Si j'te disais '' une grosse boîte à la pointe de la technologie qui contient tout ton travail'', tu pens'rais à quoi ? »

Grosse boîte... pointe de la technologie... travail... J'essaie de le songer avec l'espoir qu'il me révèle la réponse par télépathie. Ça ne coutait rien d'essayer.

Pris d'impatience, il attrape un porte-document posé sur le comptoir et me frappe la tête avec. Je gémis. Matt était plus doux.

(C'est le deuxième de la journée !)

Colin : « Ton ordinateur. C'était pas autant difficile. »

Mais bien sûr ! J'ai oublié qu'il était en réparation. J'ai utilisé un ordinateur portable que m'a refilé le département informatique, le temps de rabibocher celui atteint du mystérieux virus. J'ignore toujours jusqu'à maintenant comment c'est arrivé. Je n'ai rien fait qui sorte de l'ordinaire pourtant ma machine s'est retrouvée infestée de petites bêtes.

Samantha : « c'aurait épargné ta salive et ma tête si tu le disais depuis le début ! »

Colin : « Je testais ton intelligence, chaton. »

(Et ça l'amuse.)

Si j'exagérais, je dirais que ce mec prend son pied en me faisant tourner en bourrique. Il est machiavélique.

Colin : « Allez, boude pas. Je te charrie. »

Je me réfugie immédiatement à côté de Matt. Les attaques de Colin sont trop aléatoires. Deux hommes prévenus valent mieux qu'un.

Colin : « Je l'ai déjà monté dans ton bureau. Je t'ai attendu parce qu'on doit discuter d'un truc. »

Samantha : « Quoi ? Me traiter d'idiote ne t'a pas suffit ? »

(Je ne me ferai pas avoir une seconde fois, crois-moi !)

Il fronce soudainement les sourcils et soupire, las.

Colin : « C'est très sérieux. Suis-moi. »

***
Au fait, vous fêtez Halloween ? Qu'est-ce que vous faites d'habitude ?
Vous mettez des déguisements ? 😍 Lesquels ?

Je tiens à remercier chaque personne qui prend le temps de lire, voter et commenter mon histoire 💖
Aussi, excusez-moi de mon inactivité, j'ai moins de temps libre en ce moment 🙏 j'essaierai de me rattraper le plus possible.

Et si vous n'êtes pas encore au courant, cette histoire participe aux Bee Awards 2019 😍
En ce moment, les votes publics sont ouverts et si vous voulez bien, pouvez-vous voter pour le chapitre portant mon pseudo "TheCommonName" dans ce livre please :  https://my.w.tt/jVpujbXrd1

Merci d'avance, gros bisous 😘

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