Chapitre 22~
Êtes-vous prêtes ? 😝 Ce chapitre sera 🌋🔥🔥🔥😱
Je tiens à préciser que je ne sais vraiment pas comment on écrit du lemon :v (c'est bien comme ça qu'on appelle ça... pas vrai ? 🤔)
Donc j'ai préféré ne pas aller trop loin x) vous comprendrez en lisant. Donnez-moi vos avis, vos remarques et j'essaierai de m'améliorer.
Sur ce, bonne lecture !!! 😊
(Et me tapez pas s'il vous plaît mdr...)
***
Nous sommes aux limites de New-York. La limousine entre dans un quartier qui m'était inconnu auparavant. Quand elle s'arrête devant un grand portail noir, je présume que nous sommes arrivés. Jake ne se gare pas entièrement mais il nous dépose juste devant l'entrée. Carter lui donne des dernières consignes et il s'en va.
Carter : "Tu me suis ?"
Il me tend sa main et je la prends en appréhendant ce "verre" qu'il m'a proposé.
Vu que j'ai affaire à mon PDG, il n'est pas étonnant de constater que sa propriété est tout aussi hallucinante que sa société.
Le salon doit faire la taille de mon appartement en entier. Il y a également une très grande baie vitrée qui donne vue sur New-York. Nous sommes sur une colline, en hauteur donc on voit des kilomètres à la ronde.
Carter m'invite à m'asseoir sur le divan.
Carter : "Que veux-tu boire ?"
Je réfléchis en regardant par la baie et il me vient une idée. Je me tourne vers Carter en lui souriant.
Samantha : "Un manhattan, s'il te plaît."
Carter : "Je te prépare ça."
Il se lève, retire sa veste, ouvre quelques boutons de sa chemise et remonte ses manches. Il me fait ce sourire en coin si craquant, mon cœur fond. Il se dirige au bar et commence à préparer mon cocktail.
(Il est diablement sexy en barman...)
Inconsciemment, je me mords la lèvre inférieure. J'hésite alors à le rejoindre là-bas ou rester ici. Quelques sombres idées me traversent l'esprit.
Carter : "Mets-toi à l'aise, j'arrive dans un instant."
Après tout, pourquoi pas ? Autant en profiter. Je retire mes chaussures et repose mes pieds sur le divan. Je m'installe confortablement et me blottis contre les coussins. Je ferme mes yeux et quelque chose se pose sur ma joue. Carter y a déposé un bisou. Je suis gênée et affiche un sourire banane. Intérieurement, je crie de joie. Il me donne mon verre et reprend sa place à côté de moi. Il a pris un verre de whisky, tout simple. Je bois une gorgée.
Carter : "Tu vas mieux ?"
J'acquiesce de la tête. Je ne sais pas comment aborder le sujet avec lui. Tout s'est passé tellement vite. En plus je me suis ratatinée devant lui, ce n'était pas l'un de mes plus beaux aspects. Je ne sais plus où donner de la tête.
Samantha : "Alors hum... La boîte de nuit... C'était vous ?"
Carter : "Je ne suis pas aussi vieux, tu sais. Nous n'avons que quelques années de différence. Tu peux me tutoyer. Et pour répondre à ta question, oui c'était moi."
(Oh mon Dieu. C'était bien lui.)
Samantha : "Oui mais vous-, euh... Tu... Tu es mon patron, je ne voudrais pas-"
Carter : "Chuuuuuuuuut..."
Il posa son index devant ma bouche.
Carter : "Nous ne sommes pas au bureau. Détends-toi."
Je me demande quelle est cette atmosphère. Il semble tellement différent du bureau. Ce n'est pas l'homme d'affaires autoritaire qui cherche la perfection. Il est doux, mais vraiment. Il fait très attention comme si j'étais quelque chose de fragile. Le suis-je ?
Je pose de nouveau les yeux sur lui en scrutant chacun de ses traits : ses cheveux châtains, lisses, bien coiffés ; ses yeux gris, attirants mais perçants, je pourrais m'y perdre, c'est comme s'il m'hypnotisait; la petite barbe naissante sur sa mâchoire. Je continue mon exploration visuelle et je vois ses larges épaules, sa chemise qui moule parfaitement son corps. J'ai une irrésistible envie de tâter ses biceps. Et ses pectoraux... Même si sa chemise n'est pas totalement ouverte, j'ai une belle vue de là où je suis. Je descend encore plus bas et...
Carter : "Tu vas me mater encore longtemps ?"
Ça se voyait tant que ça ? Et puis... Face à un Apollon pareil... Comment ne pas y résister ? Depuis qu'il a repris place sur le canapé, je suis à peu près sans voix. Même aligner des mots correctement, j'en suis incapable. Mon esprit dérive ailleurs.
Carter se débarrasse de son verre puis s'approche et prend ma main. Il l'entrelace avec la sienne avant de caresser mon poignet.
Carter : "Dis-moi... Où en étions-nous pendant la soirée ? L'ascenseur ? On se fait toujours interrompre et j'avoue que ça me frustre. Je ne veux plus attendre. Et je sais que tu en meurs d'envie."
Ses prunelles, maintenant sombres, me fixent d'une lueur malicieuse alors qu'il se mord la lèvre inférieure. Il va me bouffer toute crue. Mon pouls accélère au fur et à mesure que la distance entre nous se réduit, petit à petit. À mon tour, je fais un pas vers lui et nous ne sommes alors qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Je sens son souffle tout proche de moi. Je fixe ses yeux et aussitôt ses lèvres. Ils sont tout aussi captivant l'un que l'autre. Carter passe une mèche derrière mon oreille, ensuite il passe sa main à l'arrière de ma tête, sur ma joue, et il descend le long de mon cou qu'il caresse avant d'y déposer de doux baisers. Le contact de ses lèvres sur ma peau me fait frisonner et je m'offre un peu plus à lui en penchant ma tête en arrière pour qu'il continue... mais il ne le fait pas.
(Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Ne trouvait-il pas frustrant que l'on soit interrompu à chaque fois ?)
Je n'ai pas pu cacher mon étonnement.
Carter : "Tu veux que je continue ?"
(Bien sûr. Évidemment. La réponse est claire comme de l'eau de roche, enfin !)
Je hoche seulement la tête. Il chuchote à mon oreille.
Carter : "Alors dis-le moi."
(Il ne va pas recommencer ! Il sait parfaitement que je veux qu'il continue. À chaque fois, il me demande de le dire tout haut et tout fort, c'est gênant !)
Mais je sais également que si je ne le dis pas... Cette soirée touche à sa fin. Je prends mon courage à deux mains même si mon cœur tambourine comme s'il allait exploser et je lui réponds d'une voix très hésitante.
Samantha : "J'aimerais... J'aimerais que tu continues... S'il te plaît..."
Le sourire que Carter affiche exprime carrément sa satisfaction. Il soulève mon menton de son index et m'oblige à le regarder dans les yeux.
Carter : "Tu vois quand tu veux."
Et il m'embrasse. Cette fois-ci sur la bouche. Et ce n'est pas qu'un chaste baiser. Il se fait presque impatient mais je sens surtout de la passion dans ce baiser. Il mord légèrement ma lèvre pour que j'entrouvre cette dernière et il y immisce sa langue que j'accueille avec plaisir. Plus il approfondi ce baiser, plus je bascule en arrière et tombe sur le dos. Carter est maintenant sur moi. Il appuie ses bras de part et d'autre de ma tête et m'embrasse à nouveau. Nos bouches s'entremêlent, s'entrechoquent, je me délecte de sa langue dans ma bouche. Celle-ci entame une danse avec la sienne. Nos respirations sont saccadées mais nous ne voulons pas couper cette continuité. Mais tôt ou tard, nous sommes à bout de souffle et je me détache de lui à contrecœur. Tout comme moi, Carter a la respiration anormale. Je vois sa poitrine monter et descendre, je l'entends inspirer et expirer bruyamment. Une mèche de ses cheveux impeccables vient de quitter les rangs et je passe alors ma main dans ses cheveux pour la remettre en ordre. Ils n'ont pas changé, ils sont toujours aussi doux. Je crois de plus en plus qu'il est bien l'homme de l'ascenseur.
(Un Ryan Carter en mode sauvage est trop sexy.)
Carter revient à la charge pour m'embrasser encore et passe alors une main sous mon haut. Je gémis entre ses lèvres lorsqu'il attrape l'un de mes seins, qu'il caresse puis malaxe fortement. Il répète ces mouvements en alternant. J'ai du mal à me contenir, je commence à ne plus tenir en place et gigote en-dessous de lui. Il soulève entièrement mon haut qu'il me retire par la suite et sans me faire part de ses actions, il arrache mon soutien-gorge. Instinctivement, je pose mes mains sur mes seins.
Carter : "Pourquoi les cacher ?"
Samantha : "Parce que... Ce n'est pas juste. Je suis la seule qui soit dénudée..."
Il soupire.
Carter : " D'accord."
Il se relève et retire sa chemise avant de la jeter loin derrière.
Carter : "Satisfaite ?"
Je hoche timidement la tête. Oh mon Dieu, quels muscles... Mes joues chauffent. Je n'ose pas poser les yeux dessus de plus de quelques secondes sinon je vais m'évanouir. Est-ce que cet homme est réel ? Je ne rêve pas, si ? Et même si c'était le cas, je ne voudrais pas me réveiller.
Carter : "Retire-moi ces mains. Je veux voir chaque parcelle de ton corps avant de te posséder."
Un frisson parcourt ma colonne vertébrale. Ai-je bien entendu ? Je rougis face à ses propos. Est-ce qu'il le dit sous l'effet du moment ou il est totalement sérieux ? Je suis déjà toute émoustillée par son contact de tout à l'heure et qu'en plus il me rajoute cette image exquise, ces mots torrides... Je ne vais pas résister longtemps.
D'une force presque brutale, -parce que j'hésite toujours à retirer mes mains-, Carter prend mes bras et les pose au-dessus de ma tête. Il me bloque de tout mouvement par ses mains. Ses yeux s'attardent sur mon corps.
Carter : "Tu es magnifique."
Samantha : "Ne... N-Ne dis pas n'importe quoi !"
Ma voix est instable, il me rend folle. Il embrasse mes seins nus un à un et descend vers mon ventre. Je ferme les yeux, impuissante, essayant tant bien que mal de rester immobile.
Carter : "Ce n'est pas n'importe quoi. Tu es belle, tes formes vont me rendre fou."
(Figure-toi que je perds déjà la tête à cause de toi !)
Soudainement il mord le côté gauche de mon ventre et j'échappe un cri de surprise.
Carter : "Encore... Je veux encore t'entendre crier, me supplier."
Je rouvre les yeux et le regarde en train de lécher mon nombril. Je serre les poings de toute mes forces car je n'arrive pas à contrôler ma respiration, j'inspire et expire fortement. Carter relâche mes bras et s'installe entre mes cuisses. Il descend encore plus bas, à cet endroit. Il ouvre la fermeture de ma jupe et l'enlève. Il dépose des baisers vers l'intérieur de ma cuisse.
Samantha : "Ca-Carter..."
Il me mord à nouveau, plus fort que la fois précédente et me regarde, sourcils froncés.
Carter : "Non. Appelle-moi par mon prénom. Dis-le."
Son prénom ? Il est vrai que je ne l'ai jamais prononcé, pas une seule fois. Sans finalement me laisser le temps, il me mord à nouveau.
Carter : "Je veux t'entendre crier mon prénom, je suis prêt à couvrir ton corps de morsures pour ça. Et je ne m'arrêterai que quand j'aurai ce que je désire. À l'occurrence... Toi. Tu seras mienne."
Il me regarde malicieusement et retire alors doucement mais vraiment doucement, -comme s'il voulait que je vois ce qu'il s'apprête à faire- ma culotte. Il ne la retire pas complètement et elle reste accrochée à ma cheville. J'ai les jambes soulevées, lui il est entre mes cuisses. Je les enroule presque autour de ses épaules. Il a accès à tout dans cette position. Tout ce qu'il y a en bas. Sans attendre une minute de plus, il embrasse mon intimité, deux, trois, quatre fois, avant d'y insérer un doigt. C'est trop pour moi, je ne me contient plus et me cambre de plaisir. Il fait des merveilles.
Samantha : "Non... Stop... Pas là..."
Il fait exprès de me titiller. Plus je lui supplie d'arrêter, moins il m'écoute et plus il y va plus profondément.
Samantha : "Non... Arrête... Je vais... Je vais..."
C'est comme parler à un sourd. Peu importe mes supplications, il continue et insère même un deuxième doigt. Je gémis de plus belle. J'halète, je suis à bout de souffle. Je suis à deux doigts de jouir -sans faire un mauvais jeu de mots-. Il joue avec mon intérieur, il chamboule ce qu'il y a dedans et me procure un tel plaisir... seulement avec ses doigts. J'agrippe du mieux que je peux le canapé pour maintenir mon équilibre pourtant je le sens... Je suis proche. Ça ne me dit rien qui vaille... C'est là, ça vient, je vais jouir.
Samantha : "Ryan !!!"
J'ai hurlé son prénom tout en expulsant ce qu'il y avait en moi. J'essaie de reprendre ma respiration, c'était intense. Ryan se redresse devant moi, léchant ses doigts utilisés à l'instant. Ensuite il pose ses mains sur sa ceinture tout en se mordant la lèvre inférieure.
Ryan : "Tu es au courant que ce ne sont que les préliminaires, n'est-ce-pas ? Le grand moment est encore à venir. Ce que tu viens de ressentir n'est rien par rapport à ce que je vais vraiment te faire. Tu vas grimper aux rideaux, que dis-je, je vais t'envoyer au septième ciel, je peux te l'assurer. Prépare-toi, chérie."
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