🔸MON OC: MACKENZIE BLUDANG🔸

Nom de famille : Bludang

Prénom : Mackenzie (mais elle préfère « Dingo »)

Âge : 33 ans

Genre : Féminin

Pourquoi (et quand, si vous le souhaitez) a-t-elle rejoint le W.B.II ? Mackenzie a débarqué dans le W.B.II suite a une tentative de voyage clandestin qui a franchement mal tourné — l'idée de se planquer dans une caisse pour voyager gratos jusqu'en Amazonie était une bonne idée, mais c'était sans compter un élève mage qui sur le coup avait trouvé que griller sa cachette serait foutrement malin. Pourtant elle était bien tranquillou à manger des insectes séchés et à boire sa propre urine (pour recycler, protesta-t-elle) ; ç'en était presque reposant. Peu importe, elle a rapidement trouvé l'endroit chouette et a décidé (après zéro concertation avec elle-même, mais est-ce qu'on apprend à faire des meetings entre ses instances cervelesques quand un croco vous colle aux fesses ?) d'y rester un petit temps. Pas mal de gens sur le W.B.II pensent qu'elle va disparaître un jour comme elle est venue, mais au fond, elle s'est attachée à tout ce petit monde...

Physique : Mackenzie a les cheveux d'un espèce de châtain qui tire sur un roux crade et semblent être peignés une fois par mois avec un fourchette. L'imprudent·e qui s'aventurera à dire qu'elle « aurait pu être fichtrement jolie si elle faisait un minimum gaffe », tout d'abord, se trouvera très rapidement dans l'incapacité de finir sa phrase, — et dans un second temps va de façon quasi-certaine développer une passion pour les puzzle 3D de ses propres dents. Mackenzie a les yeux d'un gris un peu bizarre qui font étrangement penser à un clodo survivaliste criant que la fin du monde est proche dans une rue de New York ; gris-métal-de-soucoupe-volante, dirait-on. Gris couleur-du-ciel-quand-l'univers-touchera-à-sa-fin. Comme elle aime à le dire : « gris comme la poussière que tu dois manger quand t'es coincée dans l'outback avec une vessie de kangourou vide et que t'as siphonné toute ta propre urine.» Elle a la peau rendue mate par le soleil (mode tournant cuisson rapide deux minutes ding c'est prêt) de l'Australie, quelques taches de rousseur — qui se sont infiltrées comme des agents doubles sur son nez et ses joues en évitant tous les cancers de la peau en devenir — et la figure de qui prendrait un alligator au bras de fer quand tu veux, où tu veux. De plus, elle présente un nombre incalculable de cicatrices sur le corps, connaît chacune de leurs histoires par cœur, et une légende raconte que, le jour où elle n'aura aucun pansement collé sur la tronche, quelque chose de franchement désagréable va tomber sur le coin de la leur (de tronche).

Autrement, Mackenzie passe sa vie dans un bermuda multipoches trop grand qui s'appelle Wally le wallaby (me demandez pas pourquoi) et semble avoir été hybridé avec un couteau suisse et un pantalon cargo de l'armée de terre. Elle y range littéralement TOUT et ce de façon défiant les lois de la physique les plus élémentaires. Avec le contenu des poches de Wally, elle pourrait survivre huit ans dans l'outback, et si vous n'y croyez pas, demandez-lui donc comme elle s'est fait la cicatrice en forme de mâchoire de croco qu'elle a sur le mollet gauche.

Caractère : Mackenzie préfère les actes aux grandes paroles — une devise qu'elle s'est auto-appliquée tout le long de sa vie, et visiblement avec un succès assez conséquent. Néanmoins si cette philosophie de vie est parfaitement applicable à l'univers quand on survit seule dans l'outback, elle l'est un peu moins quand on doit intégrer le concept de « vie collective ». Résultat : sa difficulté à dormir dans un lit était déjà compliquée, mais sa sale tendance à proposer des combats à mains nues à tout bout de champ a quand même surpassé tout le reste. Elle vit sa vie d'une façon qui, si ce n'est « confine », alors verse complètement dans le survivalisme aigu. Qu'elle doive se brosser les dents ou tataner un crocodile, pour elle, c'est du pareil au même. Certains béotiens considèrent qu'il s'agit juste de traduire son auto-qualification de « blady survivaliste » dans son langage par « maniaque paranoïde à sérieuse tendance paraphrénique » : un petit écart à la traduction qu'ils justifient par son accent littéralement incompréhensible. Mais ça va probablement plus loin que ça. Car malgré tout, Mackenzie est une amie fidèle qui serait prête à tout pour aider ceux qui sont dans le pétrin. Elle est peut-être toujours à fond ; mais ça s'applique à tout. C'est aussi une stratège brillante (mais seulement sur les plans impliquant des kangourous, des crocodiles et un caillou). Elle prétend d'ailleurs — et c'est en fait totalement avéré — qu'elle peut survivre n'importe où avec une chaussette, un bâton et un couteau.

(Ce qui n'explique toujours pas pourquoi elle porte H24 une cuillère accrochée à un cordon de cuir autour de son cou.)

En règle générale, elle est sympa — quoi qu'extrême — sauf quand l'Australie est en train de gagner au rugby. Là, c'est chacun pour soi à la cantine. 'Faut pas non plus déconner.

Famille : Mackenzie a grandi seule dans une espèce de ranch paumé en plein milieu de l'outback, en Australie, — et a été élevée par son père, un genre de Steve Irwin qui a fini dans les grandes lignes de la même façon. On ne sait pas trop ce qui est arrivé à sa mère, ni à de potentiels frères et sœurs — elle reste plutôt silencieuse sur ce point, ou peut-être que personne n'a jamais posé la question. Sa famille est totalement humaine, quoiqu'elle raconte assez régulièrement avoir eu un kangourou dans la branche paternelle, — mais personne n'est jamais allé vérifier.

Ville d'origine : Un petit coin paumé dans l'outback (et c'est dur d'être suffisamment paumé là-bas pour être considéré comme plus paumé que la moyenne) qui n'a même pas eu le privilège d'avoir reçu un nom de village. Peut-être parce que la famille Bludang y représentait l'unique population.

Matière enseignée : Pour être honnête, personne ne sait bien. Son accent est tellement incompréhensible qu'on est jamais bien fixé quand elle explique tout le schmilblick avec aplomb. Ça fait des années que tout le monde fait semblant d'avoir compris, et ça reste assez gênant à force.

Espèce : Humaine — même si elle prétend avoir un kangourou quelque part dans son arbre généalogique.

A-t-elle des capacités magiques ? Absolument pas (sauf si vous considérez que construire une tente avec un kangourou relève de la magie).

Autres : Wally le wallaby est en fait le nom d'un wallaby sympathique qu'elle avait adopté à l'âge innocent de cinq piges pour en faire son partenaire dans le crime — quoique l'innocence en question soit discutable quand on emploie justement le mot « crime » pour la qualifier. Wally ayant tragiquement rendu son dernier soupir suite à un accident malheureux impliquant un passage clouté, un alligator et un lacet mal fait, elle a donné son nom à son bermuda par hommage.

 L'efficacité du susdit hommage n'étant pas à l'ordre du jour, merci bien.


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