~Quinzième personnage~
Nom : Gavot
Prénom : Amaël
Âge : 22 ans
Caractère : Amaël est un jeune homme conscient de son charme, il en joue d'ailleurs beaucoup et cela lui arrive parfois de prendre la grosse tête.
Il peut se montrer arrogant certes, mais au moins, il garde les pieds sur Terre et ne se laisse pas marcher dessus.
« Si tu n'es pas capable de m'aimer correctement, je le ferai à ta place. Parce que je vaux mieux que ça. Parce que je suis génial. Parce que j'ai pas à attendre que tu daignes m'accorder un semblant d'intérêt. »
Mais cela ne le rend pas détestable pour autant, il discute avec tout le monde et n'hésitera jamais à rendre service. C'est quelqu'un de droit dans ses bottes qui dira toujours ce qu'il pense sans passer par quatre chemins.
« Me taire ? Pourquoi ? Si j'ai envie de crier au monde entier que je t'aime tu crois sérieusement que je vais m'en priver juste parce que quelques cons pourraient me trouver bizarre ? Je les emmerde, j'emmerde le monde et ceux qui ne sont pas capables de comprendre des choses si simples. »
Derrière ce caractère assuré et ce franc-parler déroutant se cache cependant un jeune homme à qui il arrive parfois de douter. Des gens qu'il estimait l'ont abandonné par le passé, lui laissant une blessure qui a bien du mal à cicatriser.
« Mon propre père m'a abandonné, tu crois sérieusement que tes mots doux suffiront ? Que je vais me jeter dans tes bras et qu'on vivra notre putain de belle histoire comme ça ? C'est pas si simple, rien n'est simple. »
Histoire : Amaël a grandi au sein d'une famille aimante qui a toujours veillé à ce qu'il ne manque de rien. Ses parents, bien que protecteurs et attentionnés, n'ont jamais abordé des sujets complexes ou trop excentriques, laissant leur fils se poser un bon nombre de questions auxquelles lui seul pouvait répondre.
Ayant compris son homosexualité sur le tard, le jeune homme vit une occasion en or pour s'épanouir lorsqu'il quitta le domicile famillial afin d'aller faire ses études dans une grande ville. Là-bas il y découvrit le monde de la nuit et inévitablement, le travail qui y est associé.
« Ouais c'est bien moi que tu as vu hier près du parking. Ouais j'fais le trottoir, et pas la peine de t'exciter, personne ne m'y oblige, je n'ai pas un couteau sous la gorge ... En clair, tout va bien ! Il s'agirait d'envisager le fait que certaines personnes font ça par choix. »
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