Le jour suivant, j'avais ma rentrée scolaire, ce serait ma dernière année dans cette prestigieuse école privé de la capital. J'allais retrouver mes amis dites de l'élite. J'attrape mon manteau en fausse fourrure blanc si il arrive qu'il fasse froid. Puis je sors, il me reste quelque pas avant d'arriver devant ma limousine, elle est reconnaissable à celle de ma mère car la mienne est blanche, la couleur (si on peut l'appeler comme ça ) la plus jolie à mes yeux, si pur, d'une élégance et d'un chic. Le majordome de ma famille ouvre ma porte après il l'a referme après moi et s'installe à l'avant pour conduire. Je m'installe et réponds aux messages de mes amis.

Quelques minutes après, j'arrive devant ce vieux et grand bâtiment en pierre et juste devant un portail et des barrières en acier noir de forme florale. Entres les deux ce trouvent des bancs qui sont assortis aux clôtures, le sol est pavé de pierre et une grande fontaine se tiens au milieu de cette cours. Ce qui donne un charme au bâtiment sont le lierre grimpant aux multiples colonnes en granit et aux murs. Je sors, une jambe après l'autre sans me cognée et attrape la main de mon meilleur ami Samuel De Chantenelle, un français venus faire ses études ici. Une fois sortit je me retrouve devant lui, se tenant toujours la main. On se sourit avant qu'on se décide de s'enlacer amicalement, c'est le seul que je n'ai pas vu pendant les vacances, il était reparti en France et y était rester tout le long alors que  moi j'étais aller bronzer aux Îles Caïmans avec ma meilleure amie. On s'écarte l'un de l'autre, il ouvre la bouche comme pour me dire quelque chose mais rien ne sort alors je décide de prendre la parole au lieu de le laisser dans l'embarras.
« Tu viens les autres doivent nous attendre à l'intérieur. »
Il hoche de haut en bas puis me suit. On passe la très grande porte principale en bois, on traverse des couloirs puis encore d'autres puis on arrive au fond d'un avec un banc sur lequel nos amis sont et il est entouré de deux portes les toilettes pour femmes d'un côté et les toilettes pour homme de l'autre, tellement elles sont éloignées de salles, personne les utilises donc ce sont les plus propres et celles qui sentent le meilleur du coup on a décidé de les aménagés pour nous comme avec de jolie bougie parfumante... C'est notre endroit. Je dit bonjour à tout le monde.
« Alors comment c'est passer vos vacances ? Car moi je ne vous ai pas vu du tout pendant. » nous demande gentiment Samuel.
« Tu as repris ton accent français, mon cher, faudra que tu reprendre celui de New York. » remarque Ellen, qui est ma meilleure amie.
« Tu auras qu'à commencer alors, MA CHÈRE . » dit-il en insistant sur les deux derniers mots.
« Je laisse l'honneur à Aubrey, elle sait beaucoup mieux compter les histoires que moi et on a passer les vacances ensemble. »
Elle eut un sourire de gagnante  que je lui rendit avec cet air « Je n'en peux plus d'elle ». Je prends une inspiration et commence le récit.