Chapitre 18
Et voilà Yomi!! Mais j'hésite avec plusieurs autres!! J'ai besoin de vos avis!! Enfin, je suis plus pour les deux premières. Je vois moins la troisième dans le rôle, peut être plus pour Nayami, mais bon...
Akuro : Genre tu sais pas à quoi ressemble ta conscience!
Moi : * rouge * Ben, c'est que... Enfin, je...
Yomi : Laisse la tranquille! Moi, tant que c'est elle qui choisit, tout me va!
Sayma : En plus je parie que c'est juste que t'es jaloux!
Akuro : C'est faux! * part en boudant *
Moi : *Soupire, désespérée * Bon, tu peux quand même te présenter Yomi!
Yomi : Ça marche ! Alors, je m'appelle Yomimasu, ce qui signifie lire, en japonais, mais tout le monde m'appelle Yomi. J'adore lire, écrire, sauf les idées tordues d'Akuro, et aller en cours. Ma matière préférée c'est l'histoire. Et le français. Et le grec. Et toutes les langues anciennes. Je parle énormément de langues, des langues modernes, mais aussi certaines qui ont disparues, et je lis même parfois dans ces langues. Si je devais être un personnage de manga, je dirais Reby, dans Fairy tail. Et mes personnages d'anime préférés sont Reby, Wendy, Mavis, Nami et Gajil. Mon couple préféré est celui de Gajil et Reby. Ma couleur préférée est le rose, j'adore tout ce qui est sucré, mais aussi l'odeur d'un vieux livre quand tu le lis. Et...
Waraï : C'est bon, Yomi. On a compris, je pense.
Yomi : J'ai été trop longue ? Désolée!
Nayami : Non, t'inquiète pas, t'as été parfaite comme toujours!
Waraï : Mais bien sûr...
Nayami : * rougit *
Moi : * ignorant waraï * C'est pas ça. C'est juste que tu vas ennuyer les lecteurs après ! Bon allez, on arrête là, et on se remet à écrire ? Parce que là on a écrit 300 mots, et on à même pas commencé le chapitre...
Yomi : D'accord!
Rosa
Je marche dans les rues, mon fluide étendu au maximum dans l'espoir de retrouver ces trois hommes assez intrigants. En plus, j'ai l'impression de les avoir déjà vus, mais je sais plus où, et ça m'agace. Je marche au hasard des groves, passant des zones commerçantes au Sabaody Park, en passant par les zones de non-droit. Rien. Je ne suis pas fichue de remettre la main sur ces types alors que mon fluide est capable de repérer n'importe qui à des centaines de mètres à la ronde! Alors soit ils sont vraiment doués, soit ils ont remarqué que je les traquais et ont utilisé leur propre fluide pour se camoufler, soit ils ont quitté l'archipel.
Alors que je suis toujours en train de marcher les yeux fermés pour tenter de les trouver, mes réflexes associés à mon fluide me sauvent la vie. Je me jette au sol, évitant de peu la lame qui me tranche une mèche de cheveux. J'ouvre instinctivement les yeux, et voit deux hommes devant moi. Mon fluide me dit qu'ils ne sont pas seuls, mais que je suis encerclée par une dizaine de personnes. Je ne les ai pas remarqués, trop concentrée sur ceux que je cherchais, sûrement.
" Comme on se retrouve gamine! " Je me tourne vers l'homme qui a parlé. Sa voix me dit quelque chose... Et puis je le reconnais. C'est le type que j'ai massacré au bar. Ushio je crois. Sauf que cette fois il est accompagné d'un type qui semble plutôt balaise, très musclé, qui semble de taille à battre a peu près n'importe qui, et d'une dizaine d'hommes de main.
" Qu'est ce que tu me veux, Ushio ? " Ma réplique ne semble pas lui plaire. Alors qu'il est prêt à répondre, son voisin, un homme que je n'avais pas remarqué et qui semble être le chef, fait un geste de la main, le forçant à se taire. Puis il prend la parole.
" Déjà tu bat Aguri et tu récupère Iridate. Ensuite, tu t'en prends à Ushio. Et maintenant tu décide de t'en prendre à ces trois là. " Du bras il désigne les trois types que j'ai viré de la boutique tout à l'heur. " Tu verras ce qu'il coûte de s'en prendre à mes hommes. Alors peut-être que tu peux les battre, mais moi tu ne pourras pas. Tu as déjà entendu parler de Kyofu l'assassin ? La prime sur ma tête est de 250 millions. " Kyofu. La peur en japonais. Ce type ne manque pas d'air. Je sens que les hommes qui m'encerclent se rapproche. Je comprends qu'ils ne joueront pas cette manche à la loyale. Et dans cette zone de non-droit, personne ne me viendra en aide. Je déplace lentement mes appuis, et pose une main sur ma hanche, non loin de la garde de mon sabre, heureuse d'avoir pensé à le prendre. Je suis prête à me défendre
" Kyofu ? Jamais entendu parler. Et tu sais, ici, les types avec des primes hors du commun, c'est pas ce qu'il manque... Je te rappelle que nous sommes à l'entrée du nouveau monde. " Je tente de le provoquer, et ça à l'air de marcher. Il grimace, puis reprend, pour ne pas perdre la face.
" Eh bien, cite moi des personnes présentes sur cet archipel dont les primes sont plus élevées que la mienne. " Je ricane, bien décidée à ne pas rentrer dans son jeu.
" Si tu faisais un peu plus attention à tes subordonnés, tu saurais que la seule personne que j'estime digne de mon attention est un homme qui, même sur l'échafaud, a été capable de sourire. Or, je doute que beaucoup de pirates aient une prime équivalente à celle de Gold Roger, ou des hommes de son équipage. Les pirates de cet archipel ne présentent donc qu'un intérêt mineur, de mon point de vue. " Ushio écarquille les yeux, comme si ma tirade lui avait fait peur. Et c'est la que je comprend, en voyant la fureur qui semble émaner de Kyofu. Cet homme fait peur à son équipage. C'est pathétique... J'enchaîne, tentant de le déstabiliser. Dans le monde de la piraterie, un homme incapable de garder son sang froid est un homme mort. " Mais un capitaine comme toi, incapable de porter attention ou respect à ses propres hommes ne peut pas comprendre l'admiration que l'on peut éprouver face à des gens comme Roger. Non, tu es du type de personnes à préférer inspirer la peur autour de soi. Ton nom même le prouve. Kyofu... Mais d'un certain côté, je te comprends. C'est tellement plus facile d'inspirer de la crainte plutôt que de l'admiration... " je laisse ma phrase en suspens, attendant son coup d'éclat, qui ne tarde pas à venir.
" C'est toi qui ne comprend pas. Quand les gens ont peur de toi, ils te respectent, ils t'admirent. Et en plus de ça, ils te vouent une fidélité sans faille. La peur est la base de tout. Le Gouvernement Mondial à peur des pirates, c'est pour cela qu'ils leur mettent des primes. La Marine à peur du Gouvernement. Tout le monde à peur des Dragons Célestes. La peur est un sentiment inévitable dans la vie d'un pirate. Cette raclure de Roger ne faisait peur qu'à certaines personnes. Les autres le haïssaient, ou l'adulaient. Et Roger n'était pas respecté par plus de monde que moi je ne le suis aujourd'hui. La peur est une forme de respect. " Je ne relève pas l'insulte à mon père. Je ne dois m'énerver, ou me déconcentrer.
" Ceux qui haïssaient Roger le respectaient. Ceux qui en avaient peur le respectaient. Ceux qui l'adulaient le respectaient. Même les soldats de la Marine le respectaient. Mais toi, tout le monde te hait. Même tes hommes. " Il serre les poings de rage, mais ne répond pas. Il se contente de faire un grand geste du bras.
" Tuez la. Maintenant ! " Aussitôt, dans un même mouvement tous ses hommes se jettent sur moi, prêts à mettre fin à mes jours.
Ce chapitre est un peu parti en live, je crois. A la base, Rosa était censée retrouver qui étaient les trois hommes au chapitre 17. On est à la fin du chapitre 18, et on en est encore loin. Mais bon, Yomi voulait qu'on fasse un truc sur les pirates que tout le monde déteste. Alors on a fait ça. Nayami nous à beaucoup aidé pour toutes les tirades sur la peur! Bref, dites moi ce que vous en pensez!
Akuro : C'est pas mal, mais il manque des filles en tenue sexy...
Sayma : je te rappelle que c'est à cause de toi que Rosa est habillée d'un mini-short et d'un débardeur...
Akuro : Ouais, mais elle est encore trop couverte.
Waraï : En plus, c'est trop sérieux tout ça!
Nayami : S'il vous plaît, faites moins de bruit, Yomi se concentre!
Yomi : Merci Nay.
Moi : Mais pourquoi dès que je parle aux lecteurs vous vous ramenez tous!
Akuro : Ben parce qu'on est tes consciences.
Waraï : Donc on vit dans ta tête.
Akuro : Désolé !
Moi : * Déprime *
Nayami : * Me fait un câlin * Allez Rouge, ça va aller!
Yomi : Bon allez, salut les lecteurs!
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