Nymphéas et pont japonais
Là sur le pont, ils se contemplaient
Les mains dans les mains
Ils étaient face à face.
L’un était le reflet de l’autre.
Les premières fleurs étaient parfumées
Il émanait d’elles un parfum sensuel
Au parfum s’ajoutait le chant harmonieux
Du rossignol observant les deux amoureux
Le soleil dardait son rayon sur le pont
Illumina le visage radieux des bien-aimés
Lui, d’un soudain élan, comme frappé par la foudre
S’agenouilla et tendit un diamant
D’une voix douce et sonore
D’un sourire angélique
Elle répondit d’un oui qui fut pour lui
La plus belle des paroles
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