PARTIE 1

  Après être rentré à son appartement, Julian se précipita vers la douche pour se débarbouiller, et en ressortit 20 minutes plus tard une serviette autour de la taille. Il fut donc outré par ce qui l'attendait déjà sur son lit. Dès qu'il franchit la porte de la salle de bain,  il se dirigea vers sa commode pour pouvoir porter ses dessous, et, croisa une forme peu habituelle à travers la couette sur les lit. Il se mit donc à tâter la partie de son lit diforme et sentit de la chaleur humaine. À son toucher, il sentit une femme lui serrer le bras et dire:
- Julian Chéri  je vois que tu es rentré! Je t'attendait vois-tu !
- Julian fut d'abord scandalisé par la familiarité avec laquelle cette femme qui plus est une inconnue lui adressait la parole et la manière déplacée avec laquelle cette dernière c'était introduite chez lui jusque dans son lit. Il dit alors avec un calme hahurissant:
- Non je ne vois rien du tout et je vous prierais s'il vous plaît Mademoiselle de bien vouloir sortir de mon lit.... Et de surcroît de chez moi tant qu'on y'est.
- Hum Julian j'adore quand tu fais ton difficile. Soupira t-elle d'une voix sensuelle. Viens te coucher près de moi dit-elle en tapotant la place à sa gauche. Chéri tu sais comment j'ai envie de toi depuis des mois.
   Julian se rappella alors de cette sociopathe c'est elle qui ne cessait de lui faire des avances tordues depuis des mois à l'entreprise. Il savait que sa fourbe et sa démense étaient sans réserve mais de là à l'épier jusque chez lui!?  Ça, il ne l'aurait jamais cru. Il s'emporta alors à bout de nerfs et lança en élevant le ton:
- Trève de vulgarité et de gaminmeries. Vous sortez de chez moi maintenant  ou je vous ferais dégerpire par moi même. Ceci eut pour effet de la faire sursauter. Elle ne se leva pas pour autant et lança sur un ton peu assuré:
- Mais Kevin je t'ai....
Il ne la lessa pas terminer et il répliqua froidement:
- Assez!  Avez vous eu mon avaler pour me nommer de la sorte? Vous n'en avez aucun droit!Sortez de chez moi.
  Ce ton était si ferme qu'il aurait pu assujetir le démon. Elle se releva en sursaut et ramassa au passage sa robe qui jonchait le carrelage. Elle sortit aussi tôt la peur au ventre, sans prendre la peine de se vêtir au passage. Dès lors qu'elle fut dehors, il s'allongea en regardant son plafond et aperçu dans sa rêverie cette femme.Non pas cette arriviste qui avais déboulé chez lui sans crier garde mais cette femme, sa collège de travail. "Pourquoi Pensais-je à elle" Se demanda t-il. Il remua alors la tête de gauche à droite pour évacuer les images de celle-ci qui s'ancraient peu à peu dans son esprit.Mais rien n'y faisait. Il se remémorant à merveille ses traits,  ses cheveux, ses yeux, ses lèvres... Non pas ça! Julian ressaisi toi. Il se releva, se rhabilla et arracha sa serviette sur la porte de la salle de bain et sortit, se dirigeant vers la cuisine. Il avait comme on dit le creu de dalle et ne savait que faire à manger. À quoi bon souffrir à se faire un dîner vu que l'homme à crée les livreurs de Pizza?  Il appella, à la 4eme sonnerie décrocha un jeune homme. Il précisa sa commande et donna son adresse. Il finit par mettre fin à l'appel et se posa sur le divan devant son match de football. Julian entendi une demie heure plus tard la sonnerie resonner. Il se muni de son porte feuille qui traînait négligemment sur la table basse et se dirigea vers le porte. Il débloqua et et passa un billet de 100 au jeune homme qui se tenait devant lui, une pizza en main:
- Monsieur attendez deux secondes s'il vous plaît que je prenne la monnaie...
- Non ce sera pas nécessaire garde la monnaie.
    Le jeune homme accepta très gaiement son offre en se tetoutnant pour partir. Julian s'installa devant la télévision, une pizza et une bouteille de bière à l'appui. C'est ainsi que se déroulant sa soirée.

    De son côté, Roméa de retour à la maison, sentait à raison la maison on ne peut plus calme. Un calme inquiétant. Elle se mit donc à appeller sa soeur:
- Rimena! T'es où?
Elle se résigna au bout de quelques essais foireux et prit son téléphone. En l'allumant, son interface indiquait un message de ➡Hermanita: chui allée faire un tour. Besoin de prendre l'air. Me cherche pas, j'ai laissé des tortillas dans le micro-ondes.
   "Elle doit sûrement être allée en boîte avec ses copines " Affirma Roméa en un soupir. Elle grimpa à l'étage,prit sa douche et se rhabilla puis descendit et rechauffa son plat. Elle le dégustation avant d'aller s'affaler paresseusement sur le sofa en regardant sa télénovela favorite. Il lui arrivait souvent d'envier cette femme à l'écran , elle rêvait souvent d'un homme comme celui de cette femme là, viril et à la fois doux qui l'embrasserait passionnément et en même temps tendrement et surtout qu'elle aimerait vraiment. Et elle se remémorant que ce n'était que des personnages, que le bonheur n'existait pas et que les hommes étaient tous des sals machos et des porcs obnibulés par les relations charnelles et sauvages. Elle finirait esseulée et ne trouverait jamais le prétendu prince charmant. C'est donc de la sorte que se terminait sa matinée dans la solitude et le regret.

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Nanani_Nanana

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