Chapitre 10 - La candeur 🔞
Média : Touch the Leather (Redux) - Fat White Family
Mercredi 21 juin 2017
Je viens tout juste de m'endormir lorsque je sens un corps se faufiler contre moi. Je sursaute et allume ma lampe de poche.
— Becky ! Mets qu'est-ce que tu fous là ? sursauté-je en découvrant la jeune femme assise à côté de moi en débardeur moulant et mini short.
Elle m'intime de me taire en fermant la porte latérale de mon van.
— Non non non ! C'est une très mauvaise idée ça !
J'ai à peine le temps de finir ma phrase qu'elle me saute dessus pour m'embrasser avec fougue. Mais où est passée la timide petite Becky ?! Je dois reconnaître que je préfère cette facette plus entreprenante de sa personnalité et en plus elle est sacrément bandante avec sa volumineuse poitrine plaquée contre mon torse. Mais putain, fais chier elle a son mec tout mignon qui dort dans la tente sur la plage, juste en dessous du parking.
Il faut dire qu'avec ce qu'il s'est mis, il ne risque pas de se réveiller avant que le soleil soit au zénith. Lorsque j'ai roulé un joint pour le fumer tranquillement en admirant les étoiles, monsieur a voulu faire son kéké et tirer une taf. Sauf que normalement quand tu n'as pas l'habitude, tu y vas mollo. Du coup, il s'est pris un bon coup de tomahawk et ça l'a assommé direct. Enfin, sa meuf a dû le tenir pour l'accompagner jusqu'à leur abri pour la nuit. Et moi je me suis bien bidonné en finissant mon pète peinard bercé par le bruit des vagues avant d'aller me coucher.
Cependant, je ne peux pas profiter de la situation pour me taper sa nana même si elle est chaude comme la braise et commence à glisser sa main vers mon entrejambe. Elle cachait bien son jeu, sous ses airs candides cet après-midi. C'est tentant mais je dois me montrer raisonnable, pour une fois.
— Arrête Becky, la stoppé-je en attrapant sa main.
— J'ai trop envie de toi, soupire-t-elle en frottant son pubis contre mon érection.
Et ouais, je ne suis pas de marbre et c'est difficile de rester insensible devant tant de volupté.
— Sois sage Becky. Si je te baise, tu vas devoir vivre avec ça sur ta conscience lorsque Sully te prouvera combien il t'aime. Moi, ça ne me pose pas de problème, demain je vous dépose et je ne vous reverrai jamais. Mais au fond de toi, est-ce que c'est vraiment ce que tu veux ?
Elle me regarde avec le petit air lubrique que j'ai aperçu plus tôt dans la journée. J'ai l'impression qu'elle est déterminée à être coquine avec moi ce soir.
— Sucer, ce n'est pas tromper, n'est-ce pas ? me susurre-t-elle avec une moue espiègle.
J'éclate de rire. Bordel je ne l'avais pas vu venir celle-là ! Je ne sais pas si c'est à mon contact mais la candeur a laissé la place à l'audace et je ne peux qu'admirer sa répartie. Pour toute réponse, j'attrape son visage et plaque violemment ma bouche sur la sienne. Elle veut jouer avec le feu et bien je vais lui offrir un aperçu. Je l'embrasse en mêlant la douceur de ma langue à la sauvagerie de mes dents en emprisonnant sa lèvre. J'ai envie de tirer dessus pour lui montrer mon côté animal mais je serre juste mon emprise pour qu'elle ressente la petite douleur stimulante du pincement avant de l'aspirer pour la sucer de la plus sensuelle des façons. Elle pousse un long soupir de désir. Visiblement la démonstration a fait son effet. Satisfait de mon entrée en matière, je la repousse doucement pour lui retirer ce débardeur qui m'empêche d'admirer sa voluptueuse poitrine. Elle me laisse faire en me fixant les yeux brillants, j'aime lire l'excitation que je lui provoque dans son regard azur. Tandis que je retire son haut, ses seins tombent lourdement sur mon torse. Très sympathique comme approche. Je les empoigne, les malaxe avant de les porter à ma bouche pour aspirer ses petites aréoles durcies. Je me délecte de sa peau douce et veloutée que je lèche et couvre de baisers. Je me retiens pour ne pas être trop goulu, il ne faudrait pas que je lui laisse une trace de suçon en souvenir.
— Caresse moi la queue avec tes seins, bébé, l'incité-je en lui embrassant voracement la bouche pendant que j'enlève mon boxer.
Elle me regarde, surprise. Le surnom certainement, ouais j'ai des élans de tendresse par moment, à moins que ce soit ma demande. Ne me dites pas que Sully ne s'amuse pas avec une telle paire de nichons, ce serait vraiment du gâchis. Elle se laisse glisser le long de mon corps, je profite de la friction de sa peau nue sur mon sexe au passage, cuir contre cuir, c'est trop bon comme sensation. Elle enserre mon membre entre ses deux magnifiques seins et commence maladroitement un massage. Je confirme, son mec est un blaireau. Je la laisse faire, avec sa candeur c'est doux et sensuel. Mais rapidement je décide de prendre les rênes et de l'initier, quitte à jouer avec moi, autant que cela lui serve pour s'occuper de son mec plus tard.
Je saisis ses mains dans les miennes et lui montre comment donner du plaisir avec les merveilleux attributs dont la nature l'a dotée.
— Fais couler de la salive sur mon sexe, l'enjoigné-je.
Elle m'observe de nouveau étonnée par cette requête. Je lui fais un clin d'œil et mon sourire en coin pour l'encourager à ne pas être timorée. Elle s'exécute et elle est hyper sexy avec ce filet de bave qui glisse entre ses seins. Je souffle un coup pour faire redescendre la pression, pour un peu elle me ferait presque craquer tant son ingénuité est bandante.
Il faut que je m'occupe d'elle avant de ne plus arriver à me contenir. Je me redresse pour l'embrasser et lui retire son mini short me dévoilant son petit minou légèrement poilu. Elle voulait me sucer, il est temps de me montrer ce qu'elle sait faire avec sa bouche. Je lui indique de se retourner et l'aide à se positionner à califourchon sur moi m'offrant sa croupe généreuse. Je m'en lèche les babines d'avance et empoignant ses fesses pour plaquer son intimité sur ma bouche. Je vais la motiver un peu car elle me semble encore bien timide sur mon manche. Je fais coulisser ma langue de son clitoris à son anus, elle se raidit légèrement à cette approche. Mais moi, ça m'excite encore plus de la savoir novice. Alors tandis que mes doigts cajolent son bourgeon, je concentre mes coups de langue sur son petit trou qui s'habitue petit à petit à cette caresse. Je dirais même que Becky apprécie vu comme elle se déchaîne sur ma queue. Je glisse un doigt dans son vagin et un autre à l'entrée dans son orifice étoilé. Elle se cambre sous mes assauts multiples, je sens que son orgasme est proche. Je plaque sa tête sur mon sexe, je veux sentir sa glotte vibrer sur mon gland quand elle va crier sa jouissance. Elle est tellement excitée et offerte qu'elle ne se rend pas compte de l'intrusion de mon majeur dans son petit trou. Quelques va-et-vient et elle explose de plaisir sur mes doigts, gobe ma queue avant de se laisser tomber sur le côté, légèrement étourdie. J'ai l'impression qu'elle n'a jamais autant pris son pied.
Je la laisse reprendre ses esprits en lui caressant le dos qui se parsème de frissons. Elle est belle étendue lascivement, ses joues rosies par le plaisir et les cheveux en bataille. Elle me sourit timidement en tendant sa main vers mon membre encore bien dur. Et merde, le retour de la candide Becky, elle est mignonne mais moi je préfère jouer avec nasty Becky. Je vais devoir aller la chercher, je suis sûr qu'elle n'est pas encore trop loin. Je me positionne au-dessus d'elle et commence à me branler avec ses seins. Son petit sourire lubrique me donne raison, là revoilà ma coquine. Elle sort sa langue en me fixant dans les yeux pour me lécher au passage. J'accélère le mouvement et ma semence ne tarde pas à se répandre dans son giron.
Je m'allonge à côté d'elle et lui essuie délicatement la poitrine avec une lingette pour bébé.
— Tu devrais retourner te coucher dans la tente avant de t'endormir ici, lui conseillé-je en lui embrassant l'épaule.
Elle s'assoit pour remettre docilement ses vêtements. Je savoure une dernière fois la vue de son joli corps potelé. Elle se retourne et dépose un tendre baiser sur ma bouche.
— Merci, glisse-t-elle doucement avant de s'éclipser de mon van comme elle est arrivée.
Il est dix heures lorsque je me réveille. Mon fourgon est tellement confortable que je dors comme un bébé. Il faut dire qu'après avoir joué au Docteur avec Becky, la nuit a été encore plus agréable. J'ouvre la porte latérale, j'enfile un short et sors m'étirer à côté de mon Léon. Je jette un coup d'œil vers la plage où j'aperçois du mouvement dans la tente. Ah on dirait que Sully est en train de profiter des acquis de sa chérie. Mais non, en fait c'est la gueule enfarinée qu'il pointe son nez en se grattant la tête.
— Salut, mal au crâne ? me moqué-je en installant la cafetière italienne sur le réchaud à gaz.
— Oui je pense que j'ai dormi dans une mauvaise position, se justifie-t-il.
— Ouais c'est ça ! me marré-je. Café ?
Il fait une grimace qui me fait immédiatement comprendre que je n'ai pas un adepte de caféine face à moi. Je lui tends un verre d'eau avec une aspirine.
— Tiens, ça devrait te faire du bien pour ce que tu as.
Il me remercie d'un sourire aimable tandis que Becky nous rejoint.
— Bonjour Greg, me salue-t-elle avec un petit sourire entendu en se lovant contre son mec.
— Salut, je ne te propose pas de café ?
— Non, on est plus cacao chaud, avoue-t-elle timidement.
Je m'en serais douté. Je leur propose un paquet de biscuits au chocolat et cela leur redonne le sourire. Finalement, ils sont faciles à contenter ces jeunes.
Après une toilette express dans les cabines de plage, on se remet en route. Le silence est pesant dans l'habitacle avec Sully qui comate contre la fenêtre à côté de moi et Becky qui me jette des œillades insistantes pour attirer mon attention. J'allume le poste de radio, mets le Bluetooth en marche et lance notre dernier album. Je vais leur initier les oreilles avec du bon son tant qu'à faire. Je chante en tapant sur le volant avec mes doigts comme si c'était ma batterie. Dans le rétro, j'aperçois Becky qui dandine la tête en rythme avec la musique. Et bien voilà bébé, ton apprentissage est complet !
Au bout de deux heures, on arrive à Florence où je m'arrête à la gare routière. C'est là que le chemin avec mes auto-stoppeurs va se séparer. Ils vont pouvoir récupérer un car qui les amènera rapidement à Springfield. Je reste assis dans mon van tandis qu'ils descendent et viennent me saluer à la fenêtre. Je vois à leurs yeux que les au revoir sont difficiles alors je leur fais un clin d'œil et je remets rapidement le contact. C'est qu'ils sont sensibles ces petits jeunes mais au moins je repars satisfait. Il se rappelleront de moi de manière positive je pense, j'ai contribué à leur initiation de diverses façons et en général, ça marque une première fois.
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