Ritshou de A à Z
A ... comme arrosoir
Shou est un enfant, tout le monde le sait. A cause de son père, il fut forcé de grandir plus vite qu'il n'aurait dû, il se rattrapa donc lorsque la Griffe fut complètement annihilée. Ce qui exaspérait d'ailleurs assez souvent son petit-ami, qui en avait quelques fois marre de ce comportement enfantin. D'autant plus lorsqu'il rentra de l'école, qu'il pleuvait des cordes, qu'il avait oublié son parapluie et n'arrivait pas à activer sa barrière psychique à cause de sa mauvaise humeur et que son IDIOT de petit-ami était en train d'arroser les plantes devant chez lui. Mais ... il pleut non ? Et alors ? Magnifique répartie, on aime tous, Shou. Ritsu resta planté devant son portail pendant au moins cinq minutes à se demander pourquoi Shou utilisait un arrosoir alors qu'il pleuvait et pourquoi il avait ce sourire aussi béat sur le visage ? Bah, peu importe, tant que ça faisait rire le rouquin.
B ... comme bonté
La bonté c'est quoi ? Non, on va épargner la définition Wikipédia. La bonté, c'est Ritsu Kageyama. Comment ça Ritsu pense qu'à sa gueule et à ses études ? Non, faux, il pense à son frère. Comment ça, Ritsu pense qu'à se gueule, ses études et son frère ? Ah, il y a aussi son adorable petit-ami, Shou Suzuki. Comment ça Ritsu pense qu'à sa gueule, ses études, son frère et son petit-ami ? Bon ok, on va arrêter là. Ritsu n'est doté de bonté qu'avec Mob et Shou, point final.
C ... comme cafetière
Notre sublime Shou, fils de riche, possède de l'argent et des domestiques à plus savoir quoi en faire se retrouve dans une bien belle situation. Lui qui n'a jamais eu à faire ce genre de tâches avant est bien emmerdé. Les deux adolescents étaient réunis chez le corbeau pour faire une séance d'études et Ritsu avait demandé au plus petit de faire du café. Voilà problème, Shou ... ne sait pas faire fonctionner une cafetière. Bah oui, avec des domestiques qui font tout pour toi, t'as jamais rien à faire et sûrement pas à activer une cafetière. Et ce n'était même pas les nouveaux modèles qu'il avait connu, avec tout pleins de boutons, non, c'était les vieilles cafetières à l'ancienne. Encore plus désespérant. Arrêtant de se poser des questions et ne voulant pas demander à Ritsu parce qu'il aurait l'air con, il décida de la faire marcher à l'aide de ses pouvoirs. Ce qui ne marcha pas. La machine explosa en petits morceaux et fit un énorme bruit. Accourant au bruit, Ritsu paniqua d'abord quant à l'état du rouquin puis l'engueula sévèrement pour sa connerie. Et là, il avait l'air bien con.
D ... comme dramas
Le couple Ritshou n'avait jamais pu se mettre d'accord sur aucun programme télé. Quand Shou voulait regarder des dessins-animes, Ritsu préférait regarder un documentaire scientifique. Une émission avec des animaux ? Non, des débats politiques. Alors qu'ils s'engueulaient une énième fois pour savoir quoi regarder, Mob arriva, tel le messie, pour leur apporter la solution divine. Les dramas. Les dramas ? Mais ... même si ça pouvait plaire à Shou, pas moyen que ça plaise à Ritsu. Le grand frère leur prouva le contraire en leur en mettant un et les deux plus jeunes restèrent collés devant l'écran pour toute la durée du programme. Voilà quelque chose qui leur plaisait à tous les deux, les dramas.
E ... comme effroyable
Ritsu est quelqu'un de très calme, il ne s'énerve jamais et sait garder ses émotions en lui pour ne jamais exploser (une spécialité de la famille Kageyama on va dire). L'excité du couple, on le sait bien, c'est Shou. Ce gamin est hyperactif, il bouge tout le temps, ne sait pas rester en place et entraine souvent Ritsu dans ses conneries. Bien entendu, avec son caractère, Ritsu avait demandé à Shou de l'entrainer pour pouvoir se servir correctement de ses pouvoirs et ne pas se déchainer en cas de problème (Ah, la famille Kageyama). Les entrainements se sont toujours très bien passés et Ritsu savait désormais contrôler parfaitement ses pouvoirs. Sauf que, problème, Shou rentra un jour couvert de blessures, se tenant les côtes, le visage tuméfié. A ce moment-là, Ritsu ne chercha plus du tout à comprendre quoi que ce soit. Il atteignit 100% de rage en un clin d'œil et se déchaina, laissant tous ses pouvoirs éclater. Ritsu était véritablement effroyable. Ce fut ce que se dirent ceux qui avaient fait ça à Shou. Et ils n'allaient plus jamais recommencer, pas après ce qu'ils avaient vu. Ce garçon était beaucoup trop effroyable à leur goût. Leçon : ne vous en prenez pas à Shou Suzuki de quelque manière que ce soit.
F ... comme fontaine
Bon, d'accord, Shou n'avait jamais été à l'école (à cause de son père), il ne connaissait pas les institutions scolaires mais ... Shou ... sérieusement ? Les comparaisons douteuses, ça va deux minutes, pas plus. Ritsu n'osait même pas relever sa tête penchée sur le bureau. Depuis quand l'aura psychique de son frère ressemblait à une fontaine ?
G ... comme gain
Shou est con, très con. Ça, c'est pas une nouvelle. Mais depuis quand il se mettait à parier au poker avec Reigen et Serizawa ?! Le pire, c'était qu'il était doué ce con. Il n'avait que seize ans et pourtant il déplumait carrément les deux adultes qui finirent rapidement fauchés (déjà qu'ils avaient pas beaucoup d'argent tous les deux). Et Shou qui montrait fièrement ses gains à son petit-ami qui restait pantois, sans savoir quoi faire exactement. Devait-il l'engueuler pour participer à des jeux d'argent à son âge ? Ou devait-il le féliciter pour savoir rester calme au moins une demi-heure et pouvoir montrer une poker face de malade ? (merci qui ? Papa connard bien évidemment, c'est sûr que c'est normal d'apprendre le poker à un enfant de huit ans). Bah, peu importe, les gains de Shou étaient exceptionnels. Ils pouvaient peut-être monter une petite affaire à tous les deux. Comment ça, c'est illégal ?
H ... comme hippique
Dans la catégorie « on n'aurait pas dû le faire, mais on le fait quand même » : le couple Ritshou à l'hippodrome. Ils venaient là accompagnés d'un adulte juste pour voir de jolies courses de chevaux ? Non. Bien mieux. Venir là sans l'autorisation d'un parent ou d'un quelconque adulte, frauder la sécurité pour pouvoir entrer, choper les jumelles d'une vieille dame, piquer les paris d'un monsieur trop soul pour réagir et parier sur les courses hippiques. Quoi, c'est tout ? Mais ça fait déjà beaucoup. Malheureusement, ce n'était pas tout. Ils utilisaient leurs pouvoirs psychiques pour faire peur aux chevaux ou leur faire faire n'importe quoi et gagner la course et les gains (oh, encore des gains). Malheureusement pour eux, ils furent choper par Reigen qui était là au même moment et avait parfaitement compris que cette course avait été truquée par des pouvoirs psychiques. Et il reconnaissait les auras psychiques des coupables. Et hop, punis très sévèrement et interdit de courses hippiques.
I ... comme ionique
Ritsu est très assidu dans ses études, ce n'est pas une nouvelle. Il fallait le voir quand il préparait ses concours d'entrée au lycée. Et là, il se forçait à réviser. Il n'en avait pas du tout envie mais il était obligé. Il aurait préféré aller au parc avec son petit-ami mais il avait contrôle de chimie dans trois jours. Il se retrouvait donc à son bureau en train de fulminer sur ces putains d'ions. Mais qu'est-ce qu'il en avait à faire de la liaison ionique ?! Sur le point de péter un câble, il fut attiré par un bruit. Shou, à la fenêtre, lui demandait de lui ouvrir. Oh, son sauveur. Se précipitant presque, il ouvrit la fenêtre sans même utiliser ses pouvoirs et se jeta dans les bras de son copain. Ricanant, le rouquin lui demanda ce qu'il se passait. Le corbeau lui déballa tout de long en large et en travers. Éclatant de rire, il lui dit qu'il n'avait qu'à marquer sur sa copie qu'il n'était pas intéressé par l'architecture grecque. Au vu du regard d'incompréhension totale de l'autre, Shou dut lui expliquer que ionique était aussi un style architecturale grec de la province de l'Ionie, reconnaissable principalement à ses colonnes au chapiteau orné de deux volutes. Et Ritsu le fit. Enfin, non, il l'aurait fait s'il avait le caractère de Shou mais comme il était, il se contenta de réviser et de faire son contrôle normalement, en souriant tout de même au souvenir.
J ... comme juste
Lorsqu'au bureau des Esprits, Hanazawa avait demandé au couple de définir l'autre en disant « juste » et quelque chose après, ils avaient tous bien ri. Shou est « juste » idiot. Un sourire narquois de Shou. Ritsu est « juste » trop mignon. Il savait à quel les compliments mettaient le corbeau mal à l'aise. Alors, il renchérit. Shou est « juste » adorable quand il sourit. Rougeur aux niveaux des joues de Shou. Alors c'était comme ça ? Allez hop, Shou n'allait pas se priver. Ceux présents au bureau eurent droit à une jolie scène. Les deux amoureux venaient de rentrer dans une bataille de compliments et ils n'étaient jamais à court d'arguments. Mais ils s'arrêtèrent tout de même lorsque Shou lâcha, sans faire exprès, il va s'en dire, Ritsu est « juste » sexy quand on fait l'amour. Un grand blanc et une grande gêne s'en suivit, obligeant les amants à filer pour ne pas subir les remarques salaces d'Ekubo, les rires plus ou moins cachés d'Hanazawa, le regard bloqué de Serizawa sur eux, l'arrêt système de Reigen et surtout le sourire enjoué de Mob qui était content de leur complicité.
K ... comme karaté
Bon, on connait Shou, plus besoin de le présenter et surtout, plus besoin de présenter son caractère. Alors, ça ne devrait absolument pas être étonnant qu'il décide de trainer son petit-ami dans un dojo de karaté. Quelle était son excuse cette fois-ci ? Parce qu'évidemment, ce n'était pas la première fois qu'il essayait de le trainer quelque part avec une excuse bidon, la dernière fois, c'était un club de plongée pour pêcher à la main. Enfin bref, les voilà, en pleine séance d'entrainement dans le dojo familial des Suzuki. Bah oui, on rappelle que Shou est un gosse de riche et quand son père fut jeté en prison, tous les biens lui étaient revenus automatiquement. De toute façon, même sans ça, Shou se serait juste introduit dans le dojo, avec ou sans autorisation. Les voilà donc en pleine séance intensive de karaté pour, je cite, « pouvoir se défendre sans utiliser nos pouvoirs parce que c'est interdit de le faire et que c'est comme ça que je me suis retrouvé en sale état et que tu as perdu le contrôle de toi-même ». Sauf qu'on rappelle un petit point tout de même assez important ... ni l'un ... ni l'autre ... ne savent faire du karaté. Les voilà donc, comme les deux cons qu'ils sont à faire n'importe quoi. Et la séance dériva légèrement lorsque (lors d'une prise ratée) Ritsu atterrit au-dessus de Shou, assis sur son bassin, le kimono défait à sa clavicule et la respiration sifflante. Il n'en fallut pas plus pour que Shou se lance dans un autre type d'entrainement.
L ... comme luminescentes
« Dis, Ritsu ? Tu crois que les lucioles sont luminescentes ? » « Je ne te répondrais même pas Shou. ».
M ... comme molle
Shou est très curieux de nature, il aime tout explorer, découvrir de nouvelles choses. Et il avait aujourd'hui un nouveau sujet d'étude qu'il étudiait consciencieusement. Au bord du lit, les yeux baissés, il se tenait le menton d'une main, semblant se poser mille et une questions. Ritsu ne voulait même pas prêter attention à ça, il ne voulait même pas se retourner pour assister à ce spectacle désolant. Pourquoi, de tout ce qui pouvait attirer son attention, avait-il fallu que ce soit ça ? Shou marmonna alors « c'est bizarre, elle est toute molle ». Ritsu rougit subitement à la remarque. Mais c'était pas possible. Pourquoi fallait-il qu'il dise quelque chose comme ça ? D'abord désespéré, il s'énerva rapidement. Son petit-ami n'arrêtait pas de faire mille et un commentaire d'à quel point elle était molle et se demandait pourquoi ça ne durcissait pas. Jusqu'à ce que Ritsu éclate. « Évidemment que c'est mou !!! C'est de la GELÉE Shou !!! ».
N ... comme numérique
On sait tous que Ritsu n'est pas familier avec la technologie (personne de leur famille en fait), c'est bien pour ça qu'il limite ses interactions avec et que son téléphone reste un truc tout pourri malgré les avancées technologiques et les superbes smartphones. Shou avait tenté plusieurs fois de lui faire changer de téléphone, lui qui jouait tout le temps dessus à des jeux plus ou moins débiles. Ce n'était limite s'il ne dormait pas avec, ce qui désespérait au plus haut point son petit-ami. Shou était ce qu'il était, s'amusait souvent à charrier Ritsu en lui demandant pourquoi il ne changeait pas de téléphone. Il pourrait jouer avec au lieu de simplement s'en servir comme téléphone et pour envoyer des sms. Ritsu lui répondit juste qu'il n'aimait pas le numérique et que son téléphone actuel lui convenait parfaitement puisqu'il n'avait pas besoin de plus qu'envoyer des messages et appeler ses contacts, puisque c'était hors de question qu'il se mette aux réseaux sociaux. Shou trouva alors la parade parfaite. « Oui, mais avec un téléphone plus moderne, si on s'appelle, on pourra faire ça en face cam ». Il n'en fallut pas plus pour que le lendemain, Ritsu achète un nouveau téléphone. Ah, le numérique et Ritsu, il fallait juste trouver la bonne motivation.
O ... comme opalescent
Pour améliorer son vocabulaire (sur ordre de Ritsu, on précise), Shou s'était mit à lire le dictionnaire et bizarrement, ça lui plaisait. Il adorait le lire, il trouvait pleins de mots qu'il ne connaissait pas, des mots qu'il connaissait mais pas la définition et des mots qui le faisait tout simplement rire. Il était déjà arrivé à la lettre O lorsqu'il lut ce mot à voix haute « opalescent » : première définition : d'une blancheur diffuse, parfois irisé d'un vert nacré. Deuxième définition : ni tout à fait opaque, ni tout à fait translucide. Ritsu n'avait pas vraiment fait attention jusqu'à ce que le rouquin se rapproche de lui par derrière et touche sa joue, un grand sourire aux lèvres. « En fait, opalescent, ce sont nos couleurs de peau. Moi, j'ai la peau tout blanche et avec ma veste à la lumière, des fois, ça fait des reflets verts. Et toi, avec ton bronzage, t'as la peau plus sombre que la mienne mais elle reste assez pâle. On est opalescent bébé. » Il lui déposa alors un baiser sur la joue qui fit subitement rougir le corbeau qui ressemblait maintenant aux cheveux de son petit-ami. Il aimait ça. Qu'une définition puisse leur aller à tous les deux.
P ... comme préfixe
Au Japon, il y a énormément de suffixe « san », « chan », « kun », « sama », « dono » mais il ne devait pas y avoir de préfixe. Alors Shou, dans sa grandeur, décida qu'il allait en inventer et (on ne se demande pas pourquoi), il fut vite rejoint par Tome, Hanazawa, Serizawa, Mob, Reigen et plus tard, Ritsu lui-même. Le corbeau était heureux. Pour des raisons tout à fait stupides, Shou pouvait rassembler tout le monde. Son sourire pouvait convaincre un esquimau d'acheter de la glace, il en était sûr. Et son sourire les avait convaincu de trouver des préfixes à la langue Japonaise.
Q ... comme qwerty
Puisqu'ils étaient Japonais, ils utilisaient leur langue maternelle et donc l'alphabet qui leur était propre. Leurs téléphones étaient donc automatiquement sur l'alphabet qu'ils utilisaient quotidiennement. Donc, lorsque Ritsu prit le téléphone de son petit-ami pour s'envoyer un message à lui-même pour qu'il ne puisse pas oublier quelque chose, il fut surpris. Qu'est-ce que ... c'était ... que ce .... Clavier ? Il en avait entendu parler, c'était un clavier étranger, américain ou anglais, un truc comme ça. Pour savoir de quel clavier il s'agissait, il suffisait de faire un mot avec les six premières lettres du clavier. Et pour Shou ? Q ... W ... E ... R ... T ... Y ? Il était censé le prononcer comment ?! Trifouillant le portable, il atterrit dans les paramètres et Ritsu étant ce qu'il était avec la technologie finit par déclencher le réveil-matin. Surpris, il balança le téléphone à l'autre bout de la pièce, se promettant de ne plus jamais y toucher.
R ... comme rendement
Le rendement, c'est en économie, ça ce n'est pas nouveau. C'est la valeur produite mesurée par rapport aux facteurs de productions employés. Et Ritsu, tout étudiant modèle qu'il était, galérait pas possible sur cette notion. Mais c'est alors que notre Shou national entra en action. Il lui expliqua de manière claire et simplifiée ce qu'était le rendement, il lui donna même des exemples et l'aida avec ses exercices. Ritsu était vraiment impressionné jusqu'à ce qu'il tilt. Attends ... Shou n'était jamais allé à l'école, comment pouvait-il savoir ça ? Le roux lui expliqua que c'était une des rares choses que son père lui avait appris. Ritsu détestait, que dis-je, haïssait plus que tout au monde Toichirou (ou papa connard pour les intimes) pour ce qu'il avait osé faire à son fils mais ça, c'était une bonne chose, il lui apprenait les choses de la vie. Jusqu'à ce que ledit roux lui explique que les exemples que son père prenait étaient ses propres employés qu'il voyait comme des déchets et qu'il forçait Shou à avoir cette même vision. Il fallut toute la force de persuasion de Shou pour que son amant n'aille pas casser la gueule de son père en prison.
S ... comme salaire
Shou était riche, c'était pas une nouvelle. Il avait déjà beaucoup de pognon avant mais lorsque son père fut jeté en prison et qu'il récupéra tout, ce fut pire. C'est bien pour ça que Ritsu fut extrêmement surpris lorsque Shou lui parla de son salaire. Écarquillant les yeux, il lui lança un magnifique « Quoi ?! » digne des plus belles scènes de ménages en couple. Comment ça, Shou avait un salaire ? Ils n'étaient même pas en âge de travailler, ils n'avaient juste pas le droit, ils étaient mineurs tout simplement. Et où il travaillait encore qu'il aille péter la gueule de son patron pour non-respect de la loi du travail ? Error système, veuillez redémarrer Ritsu Kageyama. Comment ça ... c'était le ... putain de ... GOUVERNEMENT qui l'employait ?! Shou dut réussir à calmer son amant avant de lui expliquer qu'ils avaient fait appel à lui pour démanteler les dernières branches de la Griffe qui se cachaient encore et qu'il lui avait donné un salaire. Puis, ils avaient continué à faire appel à lui pour des cas traitant de pouvoirs psychiques puisqu'il était vraiment puissant et que, même pour certaines affaires, Joseph ne faisait pas le poids. Et il continuait de percevoir un salaire. Mouais, mais Ritsu s'en foutait. Ils employaient un enfant pour des missions dangereuses et en plus, ils le rémunéraient.
T ... comme troglodyte
Shou avait été habitué à vivre dans des châteaux, des manoirs, des hôtels cinq étoiles, des maisons d'architecte et tout genre de baraques plus ou moins luxueuses. Shou est un habitué du luxe et de l'argent mais qui n'aime pas l'utiliser et qui ne l'utilise pas. Il ne s'en vantait d'ailleurs jamais et les amis du couple avaient engueulé le rouquin lorsqu'ils avaient appris qu'il habitait dans un manoir gigantesque, tout seul alors qu'il était autophobe. Enfin, c'était surtout son petit-ami qui lui avait passé le savon du siècle. Et aujourd'hui, Shou avait décidé de surprendre son amant et l'avait emmené quelque part, lui bandant les yeux. Il l'avait guidé et subitement, avait enlevé son bandeau de ses yeux, lui dévoilant sa surprise. Une ... maison ... troglodyte. Ritsu se tourna lentement vers l'homme de sa vie et lui cria à moitié dessus, lui demandant encore combien de maisons il avait et combien de maisons bizarres il avait. Sans déconner ? Une maison troglodyte ? A quel moment son père s'était dit que ce serait une bonne idée d'acheter une maison enfoncé dans une grotte ? La famille Suzuki le dépassait.
U ... comme ultérieur
Ritsu avait une rédaction à faire pour ses cours et il bloquait. Complètement. Il ne savait pas quoi écrire et en avait plus que marre. Il avait envie de faire voler son bureau et tout ce qui se trouvait dans sa chambre à coup de pouvoirs psychiques. Il était sur le point de le faire lorsqu'une aura psychique familière lui fit tourner la tête. Shou. Évidemment. Il sauta pratiquement de sa place et accueillit le roux les bras ouverts. Dans ce genre de cas, Shou savait que ce ne pouvait signifier qu'une chose, ses devoirs l'emmerdait royalement. Revenant dans la chambre, Ritsu lui expliqua le thème de sa rédaction « ultérieurement ». Rigolant Shou lui donna la solution. Comment se voyait-il dans le futur ? Sans une once de gêne, Ritsu dit à voix haute « Ultérieurement, je ferais le métier de mes rêves, entouré de ma famille et de mes amis, marié à l'homme de ma vie Shou Suzuki et ayant fondé une famille avec lui en adoptant des enfants. » Il fallait voir le rougissement dudit Shou Suzuki à ce moment-là.
V ... comme vivable
Vivable ? On parlait du couple Ritshou là. Déjà qu'avec Shou, c'était impossible de dire qu'il était vivable, avec son caractère de surexcité, ses blagues de merde, sa flemmardise, on pensait que Ritsu rattraperait les choses. QUE NENNI. Ritsu était maniaque, aimait tout contrôler et détestait les interactions sociales. Vivable ? Le couple Ritshou ? Bien sûr que non.
W ... comme wagonnet
Deux adolescents qui se trouvent à garder une enfant, ça se trouve à devoir jouer avec. Ça peut être drôle si le feeling passe bien. Et c'est encore plus drôle lorsque les baby-sitters ont des pouvoirs psychiques. Ça fait voler les jouets dans l'air, ça ne se déplace plus pour amener à manger ou à boire. Mais ce que la petite fille qu'ils gardaient avait le plus aimé était lorsqu'ils avaient fait voler les petits wagonnets en bois, comme s'il s'agissait d'un train magique qui volait dans le ciel, un train qui voyageait à travers la galaxie. Lorsque Ritsu vit le sourire de son petit-ami et le regard pétillant de la petite fille, cela lui réchauffa le cœur. Oui, il voulait ça. Il voulait ça pour le futur, une famille avec Shou, des après-midis comme ceux-là où le simple fait de faire voler des wagonnets les faisaient rire et sourire, les comblant de joie.
X ... comme xylophone
Shou est un enfant prodigue, tous leurs amis le savaient. Il avait déclenché ses pouvoirs très tôt et savait les contrôler très tôt (s'appeler Shigeo Kageyama ne compte pas). Il savait également assimiler des connaissances extrêmement vite, il maitrisait près de neuf langues étrangères, il avait une mémoire quasi instantané. Mais il savait surtout dessiner comme un dieu, Ritsu était le premier à le dire et à le voir. Et maintenant, ils venaient de découvrir un autre talent à cette boule d'énergie infatigable. Il savait jouer du xylophone. Et il était doué ce con. Ritsu se sentit gonfler d'orgueil. Encore une autre raison pour lui de se vanter de son incroyable petit-ami.
Y ... come yacht
Quoi de mieux pour rappeler à tout le monde que Shou a de l'argent, qu'un yacht. Les yachts sont souvent le signe que tu es plein aux as. Comme un Suzuki par exemple. Et si le groupe d'amis dont faisait partie le couple n'aimait pas particulièrement les gens remplis de pognon et qui aimaient le montrer, à ce moment-là, ils a-do-raient Shou. Le rouquin n'aimait pas montrer qu'il avait énormément d'argent parce qu'il s'agissait de celui de son père mais là, ils s'en foutaient parce qu'ils étaient tous en sortie en mer sur le yacht des Suzuki. Ah, qu'on aime les gens qui ont de l'argent.
Z ... comme zébré
Bon, on connaissait tous les goûts vestimentaires douteux d'Hanazawa. Heureusement, le reste de leurs amis savaient (à peu près) s'habiller correctement. Alors, pourquoi pas une petite séance défilé de mode chez le blond avec uniquement ce qu'il y avait dans son armoire ? L'idée vous tente ? Allez, c'est parti. Et un Mob habillé en arc-en-ciel. Et un Ritsu habillé avec des rayures dans tous les sens. Ils rigolaient énormément et ils rigolèrent encore plus lorsqu'arriva Shou, habillé entièrement avec des zébrures, ressemblant plus à un zèbre qu'à un zèbre lui-même. Ritsu ne pouvait pas s'empêcher de rigoler et embrassa son petit-ami qui défilait n'importe comment. Shou était aux bords des larmes, il n'aurait jamais pensé vivre une scène aussi banale qu'une soirée entre amis et avec son petit-ami. Il n'aurait jamais pouvoir penser mériter une scène aussi banale. Ritsu, sentant ce qui se tramait dans la tête de l'hyperactif, lui prit les joues et colla leurs fronts ensemble, lui murmurant « tu le mérites, Shou. Plus que n'importe qui. »
------------------------------
Comme je ne cesse de le répéter, je ne fais pas les listes de mots moi-même donc je dois avouer avoir été contente lorsque j'ai vu vivable ou yacht. Mais je l'ai été encore plus lorsque j'ai vu la définition d'opalescent. C'est exactement eux, ça leur convient tellement bien.
Et pour ceux qui ne savent pas ce qu'est l'autophobie, c'est : la crainte morbide et exagéré d'être seul, abandonné et isolé. Je connais assez bien l'autophobie car l'une de mes anciennes meilleures amies l'avait et j'ai déjà du être là pour elle après l'une de ses crises.
Et lorsqu'on y réfléchit, je trouve que si Shou devait avoir une phobie, ce serait bien celle-là. Il a été enlevé à sa mère, ignoré par son père, il a monté un coup d'état contre lui, il ne pouvait faire confiance à personne et n'avait de vrai ami jusqu'à Ritsu.
Bon, pour une note plus joyeuse, aujourd'hui est mon anniversaire (parce que je l'ai pas assez dit XD il faut vraiment que j'emmerde le monde) et j'en parle dans mon débarras. Pour ceux intéressés, allez faire un tour (ouais de l'auto-pub. Eh, c'est la première fois que je le fais, épargnez-moi).
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top