Je me lève de mon lit et ouvre la porte, je suis surpris de voir Niall, je le fais entrer et referme la porte derrière lui.

_ Je voulais voir où tu étais logé.

_ Niall ne me prends pas pour un imbécile, je soupire, dis-moi la vraie raison de cette visite nocturne s'il te plait

_ Bah c'est que tu n'as pas dis au revoir à Louis en faite et ça m'a beaucoup surpris parce que vous êtes très amis.

_ Oh je ... J'avais mal à la tête, je mens.

_ Oh je vois, il me sourit, alors sinon tu as vu ici y a beaucoup de choses à faire et surtout de jolies filles.

_ J'y ai pas vraiment trop fait attention, et un nouveau mensonge bravo Styles tu les collectionnes.

_ Il y a une Anna euh...

_ Anne ? Je le coupe.

_ Que voulait-elle ?

_ Oh elle te cherchait.

_ Je ne sais pas, il me sourit malicieusement quand on entend toqué à la porte.

_ Stop ce sourire de suite, dis-je en me levant.

J'ouvre la porte et vois Anne, au lieu de la faire entrer je sors dans le couloir entre-baille la porte.

_ Un problème ?

_ Bah ... Euh... Disons que... Bah... Je repasserai.

_ Quand ? Je lui parle d'une voix douce car je sens son malaise.

_ Oh... Euh... Demain à l'aube.

_ Non repasse dans cinq minutes voir dix minutes ok.

_ D'accord, elle me sourit.

Elle part et moi je re-rentre, Niall éclate de rire en guise de réponse je lui tire la langue.

_ Harry faut que t'apprenne la drague !

_ Hey je drague très bien !

_ Tellement que tu l'as pas faite entrer.

_ Elle revient dans quelques minutes du con.

_ Bien mon pote !

On se tape dans la main en rigolant, qu'est-ce qu'il et bête ce môme ! On discute puis il s'en va car Anne ne va pas tarder, tiens quand on parle du loup ,Miss Sylver toque, il tombe sur elle et j'entends ce qu'il dit.

_ Ton amant t'attend.

_ Niall je vais te faire bouffer tes dents, dis-je en riant.

Il partit en pouffant, tandis qu'Anne entre. Je la regarde, je sens qu'elle est pas tellement à l'aise d'être là. Je me mordille la lèvre doucement qu'est-ce qu'elle est belle mon dieu. Je lui dis avec un sourire en coin.

_ C'est un peu tard pour une infirmière de se promener dans les couloirs ?

_ Je...Euh...

_ Oui tu ne m'as pas vu dire au-revoir à Louis, je décide de re-dire mon mensonge, j'avais mal à la tête.

Je la force doucement à s'asseoir sur le lit, tandis que moi je prend appuie sur le mur en face du lit et la regarde

_ Est-ce que tu vas mieux ? Me demande-t-elle.

_ Ouais. Je lui souris.

_ Pourquoi es-tu parti du café ?

_ Oh... Euh... Je voulais pas assister à vos échanges entre toi et Louis.

_ Nos échanges ? Elle est surprise rien qu'à son expression on peut le deviner.

_ Oui... Toi et Louis vous vous êtes embrassés !

_ Cela m'étonnerai puisque j'étais au W.C, elle rit, tu m'as confondu avec Dynah ! C'est elle qui l'embrassait et je le sais parce qu'elle me l'a dit et puis de toute manière la seule..., elle se stoppe.

Je ris un peu et la regarde amusé avant de croiser mes bras sur ma poitrine. A lalala je crois que je vais savoir qui elle aime.

_ Tu as un copain enfin un homme à tes côtés.

_ Non Harry.

_ Alors que veux-tu dire ? Je me poste devant elle et elle se lève.

_ Harry franchement la seule personne que je veux embrasser depuis le premier jour c'est...

_ C'est qui ? Je l'encourage un peu.

_ Toi, elle se rasseoit.

  Je m'approche d'elle, m'assois à côté et caresse sa joue, elle me regarde, je la regarde et d'un coup elle m'embrasse en m'allongeant sur le lit, je souris en coin avant de lui retirer doucement sa robe qui s'ouvre au dos, elle la retire doucement pendant que j'enlève mon haut et mon bas pour me retrouver en caleçon. Je frissonne, lâche des soupirs quand elle m'embrasse dans le cou, je n'ai jamais ressentit ça. Elle me touche, me caresse, me fait frissonner. On se découvre, on s'embrasse, on apprend les gestes de l'autre que ce soit moi ou elle, la douceur, le désir, l'amour, la chaleur est présent. Je l'embrasse dans le cou avant de toucher la première partie intime d'une femme, ses seins, je les caresse doucement, puis j'y dépose des baisers doux mais furtif, je sens son souffle, son cœur battre, j'entends ses gémissements de plaisir et aussi de torture, ce qui me plait. Le moment est magique, mes gestes sont accords avec les besoins de son corps, je la pénètre doucement très doucement avant de faire des va et viens régulier, son corps se soulève doucement, elle me dit d'aller doucement, je l'embrasse dans le cou, elle pose ses mains douces sur mon torse, pendant que je vais et je viens et de plus en plus loin et soudain elle me demande d'aller doucement, en elle je ferai toujours doucement, je vais donc un peu moins vite, je lui donne tout l'amour physique que je peux, doucement parce que je l'aime pas que je suis son homme et je veux qu'elle réalise que je suis son homme. Je pourrais rester éternellement, contre elle. C'est ma pomme d'amour. Elle repose ses mains sur mon torse doucement et soudain elle eut un orgasme, elle bouge dans tous les sens et ça me donne chaud, soudain je m'élève elle s'élève aussi, la folie arriva et je la guide doucement en haletant de plaisir et surtout en gémissant. Elle est sous moi je suis sur elle, mais nous ne faisons qu'un. C'est une danse rythmer, je lui donne le tempo, elle s'élève, son corps je le soulève doucement. La folie prend le dessus et j'accélère pour finir cet acte protégé par les anges. Je vais de plus en plus loin et soudain quand elle vient et que je viens elle me dit d'aller doucement, je vais donc doucement pour me déverser dans son corps en gémissant. Je retombe à côté d'elle avec un sourire, je l'embrasse avec passion.  

...

Le lendemain - 6 h 00 dans la chambre de Harry :

Je me réveille en baillant un peu, je remarque qu'Anne est toujours à mes côtés, on dirait un ange quand elle dort, c'est mon ange. J'attrape ma montre et lit six heures pouah dans deux heures je ne sais pas quoi faire, oui même si on est en congé le protocole exige de se lever maximum huit heures.

_ Anne réveil toi, je lui chuchote en l'embrassant sur la joue.

_ Mmm bonjour, sa réaction me fait rire.

_ Debout j'ai envie de déjeuner au café de la caserne.

_ Ok, elle ouvre les yeux en me souriant.

_ Je suis dingue de toi ! Je la regarde sincèrement en souriant.

_ Tu es fou ! Elle prend un air faussement sérieux.

J'éclate de rire en me levant du lit, je prends des vêtements, enfin ma tenue de soldat et file à la douche. Je fais ma toilette au lavabo.

...

Au bout de dix minutes je reviens et je remarque que ma Anne n'est plus là et à la place il y a un mot.

" Rejoins moi au café

A. xx"

Rien que cette attention me fait sourire, je sors de la chambre. Cette journée, je la passe avec Anne, j'apprends à la connaître, on rit ensemble, en bref une belle journée.

7 Décembre 1941 - 7H 30 du matin caserne.

Nous sommes à la caserne entrain de faire l'inventaire des armes, avions, munitions... Je suis rejoins par Niall.

_ Y a Anne qui te demande.

_ Oh...Elle est où ?

Il me pointe Anne du doigt qui se trouve juste devant la caserne. Je souris et part la rejoindre en courant. Je l'emmène u peu à l'abri des regards.

_ Bonjour toi, je lui chuchote en lui caressant la joue doucement.

_ Bonjour monsieur Styles.

_ Alors que me vaux cette visite ?

_ Pour savoir si tu veux manger avec moi ce midi !

_ Mm, je lui chuchote, avec plaisir ma belle.

Je lui fais un baiser sur la joue, elle partit sous la surveillance de mon regard, je souris bêtement, secoue la tête et repart travailler.

_ Alors ? Me demande Niall.

_ Quoi alors ?

_ Il n'y a rien.

_ Mon cul oui ! Aller crache !

_ Ok on est en relation mais secrète !

_ Ouuuu et pourquoi ?

_ Parce que je crois que Louis a eu le béguin pour elle également.

_ Entre nous il ne l'a mérite pas !

_ Pourquoi ?

_ Louis est un homme à femme !

_ Oui...Bah...C'est pas nouveau, on se remet au travail.

...

Au bout d'un moment, on entend des tires, tiens ils testent les rafales ! Un soldat arrivant dans une voiture à toute vitesse nous gueule.

_ A L'ABRI NOUS SOMMES ATTAQUES !

Juste après une rafale arrive à grande vitesse, je cours tiré par Niall, qui me dépasse, il arrive à rentrer dans le dépôt, je me casse littéralement la figure, je me protège en gueulant, je sens les rafales me frôlent, ma vue est floue à cause du nuage de poussière crée par les rafales, je peux juste distingué des cadavres, je n'entends rien à part un petit bruit aigu. Je suis relevé par un soldat qui me dit.

_ ...