~ Mâcon ~
• la mente de théo griezmann •

— mais qu'est-ce que t'es en train de faire Théo ?

Depuis 10 minutes, le petit était en train de réclamer son lait et le biberon n'était pas encore prêt.

— le biberon il arrive dans quelques secondes ! je l'avertis une énième fois.

— mes fesses ouais ! elle râle. ça fait un millénaire que tu dis ça !

— t'abuses Bianca, t'abuses !

Je prends le biberon, le mouille un peu d'eau froide et me dépêche de le donner à Bianca.

— assieds-toi.

Je fronce les sourcils. « quoi ? pourq– »

— callate y sentarte. elle m'ordonne.

Je soupire. « oké, oké ! » je l'écoute pendant qu'elle laisse un rire s'échapper de sa bouche.

— soumis. murmure-t-elle.

— hé !

— comme Benji sait boire tout seul, tu vas poser des coussins au coin du canapé pour qu'il se calle là-bas. s'il glisse bah... remonte-le.

Je fais ce qu'elle m'a dit et notre fils commence à boire.

— sauvés. on soupire en même temps.

— normalement, il s'en dort quand il termine son lait.

Encore heureux.

On s'assied au canapé, sans rien dire. LeBron nous rejoint en s'endormant sur les cuisses de Bianca. Depuis qu'elle est là, il ne cesse de la coller. Elle lui a manqué.

— qu'est-ce que tu as fait–avant Clairefontaine ?

— la routine. je la regarde, d'un air insistant. qu'est-ce que tu veux que je te dise, Théo ?!

— ch'ais pas moi comme tes interviews, non ?!

— en y parlant, j'ai été invitée à l'émission de Nick Cannon avec Wyclef Jean. elle me regarde. je me suis bien amusée.

— ouais j'ai pas vu l'épisode mais j'ai liké le post que tu avais mis sur l'émission.

Elle hoche la tête positivement.

Quelques minutes après, on est parti poser Benjamín dans le lit que j'ai mis pour lui. On redescend et on s'assied.

— c'est dur de s'occuper d'un bébé.

— fallait pas me mettre enceinte.

À ce moment-là, je voudrais retourner au passé. Il y eut un long moment de silence avant que je prenne la parole.

— j'ai jamais voulu le faire.

— alors pourquoi tu l'a quand même fait ?

J'allais ouvrir la bouche mais je la fermai.

— bonne question, je réponds. très bonne question.

— ça n'répond pas à ma question.

Je la regarde avant de regarder la télé. « je n'sais pas, c'est compliqué. »

En faite, je pense que je l'ai fait pour me rapprocher d'elle. Je suis tombé amoureux de ses yeux profonds avec son physique.

— donc tu vas me dire que t'as fait ça comme ça ?! elle voit que je ne dis rien. en faite, elle se redresse, il faut que tu comprennes que t'as perdu ma confiance à cause de ça, t'as vachement détruit notre amitié, entre guillemets bien sûr parce que elle n'a jamais existé.

— arrête elle a existé... je soupire en secouant ma tête négativement. elle a toujours existé...

— non, elle n'a jamais existé ! cesse de mentir à toi-même ! le pire du pire, c'est ce que pendant les vacances de Noël, j'allais te dire que...je...je t'aimais.

Antoine avait raison ; elle était amoureuse de moi. Je me mords la lèvre.

— ...mais t'as tout cassé en disant que tu te foutais de ma gueule pendant une décennie.

— nan je me foutais pas de toi Bianca.

— mensonge.

Je roule des yeux. « c'est vrai. »

— c'est fou–tu mens comme tu respires ! tout ce que tu veux c'est m'envoûter pour après me jeter comme une poubelle, avoue.

— nan c'est pas vrai Bianca.

— je te crois pas.

— moi je te dis que c'est la vérité. j'attrape ses hanches pour qu'elle vienne se mettre sur moi puis je prends son visage pour qu'elle me regarde. la vie de notre fils, je te jure que je t'aime plus que ma propre vie, Bianca–oui je t'aime putain ! tu ne peux pas savoir à quel point je t'aime !

— tu ne peux pas m'aimer comme moi je t'aime.

— la vie de notre fils, je t'aime ; ton sourire, ton rire, ta voix, tes lèvres pulpeuses... j'aime tout de toi ! je sais que ça fait psychopathe mais c'est la vérité.

— si tu m'aimes, pourquoi tu m'as détruit en faisant ce défi ?!

— pour me rapprocher de toi. elle fronce les sourcils. je sais que c'est bête mais à ce moment-là, j'étais jeune et...

Je n'ai pas pu continuer ma phrase quand je la regarde me contempler. Ses yeux clairs regardent mes yeux marrons. Qu'est-ce qu'elle est belle !

J'approche mon visage pour l'embrasser. Ses lèvres m'ont manqué. Je les goûte pendant un bon moment jusqu'à qu'il devienne passionnant. La tension est devenue chaude, elle a retiré mon t-shirt. J'enlève sa chemise d'où je peux voir qu'elle est torse nu aussi.

— si tu prétends m'aimer comme je t'aime, fais-moi l'amour alors.

Je l'approche de moi.

— c'est ce que je comptais faire.

🍋

Avec ma langue, je joue avec ses seins sous ses gémissements silencieux. Elle se lève pour enlever son pantalon. J'enlève le mien aussi. On peut voir que je suis en train de bander.

— déjà ? elle me sourit. on vient à peine de commencer !

Je la fais s'asseoir sur moi. « tu ne sais pas à quel point tu me fais bander. »

Je capture ses lèvres dans un baiser emflammé. Les lèvres scellées, elle se frotte contre moi. Je mords sa lèvre en gémissant. Ne retirant pas sa culotte, je décale vers le côté pour la pénétrer.

— putain. on soupire en même temps.

Je commence mes coups de reins doucement, léchant ses tétons. Elle bouge son bassin ce qui me fait gémir.

— plus vite.

— sûre ? je la demande. je ne veux pas que tu aies des courbatures.

— je m'en fiche.

— bon, si tu veux.

Je la tiens fermement avant d'accélérer. Je lui fais plusieurs baisers sur sa poitrine sans oublier deux suçons. Quand je sens que j'arrive, je sors mon pénis pour éjaculer sur mon ventre. Je lâche un long gémissent et on ne bouge pas pendant un moment pour se remettre de nos émotions.

🍋

Bianca va prendre un papier pour qu'on s'essuie–mon sperme a giclé sur son ventre aussi.

— donc on est ensemble ? elle me demande.

— je pense que oui. je souris.

On s'embrasse avant d'aller prendre une douche.

J'aurai dû m'en douter.

hola !

j'espère que vous allez bien 😘

ouais j'ai mis un lemon 🔥🍋vous l'avez aimé ?

dites-moi ce que vous pensez du chapitre d'aujourd'hui dans les com's

je suis contente parce que je suis en vacances keur keur sur 

bon dimanche à tous/toutes :)