Lettre X et Y

Deux inconnus
X et Y

X.

Je ne sais pas si c'est l'effet de l'herbe que j'ai fumé où de la bouteille de scotch que je me suis avalé, mais dans tout les cas, ce que je vois ne peut pas être réel, non. Non, c'est impossible. Cette femme qui se tient devant moi, et qui me dévisage complètement muette, ne peut pas être elle... J'envisage d'abandonner ma requête et me résous à me dire que j'ai du me tromper de porte où même d'étage, quand je suis frappé par la réalité en voyant l'être miniature de moi-même arriver. A ma vue, son visage se ferme, et ses traits se contractent. Il pose ses mains, sur les hanches de cette fille, et là, c'est une nouvelle fois mon monde qui s'effondre...

Cette scène ne peut pas être réaliste, à moins que la dose que j'ai tiré, m'ait vraiment grillé le cerveau au point de me faire avoir des hallucinations sur ce fantôme qui me hante...

Il y a quelques années, alors que je sortais d'un repas avec quelques amis pour fêter une promotion inattendue et que j'étais un peu éméché, je n'aurais pas dû prendre le volant.

Tout est allé très vite, une voiture en face de moi, des phares qui m'éblouissent, ma vue qui se trouble, mes mouvements qui ne sont plus coordonnés, un crissement de pneus... Le visage de la conductrice, une jolie brune aux yeux clairs, effrayée, qui voyait l'accident arriver. Un bruit sourd, une explosion, une fillette apeurée qui sort du véhicule, des sirènes de pompiers qui retentissent... Tous ces mauvais souvenirs qui se bousculent dans ma tête ... Ce jour-là, j'ai foiré ma vie. Ce jour-là, ma vie a été finie.

J'avais une bonne carrière de sénateur devant moi. Tous les grands pontes étaient à mes pieds, j'avais une femme splendide, un gamin adorable, tout pour réussir. J'étais heureux.

Malgré la réputation qui me précédait, et dieu sait qu'elle était mauvaise... et surtout fausse, j'étais un homme bien, enfin c'est ce que je pensais.

Un verre de whisky, juste un petit verre de whisky a fait chavirer mon monde.

Alors bien sur, les tabloïds ont relatés que j'étais bourré, que j'étais alcoolique, et ont sortis les pires choses que l'on puisse sortir sur moi. J'étais bafoué, sali, écœuré. Croyez-le ou pas, je n'avais pas du tout l'habitude de boire, loin de là, l'alcool était mon ennemi, c'est pour cela qu'un seul verre de whisky m'a rendu ivre...

Je ne voulais pas boire, mais ce jour là, j'avais eu une promotion et mes potes m'ont offert un verre et...

J'ai réagis comme le plus gros des enculés lorsque j'ai appris que la jolie jeune femme que j'avais percutée était décédée sur le coup. J'étais effondré, j'avais tué quelqu'un... mon dieu, j'étais un meurtrier...

Je ne voulais pas décevoir ma famille, je voulais que mon fiston ait une bonne image de son papa, alors j'ai payé. J'ai étalé le fric que je gagnais, et je me suis servi de mes relations dans la police et dans la justice pour sauver ma peau, ne pas aller en taule, ne pas être poursuivis par la justice. Je ne voulais pas que mon môme ait une sale image de son vieux, et je n'aurais pas supporté de le voir grandir à travers les parloirs de la prison, une fois par semaine.

J'ai donc aligné ce fric, croyant à l'époque, que seul le silence pouvait me sauver.

Et... j'avais bien tort... J'ai réagis sous le coup de la peur, de la jeunesse, de je ne sais quelles raisons, qui en soit ne sont pas excusables, je le sais.

Ma femme n'a pas supporté ce que j'ai fait, et malgré tout l'amour que je lui portais, je ne peux pas le lui reprocher. Mon gosse a grandi et a pigé ce que j'avais fait, ils m'ont tous les deux fuis. Oui, ce jour là, avec un seul verre de whisky, j'ai tout perdu.

La descente aux enfers a alors commencé, je me suis mis à picoler, à picoler pour oublier ma solitude. Pour oublier que j'avais brisé le destin d'une jeune femme et de sa famille. Ce que personne ne sait, c'est que cette histoire m'a profondément blessé, m'a foutu en l'air, personne ne sait le nombre de nuit que j'ai passé au cimetière, à pleurer comme un gosse sur la tombe de cette femme, me maudissant, regrettant que ce ne soit pas moi à sa place, dans ce trou.

Je vais régulièrement lui rendre visite, apporter des fleurs, que j'ajoute aux compositions florales que son époux et sa fille lui apportent chaque semaine.

Je vais régulièrement la voir et je lui parle, j'ai ce besoin d'être près d'elle...

Désormais, cette « femme » est ma seule amie... La seule personne qui m'écoute (par obligation me direz-vous ...).

J'ai donc plongé dans l'alcool et les stup pour oublier. Pour oublier que j'étais un lâche, une merde, un enfoiré, un meurtrier... Pour oublier que j'étais seul. Et pour donner raison à tous ces fumistes de journalistes qui m'avait traité de toxico alcoolo lors du drame.

Je n'ai quasiment plus revu mon fils depuis, ni ma femme, ni mon père... Je pensais que c'était mieux pour eux, de rester loin de moi. Quand ma femme est décédé, j'ai sombré dans une énorme dépression, le mélange de médocs et d'alcool ne faisant pas bon ménage je ne vous dis pas dans quel état j'étais... Cette femme... Ma femme... J'en étais fou amoureux, même si nous étions séparés, même si elle me détestait.

Cela m'a pris plusieurs mois, mais j'ai voulu aller voir mon fils suite à cette perte immense. J'avais besoin de le retrouver, mais il m'a rejeté comme l'immense merde que je suis, et je ne peux pas lui en vouloir. Je le comprends même.

C'est en apprenant le décès de mon père, Philip, que j'ai eu le besoin vital de le revoir, de lui parler, et cette fois je ferais tout pour y arriver.

J'ai donc pris une bonne dose de vodka et fumé un peu pour me donner un peu de contenance, et me voilà ici, chez lui, devant « ELLE »...

-" Ho ? Tu m'entends ? Qu'est ce que tu fous la ?!"

J'étais tellement pris dans le tourbillon de mes pensées, que je n'ai pas entendu la première question de mon fils, qui semble irrité par ma présence.

Merde.

Comment a t -on pu en arriver là tous les deux ? Je me rappelle encore nos mercredis, lorsque je l'emmenais manger des glaces, ou nos samedis, lorsque nous allions taper ensemble dans un ballon sur le terrain proche de la maison. Je n'aurais jamais, à l'époque, pensé une seule seconde que ce petit Zack qui m'adorais tant, puisse devenir ce Zack adulte qui me hait avec autant de véhémence.

Troublé par son regard froid et noir, j'essaie de rester digne et tente une approche :

-" Zacky... Je .. bonjour mon fils, comment vas-tu ?"

J'ai l'air pitoyable. J'ai l'air d'un con pitoyable. Je suis ému, intimidé, triste et joyeux à la fois. Ce que je ressens est indescriptible.

-"Ha. Parce que ça t'intéresse maintenant comment je vais ?" il me crache à la figure, tout en éloignant "cette femme", qui à l'air autant perturbé que moi.

Oh oui gamin, ça m'intéresse. Si tu savais le nombre de fois où je t'ai observé, dans l'ombre, de loin, comme lors de ta communion où tu semblais si timide et n'osais pas avancer vers le prêtre. Lors de tes matchs de foot, que tu perdes où que tu gagnes, j'étais fier de mon rejeton. Lors de ton bal de promo au lycée, mon dieu que tu étais beau, dans ce costume gris bien trop large. À l'enterrement de ta maman... Ho, j'aurais tellement aimé te prendre dans mes bras et sécher toutes tes larmes...

Ho oui, mon fils, de savoir comment tu te portes m'intéresse, et plus que tu ne le crois. Tu me manques...

Dans l'idéal j'aurais du lui dire cela, mais je n'en avais pas le courage, et je ne voulais pas le brusquer.

Il semble m'en vouloir, mais comment pourrais je le lui reprocher lorsque moi même je m'en veux ? Je m'en veux de tout...

-" Tu as grandi bonhomme..." je tente vainement, la voix tremblante, espérant qu'il ne me claque pas la porte au nez une fois de plus.

-" Bonhomme ? Non mais t'es sérieux ? J'ai plus 10 ans j'te signale ! Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, j'ai passé le cap de la majorité ! Ah mais non... Suis-je bête ! me dit-il d'un rire mauvais. Tu ne sais rien ! Rien de moi, car tu n'as jamais été là !"

Et au moment où il s'apprête a me claquer une nouvelle fois la porte au nez, cette femme l'interpelle :

-" Zack attends... Laisse le s'expliquer..."

-" Hailey... Il n'a rien a faire là, puis tu sais très bien ce qu'il en est." lui répond-t-il en lui caressant la joue.

Cette femme serait la petite amie de mon fils ? C'est impossible... Elle lui ressemble bien trop, et puis, quel âge a t-elle ? Comment l'a t-il appelé déjà ?

-" Justement Zack, nous savons ce qu'il en est, mais nous pouvons réparer les erreurs du passé. Tu ne peux pas continuer d'avancer seul, sans famille. Et moi, je ne peux pas continuer d'avancer, sans faire table rase une bonne fois pour toute de mon passé. Tu me l'as dis toi même Zack, maintenant on avance ensemble, sans rancune. Et il en est une pour nous deux alors...."

Cette brune parle si vite que je ne comprends pas son speech, mais ce que je vois ,c'est qu'elle a réussi a convaincre mon fils, de me laisser passé le pas de sa porte. Une étape de faite. Mais je ne comprends pas où elle veut en venir, lorsqu'elle lui dit que je suis une rancune pour tout les deux... Je ne connais pas cette femme, même si elle me trouble horriblement et me rappelle ce fantôme...

Oh mon dieu !

-" T...toi... je balbutie alors en la pointant du doigt. Tu...tu es... Non ! Je ne peux pas y croire... ! "

Je m'effondre à même le sol, pris de spasme et de flashs horribles. Mes démons reprennent le dessus, m'imposant toutes ses images que j'essaye d'oublier depuis toutes ses années, et là... Le visage de cette petite fille me revient...

-" Je m'appelle Hailey, Monsieur Brett. Mais, nous nous connaissons déjà..."

Hailey ... Hailey ... non c'est pas possible. Ce petit bout de femme serait elle la petite fille qui s'est échappée de la voiture ?

Flashback

Il fait nuit noire, un épais brouillard cache ma vue, seuls les phares des véhicules encore intacts m'éclairent le désastre que je viens de causer...

J'entends des cris, des pleurs, et puis je la vois sortir de cette voiture que je viens de percuter... Cette petite fille...

-" Maman ... Maman ... Monsieur, aidez ma maman s'il vous plait..." me demande t-elle en tirant sur ma veste.

Je réalise alors en voyant cette gamine apeurée, ce que je viens réellement de provoquer. Je m'avance vers la voiture enfoncée, et découvre le corps de cette femme, sa mère... Je sais déjà ce qu'il en est...

-" Comment t'appelles tu ma petite ?" je lui demande en me mettant à son niveau.

-" Hai... Hailey... Moi, c'est Hailey... Et là c'est maman, aidez là s'il vous plait..." sanglote t-elle.

***

Oh mon dieu ... Ça ne peut pas être ça, j'ai encore certainement trop picolé il faut que je me reprenne. Je passe ma main sur mon visage, mais elle est toujours là, accroupie devant moi, à me regarder et à me tendre la main. Mon fils semble plus confus qu'autre chose, complètement déstabilisé par la situation.

-" Monsieur ? Vous m'entendez ?"

Ça fait la deuxième fois qu'elle me pose la question, je devrais réagir. Je pose délicatement ma main dans la sienne, et elle m'aide à me relever tout doucement.

Je suis incapable de prononcer le moindre mot, je me demande ce que je fais là, moi, l'ivrogne lâche et minable, à entacher leur bonheur.

-" Rentrez un instant, je vais vous préparer une tasse de thé."

Je dois rêver. Cette fille est un ange. J'ai tué sa mère, j'ai fuis, et elle semble être au courant, et pourtant elle me propose une putain de tasse de thé.

Les larmes coulant sur mes joues, je danse sur mes pieds, ne sachant pas si je dois rentrer ou non. J'aimerai que Zack me fasse signe que c'est bon pour lui, mais il n'en fait rien et cela me gêne.

-" Je ferais mieux de partir..." je réussi à articuler.

Et lorsque je me retourne pour quitter le couloir, une main se pose sur mon épaule

-" Je te laisse 5 minutes. Rentre."

***

Assis sur un coin du sofa, je me réchauffe les mains avec la tasse. Personne ne parle. La fameuse « Hailey » me dévisage, et Zack, assis sur le rebord d'une chaise, les bras sur les genoux et les mains sur les tempes semble regarder dans le vide. J'observe l'appartement, assez grand pour deux personnes, bien décoré, et j'aperçois son diplôme de Lettres, qu'il a du valider il y a quelques semaines.

-"Je suis fier de toi."

C'est en pointant ce diplôme de bout du menton que cette phrase est sortie, sans que je ne m'y attende, le plus naturellement possible. Mes hôtes m'ont regardé comme si j'avais dit une connerie, ne s'attendant certainement pas à se que j'ouvre la bouche d'un seul coup.

Cette petite me regarde toujours fixement, je suis mal à l'aise, je lui ai ôté la vie de sa maman et je suis toujours en vie, moi, le connard qui a fuit, ici, devant elle. Il faut que je m'explique avec elle, il faut que je parle à cet enfant, et même si je ne peux pas excuser l'inexcusable, il faut que je me délivre du poids que je porte sur les épaules depuis tant d'années.

C'est dans un geste désespéré que je saisi leur deux mains, celle de Zack dans ma main gauche et celle d'Hailey dans ma main droite. Zack a eu un instant de doute, il a eu un mouvement de recul, à regardé Hailey, et quand il a vu qu'elle ne me repoussait pas, il ne m'a pas repoussé non plus.

C'est le moment ou jamais, je dois me lancer, leur dire ce que je pense à tous les deux, à cette jeune fille pour qu'elle puisse avancer, et à mon petit bonhomme, en espérant qu'il acceptera de relier contact avec son papa.

-" Je sais qu'il est bien trop tard pour rattraper ce que j'ai fais, mais, aujourd'hui, j'aimerais seulement que vous m'écoutiez... Je n'aurais jamais cru pouvoir déblayer mes excuses à mon fils ainsi qu'à toi Hailey... Les choses que j'ai pu faire son... horribles. Et encore, ce mot est bien trop faible... Je n'ai penser qu'à moi, à ma petite personne, mais j'ai aussi pensé à toi Zack, quoique tu en penses..."

Je le vois tiquer, et il se redresse enfin, braquant son regard dans le mien. Il est dur et noir, mais au moins, j'ai capté enfin son attention.

-" En étouffant cette affaire..., j'ose un regard vers Hailey, qui elle, ne m'a pas lâché une seconde, j'y ai vu l'intérêt de ma famille... Mais je ne pensais pas que au contraire, ça aller la détruire... Si j'ai étalé tout cet argent, c'est parce que je ne voulais pas te voir grandir à travers les barreaux de ma cellule Zack, mais j'ai étais bien con... Au final, je ne t'ai pas vu grandir du tout, et aujourd'hui, je découvre un homme, un vrai. J'ai perdu au cours de mon existence, tout ce qui comptait le plus à mes yeux, toi, et ta mère... Je sais que tu ne pardonneras pas du jour au lendemain, mais j'aimerais qu'on essaye Zack... Je ne peux rien effacer, mais croyez-moi tout les deux, que si je pouvais, je recommencerai tout, et ce depuis le jour de l'accident."

Cette fois, je me tourne vers Hailey, car maintenant, c'est à elle, que je dois des excuses.

-" Hailey... mon dieu, je suis encore tellement sous le choc de te revoir... Si tu savais comme je m'en suis voulu, et comme je m'en veux toujours... Ta mère est devenu mon amie, mon soutien, même si elle n'est plus là... C'est chaque semaine, que je vais la voir pour lui raconter ma misérable vie. Elle seule m'écoute, avec ma femme maintenant, qu'il l'a rejoint..."

-" Est-ce vous ? me demande t-elle. Est-ce vous, qui déposez chaque semaine un bouquet de lys blancs sur sa tombe...?"

Je la regarde, et vois ses yeux s'embuer de larmes...

-" Oui... C'est moi."

Et c'est alors qu'une vague de chaleur me submerge. Je ne sais comment réagir, alors c'est avec timidité que je lui rend l'étreinte qu'elle me tend... Je croise le regard de Zack, et lui, m'offre pour la première fois depuis des années, un premier sourire...

Y.

J'ai toujours voulu apprendre à ma fille, les plus belles valeurs qui soit pour son éducation. Le respect, la paix, l'amour,... et plus que tout, le pardon. Le pardon est une délivrance, pour tout le monde.

-" Ça prend beaucoup de courage pour pardonner à quelqu'un, mais ça en prend encore plus pour demander pardon."

C'est ce que m'a appris ma mère, qui l'a appris par sa mère et que sa mère a appris par... enfin bref, vous comprenez la logique. Alors, dès son plus jeune âge, j'ai répéter mainte et mainte fois :

-" Hailey, n'oublie jamais ce que je viens de te dire. Appuie-toi sur les forces de chacun, et pardonne les faiblesses des autres. Tu comprends ? C'est très important ma chérie. Quoiqu'il arrive, apprécie ceux qui t'aiment, aide ceux qui ont besoin de toi, pardonne à ceux qui t'ont blessé, et oublie, ceux qui t'ont laissé... Garde toujours ce que je viens de te dire en tête, quoiqu'il arrive... "

" Pardonner, ne veut pas dire oublier. On ne peut jamais guérir sans pardonner. Le PARDON, est un acte qu'on fait s'abord pour soi-même afin de mieux avancer."

***

Qu'avez-vous pensé de ce chapitre sous le point de vue d'autres personnages ? Comme dans la logique, il ne nous reste plus qu'un chapitre à vous poster, la lettre "Z", qui sera l'ultime chapitre, l'épilogue de Revenge Game. L'aventure de Hailey et Zack, touche a sa fin... Pour ma part, j'espère que cette aventure vous aura plu, car pour moi, ça a été une expérience riche d'écrire cette histoire avec deux amies, et à distance. Ooooh je suis toute nostalgique... Des surprises restent à venir ! Alors ne décrochez pas ! ;) #Love, xXCycyXx

***

Comme ça fait bizarre d'arriver à l'épilogue !
J'imagine que si vous lisez ce petit message et que vous êtes arrivés jusqu'à la lettre Y c'est que l'histoire vous a plu et j'en suis ravie ♡

Un grand merci à toutes les personnes qui ont étés là durant cette aventure et vos commentaires tout le long nous ont boosté ! MERCI ! ( j'ai l'impression qu'on me remet un award là mdrrr )

Zack et Hailey feront désormais partie de moi et vont beaucoup me manquer !
On essaie de vous poster un épilogue digne de ce nom la semaine prochaine.

J'espère que vous avez aussi apprécié les musiques instrumentales que je vous choisissais à chaque chapitre ( je suis dingue d'instru ! )

Restez connectés on va vous pondre une autre surprise sous peu !
En attendant si comme moi vous êtes accro aux histoires d'amour vous pouvez lire les romans sur mon compte Lili_Bdx

Bisou L.

***

Et voilà, l'histoire de Hailey et Zack touche pratiquement à sa fin. Le dernier chapitre approche à grand pas :(

Les filles vous ont déjà tout dit, mais je vais le répéter encore, lol.

Je suis fier de ce petit "bébé", nous avons réussi à écrire 24 chapitres, à trois, et tout ça sans même jamais se voir "réellement" et je ne pensais vraiment pas atteindre les 7K.... Alors merci à tous de nous avoir suivis du début à la fin, d'avoir laissé vos commentaires, qui nous ont à chaque fois fait plaisir et qui nous ont à chaque donné encore plus l'envie de continuer cette aventure génial. Je ne pensais pas y prendre autant goût au début et pourtant.....j'aurais bien continué un petit bout de chemin avec "Zailey" mais toute bonne chose à une fin....

Mais ne partaient pas trop loin, parce que des surprises sont à venir.... Je ne vous en dit pas plus, on aime vous laissez le suspens ;)

Bisous les loulous, sandrinec24