J'approche la pioche à la main et je commence les travaux forcé come tout les matins. Je vois L'oiseau me survoler mais ce matin je suis décidé à l'ignorer. Je suis décidé à ne pas l'envier. Mais qui ne l'envirai pas?

Je vois au loin Mongole et Oléole avancer vers les plante gauchement.

Le jardinage à beau être les travaux forcé le plus dure c'est mon préféré.

Je m'avance vers les deux zigotos et je leur dit:

-Je vous échange votre travail contre mon travail.

-Peut qu'es qui nous ferai croire ça Petite.

Je les pousses et prends leurs places.

-Va travailler, lui dit je.

Ils obéissent sans plus discuter.
J'attrape les rose grimpante (comment peuvent elle grimper à 45°c) et j'enlève les mauvaises herbes qui commence à pousser. Mais attention interdit de les déraciné sinon demain personne n'auras ce travail et ça changerai les habitude.

Ensuite j'arrose les plantes (l'aube n'est pas encore levé) je taille les haies et les buis au moindre centimètre près.

Et je fais touts ça une trentaine de fois.

Enfin la  pose de midi arrive.

Je m'approche de ma table et avant que personne ne soit arrivé j'empoigne deux morceau de fromage, un morceau de pain noir et un verre d'eau pas très clair.

Mais c'est ce qu'on a l'habitude de
manger.

L'après midi les travaux sont pour moi plus dur.

Pour les hommes de la course à pieds et pour les femmes des travaux de couture. Et autant dire que je DÉTESTE la couture. Quand je m'en plain Lallie notre "profeuseur" me répond:

-Tu resemble à ta mère quand tu dit ça?

Resembler à ma mère? 

Je ne l'ai jamais vu. Mais Lallie semble l'avoir connut. Et très bien même.

C'est peut être pour ça que je suis ici depuis que j'ai... 

Lallie m'a dit que j'etait arrivé vers mes treize jours.

J'ai donc vécu TREIZE JOURS en dehors de cette prison (qui en ai une)

Treize jours c'est peut être pas beaucoup mais c'est quasiment deux semaines.