Chapitre 13
Après ce petit moment de détente, je dois malheuresement rentrer. Hirea m'attend sur le pied de la porte. Je passe à côté d'elle sans lui donner un mot.
Hirea : Tu porte sont odeur.
Si elle savait le nombres d'odeur masculie qu'elle porte sur elle, elle ne parlerai pas. Je ne l'écoute pas et m'enferme dans ma chambre. Je retire mes vêtement et prend une bonne douche. Quand je sors je m'approche de mes vêtements sales, et approche mon nez. Effectivement, l'odeur d'Illumi y est presque aussi marqué que la mienne. D'un côté ça me rassure, mais de l'autre, je ne peux pas le garder. Si quelqu'un sait que l'on c'est vu, je serai éjecté de la course immédiatement.
Hirea m'attend en bas, dans le salon. Illumi y est également. J'ai tellement, mais tellement envie de le prendre dans mes bras. Mais je n'en ai pas le droit. Je m'assoie juste à côté de lui et lui prend la main discrètement, caché par un coussin du canapé. Hirea me fait honte, elle porte un kimono, ça c'est presque de famille. Mais le siens et décolleté comme pas possible. Si elle n'avait pas se bout de tissu qu'elle appelle soutient gorge et bien on verait tout. Et en bas, c'est même pas une jupe, on voit même sont string, j'ai vraiment honte.
Ma soeur reçoit un appel téléphonique, et du s'en aller prétendant avoir était appelé par père. En vrai elle se tape les domestiques. Dès qu'elle sort, et que je ne sent plus sa présence, Illumi prend la parole.
Illumi : Approche
Moi : Je ne peux pas, après ton odeur reste sur mes vêtements.
Il passe un bras autour de mes épaules et me serre contre lui.
Illumi : Ce n'est pas grave, au moins tout le monde saura que tu est à moi.
Moi : Illumi, je te rappelle juste qu'on est pas sensé se voir.
Un silence s'installa dans la pièce.
Moi : En plus, je t'ai vu la mater.
Illumi : Tu est jalouse?
Moi : Non pas du tout, mais....
Illumi : Mais tu est jalouse.
Moi : N'importe quoi
Illumi : Donc si je regarde un peux plus longtemps ça ne te dérange pas.
Le rouge me monta aux joues. Je lui balance un coussin au visage et cours jusque dans ma chambre. Je saute sur mon lit la tête sous mon oreiller.
Il frappe à la porte.
Illumi : Je rigole, ne me boude pas.
C'est à ce moment que je me rend compte qu'avec ma bêtise j'ai oublier de fermer la porte.
Il s'assoit sur mon lit, près de moi.
Illumi : Arrête de bouder, je ne regarde que toi et tu le sais.
Moi : Menteur
Illumi : Comment tu veut que je regarde cette poufiasse au décolleté trop plongeant alors que tu es à côté.
Je sors ma tête de l'oreiller.
Moi : C'est vrai?
Illumi : Mais bien sûr
Il passe sont bras derrière ma nuque et me tire à lui.
A ce moment une idée géniale me vient a la tête.
Moi : Et si on allait la voir?
Illumi : Mais tu sais bien qu'elle est occupé
Moi : Je sais mais justement
Illumi : Je vois, je vois j'ai compris
Moi : Aller viens
Je le prend par la main, et cours jusqu'à la résidence des domestiques.
Je lui lâche la main et reprend une marche correcte.
Nous entrons dans le bâtiment et sonnons la cloche d'appelle.
Un domestique arrive.
Domestique : Monsieur, Mademoiselle, bienvenue.
Il dit une révérence, jusqu'à que je l'autorise à se relever en levant la main.
Domestique : Avec tout le respect que j'ai pour vous, Monsieur votre père ma interdit de vous laisser seul entre vous.
Illumi : Et c'est pour ça que nous venons vous chercher. Avec vous, nous ne sommes plus tous seul.
Domestique : Mais enfin Monsieur....
Illumi : Vous respectez l'ordre de mon père, et c'est bien. Mais ne pas respecter le mien est inadmissibles.
Illumi lui lança un regard très très intimidant.
Domestique : Bien sûr, Monsieur excusé moi je vous prie.
Illumi : Allons-y
On se retourna et on avança dans la forêt. Plus on s'éloignait, et plus on entendait des gémissements, ceux de ma soeur. Je ne suis pas fière de faire ça, cela entachera l'honneur de ma famille pendant longtemps je le sais. Mais si c'est le seule moyen de garder ma place, alors je dois le faire.
Domestique : Monsieur, Mademoiselle, nous ne devrions peut être pas aller par là.
Illumi : Je veux aller par là, et elle aussi. Qui nous en empêche?
Domestique : Personne, bien sûr Monsieur vous êtes chez vous.
On arriva à une petite clairière, je n'étais jamais allé jusque là dans la résidence.
Et voilà, j'ai trouvé ma soeur en pleine action. Elle est avec un stagiaire engagé le mois derniers.
Illumi : Regarde bien
Le domestique regarde ma soeur puis baisse la tête.
Domestique : Vous savez Monsieur, vous n'aviez pas besoin de faire cela pour que je vous aides.
Illumi : Pourquoi nous aurais-tu aidé sinon?
Domestique : Car Mademoiselle Ae-Cha est bien plus gentille que Dame Hirea.
Illumi me lance un regard interrogateur, et je lui fais un signe négatif de la tête. En même temps, je ne retiens les visage que de ceux qui me sont proches.
Domestique : Vous n'aviez que 5 ans, l'année de votre arrivée ici, c'est aussi cette année là que j'ai commencé à travailler pour la famille Zoldyck. Et bien cette année là Mademoiselle vous m'avez sauvé la vie en.....
Illumi : Stop, disons juste que tu lui es redevable et arrête cette perte de temps.
Domestique : Bien Monsieur excusez moi.
Illumi : Rentrons
Et nous partîmes tous en même temps, mais cette fois en courant à toutes vitesse à travers la forêt. Nous sommes arrivé devant la résidence principale de la famille, et heureusement pour nous, père et mère étaient dehors à cette heure là. Ils étaient ici pour assister à l'entraînement que grand père donne à Kazuto.
Quand ils nous virent, ils se tournèrent tous vers nous.
Mère : Que faites vous ensemble, enfin, Illumi, Ae-Cha vous savez bien que temps que Hirea est là vous n'avez pas le droit.
Illumi : Père, nous avons ne chose à vous montrer.
Père : Et bien, vous voyez que je suis occupé
Mère : Mais qu'est ce que cela? Qu'est ce qui pourrai bien être si important.
Illumi : Père, je vous en pris c'est assez important.
Le domestique arrive enfin, on avait pris de l'avance par rapport à lui en courant. Dès qu'il arrive, il fait une révérence, jusqu'à ce que père l'autorise à relevé la tête.
Domestique : Maître, Madame, je voulais vous prévenir d'un affront de la plus haute sorte.
Père : Parle
Domestique : Suri Ninjin, le stagiaire de la semaine dernière, je l'ai aperçu avec Dame Hirea entrain de batifoler dans le secteur 16 de la résidence.
Père : Tu as enfin remarquer Illumi
Illumi : Je le savais depuis le début.
Alors là, je suis perdue, je ne comprend pas de quoi ils parlent. J'ai donc tiré sur la manche d'Illumi pour attiré sont attention.
Illumi : Excuse moi Ae', mais tous était prévu.
Père : Je savais ce que voulais tes parents, et je savais aussi que si je refusai, ça pourrai couper le contact entre eux et nous.
Illumi : C'est pour ça qu'on a laissé Hirea rentrer. Tu sais je ne connais pas ta soeur, mais vu comment tu m'en parlais, je savais qu'elle ne pourrai rester sans rien faire plus de 2 jours.
Père : Tu ne nous en veux pas Ae-Cha
Je fis un signe négatif de la tête.
Père : Tout peut donc revenir à sa place.
C'est finit, et j'ai gagné, juste et surtout car je ne suis pas une fille de joie. Je saute littéralement dans les bras d'Illumi, et le serre le plus fort possible contre moi. J'ai enfin le droit, enfin le droit que tout reviennent à sa place. Nous nous asseyons sur les tables, Père et Mère à une table et nous a une autre. Je suis dans les bras d'Illumi, je n'ai pas voulu le lâcher. Le domestique est partit et l'entraînement de Kazuto touche à sa fin. Père à appelé Père et la prévenu de la situation, il est fou de rage et est sur le chemin. Ma soeur arrive, quand elle nous voit, Illumi et moi accroché littéralement l'un à l'autre, elle pète un plomb.
Hirea : Père, enfin comment pouvez-vous laisser votre fils et ma soeur comme ça, dans cette position et devant moi. Père ne va pas être content lorsque il l'apprendra.
Père se retourne vers elle, le regard menaçant. Sont aura est imposante, elle impose sa domination et sont respect. Je baisse la tête et l'enfonce dans le cou d'Illumi. Sont aura fait vraiment peur, vraiment vraiment. Ma soeur elle, baisse non seulement la tête mais elle s'accroupi sous le poids de l'aura de père.
Père : Comment ose-tu, petite effronté me parler ainsi. Qui dit que j'ai peur de ta famille. Qui peut bien te dire que tu as une quelconque influence sur les choix que je fais. Et enfin qui te dit que tu peux être familière avec moi et m'appeler père
Hirea : ..........euh........et bien Ae' le fait.......alors je me suis dit.....et bien.....que comme sa place me revient...............que je pourrai faire de même.
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