22. Trauma
«Doesn't matter how tough we are,
trauma always leaves a scar.
It follows us home,
It changes our lives,
Trauma messes everybody up,
But maybe that's the point.
All the pain and the fear and the crap.
Maybe going through all of that
Is what keeps us moving forward.
It's what pushes us.
Maybe we have to get a little messed up,
Before we can step up. »
(*ce n'est pas une chanson, c'est une citation de Grey's Anatomy.*)
22. Trauma
"Merci beaucoup d'être venus" a dit le producteur.
"Merci à vous, bonne journée" ai-je dis en sortant de la pièce, j'ai marcher dans le couloir par le quel j'étais arrivé, mais je n'ai vue personne dans le couloir, personne qui n'attendait leur tour pour l'audition. j'ai continuer de marcher et j'ai regarder autour de moi, j'étais a l'administration de l'étage, un couloir derrière moi, un devant, un à gauche et un à droite. Et je ne sais pas ou aller. Bah, jvais prendre l'ascenceur, jvais pas me casser la tête.
-M. Ascenceur? vous êtes lent.
-Callie?
-yuuppp?
-T'es folle, tu parles à un ascenceur.
-Hum, je sais.
- drogue?
- Nah, seulement ma tête. Jpense pas que je suis mentalement en santé, but who care?
- moi.
-T'es un ascenceur men, t'as pas de sentiement.
-Faux, je suis le fruit de ton imagination, de ta tête.
-Okay, bah, tête, arrête.
-kay
-soit pas bitch là.
-jsuis pas bitch, oh wait, t'es bitch et je suis ta tête, oh ouuuais, jsuis bitch.
-okay, jle prend pas.
-échappe le
-non, c'est ma phrase ça
-jsuis ta tête, c'est ma phrase à moi aussi.
-okay, je comprend même pu, fac tayeule tête, tayeuuule, ferme là, arrête de parler, arrête de... arrête de tout.
-Tu veux pas que je fasse ça.
"oh mais ferme la." ai-je dis à voix haute. J'ai poussé sur le bouton de l'ascenceur encore une fois. puis une autre fois. Et je remarque que le bouton ne s'alume, ne fait pas de son, rien qui me donne l'impression que l'ascenceur arrive. Je pese sur le bouton plusieurs fois, rageusement et je me tanne.
Je soupire et je me dis: dam it, je dois prendre des escaliers. je me tourne a ma gauche et je vois un visage dans la fenêtre de porte de la pièce à ma gauche.
C'était une femme.
Elle avait les yeux grand.
Les yeux rouges.
Les joues baignées d'eau.
De larmes.
Elle avait la peur dans ces yeux.
Et son visage était effrayé.
Elle secoua la tête et murmura quelque chose, je n'ai rien entendue et je ne peux pas lire sur les lèvres, mais je suis presque sûre qu'elle avait dit un seul mot.
Désolé.
J'ai entendue un bruit mécanique proche de moi, de ma tête plus précisément. Je ne sais pas ce que c'est, mais je sais que je l'ai mal ressentis.
"Ne. Bouges. Pas." a dit une personne derrière moi, un homme qui a une voix très basse. Qui sincèrement me fessais si peur que j'en tremblais. "Tu ne bouges pas, tu ne dis rien, tu ne fais rien, à moins que je te dise de faire quelque chose." a t'il rajouté
Maintenant, quand je regardais devant moi, je ne vois qu'une porte. La femme qui était là n'était plus là, elle n'était plus là. Je commençais a capoter. J'ai essayer de me concentrer sur ma respiration, parce que je ne peux pas respirer. Je me suis mise à respirer mais ma respiration était par petites respirations, difficiles et bruyante.
"COMPRIS?!" a crié l'homme en pressant quelque chose de métallique sur ma tête. Peut-être que je suis paranoïaque , mais je suis presque certaine que c'est un fusil. Dieu, ai-je le droit de capoter maintenant? oh merci de me répondre. "RÉPONDS À LA QUESTION." a t'il crié en pesant plus avec ma tête avec son fusil.
"o-ou-oui" ai-je dis faiblement le menton tremblant me battant contre les larmes et pour respirer. Ou est partit tout l'air qu'il y avais dans cette pièce il y a même pas 2 minutes? OU ES L'AIR CAWLIS(PUTAIN)? OH MON DIEU, JE VAIS MOURIR.
"... tu vas rentrer dans la pièce où tout tes amis sont cachés et pensent être en sécurité." a t'il dit en riant. "et tu vas leurs demander de te donner tout les appareilles numériques." a t'il dit très proche de mon oreille. "Il y a une porte pour cette pièce, tu ressors. Si tu reste, j'utiliserais mon ami sur ta tête vers tout les gens dans cette pièce toi inclus." a t'il dit en s'approchant encore plus de mon oreille. "Et si tu leurs dit d'autres choses que ce que tu es supposée, tu n'existeras plus. Pouff, effacé" a t'il dit si proche de mon oreille que je pouvais sentir son souffle sur ma peau. J'ai respirer difficilement par le nez et j'ai hoché la tête positivement et lentement. "go" a t'il dit.
Il a gardé son fusil sur ma tête et j'ai fais un premier pas, puis un deuxième pas et le fusil était encore sur ma tête, je compris qu'il me suivait. J'ai fais les autres pas plus rapidement, mais pas trop vite. J'ai posé ma main tremblante sur la poignée de la porte et je l'ai tournée lentement.
"Tu as 3 minutes" a t'il dit en poussant la porte et en me poussant dans la salle.
"J-je-je m'apelle Callie Grey, j'ai 21 ans, pre-presque 22, j-je suis un-une actrice, ma mère e-est un professeur et m-mon père gère u-un immeuble-ble. J'ai un gr-grand frère." ai-je dis en regardant les gens assit par terre a l'opposé de moi, tremblant de peur. "I'm someone's sister, i'm someone's child. and i want to live." ai-je dis.
(*Je suis la sœur de quelqu'un, je suis l'enfant de quelqu'un et je veux vivre*)
"J'ai lus quelque parts qu-que si quelqu'un sais des informations personnelle sur toi, le-les personnes on plus tendances à-à-à aider. Ou à ne pas tuer." ai-je dis. "Il vas tous nous tué" ai-je dis en pleurant et en tremblant "si je ne ressors pas d'ici dans 2 minutes avec tous vos appareilles, appareilles numérique" ai-je dis en les regardant. "Je. vous. en. prix." ai-je dis en sanglots. Les gens devant moi ne bougèrent pas.
"DONNEZ MOI VOS TABLETTE, FOUTUS TÉLÉPHONES ET MÊME VOS IPOD." Ai-je crié en capotant et en pleurant. Ce qui n'était surement pas la meilleure manière de convaincre des personnes. Mais, ça a marcher, une femme se leva et me donna ton téléphone et son Ipod. Puis un homme me donna deux téléphones. Au bout d'un moment, je me suis rendu compte que je n'avais pas assez de place pour tenir tout les téléphone, j'ai regarder autour et je n'ai vue aucun contenant alors, j'ai déposer tout par terre et j'ai enlever ma veste de cuir et j'ai remis tout les «petits machins» sur la veste et j'ai pris les coté et je l'ai a prix dans mes main, créant un petit baluchon. Je me suis relever et j'ai regarder les gens devant moi et c'est comme si j'avais oublier la situation et je me remets à trembler.
"E-E-Est-ce que c'est-c'est tout?" ai-je demandé et personne ne bougea. "Je ne veux pas m-mourir et-et je ne pense pas que vous voulez-ez mourir?" ai-je dis et quelques personnes se sont levés et m'on donner leurs téléphones. j'ai hocher la tête en avalant ma salive. "M-Mer-" ai-je commencé à dire en entendant la poignée de la porte ouvrir, mon cœur fit un bond, mais pas le genre de bond comme quand tu fais une montagne russe, mais du genre quand ta vie est en danger quand un homme peut vous tuer en un mouvement. Ce qui n'est pas un bon bond. Je me suis retourner lentement et je suis sortis de la pièce.
"Tourne. à ta gauche." a dit l'homme, derrière la porte. Je me tourne à gauche. "Dépose les choses par terre" a t'il dit. et je l'ai fais pendant qu'il fermait la porte (je l'ai entendue) et était toujours derrière moi. "Bonne chienne" a dit l'homme en riant et en reposant le fusil sur moi, mais sur mon dos, directement sur ma colonne vertébrale. Je ne sais pas si j'ai trop écouter d'épisode de House ou parce que j'ai beaucoup de gros bon sens, mais je suis presque certaine que si il tire, je suis soit:
a) morte
b) Paralyser des bras et des jambes
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à suivre patatos.
Ce que je suis gentille.
Hen?
Prochain chapitre: je sais pas trop quand jvais avoir le temps d'écrire, alors, je ne sais pas :$
Je part vendredi à 5h de chez moi, c'est pourquoi j'updaite à 4h du matin heure québécoise :')
NEW YORK AND VIRIGINIA BEACH IM COMMIIIINNNGG.
-Élodichou :')
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