Ken referma la "porte" et retourna à son poste. Je me pose sur le matelas qu'il avait déjà placé dans la brèche et enroule la couverture autour de moi. Le froid de ce couloir immense me rappelait les souvenirs d'un temps déjà jauni. Je ferme les yeux en essayant de me remémorer tout ça.

Il y a un mois, tendis que je remplissait mon sac de provisions, mon père rentra dans la cuisine en trombe. Lui, qui n'avait remis les pieds dans cette maison que pour décrocher ma mère d'une corde, était devant moi tout tremblant de colère suivit de sa fille de substitution aux mèches roses pâles.

«Rends les moi !» siffla il en me tirant par le bras vers lui.

Son regard glacé fixait le mien, malheureux sera celui qui détournera le regard dans cette famille.

«Ils m'appartiennent, répondis je. Ce sont les héritages de nos ancêtres. Il ce doivent d'appartenir aux plus jeun descendant.

- Je suis la plus jeune, s'avança la rose d'une voix tremblante.

- Si tu l'étais, il n'aurait pas besoin de moi car tu les aurait déjà. Je suis le vrais héritier des Winter et ça grâce à ma mère uniquement !»

Arthur me prit par la gorge en resserrant progressivement son emprise.

«Je n'ai pas épousé et fais un enfant à cette lâche pour que ses documents m'échappe ! Alors serre donc à quelque chose !»

Je serre les dents en essayant de ne pas me concentrer sur le sifflement à mon oreille. Je manquais de m' évanouir quand ma main attrapa un verre. Je casse le verre contre la tempe de mon père, il me lâcha et une une partie de son visage était remplie de débris. Sa dévergondée de fille allait probablement poncer ses plaies de toute manière, à quoi bon s'en faire.

Je me rappelle encore avoir rouler sur ma moto pendant des heures, fuyant les policiers et les drones d'élites lancés à ma poursuite. J'avais finalement trouvé une vielle cabane abandonné à la frontière de la ville, au milieu des arbres de la forêt.

De loin, le dôme des Pros Gamers s'imposait avec son écran géant. En prenant un lampadaire comme sources d'alimentation pour mon ordinateur et divers café pour infiltrer les réseaux, je vivais caché de mon père en dissimulant mon nom sous une casquette et des lunettes. Ma forte ressemblance avec mon paternel prouvait m'apporter bien des ennuis.

Nous avions les même yeux de démons glacé, les cheveux claires et un air supérieur de grand homme.

Sans oublié que les Winter se passait un secret de génération en génération. Pour une raison inconnue, le signe sacré avait évité mon père pour directement tombé entre mes mains. Si quelqu'un voyait un jour cette marque, elle allait tout de suite comprendre son importance.

Peut après mon départ, j'avais reçus un message crypter avec des coordonnées précise, celle du dôme. Je savais qui les avait envoyé. Un mort ressusciter, où un père piégeant son fils à mort. J'ai bien failli ne pas y aller de peur de tomber net à nez sur mon père en entrant par la fenêtre.

Je sors rapidement de mes pensé en entendant des bribes de conversation. Je m'avance à pas de loup jusqu'à une échelle menant à une bouche d'aération. Je ne monte pas jusqu'en haut, juste assez pour pouvoir entendre se qu'il se disait.

«- Rien à été trouvé, soupira une voix féminine. Sa cachette à été fouillé de fond en comble... Je crains qu'il n'est été tué par un animal sauvage où par un sans abri turbulent.»

Je me risque à regarder entre les barreaux de la grille. Une tête aux mèches roses faisait fasse à une silhouette dissimulée dans mon angle mort.

« - Il n'est pas bête, répondit une voix roque. Il ne mourra pas aussi facilement malheureusement et il ne disparaîtrait pas aussi facilement sans aide.»

La silhouette avança et Arthur se dévoila enfin. Son visage n'était plus abîmé et il semblait en pleine forme. Mais quelque chose semblait étrange. Je fronce les sourcils avant de manqué de tomber. La fille aux cheveux roses n'était vêtu que d'un pull long lui arrivant à demi cuisse tendit que mon paternel ne portait qu'une sorte de kimono horrible. Il posa la main sur sa hanche et semblait lui susurrer quelque chose.

Je voulus redescendre mais leur conversation ne semblait pas terminé.

«- Je me demande bien ce qu'il t'a volé pour que tu lui accorde autant d'importance, soupira la rose.

- Personne ne doit savoir, répondit il simplement. Personne.»

Un frisson glacé me parcouru. J'avais oublié que j'avais ses documents, oublié l'épée de damocles qui planait au dessus de moi. Je regagne mon matelas et prit mon sac sur mes genoux. J'en sors une tablette unique en s'en genre. J'enlève mon gants, qui cachait une paume noircit de symboles indéchiffrable. Je place ma main contre l'écran glacé et elle s'alluma. Un hologramme commença à apparaître devant moi, la clé des sages était devant moi.

La clé des sages Winter

De génération en génération, les Winter se passait une marque aux secrets inimaginables. Cette famille fondatrice et pilier du monde cachait de nombreux secrets. Des secrets caché dans une tablette inviolable et indestructible reconnaissable entre mille.

À chaque génération, un enfant se voit porter la responsabilité de la clé des sages. Cette clés est une sorte de puces électroniques incroyablement évolué capable de coexister dans la main de son propriétaire. À la mort d'un détenteur, la clé se voit retiré puis administrer dans un nouveau "réceptacle".

Mais quand Adèle Winter mourut, son fils, Arthur, avait déjà un enfant et ce fut à ce dernier que fut donné la clé. Fou de rage, Arthur tua plusieurs sages en essayant de regagner une clé, les sages restant se sont caché après avoir abandonné le nouveau détenteur avec sa mère dans la ville de Tokyo. L'enfant qu'est Nall Winter à de multiples secrets gravé sir sur sa peau.

Que contient cette clé de si important ? Si l'on vous le dévoile maintenant, ce n'est plus drôle. Mais une seule chose est sur : ce secret pourrait renverser définitivement Arthur Winter et ses manigances.