Cela devait faire plusieurs jours que je vivais entre deux murs, Ken n'avait plus besoin de me dorloté et je partais souvent en exploration de plus en plus loin dans la brèche. De temps à autre, il me semblait entendre des pas provenant des cartier de Ken alors qu'il n'était pas là, mais j'avais autrefois pensé à des fouilles régulière des cartiers. Et puis un jour, l'entrée de la brèche trembla. Un peut comme si quelqu'un essayait d'entrée, ça recommençait presque tout les jours, encore et encore avant de s'arrêter. Je pensais tout cela terminé avant d'entendre quelqu'un toquer contre le mur.

«- Ça sonne effectivement creux, lâcha une voix.»

Malgré le mur qui étouffait pas mal les sons, je pis reconnaître la voix calme et énigmatique de Arthur. Mon père retoqua dans le mur et je sentis mes jambes faiblir.

«- J'ai découvert ça après avoir discuté avec Dylan, une voix féminine se fit entendre. Il m'avait paru plus nerveux que d'ordinaire. Peut être cache il des armes, des vivres volé où des revues coquines ?»

La voix se rapprocha et dans un élan de peur, je pris mon sac et et ma casquette avant de partir. J'étais déjà hors de leur  vu quand ils ouvrirent la porte, j'ai marché jusqu'à trouvé une nouvelle porte donnant sur la cafétéria. J'ai regardé ma montre en enfilant ma casquette, encore quelques minutes. J'ai sorti un passe visiteur que j'avais volé lors de mes balades et le passa autour de mon cou.

J'ai entre vu une bande de visiteurs arrivé et me joint à eux comme si de rien n'était. J'ai repéré Ken au loin en m'éloignant du reste du groupe, je me suis approché de lui et des autres agents en pause. Il me regarda d'abord bêtement avant de me reconnaître.

«- Excusez moi, j'ai perdu mon groupe, dis je en montrant le badge. Pourriez vous m'indiquer la sortie ?»

Ken se porta volontaire sous les soupirs de ses amis ravies de ne pas avoir à se lever. Il posa une main réconfortante sur mon épaule en me posant légèrement. Il m'interrogea du regard.

«- Arthur et miss rose ont trouvé la brèche, ils vont probablement vouloir te voir.

- Il est temps de passé au plan C, sourit il. Mourir n'a pas marché et te caché dans le placard non plus alors il est temps de passé aux choses sérieuses.»

L'ont passa la porte de sortie ensemble quand il sortie une petite tablette de contrôle de sa poche. Il pianota dessus un moment puis, une explosion fit se briser les fenêtres du dôme. Je l'ai regardé à la fois désespère, choqué et perdu. Un sourire enjoué se figea sur son visage loin d'être innocent.

«- Si on ne peut ni le frapper de derrière ni de l'intérieur, il enleva sa veste d'agent. On va l'attaquer de face.»

Il regarda la tablette et ses traits se sont endurcit, il avait le visage de quelqu'un qui a vécu plein de choses. Un drone s'arrêta devant nous et toute la ville pouvait voir ce qu'il voyait. L'on voyait nos visage filmé par le dôme sur tout les écrans de la ville, comme qui les Pros savent également hacker toute une ville. Ken se posa fièrement devant le dôme en regardant la caméra.

«- Je suis Ken, le Pro japonais ! Je ne suis pas mort et je n'obéis plus au gouvernement. Avec l'aide de Nall Winter, fils de notre chef suprême Arthur Winter, nous allons bientôt vous révélé les plus sombres secrets de nos dirigeants adoré.»

Il sursauta en entendant des soldats au loin mais se retourna face à la caméra encore plus fière et sur de lui qu'avant.

«- Dans très exactement un ans, tout vous sera dévoilé sur ses mêmes écrans ! Mais en attendant, il tourna le dos à la caméra, je vous réserve encore d'innombrables surprises explosives !»

Il regarda le drone s'envoler, passer devant lui et lui tira dessus. Alors que les gardes allaient nous rattraper, une voiture s'arrêta a quelque mètres de nous heurter. Ken me poussa à l'intérieur et sourit à la conductrice. Sur le siège passager, un homme indiqua au Pro que tout le monde avait évacuer le dôme.

«- Que la révolution commence, effaçons pour mieux recommencer !»

À peine eut il fini sa phrase, que le reste de l'édifice s'effondra sur lui même dans une suite d'explosion. Il n'allait probablement plus rien rester de l'endroit. Je regarde la scène avec de l'admiration et de l'entêtement.

Quand avait il posé toutes ses bombes ? Comment les avait il toutes eus ? Qui était réellement Ken ? Je pourrais peut être exploiter se côté psychopathe pour qu'il tue lui même Arthur ? Il est tellement altruiste et manipulable !

«- Tu es tellement manipulable.»

Je tourné la tête vers Ken surpris, mais tout ce que je vis c'étais un sourire sadique et un air de manipulateur comparable au mien. J'ai pris du recule apeuré, le regard glacé de mon paternel me regarda comme si j'étais du bétail.

«Je t'ai aimé avant, je suis ton père après tout. Tu es comme moi, tu ne peux échapper au destin. Mon sang coule dans tes veine. Tu ne pourras ni me tuer ni me trahir ! Tu es la chaire de ma chaire, tu finiras par revenir.»

J'ai fermé les yeux en serrant ma tête entre mes mains, les souvenirs d'un père aimant m'ont à nouveau hanté. Si enlevé cette puce ne me tuait pas, l'aurais je aidé ? Étais je vraiment comme lui ? Un manipulateur égoïste prêt à tout pour ce qu'il désire le plus ?

«- Nall ?»

Le visage de mon père disparu laissant place à celui de Ken, il semblait inquiet et posa sa main sur mon épaule. J'ai regardé sa main les yeux grands ouverts et la bouche ouverte à la fois paniqué et totalement perdus. Il l'a retira désolé avant de me regarder m'agiter à la recherche d'un je-ne-sais-quoi qui me perturbait. Mes hallucinations semblaient être revenu et cela n'augurait rien de bon.

«- Que ce passe t'il ?, il avait prit un air plus doux.

- Une simple crise identitaire, soufflais je en souriant. Enfin, non. C'est à moi de posé cette question ! C'est quoi ce plan "C" ?!»

Il leva un sourcil avant de jeter la tablette par dessus la vitre de la voiture. Des mèches noirs se sont posé sur son front et il fixa droit devant lui avec un air grave.

«- Disons qu'on va faire explosé une grande partie de la ville.»

Les mots ont mit quelque secondes à former une phrase et je l'ai juste regarder sans rien dire. Il laissa passer ses jambes sous le siège avant.

«- Lui c'est Zen, continua il dans un léger rire. Et la conductrice c'est Molly.

- Attends, je continue à le fixer. Tu vas faire exploser la ville ?!»

Il fronça les sourcils avec un air agacé. Puis il reprit son air habituellement chaleureux, je commençais réellement à avoir peur de lui.

«- Uniquement la gendarmerie de Tokyo, la mairie, le bureau de Arthur, son loft et l'écran gens dont l'immeuble est l'endroit d'où décolle les drones du gouvernement, il se tourna vers moi. Plus de policier ni de lois au début, ça permettra à divers guerre civil et soulèvement d'état de ce faire automatiquement, sans que l'on intervienne.

Et c'est là que l'on poste la vidéo de mes différentes missions où l'on voit la réelle utilité des pros, la partie bureau et loft c'est de la pure vengeance !, il souria. Le gouvernement nous aura alors épié grâce aux drones de la tour principal. Et lorsqu'on aura trouvé de nouveau alliés lors des rebellions, on explose le grand immeuble afin que le gouvernement ne puisse plus nous voir.

- Et ensuite ? Que faire après ?

- Tuer Arthur, laissa il glissé calmement. Je vais l'attacher sur une table métallique et lui injecter le même poison qu'il m'a injecté. Il souffrira longtemps et mourra lentement, il ria. J'ai de grands projets !

- Je vois ça, dis je avec un rictus semblable à un sourire. Ça reste mon père mais en ce qui concerne le reste du gouvernement ?

- Il me faudrait un moyen de pression , mais je n'ai encore rien trouver d'assez percutant pour les faire se plier à ma volonté... Avec le gouvernement dans ma main je pourrais stopper les missions et commencer une démocratie !, il fixa sa main avec insistance. Il ne me manque qu'un moyen de faire pression...»

Je regarde ma main ganté, je sentais ma paume noirci de symbole palpiter et j'ai doucement prit ma respiration. Le gouvernement contient d'ancien sage non ? Des gens ne voulant en aucun cas que les secrets cacher dans cette main se sache... Mais si je l'utilise contre eux je serais comme Arthur... J'aurais utiliser la puce pour manipuler le gouvernement... J'ai pris ma respiration dégoûter par la Simone pensée d'être assimilé à lui. Sans oublier les conséquences me concernant... cette puce renferme divers secret.

«-  Je pense savoir ce qui pourrait faire bouger le gouvernement, je dégluti, mais il vaudrait mieux trouver un autre plan si possible...

- Tu m'as l'air étrangement sérieux, remarqua Ken en haussant les sourcils. Mais d'accord, je vais chercher divers solutions.»

Lui aussi agissait de façon étrange... À croire que nous avions chacun nos secrets et nos raisons de renverser le gouvernement. Mais allions nous y arriver dans ses conditions ? Sans nous faire confiance ? La voix de mon père continuait de me tourmenter, me répétant la même chose à chaque fois que nos avis divergeaient.

«- Es-tu un traitre ou un allié ? Un fils ou un ennemi ? Dans tout les cas, tu resteras un lâche Nall Winter. Et les lâches se doivent de  rester dans l'ombre des plus grands.»

Père a raison mais maintenant, à moi de décider dans quelle ombre je vais rester. Suis je l'ami ou bien le fils ?

Note de l'auteur :

Trop d'émotions ! Ken se la joue joker en faisant tout sauter tendit que les mystères autour de la puce deviennent de plus en plus nombreux !

Comment Arthur compte t'il répliquer ?

Quelle est la réelle identité de Ken ? Un fou, un révolutionnaire où un homme guidé uniquement par la vengeance ?

Vais je arrêter de publier à la même fréquence que Antoine Daniel postait ses "what the cut" ?( ce qui signifie pas souvent)

Tant de questions ! Si peut de réponse !