Au commande
J'abandonne Jules à l'infirmerie et me dirige doucement vers la salle des pilotes. J'y retrouve l'homme qui m'avait conseiller de me méfier de Jules.
- Je me présente, Daniel. Je suis le commandant des pilotes d'élite.
Il me conduit jusqu'à une sorte de siège ressemblant à ce servant à faire les simulateurs de montagne russe. Je me place dans le siège et un mécanisme s'enclencha. Une sphère d'hologrammes entour mon siège et un écran d'accueil apparue en vision 360°.
- Ici, tu peux consulter les informations sur la mission. Une fois prêt tu appuie la et tu contrôlera alors une sorte de drone ultra perfectionné capable de décimé tout une ville si nécessaire. Tu pourras également piloté simultanément un mini drone transparent pour regarder discrètement l'intérieur des bâtiments.
Il me montre rapidement les manoeuvres et traverse la sphère dans un bruit de friture. Une fois seul dans ma pièce virtuelle,j'ouvre les informations sur la mission.
Il s'agissait simplement de bloqué l'accès aux armes ennemis en faisant sauter leur planque actuellement abandonné. Rien de bien inhumain où difficile. Je démarre la mission un peut nerveux.
Le bureau se change alors en une vue aérienne d'un désert à l'allure inhabitée. Je tourne mon siège de droite à gauche avant de me décidé à avancé. Le scan recherchait activement ma cible avant de s'arrêter sur un immeuble loin en dessous.
Je dirige doucement le drone au dessus du bâtiment. Je place alors mon doigts au dessus du bouton servant à lâché la bombe. J'allais appuyé quand quelque chose attira mon attention. Une vive lumière éblouie mon regard. Un enfant scrutait le ciel en remettant ses lunettes.
Je sors mon mini drone invisible et entre par la carreau cassé de la fenêtre. Mes premières craintes étaient vrais. Ma mission était de détruire des enfants caché dans une mosquée...
Espérant avoir à faire à une erreur, j'appelle Daniel grâce à mon oreillette.
- Il y a un problème avec la mission.
- Dis en moi plus, fit une voix bien moins rassurante que celle du commandant. C'est Arthur à l'appareil, c'est moi qui rédige les mission.
Je regarde les enfants pris de peur se coller à une fille de mon âge. Son visage m'était familier.
- Ma cible semble être une mosquée avec entre ses murs de jeuns enfants et la Pros gameuse Iranienne. Pourriez vous me donner les réelles coordonnées de ma mission ?
- Tu as les bonnes coordonnées.
- Mais sur le rapport il est dit que je dois détruire des armes rebelles...
- Les rebelles entraînent leur enfants à la guerre en les utilisant alors comme des armes. Je compte sur toi pour effectuer ta mission.
La voix roque de l'homme fut remplacé par un grésillement avant de laisser place au silence. Je ramène le mini drone est lâche les commandes. Je ne tuerais personne, je ne ferais jamais ça ! À peine mes mains furent posé sur le dossier, que je sentis mon corps entier se faire tirer en arrière.
Une main posé sur ma bouche l'autre sous mon épaule et un homme à l'allure d'ours me tenait les jambes. Je me mis à bouger le bassin afin de prendre de me défaire de leur emprises en vint. Ils me lancèrent littéralement sur une table en fer froide et me lingotèrent.
La salle était d'un blanc immaculé légèrement dérangeante à causes de ses lumières. Je regarde dubitatif le bras métallique sortir du seule carré gris du plafond me planté de sa seringue.
Le liquide noir et épais se rependit dans mes veines. Après un moment, j'avais l'impression horrible qu'il découpait ma peau sur son passage. Il ne donnait l'impression de pourrir de l'intérieur, mes mains commençaient à bouger toute seule et mon corps se tordit dans ton les sens.
Cette douleurs horrible me montait à la tête comme si j'étais en train de me griffer les joues au point de m'enlever de la peau. Maintenant je brûlait.
Je me soulève et m'écrase lourdement contre le métal comme pour étendre les flammes en moi. Je pouvais sentir ma peau fondre et les cloques purulentes apparaître. Mes larmes brûlait ma peau et y creusait des sillons profonds.
Je voulais arraché cette peau douloureuse et crever toute ses lumières. Mais mes chevilles et mes poignets étaient liés. Mes mains et mes pieds se crispaient. Mon corps fut alors léger, comme posé sur de l'eau. Tout mon être allait mieux et guérissait. J'étais sur le point de partir, de crever comme un chien, de succomber à cette merde dans mes veines.
Et le dernier coup fut donné. Il me perça la poitrine au point de me faire lâché un cri. Le premier cri. Celui qui vous arrachait la gorge comme si un démon allait en sortir. Je hurlais en me débattant. Cette fois c'était indescriptible. Comme si des milliards de couteau me transperçaient, et qu'ils étaient empoisonnés et brûlé puis recouvert d'acide.
Tout allait en même temps. Les brûlures, les coulures, les cloques, l'eau les larmes, les cris. Au final seul des bruits difformes sortait de ma gorges griffé et fatigué.
Mes liens s'ouvrirent et je tombe de tout mon poids sur le sol. Je me déplace rapidement jusqu'à un coins de la pièce fuyant la table de métal. Mes genoux contre moi, je touche mon visage, mes bras, mes jambes et n'y trouve aucune blessure. Juste des marque en sangs aux niveaux des chevilles et des poignets.
Je me balance d'avant et arrière comme si ça allait m'aider à oublié la douleur viscéral qui me rongeait. Je tremblait terrifié ne réussissant pas à oublié ma peau ensanglanté et cloqué couverte de brûlures.
Les deux hommes rerentrèrent dany la salle et me lançaient un dossier blanc. Je soulève la première page tremblant. À l'intérieur ne se trouvait qu'une photo et un bout de papier au écritures rouges.
Mon ventre se tord et un cris sortant tout droit du fond de mon être explosa se qu'il restais de moi. Les larmes mouillent les feuilles et mes mains tremblantes ne parvenait pas à les prendre. Je pose ma main sur mon coeur en essayant de reprendre ma respiration. Horrible... Horrible... C'était HORRIBLE !!!
L'image n'était pas bien grande et mes yeux embués voyait floues. Mais je distinguais bien la salle de bain blanche repeinte en rouge. Je voyais des mèches rousses se confondre avec la couleur du sangs...
Jules était couché dans cette marre opaque et rouge pieds et mains lié. La photo était trop nette, trop froide. Comme si sa mort avait été mise en scène. J'essaie de me concentrer mais mes yeux ne pouvais lire l'inscription en rouge. Je me concentre et commence à lire.
« Comme je te l'avais dis, nous avons le droit de tuer qui l'ont veut afin d'obtenir ce que l'on veut de nos petit soldats. La prochaine fois, que tu remets en doute mon autorité, ton tout petit frère prendra la place de Jules sur cette photo.
Arthur»
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