Première partie.

Exercice de "L'université des écrivains" de hallucinante34

Suite du début de l'histoire de MaiaRonce9 :

Session #3 pour le groupe, session #1 pour moi aussi.

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-Une tempête de sable !

La panique prit rapidement place à la détermination, mais ce fut son ami, avec son sang-froid de toujours qui calma légèrement les battements de son cœur. Peut être était-ce parce qu'il ne voyait pas cette monstruositée ? 

-On ne peut pas abandonner maintenant, Alice ! Met tout de suite un tissu autour de tes mains et après dis moi ce qu'il y a autour de nous.

Elle sortit immédiatement de son sac, un vieux t-shirt porté la veille et lui en tendit un autre. En le regardant, elle remarquai une veine ressortir de son cou, signe que lui non plus n'était pas indifférent face à cette catastrophe qui se rapprochait de plus en plus, alors la jeune femme fit une rapide ronde des alentours, afin de voir si un abri, un salut du ciel n'y ressortait pas. Mais malheureusement seul étendu jaunâtre et mur de sable ne faisait face.

-Il n'y a rien, Kanji, rien du tout ! Je ne vois qu'une seule solution : faire demi-tour. Ne prenons pas de risque inutile s'il te plaît.. 

-Et échouer notre mission, en plus de croiser ses foutus Krilos ? Franchement plutôt mourir.. 

Elle le dévisagea, stupéfaite. Comment pouvait il s'entêter à ce point, alors qu'elle avait accepter de l'accompagner dans cette aventure au péril de sa vie ? La pauvre n'avait rien demandé quand 2 mois plutôt il avait débarqué dans son dangereux quartier, d'où elle vivait au jour le jour. Bien que cette expédition avait été une aubaine pour elle de donner un sens à sa vie, Alice n'aurai jamais cru finir sa vie broyé par du sable.. 

-Alice, alice ! Donne moi le bout de bois dans ton sac.

Elle s'activa en fronçant les sourcils.

-Nous allons creuser un trou et s'y réfugier quand la tempête ne sera qu'à quelques mètres de nous. Cela ne nous laissera à peine 2 minutes avant de ne plus pouvoir respirer, mais le temps qu'il faudra pour que la tempête passe. 

Elle le fixa du regard, bouche bée. Le jeune homme n'en savait en réalité rien du tout, tout ceci n'était que purement théorique et pour se rassurer. Quand tout deux commencèrent à creuser, un bruit de voiture fonçant à toute allure leur parvint. Ils regardèrent derrière eux et vis effectivement une camionnette blanche reconnaissable entre milles dévaler.



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