Bonus 2, le jour où Pierre a enfin compris qu'ils s'étaient offerts leurs cœurs

Le regard bleuté de Pierre glisse sur le lieu où il se trouve alors qu'on vient de retirer le bandeau qui cachait ses yeux. Son enterrement de vie de garçon commence à la perfection alors qu'il voit les visages présents devant lui. Il les détaille tous et se met à sourire. Il compte bien profiter de ses derniers instants de simple fiancé. Ses prunelles bleutées observent des amis et concurrents présents ainsi que plusieurs membres de sa famille. Il sait que Charles ne s'est certainement pas trompé dans l'organisation, après tout, il le connait depuis suffisamment longtemps pour savoir quoi faire. 

— Je peux savoir le programme ?

D'un regard sombre Charles lui fait comprendre qu'il en demande bien trop.  

— Pas encore. Mais on a une première mission pour toi histoire que l'on puisse tous s'installer et être tranquille pour la suite du week-end. Je propose que ce soit toi qui fasses les chambres. Il faut des binômes. 

Il arque un sourcil, ne comprenant pas vraiment pourquoi il doit faire ça. N'est-ce pas le rôle des témoins de gérer l'organisationnel ? 

— C'est pour les besoins de la science. Une étude sur les capacités d'observations, ou non, d'un Pierre Gasly. 

Quelques murmures amusés résonnent alors qu'il scanne de ses yeux clairs ses amis présents devant lui.  

— Max et Charles, vu que vous passez votre vie ensemble. 

Il ne prend pas gare à l'air courroucé que lui lance un australien un peu plus loin, ni à tous les regards amusés échangés par les pilotes présents.  

— Allez, viens bébé, on fait chambre commune. 

La main du monégasque entoure le poignet du blond avant de le ramener vers lui d'un mouvement sec. Max se retrouve alors dans les bras du pilote Ferrari, ses éclats de rire bien vite rejoints par d'autres. Les doigts du néerlandais se portent au torse de celui dont il est l'ainé à quelques jours près et glissent lentement dessus devant le regard azuré pas tellement étonné.

— Merci Pierrot, je pouvais pas rêver mieux. On est heureux que t'aies enfin compris.

Pierre a un sourire satisfait, il savait que ce binôme fonctionnerait. Cela fait bien longtemps qu'il suspecte bien plus qu'une amitié entre ses deux cadets. Il ne comprend juste pas pourquoi ils n'ont jamais osé lui en parler, surtout venant de Charles à qui il se confiait régulièrement. Il lui reste juste les suivants à chercher. Il se concentre alors qu'il réfléchit à qui mettre avec qui parmi ses amis. Un fou-rire semble naître à côté alors que Max et Charles ne se quittent plus. Quelques exclamations et sifflements s'élevant, lui font tourner son regard vers eux. Il voit alors la main de Charles posée sur la fesse droite du néerlandais qui s'est fortement rapproché. 

Un raclement de gorge les arrête avant que leurs lèvres viennent se toucher. Les deux sursautent alors que tout le monde rigole à l'exception de Daniel dont le blond n'arrive pas trop à comprendre le comportement.  

— Pourquoi Daniel a l'air mécontent ?

Il murmure ses mots à Lando qui se tient juste à côté de lui et des yeux emplis d'incompréhension lui répondent. Il y a lit aussi une profonde surprise dont il ne comprend pas vraiment la raison. Il est pourtant évident que le plus âgé n'est pas particulièrement content à la vue de son coéquipier et de Charles, il ne voit pas pourquoi le jeune anglais parait étonné par son observation. 

— Je te connaissais pas aussi prude et rabat-joie Ricciardo. 

La malice est présente partout sur son meilleur ami. Dans ses prunelles brillantes. Au son de sa voix. Sur son air de défi alors qu'il relève son visage vers le brun aux mèches bouclées. Celui-ci parait se détendre quand Max lui adresse un sourire éblouissant, les pupilles emplies d'une lueur taquine. Ses lèvres s'étirent alors en un franc sourire. 

— T'inquiètes pas Daniel, tu seras le bienvenue pour un plan à trois.  

Le clin d'œil raté de Charles continue de lui arracher un sourire amusé. Pierre le détaille alors qu'il parait rayonner quand Max se détache du monégasque pour venir se positionner à côté de lui. Il s'étonne quand ses doigts se glissent dans les autres, son épaule venant doucement cogner contre celle de l'australien, un sentiment de plénitude semblant s'installer sur le visage bronzé. Les doigts du blond se portent à son oreille, en cachant la vue à tous et il parait lui murmurer quelques mots. Il se demande ce qu'ils peuvent être à la réaction de Daniel offrant un visage éblouissant à son jeune coéquipier sur la joue duquel il vient délicatement poser ses lèvres.

— Purée, plus il vieillit, plus il est tactile Daniel. 

Les yeux sombres de Lando se posent dans les siens alors qu'il était assis à côté de lui. 

— Pourquoi ? 

Il désigne d'un mouvement de visage l'endroit où l'australien se tient, Max avachi contre lui et semblant prêt à s'endormir à tout moment. Un hochement d'épaules lui répond comme si le jeune anglais ne voyait vraiment pas ce qu'il voulait dire. 

Pourtant, il est évident qu'il l'est plus qu'avant. S'il l'a toujours connu proche de Max, leurs touchers se sont nettement amplifiés avec les années, notamment ces derniers temps. Il peut voir les lèvres bouger contre l'oreille du blond qui répond d'un léger mouvement de tête avant que la bouche se pose sur son front. Depuis quand Daniel embrassait les gens sur le front ? 

Ses doigts quittent les mèches blondes où ils trainaient depuis plusieurs minutes, ce qui est déjà suspect, pour glisser sur le flanc du champion du monde et reposer contre sa hanche. Il continue de les observer, s'indignant de la main glissant sous le T-shirt que portait son ancien coéquipier pour trainer sur sa taille, sa peau nue apparaissant par moments.  

— On va y aller. 

Il arque un sourcil sur le pronom utilisé. Depuis quand Daniel parlait de lui autrement que par je ? Il comprend quand Max se lève à son tour. Il hésite à intervenir quand la main du brun se pose entre les omoplates, poussant le néerlandais en direction des chambres. Mais il ne le fait pas quand il entend l'éclat de rire de Charles à qui Max vient de faire une remarque qu'il n'a pas saisie.

— Charles ? Mais pourquoi t'es avec Alex ? Tu devais pas être dans la chambre avec Max ?!

Le rire du thaïlandais éclate en retour et le normand se tourne vers lui brutalement. Il ne comprend pas pourquoi tout le monde semble s'amuser et rire de ses réactions depuis la veille au soir et cela commence sérieusement à l'énerver. 

— J'y crois pas que t'as toujours pas compris. 

Et la seule phrase qui est prononcée avant que son témoin quitte les draps en direction de la salle de bain.

— Pas compris quoi ?!!

— Consulte un ophtalmo Pierre, peut-être que tu verras mieux ce qu'il se passe sur le paddock. On en reparle ce soir, si t'as pas compris je trouverai un moyen que tu comprennes et que t'arrêtes par exemple de me mettre dans la même chambre que Max.

La voix s'élève juste avant que la porte ne se referme sur lui. 

— Tu t'entends pas avec lui ? Vous vous êtes disputés ? Pourtant je croyais que... Vous parlez souvent ensemble et... Est-ce que c'est parce qu'il ronfle ? Vous avez rompu ? 

— C'EST PAS LE SUJET !

 L'éclat est forcé et traverse le bois. 

— ON EN REPARLE SI T'AS PAS COMPRIS A LA FIN DE CETTE PETITE FIESTA, PROMIS !

Il quitte la chambre et se retrouve devant celle entrouverte où aurait dû se trouver le monégasque. Il toque bruyamment contre la porte et c'est un australien qui vient lui ouvrir un grand sourire plaqué sur le visage. 

— Daniel ?

— Bonjour à toi aussi Pierre. J'espère que tu as passé une agréable nuit. 

Il roule des yeux, retenant un petit rire devant l'air malicieux de celui se tenant dans l'embrasure de la porte. 

— Max est pas là ? 

— Si, il est en train de se doucher. 

—  Vous êtes attendus pour le déjeuner. 

Le brun hoche la tête en face de lui et c'est à ce moment là que Max arrive dans la pièce, uniquement vêtu de son sous-vêtement, s'ébouriffant les cheveux humides avec une serviette de toilette. 

— Danny, t'aurais vu mon short de bain ? Je le retrouve pas. 

Son visage se tourne alors vers l'entrée.

— Oh, salut Pierre. Bien dormi ? 

Un léger rire lui échappe et Pierre ne peut s'empêcher de soupirer quand il voit les yeux sombres de leur ainé trainant sur Max. Il fronce alors les sourcils et sa bouche s'entrouvre quand le néerlandais semble s'en apercevoir et adresse un clin d'œil à Daniel qui se met à pouffer. 

— T'as regardé dans mon sac ? Je crois que je les ai mis dedans vue que ta valise était déjà dans le coffre quand on s'est souvenu qu'il fallait les prendre. 

Le blond disparait alors pendant quelques secondes. Il finit par réapparaitre un short multicolore à la main. 

— C'est bon je l'ai. Merci Danny. 

Pierre manque de s'étrangler devant les lèvres se déposant alors sur la joue du troisième pilote.  C'est encore plus le cas quand Daniel l'empêche de repartir d'une main sur la hanche et qu'il vient faire glisser son nez dans les mèches blondes pendant une courte seconde, comme pour inspirer l'odeur de shampoing. 

— Tu voulais quelque chose Pierre ? 

La tête de Max tombe dans le creux du cou de son coéquipier et il se sent soudainement de trop sans parvenir à comprendre pour quelles raisons. Il quitte les lieux après avoir marmonné qu'il fallait qu'ils se dépêchent, l'esprit un peu étourdit alors que le multiple champion du monde vient de lui faire comprendre qu'il n'était plus vraiment le bienvenu. 

— Je repartirai pas trop tard le dernier jour, on a un avion pour Sydney en début de soirée.

— Ah tu vas visiter l'Australie ? Tu pars avec qui ?

Un rire cristallin s'élève. 

— Avec Lewis. 

La stupeur s'abat sur lui quand les mots s'élèvent avant que les éclats de rire ne résonnent encore un peu plus. 

— Avec Danny évidemment. T'es quand même à côté de tes pompes parfois, tu voudrais que j'y aille avec qui d'autre ? 

Et Pierre réfléchit quelques secondes. Il ne sait pas vraiment avec qui d'autre Max aurait pu aller en Océanie, encore plus dans le pays des kangourous. Mais il ne s'attendait pas à ce que ce soit avec lui.

Quand il se retrouve à lécher l'alcool sur le ventre de Daniel sous les sifflements de l'intégralité de la salle, Pierre se dit que la soirée semble bien partie. Il avait oublié un instant la facilité qu'avait le pilote Red Bull à profiter de la moindre occasion alcoolisée dans une ambiance réchauffée pour en faire. Il joue un peu s'amusant des réactions de ses convives et de leurs applaudissements. Il observe l'anneau pendant à une chaine qui repose sur son torse. Il s'y intéresse quelques secondes avant que des doigts tapent sur les siens qui jouaient avec le bijou doré.

— C'est bon, t'as terminé ton show ? 

La voix est énervée alors qu'elle résonne à côté de lui. Il se redresse immédiatement, s'éloignant que peu de son ainé toujours allongé sur la table. Les yeux bleutés de Max paraissent lui lancer des éclairs alors qu'il le repousse légèrement du corps de l'australien étendu devant lui. Il adresse un regard plein d'incompréhension devant la réaction quelque peu excessive à son témoin, mais Charles se contente de rouler des yeux en réponse.  

— Jaloux chaton ? T'as vraiment pas à l'être, tu sais que je suis tout à toi. 

Et soudainement, les yeux tempétueux ne s'intéressent plus à lui mais semblent scanner dans les moindres détails le torse dénudé de Daniel. Le normand en est presque mal à l'aise et s'étonne de voir l'homme de l'hémisphère sud réagir comme si tout était normal. Celui-ci s'est légèrement relevé sur ses coudes, observant son jeune coéquipier et joue des sourcils quand les yeux clairs du néerlandais croisent les siens. Le visage de celui-ci rougit immédiatement en retour. 

— Tiens Max, c'est du gin, comme t'aimes, pour boire sur le corps de l'homme que t'aime. 

— J'hésite toujours sur le fait que ce soit le corps ou le bonhomme qu'il aime. 

La phrase de Daniel se finit dans un léger cri alors que Max vient de verser le liquide froid sur son ventre, comme pour le faire taire. Le sifflement de Charles résonne alors que le plus jeune s'attaque à l'alcool trainant sur le ventre de son ainé. 

— Quand je pense qu'il y a même pas une minute il m'a tapé un scandale parce que je faisais un show, il se prend pour qui ? 

Il fusille du regard le blond s'amusant avec la peau du brun qui parait hypnotisé par ses mouvements, leurs regards ne se quittant pas un seul instant. 

— Pourquoi t'es jaloux de Max ? Je sais bien que Daniel la joue demi-dieu parfois en soirée, mais tu vas te marier et aux dernières infos, y a pas plus hétéro que toi.  

— Comme nous tous ici jusqu'à preuve du contraire. 

Un petit ricanement s'élève alors qu'Alex roule des yeux. Les doigts de Daniel ébouriffent désormais les mèches de celui qui entreprend de parfaitement nettoyer l'alcool ayant été répandu sur son ventre musclé. 

— Des gens pas observateurs, j'en ai vus passer. Mais des comme toi, j'en ai rarement vus quand même. 

— Quoi ?

— T'as toujours pas compris ?

— Compris quoi ?

Un soupir s'élève avant que des doigts se posent à l'arrière de son crane le refixant vers la table où Daniel est en train de se relever et fait à présent  face au néerlandais. Les doigts agrippent le col du T-shirt approchant Max de son torse dénudé. Une de ses mains passe autour de lui, venant entourer son cou tandis que l'autre se dépose sur le tatouage aux traits fins dessiné au niveau de son cœur.

— Et maintenant, c'est bon, t'as compris ou il faut une caméra dans leur chambre pour que ça fasse tilt dans ton esprit ? 

— Qu'est-ce que je suis censé voir ?

Et qu'est-ce qu'il se passerait dans leur chambre ? Quand la seconde main de Daniel effleure délicatement la joue de Max et qu'il rompt l'espace restant entre eux pour venir poser ses lèvres sur celles du blond, Pierre reste figé. Sa bouche s'entrouvre et il ne parvient plus à la refermer. Il s'attend à voir tout le monde se mettre à rigoler ou applaudir et eux à partir en fou-rire. Pourtant, les conversations semblent reprendre comme s'ils n'avaient pas deux amis en train de s'embrasser. Il attend de voir Daniel repousser le blond et d'entendre leurs rires moqueurs se mêlant mais Max se rapproche tandis qu'une des mains de l'ainé vient passer sous le T-shirt dans le dos du blond, glissant sous le tissu et disparaissant le long de sa colonne vertébrale, la seconde s'installant au niveau de sa taille, les doigts s'étalant légèrement plus bas. 

— Alex, pourquoi tout le monde fait comme si c'était normal que Daniel et Max s'embrassent ? 

Un éclair le traverse alors. Il les revoit ce jour-là, s'embrassant devant la terre entière. Il revoit les articles de presse à la suite, le déferlement de commentaires, les interviews floues de Christian qui disait ne pas vouloir parler de la vie privée de ses pilotes, les posts de soutien qui étaient tombés. Une aubaine pour Red Bull qui faisait face à une énième tornade médiatique alors qu'ils faisaient face à d'impossibles choix tandis qu'ils se retrouvaient avec trois pilotes en ordre de bataille pour uniquement deux baquets. 

— C'était pas de la com' à Doha ?

Parce que Daniel et Max étaient Red Bull, ils étaient l'image de la marque et de l'écurie. Christian et la marque au taureau rouge étaient une part intégrante de qui ils étaient, ce qui les avait façonnés en tant que pilote et jeunes adultes. Pierre savait que contrairement à lui-même, ils étaient prêts à tout pour celui que le néerlandais considérait presque comme son père. Parce qu'après avoir été au milieu de tout ça, le normand avait été témoin du fait que l'inverse était également vrai. Quand Max réussissait une course Christian l'attendait pour le féliciter, quand il ratait Christian l'attendait pour le réconforter. Quand Max ne disait que Daniel, Daniel, Daniel à longueur de journée, Christian n'en voyait que par son futur champion.

Il continue de les observer alors que la réalité le frappe. Celle où apparemment Daniel et Max s'aimaient et tout le paddock sauf lui savait. Celle où Daniel pouvait faire éclater de rire le blond en l'embrassant sur le bout du nez et il était incapable de regarder autre chose que celui aux cheveux bouclés.  

— Il a compris ! 

Une voix résonne dans le micro, le faisant sursauter, les bouches se décollant mais les corps restant dangereusement proches l'un de l'autre. Il observe incongru Max venir se blottir contre Daniel, installant sa tête contre son torse légèrement surélevé alors qu'il est toujours assis sur la table et leurs deux corps s'orientant de façon à voir Charles micro à la main et tout sourire. 

— ALERTE GENERALE, PIERRE A ENFIN COMPRIS QUE DANIEL ÉTAIT EN COUPLE AVEC MAX. JE RÉPETE PIERRE A ENFIN COMPRIS CE QU'IL SE PASSE CHEZ RED BULL DEPUIS DEUX ANS MAINTENANT.  

Tous les invités se mettent à applaudir et il se sent ridicule alors que les deux pilotes sont tout sourire et les prunelles pétillantes de bonheur et malice. Des moments étranges des années passées lui reviennent et avec elle tout ce qu'il ne comprenait pas quand Charles se moquait d'eux, Christian faisait des remarques devant la presse ou encore Lewis et Seb faisaient des paris sur des durées avant des coming-out ou emménagements ensemble ou encore mariage. 

— J'ai rien contre le fait que Charles et Max discutent en journée, mais la prochaine fois, débrouille-toi quand même pour que j'ai pas à négocier avec cette saleté de monégasque pour pouvoir dormir dans les bras de mon fiancé. 

— T'es trop possessif Daniel, t'as qu'à moins te l'accaparer en journée et je ne serai pas obliger de ruser pour pouvoir passer du temps avec ton chaton.

Le rire de Max s'affalant de plus en plus contre le brun résonne. Pierre les observe quelques secondes et se demande comment il avait fait pour ne pas comprendre auparavant. Maintenant qu'il était au courant, cela paraissait si évident.

— N'empêche j'ai vraiment cru que c'était sans espoir et qu'il le découvrirait quand il recevrait l'invitation à notre mariage, alors que c'était pas faute d'avoir tout fait pour qu'il comprenne. Même mon père avait compris avant que je lui annonce.

Il ne sait vraiment pas quoi faire de ces informations et sait qu'il va lui falloir quelques temps pour se décider sur laquelle est la pire : que Max et Daniel allaient se marier prochainement parce qu'ils étaient en couple depuis plusieurs années ou que Jos Verstappen était plus observateur que lui.

et voilà c'était un petit bonus pour ce début de vacances d'été pour ceux qui y sont :) j'espère qu'il vous aura plu ! 

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